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 Ulrich Von Kuffner

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2 participants
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Ulrich Von Kuffner
♣ Université - 1ère année
Ulrich Von Kuffner


Genre : Masculin Sagittaire Tigre Age : 25
Compteur 21

KMO
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MessageSujet: Ulrich Von Kuffner   Ulrich Von Kuffner EmptyLun 21 Mai 2018 - 16:16



I. IDENTITÉ


• NOM : Von Kuffner
• PRÉNOM : Ulrich
• GENRE : Garçon cisgenre
• ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 19 ans, 21 décembre 1998 à Vienne, Autriche
• GROUPE : Populaire ?

• ANNÉE D'ÉTUDES OU PROFESSION : 1ère année de médecine
• CLUBS : Basket ball et littérature
• LANGUE MATERNELLE : Autrichien (Allemand)
• AUTRES LANGUES :Japonais, anglais (courant), français (correct), chinois et latin (moyen)


• PERSONNAGE DE VOTRE AVATAR : Nathan Prescott Life is strange


II. DESCRIPTIONS.


◊ PHYSIQUE

• Anatomie, marques, expressions, allure, gestuelle : (soyez le plus précis possible! )

Grand.
Un mètre quatre-vingt-trois pour une soixante-dizaine de kilos.
Un corps plutôt mince, à peine musclé ; le genre de corps que n’importe quel adolescent serait capable d’avoir en pratiquant un minimum d’activité physique et en surveillant son alimentation. Génétique disgracieuse et traitements de type cortisone mis à part.
Sa peau est pâle, brûlant plus qu’elle ne bronze lors d’une exposition prolongée au soleil. Ses cheveux sont blonds comme les blés et tirés en arrière sur son crâne par une légère couche de gel. Ses yeux sont bleus, presque gris, et son visage dépourvu d’acné laisse transparaître toute la noblesse de ses traits.
Son nez aristocrate est droit et fier et ses lèvres fines sont le plus souvent recourbées en un sourire suffisant. Son regard océan, lui, ne cessera de vous jauger, quoi que vous fassiez, quoi que vous disiez. Sa richesse suinte par tous les pores de sa peau, exulte par chaque partie de ce corps qu’il aime à adorer.
D’une démarche noble, légère et assurée, les jugements semblent glisser sur Ulrich comme l’eau sur les plumes d’un canard.
Un sourire sardonique aux coins des lèvres, il semble ne jamais regarder en arrière, se concentrant sur un futur qui, il en est certains, sera rempli de merveilles.
En toute circonstance, il sait se tenir droit, sourire, acquiescer et feindre l’intérêt d’une conversation aussi futile soit-elle à ses yeux. Jamais ô grand jamais vous ne verrez son dos voûté par l’ennui, son visage relâché par la fatigue ou encore ses mains quitter leur place le long de son corps ou autour d’une coupe de champagne bien méritée. Jamais ce jeune homme de bonne famille ne se prendrait à jouer avec ses doigts pendant que son interlocuteur élucubrerait ô combien le monde tourne mal et ô combien il était important de carder son capital investissement bien caché dans une telle banque ou un tel paradis fiscal bien à l’abri de tout ces vautours se faisant passer pour des représentants du gouvernement de leurs pays respectif.

Cela dit, sitôt que la lumière des projecteurs eut quitté son visage gracile, qu’aucuns badauds n’étaient à même de le voir, le jeune homme pouvait enfin se relâcher.
Dans ce moment-là, son visage n’avait plus rien à voir avec celui que les gens lui connaissait.
Il était las, fatigué, rongé par la peine, par la peur d’un avenir des plus incertain.
Lorsqu’il se retrouvait seul, loin du faste et du luxe, Ulrich était rongé par le doute.


• Tenue vestimentaire, accessoires, tatouages,  etc.

Le plus souvent habillé de pantalon de toiles fines ou de jean, de chemise ou de T-shirt rehaussé d’une veste en tissu, chacune des pièces de la garde-robe d’Ulrich est choisie avec soin et, à l’unité, vous coûterait plus cher que votre salaire.
Jamais le jeune-homme ne se permettrait un faux pas, une faute de goût. Jamais vous ne le verrez sortir décoiffé, habillé de jogging pour d’autres raisons qu’un footing matinal ou une séance de sport improvisée, et encore. Le plus souvent, Ulrich préfère faire ses exercices chez lui et, le cas échéant, sortira en tenue de ville pour ne se changer qu’une fois arrivée à la salle. Il était plus qu’impensable que quiconque ne le voit autrement que comme il avait envie qu’on le voit, à savoir propre sur lui et chic.
L’apparence est la première impression qu’on donne aux personnes qu’on rencontre, et Ulrich tien par-dessus tout à ce que cette dernière soit bonne.
Sa seule fantaisie ? Un minuscule écarteur à son oreille droite.


◊ PSYCHOLOGIQUE

• Mentalité, attitude envers autrui, philosophie personnelle: (Soyez le plus précis possible ! )

Pédant.
Sûr de lui et de ses origines, il arrive souvent à Ulrich de prendre les gens de haut et, si votre famille n’est pas au moins propriétaire d’un hôpital, d’un hôtel ou de plusieurs magasins de vêtements, il ne prendra jamais la peine de partager avec vous plus que quelques platitudes. Plus par politesse que par réel intérêt.
Pince-sans-rire.
Dire qu’Ulrich et dénué d’humour serait mentir, mais dire qu’il est de ceux s’esclaffant haut et fort à la moindre boutade le serait d’autant plus.
Non.
S’il arrive au jeune homme de rire aux plaisanteries des autres, devant des vidéos YouTube ou encore quelques VDM bien choisi, jamais son rire ne dépassera les 70 décibels. Et, lorsqu’il lui arrive d’être l’instigateur de l’une ou l’autre plaisanterie, son air sérieux et ses lèvres retrousser en un sourire quasi-médisant auront tôt fait de faire douter ceux l’entourant quant aux réels tenants et aboutissants de cette blague.
L’ironie restant son humour de prédilection, le cynisme sa marque de fabrique.
Sérieux.
Sans aller jusqu’à dire qu’Ulrich est parmi les têtes de classe, le jeune adulte est depuis toujours parvenu à rester dans la moyenne supérieure de sa classe, avec une moyenne d’environs 75/100, toutes matières confondues. Contrairement à ce que pourrait laisser penser certaines de ses actions, il prend ses études très au sérieux.
Lubrique.
Avis aux demoiselles : lorsqu’Ulrich ne vous regarde pas avec méfiance, tentant de jauger votre valeur tant mentale que monétaire, sûrement que son regard est occupé à jauger autre chose. Les formes voluptueuses de votre corps, par exemple.
Ulrich aime s’adonner aux plaisirs de la chair et pense qu’aucune femme qu’il veut réellement mettre dans son lit ne peut lui résister. Qu’il ait à user de son physique ou de son argent, pour les plus réticentes.
Fidèle.
Si Ulrich peut paraître insupportable au premier abord, et l’est sans nul doute pour la bande de prolo tentant de l’approcher, une fois entré dans son cercle d’amis, il se révélera un allié fidèle et indéfectible.
Si son pré-tri semble arbitraire et lui impute sans nul doute de connaître certaines personnes avec qui il se serait entendu plus que de raison, les quelques personnes l’ayant passé avec succès et, en plus, lui plaisant mentalement le verrons près à les aider à enterrer leurs cadavres. Au sens propre comme au figuré.
Réciprocité oblige.
Sexiste.
Ulrich aime les femmes, il les adore même et trouve qu'elles sont la huitième merveille du monde.
Petite, grande, blonde, rousse, brune, mince ou en surpoids... Il aime toutes les femmes sans exception et fera tout pour les combler.
Cela dit, il est tout simplement incapable de les voir comme des égaux...
Pour lui, elles sont de petites choses fragiles usant et abusant de vils stratagèmes pour parvenir à leurs fins et essayer d'égaler par des moyens détournés la suprématie masculine.
Il les respecte, ne leur ferait jamais de mal, mais elles restent en tout point inférieure à lui. Plus inférieures encore que les clochard dans la rue, mais méritant plus d'amour et de respect que n'importe quel homme quelque soit sa puissance.

• Signes particuliers, manies, obsessions, phobies (etc.) :

L’héritier Von Kuffner est, à dire vrai, remplis de manies, principes et phobies en tout genre.
Pour être tout à fait sincère, on pourrait presque dire que le jeune-homme paraissant si confiant à en réalité peur… d’à peu près tout.
Il a peur de décevoir ses parents, peur de ne pas réussir ses études, peur qu’une fille qu’il désire réellement lui résiste, peur qu’on apprenne pour sa maladie, peur d’être rejeté, peur de ne jamais pouvoir donner de descendance à ses parents, peur qu’un jour il se réveille et apprenne que sa famille avait fait faillite et qu’ils n’étaient rien de plus qu’un autre de ses prolétaires…
Ulrich avait peur de tout, mais n’en laissait jamais rien paraître.
Il l’avait fait par deux fois, mais l’avait à chaque fois regretté amèrement.
Le jeune adulte est également obsédé par son physique et fera tout son possible pour le garder tel quel, le préserver au mieux des affres de l’âge et de la maladie.
Pour ce qui est de ses principes, là aussi la liste est longue, mais les principaux restants qu’il ne liera pas d’amitié avec une personne aux ressources familiales insuffisante et que jamais ô grand jamais il n’achètera de lui-même les quelques cigarettes et autres drogues plus ou moins légale qu’il lui arrive de consommer.
Il l’avait fait une seule et unique fois, mais comptait bien ne plus réitérer l’expérience.
C’était psychologique, tant qu’il n’achetait pas ces merdes, alors ça voulait dire qu’il n’en était pas accro.


III. MÉMOIRES.




• Histoire : (Soyez le plus précis possible ! )

Ulrich Thaddeus Théodore Mark Gaspard Von Kuffner, fils de Théodore et Elizabeth Von Kuffner, anciennement Von Haas, vint au monde un 21 décembre 1998, dans une chambre privatisée d’un hôpital viennois.
Unique héritier de la famille Von Kuffner, descendante directe de la noblesse Autrichienne et tenancière de nombreux hôtels et restaurants (payés des économies passées et permettant de fructifier celles actuelle), Ulrich porte, comme il est coutume dans sa famille, un premier prénom lui étant propre suivi de celui du fondateur de leur famille, puis de celui de son père, de son grand-père paternel et enfin de celui maternel. Un moyen de faire perdurer la dynastie, disaient-ils.

Scolarisé dès son plus jeune âge, Ulrich appris à lire lorsque d’autres jouaient encore avec leurs excréments, soutenu par des parents toujours plus exigeants. Car malgré leur statut de rentier, Mr et Mme Von Kuffner travaillaient respectivement dans un grand hôpital en tant que chirurgien et dans une école toute aussi prestigieuse en tant que professeur de Latin.
Sa mère était d’ailleurs polyglotte. Parlant couramment Allemand, Anglais, Latin, Japonais, Français et Chinois. Elle tenta par ailleurs d’inculquer à son fils chacune de ces langues dès son plus jeune âge, quand bien même l’enfant préféra-t-il concentrer son attention sur l’anglais et le Japonais plutôt que le Latin et le Chinois qu’il trouvait compliqué et désuet. Il avait compris dès son plus jeune âge que l’Anglais était ce qui se rapprochait le plus d’une langue universelle alors que le Japonais, en plus de venir d’un pays en pleine expansion, lui permettrait d’avoir accès à une culture plus intéressante que celle de la Chine; tout du moins du point de vue d’un enfant de 6 ans passant son temps libre devant Pokemon, Detective Conan et Nicky Larson. Le français, quant à lui, était le plus souvent allié à la noblesse, il se devait donc d’en connaître les bases. D’ailleurs, il connaissait celles de chacune de ces langues inculquées dès son plus jeune âge.
En grandissant, et bien que les animes et autres japonisations l’intéressaient toujours plus ou moins, ce fut l’économie du pays du soleil levant qui commença à attirer l’attention du jeune-homme.

S’il passa une partie de sa scolarité secondaire en Angleterre, y obtenant l’équivalent du baccalauréat, lorsque l’heure des études supérieures arriva, il tanna ses parents jusqu’à temps que ces derniers acceptent de le laisser les faire au Japon. Après tout, quoi de mieux pour parfaire sa locution que de vivre à même le pays ? Là était sa motivation principale, suivie de près par l’exaltation à l’idée de goûter à la faune locale. De jeunes et frêles Japonaises qu’il devra prendre soin de ne pas briser lors de leurs ébats.
Seule condition à son départ, il fallait qu’Ulrich revienne en Autriche une fois son diplôme en poche afin de reprendre la fortune familiale. Ce qu’il accepta, comptant bien le faire dans tous les cas.
Quelques mois avant son départ pour le Japon, alors qu’il venait tout juste de rentrer chez ses parents, il apprit des suites d’une prise de sang exigée par sa petite-amie du moment qu’il était séropositif. En soit, rien d’étonnant à ça étant donné que l’héritier Von Kuffner n’avait jamais réellement pris la peine de se protéger lors de ses rapports. Tantôt oui tantôt non, dépendant de si sa partenaire prenait ou non la pilule, et encore. Lorsqu’il était trop pété pour se rappeler de ses soirées, il ne pouvait même pas assuré qu’il avait à chaque fois ni posé la question ni enfilé de préservatif.
Il ne savait ni depuis quand il était infecté, ni quelle femme en était la cause et encore moins s’il l’avait propagé à son tour. Ou plutôt, à combien.
Tout ce qu’il savait c’était que si d’autres personnes l’apprenaient, il pouvait dire adieu à ses parties de jambes en l’air, ainsi qu’à son intégrité. Cette idée lui étant insupportable, il décida de murer ce secret à jamais, quitte à faire plus de mal que de bien.

Il ne supportait pas l’idée d’être rejeté pour une maladie paraissant si sale. D'ailleurs, même ses quelques amis proches restés en Autriche ou en Angleterre ne sont toujours pas au courant de cette dernière
Il était le seul fautif, il le savait, il le regrettait, mais tant pis. Il ne pouvait décemment pas assumer sa connerie aux yeux des autres. Et puis bon, de toute façon avec les progrès de la médecine, les traitements préventifs et tout le tintouin, les chances de contamination et de développement de la maladie devenaient quasiment nulles. À quoi bon parler d’une chose qui, bien traitée, devenait quasi invisible ? C’était se foutre une épine dans le pied pour rien.Grâce à l’argent de papa et maman, il avait de quoi payer ses analyses et son traitement, le médecin l’ayant ausculté confirmant que le virus n’avait pas encore atteint le stade du S.I.D.A. Ses T4 étaient au-dessus du seuil critique et si ce n’était sa prise régulière de substances médicamenteuse et son obligation de faire plus attention qu’un autre lors de contacts à risque de contamination, il pouvait pour l’instant vivre une vie normale.
Si en vue de ces résultats ses parents hésitèrent à le laisser partir, il finit par leur faire entendre raison et, après leur avoir assuré qu’il ferait attention et rentrerait au moindre signe de complication, il put partir pour le Japon afin d’y vivre pleinement son déni.

Une fois par mois, il se rendait dans un hôpital de Tokyo afin de vérifier ses constantes et renouveler son traitement. Pour le reste, c’était comme si cette maladie n’existait pas. Il se protégeait bien sûr, mais il faisait son possible pour ne pas y penser.
Il préférait de loin se concentrer sur ses études qui, ironiquement, se dirigeaient vers le domaine du médical. Ulrich bien décidé à devenir cardiologue.

Malheureusement pour lui, alors qu’il terminait son année de prépas, il tomba amoureux d’une fille de deux ans son aînée qu’il avait rencontré lors d’un de ses premiers galas au Japon.
Une fille à la richesse équivalente à la sienne, atteinte d’albinisme et capable de le pousser dans ses derniers retranchements.
Une femme qu’il avait baisé bien avant de l’avoir aimé, mais qui avait su ravir son coeur de par son tempérament inssatiable et son m’enfoutisme constant.
Elle aussi souffrait de sa différence, des attentes de ses parents et de cette société oppressante.
Elle aussi avait besoin de s’évader, par le sexe, l’alcool, la drogue, les cris…
Ils avaient vécu des hauts et de nombreux bas, mais après moins d’un an de liaison, Ulrich réalisa que les sentiments qu’il lui portait allaient bien au-delà de ce qu’il avait espéré ressentir.
Elle était comme lui, elle portait un masque qu’elle retirait une fois loin de la foule. Avec elle, il avait pu retirer le sien. Il avait tenté de résister, de nier l’évidence, de la blesser afin de se protéger lui-même, mais en vain.
Pour la deuxième fois de sa vie, il était tombé amoureux. Et si la première s’était servie de son amour pour obtenir des faveurs et moult cadeau, celle-ci l’avait quittée en apprenant pour sa maladie…
Il lui avait menti, il le savait. Il savait qu’elle avait eu raison de lui en vouloir.
Elle aurait pu être sa femme, la mère de ses enfants… Elle avait d’ailleurs failli l’être, mais s’était faite avorter sans rien dire à Ulrich.
C’est quand elle lui avait avoué pour son avortement qu’il aurait dû lui dire pour sa santé… Ils avaient fauté. Il ne se rappelait plus quand ni comment, mais si elle était tombée enceinte, c’est qu’ils avaient merdé quelque part.
Sûrement cette fameuse nuit ou elle lui avait fait tester des cristaux…
Elle lui avait dit l’aimer, mais elle n’avait pas supporté qu’il lui ait caché ça et, lorsqu’il le lui a enfin avoué, elle a mis fin à leur simulacre de relation, le laissant seul une fois de plus…
Et une fois de plus, Ulrich avait fui.

Il avait fui son premier amour en partant en Angleterre et avait fuit la réalité de sa vie en partant au Japon.
Aujourd’hui, il ne voulait plus fuir, mais il était tout simplement incapable d’assumer son regard lorsqu’il la recroiserait dans les couloirs… Une fois son année de prépas en poche, il rendit son appartement et décida de s’inscrire dans une autre université, dans une autre ville, loin de Charlie et de cette menace constante qu’elle ne parle de sa condition à d’autres. Il s’inscrivit à la fac et loua un appartement dans les quartiers bourgeois de Hebi, payé par ses parents à l'un de leur très nombreux "amis" (ça sert d'avoir le bras long), ces derniers ne comprenant pas la raison de son changement mais se satisfaisant bon gré mal gré de son « J’avais envie de changer d’air »
Plusieurs mois étaient passés et aucune nouvelle… Sans doute qu’elle avait gardé son secret pour elle…
Le coeur brisé, mais rassuré, Ulrich renfila son masque d’indifférence et entreprit ses études dans cette nouvelle académie.
Médecine, comme son père.
Peut-être qu’une fois devenu cardiologue, il pourra faire repartir son coeur réduit en poussière par les deux amours de sa vie.

• Relations proches et familiales : (qui vous a élevé / avec qui vous vivez, etc.):

Théodore Von Kuffner : Le père d’Ulrich et surtout son modèle. D’aussi loin que puisse remonter sa mémoire, le garçonnet à toujours tenu son père en haute estime, rêvant d’un jour devenir aussi fort, aussi beau et aussi intelligent que lui. Petit déjà, il rougissait de bonheur lors des oeillades complice qu’il partageait avec son paternel, lorsque sa mère courrait dans tous les sens pour préparer un gala ou qu’une boutade discrète filait au beau milieu d’un repas en grande pompe.

Elizabeth Von Kuffner née Von Hass : La mère d’Ulrich. Une femme au fort tempérament et aux manières impeccables. S’il arrivait à Théodore de se montrer quelque peu laxiste, jamais Elizabeth ne faillissait à son rôle de mère, de maîtresse de maison et de professeur. Avec elle, tout devait être carré, tout le temps. C’est en partie grace à ça que le jeune homme a su parler autant de langue en aussi peu de temps. Lorsque sa mère ne travaillait pas ou ne participait pas à divers galas, plutôt que de jouer avec son fils, elle préférait parfaire son instruction.
À dire vrai, elle ressemblait plus à une prof qu’à une mère.
Si Ulrich aime sa mère, il doit bien avouer qu’il a parfois du mal à la supporter plus que quelques heures…

Margaret : Margaret, Maggy, Mag… Sa nourrice, la femme qui l’a élevé plus que ne l’ont jamais fait ses parents lors de ses primes années. C’est elle qui changeait ses couches, qui le nourrissait lorsque ses parents étaient trop occupés par leurs travails respectifs pour s’occuper de leur fils. C’est elle qui le veillait lorsqu’il avait de la fièvre, qui lui courrait après lorsqu’il trottinait cul à l’air dans toute la maison, refusant de s’habiller.
C’est également celle qui lui colla sa première fessée, la responsable de sa première punition et de la majore partie de ses sermons.
Ulrich aimait Margaret plus que sa propre mère. Elle était sa mère de coeur.
Mais Margaret n’était plus, le cancer l’avait emporté.
Ulrich avait alors 14 ans et, passant ses examens en Angleterre, il n’avait même pas eu l’occasion de lui dire adieu correctement…
Manquer cet enterrement est à ce jour encore son plus grand regret.


IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

TON PSEUDO ? Ulrich, je suppose
QUEL ÂGE ? Celui de ta mère ! Si tu as 3 ans et qu’elle t’as eu à 20
COMMENT NOUS AS-TU DECOUVERT ? Partenaire de partenaire de partenaire de partenaire mdr
TES IMPRESSIONS ? Enfin un forum qui prend un compte les non-binaire... Comment ne pas l'aimer ?
SOUHAITES-TU ÊTRE ACCOMPAGNÉ ? Nop
QUELLE HEURE EST-IL CHEZ TOI ? 14H58 à l’heure ou j’écris ces mots, pourquoi ?



FICHE PAR FALLEN SWALLOW



Dernière édition par Ulrich Von Kuffner le Mar 22 Mai 2018 - 17:48, édité 4 fois
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Naoko Tanaka
▼ Université - 3ème année - Vice Présidente Cuisine
▼ Université - 3ème année - Vice Présidente Cuisine
Naoko Tanaka


Genre : Féminin Scorpion Buffle Age : 26
Adresse : 15 Rue du Tatami, Quartier Hebi
Compteur 849

KMO
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MessageSujet: Re: Ulrich Von Kuffner   Ulrich Von Kuffner EmptyLun 21 Mai 2018 - 17:54

Hello !

Je vais être en charge de la correction de ta fiche, sur laquelle je n'ai pas grand chose à dire (décidément, 2ème fois de suite c'est un record !)

-> Tu inscris sur sa fiche qu'il a 19 ans, alors qu'il en a 18 si sa date de naissance est exacte.
-> 18 ou 19, Ulrich n'est pas considéré comme majeur au Japon (la majorité étant 20 ans), il ne peut de ce fait pas vivre seul. Il doit forcément être en compagnie de ses parents ou d'un tuteur légal. Bien sûr, rien ne lui empêche de frauder le système, mais tu devras le préciser dans la fiche.

-> Ulrich est séropositif et suit un traitement pour ne pas développer le VIH.
Même après avoir été au courant de sa contamination, il continue d'avoir des rapports non protégés avec ses partenaires, et sans leurs mettre au courant -puisqu'il veut garder cela secret- ?

Une fois que tu auras fais ces petits changements, je n'ai plus rien à redire.
De ce fait, je te fais confiance pour les modifications et te valide dès maintenant puisqu'il s'agit de détails.

Félicitations ! Tu peux donc RP, mais avant, tu as quelques démarches administratives à effectuer avant :


• Demande de rang (afin d'afficher ta classe au dessus de ton avatar), de classe et de logement : Clic !
• Inscriptions aux clubs : Clic !
• Réservation d'avatar : Clic !
• Livret scolaire de l'année précédente, à mettre à jour à chaque rentrée : Clic !


• Demandes de RP : Clic !
• Après trois RPs entamés, il te faudra faire une chronologie ici : Clic !

Amuse toi bien !
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