₪ Académie Keimoo ₪
In a decade, will you be there ?
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| | | Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] |  |
| | | Auteur | Message |
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Lewis McAlister
♣ Université - 3ème année
  Age : 32
 137
Multicompte(s) : Elena perez
KMO
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|  Sujet: Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] Dim 6 Fév 2011 - 13:58 | |
| Aujourd’hui, Lewis rencontra sur le toit de l’académie, une jeune femme forte sympathique. Bien qu’au début, la racaille pensait qu’elle ne l’appréciait pas très bien. Et bien il s’était trompé. Il avait été chercher deux chocolats chaud pour les réchauffer du froid(bien qu’il aurait préféré une bonne bouteille de Whisky). Une fois qu’ils eurent bu leurs boissons chaudes, le jeune homme avait sortit une bouteille de Whisky de son sac en bandoulière. Mais il se passa un événement inattendu; le rouquin vida son sac à la jeune femme. Lui raconta toute son enfance. Il avait ensuite laissé échapper la bouteille d’alcool qu’il tenait à la main et elle éclata au sol. Pour après éclater en sanglot. La jeune femme qui se prénommait Myra le réconforta. Une fois que le jeune homme eut été mieux, celui-ci se redressa et allait demander à la jeune fille si elle souhaitait changer d’endroit lorsque la porte menant au toit s’était ouverte sur quatre jeunes hommes. Des racailles. Mais pas des amis à Lewis. Non, ceux-ci étaient bien trop brutes et idiots. Le rouquin s’était ensuite acharné sur les racailles, les mettant au tapis. Mais celui-ci ne s’en était pas sortit indemne. Quelques bleus, un peu de sang lui coulant des commissures de ses lèvres, mais rien de plus.
Myra prit soudain la main du jeune homme timidement en lui disant qu’elle voulait aller en ville mais qu’elle ne voulait pas y aller avec une épave humaine.
La racaille écarquilla son œil(ça fait bizarre d’écrire un œil XD) et éclata de rire.
- Moi, une épave humaine ? A bon ? Mes parents m’ont cachés ce secret alors.
La jeune femme l’amena alors à l’infirmerie, malgré les protestations du jeune homme.
- Mais c’est pas grave J’te dis !
Mais elle ne voulait rien entendre.
Quelques minutes plus tard, ils sortirent de l’infirmerie. Lewis fut comme neuf(/sbaaaaf/). Un dénommé Dorian l’avait soigné. Il lui avait dit qu’il n’y avait rien de grave. La jeune femme avait alors poussé un soupir de satisfaction. Bahhh voilà. Lui qui lui disait qu’il n’avait rien de grave. Elle s’était quand même inquiétée pour rien. Qu’avait-t-elle dit avant d’aller à l’infirmerie ? Qu’elle voulait aller en ville ? Ouais mais aller en ville, s’était vague…y’avait plein de bons lieux à Keimoo. On verra sur place.
Les deux adolescents sortirent alors de l’académie en évitant les quatre racailles qui avaient sûrement du appeler du renfort.
Une fois dehors, Lewis prit la main de Myra, sourit et dit :
- Bon, tu veux aller où maintenant ?…on verra en route ok, j’ai compris…
Les deux jeunes marchèrent alors dans les rues de la ville.
- Mais c’est pas vrai, y’a rien d’ouvert le dimanche !
Un endroit attira l’œil du jeune homme. Il s’approcha de l’espèce de bar qu’il avait vu de loin. Une fois devant, il prit un air blasé en lisant le nom du bar. « Au bistro des amis ».
- C’est quoi ce nom de merde…chui sûr que y’a que des vioques dedans…mais bon…comme y’a rien d’ouvert le dimanche et que j’ai la flemme de rentrer à l’académie…je veux bien y entrer.
À ses mots, ils entrèrent.
Le bar avait un petit air sympathique et les petits vieux étaient de bonne humeur(sûrement dû à l’alcool parce que d’habitude, ils s’énervent vite).
La racaille s’assit sur un des tabourets au bar, tapota du bout des doigts le bar et dit :
- Apporte nous de la bouasse* moussaillon.
- Vous voulez quoi les jeunes ?
- Whisky pour moiiii !
Une fois que Myra eut choisi, les petits vieux arrêtèrent leurs conversations. Ils pointèrent du doigt les deux jeunes en murmurant entre eux. Lewis tourna la tête vers eux et cria :
- Hey les vioques !! Si vous avez quelque chose à nous dire, dites le nous en face !
L’un deux, un homme d’une soixantaine d’années(sûrement le plus jeune), fronça les sourcils et rétorqua :
- Vous voyez pas que ce bistro est réservé aux personnes de PLUS de 60 ans ?! Je ne crois pas que vous ayez dans ces âges là, les jeunes. Alors du balais ! Maintenant !
Lewis se leva de son tabouret et se dirigea vers la personne âgée.
Il l’empoigna par le col de sa chemise.
- Heu…il n’est pas dit que ce n’est pas bien de frapper de petits vieux sans défense ? répondit l’homme en levant le mains.
- M’en fous !
- Faisons un marché.
- Hein ? M’en fous de ton marché moi !
- On va voir si tu es si fort que ça. Je te défie au bras de fer avec moi. Si tu gagne…vous restez ici. Sinon…vous partez dit l’homme avec un grand sourire.
Lewis sourit à son tour et lui serra la main en disant :
- Okey marché conclu.
La racaille eut un rictus. Il allait l’éclater en deux secondes. Mais…il ne savait pas que l’homme en face de lui était un ancien homme de la marine. Donc…il était pas maigrichon. Du tout.
Lewis s’assit en face de l’homme, remonta sa manche et empoigna la main du « matelot ». Elle était forte par rapport à la sienne. Le rouquin fut déconcerté un moment par la force de sa poigne.
- Alors le jeune t’a peur de perdre ?
- Nan.
Les vieux(qui ressemblait en fait à des p’tit moussaillons. Enfin…physiquement) encouragèrent l’homme en face de Lewis. Pourquoi pas lui ? Merciiii. Il espérait que Myra l’encourageait.
Le défi prit fin rapidement; l’homme fit un clin d’œil à la racaille et son attention se troubla quelques secondes. Il en profita alors de quelques secondes pour mettre le jeune homme au tapis.
- Voilà c’est fini mon p’tit.
Hein ? Qu’est-ce qui étais fini ? Quoi ! C’était déjà terminer. Qui avait gagné. Nannnn. C’était pas Lui. Et bah si.
Lewis posa sa tête sur la table en bois et dit :
- C’est pas vraiiiii. J’ai perdu contre un vioque….Un vioque de 70 ans…
- 60...
- C’est la fin du mooooooonde ! Bon bah…ok…désolé Myra…on est obligé de partir.
Une idée germa alors dans le cerveau de l’homme. Le jeune en face devant lui, lui faisait tellement pitié…
- Bon écoute petit ! Tu reste ici avec ta copine mais t’auras un gage !
Le rouquin tourna la tête vers lui.
- Quoi ? Quel gage ?
L’homme se leva de table, murmura quelque chose au barman et revint peu après avec une bouteille transparente laissant voir alcool de la même couleur que de l’eau. Il posa devant Lewis la bouteille et un petit verre et dit :
- Tu bois tout ça. Si tu y arrive, t’a de la chance : personne n’a jamais terminé une bouteille entière parmi nous.
- Facile.
- Attention ; pas le droit de tomber raide mort bourré au sol ! Sinon t’a perdu.
- Pourquoi je voudrais me retrouver par terre ?
- Tu verras…
À cette parole, l’homme ouvrit la bouteille et remplit un petit peu le verre.
- Heyyyy ! Pourquoi tu remplis pas tout le verre !
L’homme s’assit sur sa chaise en face du rouquin, croisa les bras.
- On verra si tu arrive a boire ça.
- C’est quoi ce truc ? De l’eau ?
L’homme éclata de rire.
- Cet alcool que tu appelle de l’eau vois-tu s’appelle Augardente. C’est un alcool Espagnol. Enfin…tu peut le trouver aussi au Portugal comme en Amérique du sud.
Il ne lui en dit pas plus. Il laissa le secret du degré. Qui était pas…gentil*.
Lewis haussa les épaules et but l’alcool cul sec.
- Pourquoii tu lui as donné ça !!! Il va crever le pauvre gosse !
- Mais non.
En fait le jeune homme s’était trompé sur toute la ligne. Il lui serait impossible de boire cette bouteille entièrement. Déjà avec juste le fond du verre remplis…
La racaille porta la main à son front. Il avait mal à la tête. Sa température corporelle monta en flèche. Son visage vira rapidement au rouge.
- Mais c’est quoi cet alcool que tu m’as donné !!
L’homme éclata de rire.
- Si t’as pas l’habitude de boire de l’alcool fort gamin, c’est normal !
- Dis moi…c’est combien de degrés ta merde ?!
- Heu….c’est combien déjà ? J’ai oublié…
- ….65
- Tu te fous de ma gueule…
- Non pas du tout ^^. Mais…t’es obligé de boire toute la bouteille sinon vous partez d’ici.
- Connard…
Après quelques verres…
- Ah ! Ah ! Ah ! Oui et donc après…
Après quelques verres, la conversation avait tourné au n’importe quoi.
- J’ai trop bourlingué sur de maudits navires…
Les petits vieux chantèrent à l’unisson : « Trop c’est trop vie de matelot ».
- Sur toutes les mers, j'ai essuyé le pire.
« Trop c'est trop pour les matelots ».
- Anne Bonny vient boire avec nous ! Reste pas toute seule !
- C’est qui Anne Bonny ?
- Wikipedia est ton ami.
- Spoiler:
Gentil* : 50° voir plus ^^. Bouasse * : Donjon de Naheulbeuk.
- Spoiler:
- Spoiler:
Aha ha ha j'adore ma pub de Wikipedia ♥
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| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] Dim 6 Fév 2011 - 22:36 | |
| Chose inattendue en ce dimanche ennuyeux, Myra avait fait la connaissance de Lewis, un jeune rescapé d'Ecosse. Ils avaient la joie de vivre pour intérêt commun, et cette joie passait par la consommation de substances alcoolisées et de tabac un peu fort, qui encrassait leurs poumons et revendiquait leur unité. Ils avaient commencé à refaire le monde, d'abord en sirotant un chocolat chaud généreusement acheté par Lewis, puis en entreprenant de vider une bouteille de whisky à eux tous seuls. Cependant, le hasard mena étrangement les choses, puisque de confidence en confidence, l'espagnole se rendit compte que le passé de son nouveau camarade n'était pas très reluisant. Dans un besoin excessif de vider le sac, il lui avait expliqué la mort tragique de son frère, et comment il n'avait jamais su vraiment en faire le deuil. Percevant clairement son affliction, Myra l'avait écouté et réconforté du mieux qu'elle l'avait pu, non sans être insensible aux moindres de ses sanglots. A son tour, elle avait laissé filtrer un peu de cette tristesse qui la tiraillait, suscitée par l'empathie éprouvée pour son ami. Une fois que le secret se vit défait de ses chaînes, les lycéens voulurent disposer du toit, pour aller se balader et poursuivre simplement leur conversation autour d'un verre. Cependant, un autre évènement imprévisible surgit : quatre racailles étaient venues à leur rencontre, dans l'intention de faire payer à Lewis des méfaits dont la rebelle n'avait pas vraiment pris connaissance. Tout ce qu'elle avait retenu de cette scène, c'était la force herculéenne de Lewis, qui l'avait aidé à mettre à terre ses adversaires. Cependant, ses blessures étaient multiples, car la salve de coups qui s'était fondue sur lui n'avait pas été moindre. Par conséquent, elle l'avait forcé à se rendre à l'infirmerie, et suite à un diagnostic positif du maître des lieux, ils purent s'en aller. Lew eut la malice de se moquer de la détresse de Myra qui n'avait pas été si fondée que ça, compte tenu de son bon état physique. Néanmoins, elle n'était pas convaincue de cela, et puis il faut admettre que voir des mecs se chicaner à coup de pieds et de poings n'est pas ce qu'il y a de plus rassurant.
En plein milieu de l'après-midi, ils se retrouvèrent au centre ville. La main de Myra nichée au creux de celle de Lewis, la Rebelle respirait cette liberté à plein poumon. En laissant leur instinct les guider dans un endroit éventuellement ouvert un dimanche, ils atterrirent en face d'un bistrot, dont le nom assez kitch laissait présager une situation pour le moins cocasse et inaccoutumée. Lorsque nos jouvenceaux pénétrèrent dans ledit bistrot et passèrent commande (l'espagnole suivit Lewis dans ses choix et opta également pour un whisky), un vieillard les dévisagea. D'une carrure imposante, il ne vit pas d'un très bon œil cet intrusion, celle d'une jeunesse qu'il devait sûrement regretter.
- Azy, qu'est-ce qu'il a le vieux ! Vous devriez pas être en train de jouer à la pétanque ou quoi, au lieu d'embêter d'innocents jeunes gens tels que nous ?
La réplique de Myra, associée à celle de Lewis ne fit qu'accentuer le mécontentement du vieillard. Il les provoqua de front, allant jusqu'à proposer un défi particulièrement spécial à notre buveur national de Whisky : un bras de fer. Si l'espagnole s'était attendue à cela, elle aurait filmé la scène et elle aurait publié la vidéo sur Facebook, y marquant Lewis, d'autant que la défaite fut cuisante. Lorsque le vieillard souleva sa manche, Myra fut estomaquée par la largeur et la musculature de son bras. A n'en pas douter, il devait avoir un passé de militaire ou de marin, inéluctablement. Sa profession d'antan avait dû exiger de lui qu'il entretienne son corps régulièrement, dans l'anticipation d'une situation délicate. Captivée par la scène, Myra fut en effet la seule cheerleader digne de ce nom à encourager son guerrier, qui après avoir terrassé quatre racailles en un rien de temps, se fit, en revanche, vaincre par beaucoup plus expérimenté que lui.
- La poisse… siffla-t-elle entre ses dents en remarquant que le bras de Lewis avait été mis à terre (façon de parler).
A ce rythme là, leur après-midi passée à se saouler comme des pochtrons tomberait à l'eau. Cependant, le vieillard ne se montra pas avare en épreuves toutes plus farfelues les unes que les autres. Voyant poindre la déception sur le visage des deux rejetons, il décida de leur accorder une seconde chance. Conspirant avec ses camarades de vieillesse, il fit amener une bouteille dont l'alcool non identifié suscita la curiosité de notre Ecossais. De prime abord, il parut sûr de lui, convaincu que tous les alcools se valaient finalement, et qu'aucun ne viendrait à bout de son jeune foie. Cependant, sitôt qu'il en eut avalé quelques gouttes, il se rendit rapidement compte que cette boisson n'avait rien d'innocent, et qu'elle faisait partie des alcools les plus forts qu'il puisse exister. Aguardiente que ça s'appelait. En entendant dire qu'il s'agissait d'un alcool espagnol, Myra arqua un sourcil. Il était peut-être temps de se renseigner un peu plus sur les coutumes de son pays. Après avoir renié catégoriquement ses origines à cause de son insupportable mère, elle avait omis d'en apprécier toutes les saveurs, peu importait leur nature, pourvu qu'elles lui apportent du bonheur et du divertissement. Une fois que chacun eut trouvé son compte suite à tous ces évènements, les vieillards ainsi que les jeunes se mélangèrent les uns avec les autres, pour raconter des idioties sans queue ni tête. A peine enivrée avec le verre de whisky que le barman lui avait servi, Myra ne put s'empêcher d'éclater de rire en entendant son acolyte la surnommer Anne Bonny. Cette pirate avait marqué son époque, bien que les récits rapportés sur son compte ne soient pas prouvés à cent pour cent. Néanmoins, être comparée à un personnage aussi intrépide, ne fit que satisfaire l'Ego de Myra. Joyeusement, elle prit part à la fête et à son tour, testa la force et le goût si spécial de l'Aguardiente.
- Oh il fait tout chaud dans mon corps. Jolie sensation, un peu étrange. Ca m'donne envie de hisser les voiles pour aller vers d'autres horizons. Hisséooh matelots ! Haha !
Et elle sautillait, chantait, dansait avec ses compères, s'enivrant comme elle savait si bien le faire, et faisant vivement abstraction de cette frontière entre la réalité et les excès. Pour accompagner nos ivrognes dans leurs délires dominicaux, une musique entraînante débuta, faisant vibrer le corps de l'Espagnole. Quel bonheur de sentir chaque note traverser sa peau, à croire qu'au lieu d'avoir bu, elle avait fumé ou sniffé un bon rail de cocaïne qui l'avait propulsé à des années lumières. Le monde tanguait autour d'elle, mais cela ne fit qu'accroître le plaisir et l'intensité de la chose. Alors que Lewis était occupé à festoyer avec ses nouveaux camarades, Myra s'approcha de lui et le tira par la manche. Pourquoi ne danserait-il pas avec elle sur cet air que bien des gens devaient connaître, mais dont eux seuls pourraient comprendre la sensualité ? Définitivement dépossédée de sa raison, l'unique femme du bistrot se donna en spectacle, pas peu fière de l'effet qu'elle faisait sur ceux qui n'auraient plus l'occasion de charmer des jeunes filles en fleur. Un désir ardent galvanisant son être, Myra finit par attirer Lew contre elle, dans l'intention de l'entraîner dans une valse maladroite, où ils se marcheraient lamentablement sur les pieds, et où leurs haleines alcoolisées aromatiseraient néanmoins leurs baisers, le même que la Rebelle vola à la Racaille, sous l'air subjugué des vieillards.
- Hé ho, *hic* z'êtes pas bien ou quoi ? Allez faire vos trucs de jeuns *hic* ailleurs !
Ah le hoquet ! Le plus grand traître du bourré typique ! |
| | | | Lewis McAlister
♣ Université - 3ème année
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| | Sujet: Re: Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] Mar 8 Fév 2011 - 21:25 | |
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Lorsque Lewis avait surnommé Myra, Anne Bonny, celle-ci avait éclaté de rire. Lewis s'était alors demandé pourquoi celle-ci rigolait(il est un peu con quand il est bourré). Bon il connaissait un peu Anne Bonny. Sinon il aurait pas appellé Myra comme ça...
La jeune femme s'avança vers la table où se trouvait le rouquin et remplit son verre d’Aguardiente. Elle rit un bon coup et dit :
- Oh il fait tout chaud dans mon corps. Jolie sensation, un peu étrange. Ca m'donne envie de hisser les voiles pour aller vers d'autres horizons. Hisséooh matelots ! Haha !
Quelques minutes plus tard, Myra chantait et dansait avec les vieux. Les hommes chantaient un petit air de marin qu’eux seuls connaissaient. La jeune femme se déhanchait au rythme de la musique. Parce qu’on pouvait danser sur ce genre de musiques ? Alors que Lewis était tranquillement en train de boire et à rire tout seul, la jeune Espagnole le tira par la manche.
- Méheuuuuuh. Veux pas partir moi !!! Viens boire avec nous !
La jeune femme le tira de plus en plus et il fut contraint de se lever. Elle se rapprocha de lui et lui fit signe de la suivre dans sa danse. Heiiiiiin ? Elle voulait qu’il danse avec elle ? Heuuuuuuu…..nan…pas qu’il aimait pas danser mais….il avait pas vraiment le temps de s’occuper avec ce genre de choses il y a ça quelques années. La jeune femme s’approcha alors de plus de plus et embrassa le jeune homme. Heiiiin ? Heu…il fallait qu’on lui explique ce geste là. Elle le connaissait à peine(bien qu’il en douta après qu’il lui eut vidé son sac) et celle-ci l’embrassait ?! Ça devait sûrement être la cause de l’alcool. Non pas sûrement. C’était sur. Myra n’aurait pas fait ce geste déplacé. Un petit vieux se leva, s’approcha d’eux et mit sa main sur l’épaule de Lewis en disant :
- Hé ho, *hic* z'êtes pas bien ou quoi ? Allez faire vos trucs de jeuns *hic* ailleurs !
La racaille tourna la tête vers le vieux et dit :
- Quoiiiiiii ! On à pas le droit ?
- C’est pas çaaaaaaa ! Y’a d’autres lieux pour faire ce genre de choses !!!
- Ah ouaiiiiis ? Quels genre de lieux ?
- Les toilettes par exemples…
Les toilettes ? Mais ouiiiii ! Pourquoi n’y avait-t-il pas pensé plus tôt ! Non mais lui quand il était bourré, il était….tellement con.
Le rouquin s’empara d’un verre d’alcool qui traînait sur la table en bois et le bu cul sec. C’était pas du Whisky. Il leva alors les bras en grand.
- Câliiiiiiiiiiin !!!
Il se jeta alors dans les bras de Myra(et tombèrent par terre \o/. Nan ils tombèrent pas).
- Dodo…
Une fois ce mot dit, le jeune homme posa sa tête sur l’épaule de la jeune femme et ferma les yeux.
Un des vieux le frappa sur la tête en disant :
- Réveille-toi, idiot !!!
Lewis ouvrit aussitôt les yeux.
- Hein ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
Il regarda la jeune espagnole dans les yeux.
- T’es qui ? J’te connais pas mais t’es jolie.
Le même petit vieux qui l’avait réveillé poussa les deux jeunes vers les toilettes en disant :
- Bon c’est bon, on a compris ce qu’il s’passait entre vous deux…on va SURTOUT pas vous déranger.
Hein ? Mais il racontait quoi lui ? Mais Lewis il voulait pas aller aux toilettes. Il avait pas d’envie pressante ! Il voulait rester avec les autres à se bourrer la gueule !
Mais comme celui-ci leurs fit signe d’entrer dans les sanitaires, le jeune homme haussa les épaules et obtempéra(soumis /SORS/).
Ils se dirigèrent vers les sanitaires…heu…Myra voulait les toilettes pour hommes ou pour femmes ? Bon aller…au pif…femmes(oui parce qu’il est galant \o/. Je vois pas le rapport Oo). Une fois qu’il eut refermé la porte derrière eux, Lewis se tourna vers la jeune femme et dit :
- Je sais pas pourquoi il nous a demandé d’aller aux toilettes…J’ai pas envie moi.
Une main passa alors par la porte entrouverte, tenant une bouteille d’Aguardiente.
- Tenez les jeunes, c’est pour vous. Cadeau.
La racaille s’empara de la bouteille.
- Merciii ! C’est que pour moi !
- Hého ! Partage avec la demoiselle aussi !
- Si j’veux !
Et la porte se referma.
Lewis ouvrit la bouteille et but une gorgée. Il la tendit alors à Myra en disant :
- Tien t’en veux ?
Une fois que la jeune femme eut but une gorgée, le jeune homme renchérit :
- Peut avoir un bisou ?
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| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] Mar 8 Fév 2011 - 22:15 | |
| Il n'était pas difficile de deviner que l'alcool avait tendance à modifier radicalement la perception d'une personne. Celle de Myra ne fit pas exception à la règle. Tout ce qu'elle percevait autour d'elle semblait être décuplé puissance trois mille, et le baiser fougueux qu'elle avait octroyé à son camarade de jeu fut particulièrement à son goût. Elle ne pouvait pas le nier, bien que la boisson parlait actuellement à sa place, elle n'en restait pas moins maître de ses mouvements. Ce désir qui vous transcende, vous retourne le cœur et vous noue l'estomac, elle l'avait expérimenté des centaines de fois, mais avec une intensité variant selon ses humeurs et son état physique. Là, comme il vous est donné de le constater, elle était tout sauf consciente de ce qu'elle faisait. Elle était ballottée de personne en personne, tandis que le vieillard au passé mystérieux continuait de charrier Lewis, sous prétexte que de telles pratiques étaient inacceptables en public. Titubant dangereusement et continuant de s'accrocher aux vêtements de son compère, l'Espagnole avait tendance à glousser bêtement, sans aucune raison valable, comme si elle était abrutie après l'administration d'une solution médicamenteuse plus que douteuse. Un sourire béat fleurissait sur ses lèvres, tandis que ses joues rougissaient progressivement. La chaleur continuait de monter dans son corps, elle bouillonnait intérieurement, comme un volcan. La comparaison pouvait paraître banale voire stéréotypée, mais il n'y avait pas d'autre mot pour désigner cette explosion de sensations qui agissait en elle et sur elle.
En tout cas, à en juger par son attitude absolument incohérente, Lewis n'était pas mieux loti que Myra. Quand il ne débitait pas des paroles de chansons sans vraiment en comprendre la portée symbolique, il prétextait un grand coup de fatigue pour se lover contre l'espagnole, et l'enlacer férocement comme il fut le cas. Se laissant faire, elle ne dit pas non à cette étreinte brûlante qui l'électrisa littéralement, tandis qu'elle pouvait sentir le souffle de son ami courir sensuellement sur sa peau. Extérieurement, elle paraissait juste bourrée, mais intérieurement, c'était un florilège de sentiments qui se battaient en duel, pour savoir qui aurait la première place, qui dominerait et prendrait le contrôle de la situation. Toujours en osmose avec son camarade de pensionnat, elle se laissa conduire jusqu'aux toilettes, ne comprenant pas vraiment ce qui lui arrivait. Elle avait cru entendre le Vieux dire que ce genre de choses ne pouvait se faire qu'ici, dans un lieu où des odeurs incommodantes s'élevaient parfois. Ce fut tout à fait par hasard qu'on les largua dans les sanitaires pour femmes, actuellement désertés par la populace concernée. La bouche pâteuse et les membres flasques, Myra ne tarda pas à se retrouver dos contre le mur d'un espace exigu, tentant tant bien que mal d'attraper correctement le goulot de cette énième bouteille d'Aguardiente qu'on leur avait fourni pour l'occasion, et dont Lewis lui proposa de boire une gorgée. Lorsque la fameuse proposition fut émise, Myra se mit à observer tour à tour son partenaire ainsi que l'alcool. L'alcool, puis l'Ecossais. S'emparant enfin de la substance enivrante, elle put la laisser s'écouler dans le fond de sa gorge, se perdant ensuite dans les profondeurs de son organisme.
Emportée par le charme de l'instant, elle accueillit la requête de Lewis non sans malice. Un petit sourire discret et énigmatique fendit ses lèvres, laissant entrevoir ses dents légèrement jaunies par la consommation excessive de tabac. Attirant le mâle pour la énième fois, elle s'agrippa à ses épaules et fit courir son souffle d'abord sur ses joues, pour ensuite déposer furtivement ses lèvres à l'extrémité des siennes. A défaut de se précipiter, elle préféra opter pour ces coquineries qui n'engagent à rien, et qui ont pourtant le don de vous stimuler davantage.
- J'sais pas si t'as vraiment été sage pour mériter un bisou Lew' !
En voilà un diminutif trahissant l'affection qu'elle avait pour lui. N'était-ce pas insensé de passer de la simple confidente à une amante d'une après-midi ? Et puis, n'était-ce pas non plus par désespoir et par solitude qu'elle s'adonnait à ces relations sans lendemain ? Quoique rien n'était sûr, car après tant de paroles échangées, elle n'aurait sûrement pas le droit de tirer un trait sur Lewis. Car avant d'être une racaille à la nonchalance déconcertante, et à la puissance latente, il était avant tout un être humain pourvu d'un cœur. Assurément, elle ne le laisserait pas tomber comme d'autres avaient dû le faire. Elle n'en avait pas envie, peu importait ce qui pouvait se passer. De toute façon, ce n'était pas sérieux. Présentement, ils n'étaient que deux gamins un peu trop cons, ils profitaient de la vie, des vices qu'elle leur soumettait, et puis, les sentiments passeraient après. Ce n'était pas comme ça que ça marchait ?
- Et si c'était toi qui m'faisait un bisou pour changer un peu ? Faut pas qu'ce soit toujours les mêmes qui prennent les d'vants t'sais. J'vais pas faire tout l'sale boulot pour toi !
Et elle se mit à rire. De ce rire émanait une profonde stupidité qu'elle regretterait sûrement, pour l'avoir laissé s'échapper délibérément de sa cage spirituelle. Maintenant que le mal s'apprêtait à être fait, ni l'un ni l'autre ne pouvait reculer. Et puis, on ne savait pas encore ce que le futur leur réservait. Mais dans de tels circonstances, et en évaluant le regard langoureux qu'ils posaient l'un sur l'autre, que pouvait-on bien en déduire ? Je me le demande.
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| | | | Lewis McAlister
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| | Sujet: Re: Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] Jeu 10 Fév 2011 - 20:10 | |
| Le fait de boire de l’alcool en abondance a pour conséquences de modifier le caractère et les gestes de la personne qui le boit. Après, cela dépend à quel niveau elle en est. Si elle est bourrée et se rend compte des gestes étranges qu’elle fait, soit elle est bourrée et ne se rend PAS compte de ses gestes et ses paroles. Après viens le degrés de l’alcool. Si l’alcool est en dessous de 40 °, les gestes et paroles seront du premier niveau. Si au contraire, l’alcool est de 50 voir au dessus, là, on pourrait s’inquiéter pour la personne en question. Elle aurait alors des gestes que l’on a pas l’habitude de voir chez la personne. C’était le cas pour Lewis. Après avoir quitté l’Académie en ce dimanche après midi, bras dessus, bras dessous avec une jeune femme forte sympathique, ils s’étaient dirigés vers un endroit ouvert dans la ville. Et cet endroit en question était un bistro composé uniquement de personnes âgées. Ils étaient donc entrés à l’intérieur non sans avoir crées quelques problèmes avec une personne en question. Lewis avait alors été contraint de la battre au bras de fer. Mais le Vieux qui avait la corpulence d’un matelot, l’avait battu en quelques secondes. Il lui avait alors fait un autre pari : celui de boire une bouteille entière d’Aguarmente, un fort alcool espagnol. Au début, la racaille l’avait pris sur la plaisanterie. Mais après avoir bu un petit fond de verre de cet alcool, il avait sentit que ce n’était pas de la rigolade. Pas du tout même. Son visage devint rapidement rouge, son cœur battait la chamade comme s’il avait fait un relais et sa température corporelle avait monté petit à petit. Il n’avait jamais ressentit ça en buvant du Whisky. C’était très rare qu’il devenait bourré avec cet alcool. À peine sa langue était entrée en contact avec les saveurs de l’alcool espagnol, qu’il se sentit soudain…très heureux. Le jeune homme commençait à chanter un petit air de matelot avec les vieux du bistro. Quelques instants plus tard, la racaille avait appelé son amie mais pas par son nom. Par un surnom. De femme pirate. Anne. Une pirate qu’il avait étudié à l’école de Glasgow avant de venir au Japon. La jeune femme avait alors éclaté de rire et s’était dirigée vers la table où se trouvaient le rouquin et quelques uns des petits vieux. À peine avait-elle but une gorgée d’Aguarmente que celle-ci se mît à rire pour un rien et à danser. Elle avait ensuite forcé le jeune homme à se lever de sa chaise et l’avait invité dans une petite danse. Mais le rouquin ne voulait pas. Il voulait continuer à boire. Il s’effondra soudain sur la jeune femme en murmurant une envie de dormir. Il était parfaitement en forme mais avec l’alcool, il ne se rendait pas forcément compte de ses faits et gestes. Avant qu’il ne s’effondre, Myra lui avait volé un baisé. Il n’avait alors pas du tout réagit. Comme si ce geste était parfaitement normal pour lui. Pas que si une jolie fille l’embrassait lorsqu’il n’avait aucune goutte d’alcool dans le sang qu’il allait forcément l’envoyer balader mais…bon il dirait pas non non plus mais…mais rien. Jamais une jolie fille ne l’avait embrassé. Elles avaient bien trop peur de sa force colossale et de son cache œil mystérieux. Bref, à cause de l’alcool, Lewis n’avait pas réagit au baisé de son amie. Lorsque la racaille avait enlacé son amie, comme il aurait enlacé sa petite amie(s’il en avait une XD), celui-ci avait cru qu’elle allait le pousser gentiment(brutalement peut être aussi). Peut être qu’elle n’aimait pas les câlins. Mais elle n’avait pas réagit elle aussi. Soudain, alors que le jeune homme allait rester lové dans les bras de la jeune femme, le Vieux les dirigea vers les toilettes pour femmes, prétextant qu’il ne fallait pas faire ce genre de choses en public. Quoi ? Un câlin c’était interdit ? Y’avait bien des endroits où des couples se faisaient des câlins et tout et tout devant d’autres personnes et ont leurs disaient rien(ça s’appelle des clubs spécial célibat ou couples T.T).
Une main s’était alors dissimulée par la porte entrouverte, tenant une bouteille d’aguarmente. Elle l’avait glissé dans la main du jeune homme, pour ensuite disparaître et refermer la porte. Le rouquin avait alors bu une gorgé. L’alcool fort fit bouillonner son corps. Il avait ensuite tendu la bouteille à la jeune femme et lui avait demandé un bisou. Normalement le mot bisou signifiait dans le langage enfantin, un simple baisé sur la joue. Bisou avait-il un autre contexte dans ce cas là ? Myra regarda le rouquin et la bouteille et l’inverse et s’empara de l’alcool. Elle but une gorgée à son tour. En entendant la requête de son ami, elle sourit, laissant penser aux nombreuses idées qu’elle avait derrière la tête. La jeune femme attira encore une fois le jeune homme vers elle. Mais au lieu de l’embrasser rapidement comme tout à l’heure, sa respiration frôla la joue de la racaille, pour enfin accepter la requête du jeune homme par un baisé. Une fois qu’il fut terminé(il avait été trop court aux yeux de Lewis, et trop…simple), elle sourit, et lui dit qu’il avait pas vraiment été sage pour mériter un baisé. Hein ? Comme ça ? Il avait pas été sage ? Quand ?
Lewis pencha la tête sur le côté sans comprendre et dit :
- Hein ? Comme ça moi pas sage ? Hého ! Cht’ai défendue contre ces quatre lascars tout à l’heure ! J’espère que c’est pas simplement parce que j’ai perdu contre le Vieux ?!…Comment expliquer…ma petite bagarre de tout à l’heure m’a un peu affaibli. Mais sinon je suis sur que je l’aurais battu à plate coutume.
Ouais mais nan. Même s’il aurait été en super forme, il l’aurait pas battu.
La jeune femme lui demanda alors d’échanger rôles. Que c’était à son tour de lui faire un bisou et qu’elle n’allait pas faire tout le boulot à sa place. Comme si ce qui était en train de se passer était un travail. Comme je l’ai dis plus haut, l’alcool change les esprits.
- Ah ouais c’est vrai. Mais ça peut être marrant de se faire soumettre par une femme.
Nan mais lui, il était vraiment en manque…soumis…ah ouais Lewis soumis, ça a l’air super. Vas-y Lewis, fais-toi soumettre par Myra…bon je sors maintenant.
À ses mots, le jeune homme poussa légèrement l’Espagnole contre le mur carrelageux. Il porta une main dans ses cheveux bruns aux reflets bleutés et lui murmura à l’oreille :
- Tu es sur de bien vouloir que ce soit à mon tour ? Les hommes lorsqu’ils ont pas les idées très claires à cause de l’alcool ou d’une quelconque substance illicite consommée, peuvent aller bien plus loin qu’un simple baisé.
Heu…rassure moi Lewis. T’es pas de ceux là j’espère….
Le rouquin sourit à cette parole et approcha lentement ses lèvres de celles de la jeune femme. Il les frôla, faisant attention à ne pas se blesser avec le piercing de l’Espagnole. Une fois le baisé rompu, le jeune homme porta la main aux boutons du gilet de la jeune femme. Au dernier moment, il stoppa net. Il éclata alors de rire.
- Nan mais tu crois que j’allais le faire ? Nannn. Enfin…pas sans te le demander avant.
Redevenant sérieux, il reprit :
- Fais gaffe quand tu dis ça à un mec que tu connais pas. On sait pas ce qu’il pourrait avoir comme idées dans la tête.
Toi par exemple /SOOOORS/
Le rouquin s’empara alors de la bouteille d’alcool et but une petite gorgée. Il la posa alors ensuite sur le sol.
- Peut te faire un autre câlin ?
Genre avec bien la tête du gamin qui demande u n câlin à sa maman. En parlant de mère….il ne la gardait pas vraiment sur le cœur. Celle-ci ne lui donnait aucune preuve d’amour étant enfant. Pas de je t’aime, pas de câlins, rien. Le seul qui remplaçait sa mère était son frère. Lewis aimait bien faire des câlins aux autres. Mais il aurait tellement aimé qu’il en reçoive en retour.
Sans attendre la réaction de la jeune femme, Lewis lui fit un autre câlin en oubliant pas de nicher son visage dans le creux de la poitrine de l’Espagnole.
Il releva alors la tête et reprit :
- Peut avoir un câlin Maman ?
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| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] Mer 2 Mar 2011 - 13:56 | |
| Pendant que les deux tourtereaux se battaient en duel pour savoir qui dominerait qui, les vieillards continuaient de s'enivrer comme des pochtrons, enchaînant les verres qu'ils buvaient cul sec. En tout cas, on ne pouvait pas douter de l'efficacité de leur descente qui, contrairement à l'ensemble de leur corps affaissé par les années, ne faisait pas de vieux os. Leur habileté à déblatérer des idioties à propos des deux jeunes qu'ils venaient d'entraîner dans les toilettes pour femmes ne tarissaient pas, et ils riaient à gorge déployée sans se douter de la suite des évènements. Par moment, l'Homme au passé de marin s'aventurait à retourner sur ses pas pour voir comment la situation se présentait, si il y avait lieu de s'inquiéter ou de continuer de badiner gentiment. A en juger par les bribes de conversation qu'il captait, les jouvenceaux en étaient encore à se demander si tout ceci était bien raisonnable, et s'il était suffisamment sage d'agir de la sorte. Comment pouvaient-ils se poser de telles questions ? Ils avaient toute la vie devant eux, la vieillesse n'avait même pas frappé à leur porte qu'ils se souciaient déjà de la morale. Ne les avait-on pas assez tanné avec cette histoire sans queue ni tête ? L'existence était bien trop courte pour se soumettre à de tels principes, qui ne faisaient que nous gouverner pour nous emprisonner davantage.
Myra peinait à se contenir, surtout lorsqu'elle entendait Lewis supposer que ça ne devait pas être déplaisant de se faire dominer par une personne de son acabit. En effet, pour bon nombre de ses partenaires, l'Espagnole avait dû prendre les devants pour faire durer le plaisir jusqu'à son sommet, s'abandonnant à tout ce qu'elle n'aurait jamais essayé dans un autre contexte. Il est vrai que si elle ne s'était pas défaite de l'emprise maternelle, elle aurait sûrement fini comme sa grande sœur, à élever des bambins qu'elle n'aurait pas vraiment désiré, histoire de faire comme tout le monde, respectant des attentes qui n'étaient pas siennes. A la place de ça, elle avait opté pour une vie un peu bohème, découchant chez l'un puis chez l'autre, sympathisant avec un inconnu, l'appréciant, et finissant par s'unir à lui comme si c'était d'une affligeante banalité. Etrangement, ce n'était pas pareil avec Lewis. Elle n'avait pas spécialement envie que ça aille jusque là, mais elle savait qu'elle le désirait ardemment, et qu'elle ne pourrait pas contenir ses pulsions éternellement. Toutefois, il y avait une retenue chez lui, qui la dissuadait de se laisser aller. Parce qu'après son récit concernant son frère, elle avait saisi qu'il était fragile contrairement à ce qu'il laissait entendre, et son statut de racaille ne faisait que contribuer à la solidification de sa carapace.
L'alcool coulant dans ses veines eut pour effet de lui faire dire des choses parfois insensées, ou bien révélatrices de certaines faiblesses. Tandis que leurs souffles étaient haletants, et qu'ils s'apprêtaient à commettre ce que bon nombre de personnes faisaient lorsqu'elles étaient consentantes, Lewis arbora son air le plus innocent et quémanda un simple câlin à sa partenaire. Dans l'ivresse, Myra fut quelque peu abasourdie par cette proposition qui n'avait rien de sexuel en fin de compte, mais qui symbolisait plutôt une marque d'affection purement maternelle. Malgré le fait que ses idées n'étaient pas très claires, elle se souvint qu'il lui avait expliqué la haine que sa mère avait éprouvé à son encontre. Et elle en vint à se demander si il ne se servait pas de sa rencontre avec Myra, pour trouver un substitut, capable de lui offrir tout ce que sa propre mère n'avait pas su donner. Dans ce cas là, la Rebelle n'avait qu'à avoir honte de ce qu'elle avait ressenti, à savoir un désir purement physique, qui en réalité, n'avait sûrement pas lieu d'être.
Elle sursauta légèrement lorsqu'il enfouit son visage au creux de sa poitrine. Cette dernière n'était pourtant pas spécialement généreuse, bien au contraire. Les formes de l'espagnole étaient dans les normes, en dépit du fait que ses origines provenant d'Andalousie laissaient sous-entendre qu'elle était aussi sulfureuse que son pays. En fait, ayant vécu une bonne partie de sa vie aux Etats-Unis, elle n'avait aucune idée du stéréotype auquel elle pouvait réellement correspondre. Elle s'en fichait pas mal actuellement, car sa principale préoccupation, c'était l'état d'esprit de Lewis. Sans une once d'hésitation, elle lui rendit son câlin, l'enlaçant fortement pour lui prouver qu'elle était là. Lorsqu'il lui demanda une seconde fois si il pouvait bénéficier de toute son affection, elle sourit béatement et recommença, juste pour le conforter dans l'idée qu'elle ne le laisserait pas tomber.
- On devrait peut-être partir d'ici t'sais quoi. On va finir par moisir sinon. Et puis, on risque de prendre cent ans de plus, à trop rester avec ces Vieux qui boivent comme des trous.
Bien décidée à ne pas s'éterniser dans cet endroit sordide, Myra traîna son acolyte à l'extérieur du toilette où ils s'étaient retrouvés coincés. Le premier bémol qui surgit fut qu'après l'ivresse, l'espagnole se sentit étrangement mal. Avec toutes les festivités qui s'étaient ensuivies, elle en avait oublié qu'elle ne tenait pas spécialement bien l'alcool. Ensuite, elle avait besoin de respirer un air frais, ou aucun soupçon d'urine et autres senteurs incommodantes n'accentuerait son mal. Tandis que Lewis restait collé à elle, Myra se traîna tant bien que mal à l'extérieur des toilettes. Là, elle se trouva nez à nez avec le même vieillard qui les avait forcés à se caler dans cet endroit si indécent.
- Ben alors ma p'tite femme ! Z'allez pas vous enfuir comme ça.
- Hé bien si, j'commence à m'sentir mal en fait.
Un léger haut-le-cœur suffit à la convaincre de s'en aller le plus vite possible, avant que le plancher du bar soit redécoré par l'essence de son imprudence. Lewis ne lésinait pas sur sa force physique pour l'inciter à ne pas s'éloigner de lui, à croire qu'il était obsédé par l'idée de faire d'elle sa mère, sa muse, ou un truc dans le genre. Totalement dépassée par les évènements, la Rebelle se montra très passive face aux interpellations des autres pochtrons, qui agitaient leurs bouteilles vivement, approchant leurs goulots des lèvres de la jeune fille.
- Allez bois, ça t'fera du bien ! Ton pote aussi devrait boire.
- Nan s'iou plaît, on n'est plus d'humeur.
Et en effet, Myra n'était plus d'humeur. Je ne vous parlerai pas de son estomac qui se retourna au sens strict du terme, jusqu'à la faire vomir comme une pauvre minable qu'elle était. Sitôt qu'elle parvint à dépasser les portes d'entrée de ce foutu bar, elle se détacha violemment de l'emprise de Lewis, et plongea tête en avant dans la première poubelle qui fut à sa disposition. Les quelques personnes s'étant égarées comme eux dans la ruelle s'écartèrent vivement de cette adolescente, qu'ils qualifièrent tour à tour de dévergondée, d'inconsciente et d'idiote. Définitivement vidée de toute sa folie, elle se laissa glisser contre la façade et posa ses fesses sur le sol.
- Pourquoi est-ce que tu ne t'es pas contenté de me plaquer contre un mur et de me faire grimper au septième ciel hein ? Décidément, 'vec toi, tout est compliqué. Chais pas tu dois être trop cérébral comme mec.
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| | | | Lewis McAlister
♣ Université - 3ème année
Age : 32
137
Multicompte(s) : Elena perez
KMO
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| | Sujet: Re: Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] Jeu 24 Mar 2011 - 22:38 | |
| Alors que Lewis se trouvait en compagnie d’une personne forte sympathique qu’était Myra, celui-ci entendit des bribes de conversations derrière la porte. Des gloussements. Sûrement les vieux qui étaient loin d’avoir fini de se bourrer la gueule. Lorsque la racaille avait demandé un câlin à la jeune femme(ce qui était très très rare chez lui mesdemoiselles), celle-ci mit quelques temps à réagir. Peut être ne voulait-elle pas lui en faire un. Sourire. Puis elle le prit alors dans ses bras. Ah si en fin de compte. Lewis était super content. Oui parce que…c’était la première fois qu’il recevait un câlin de la part d’une personne de sexe opposé et d’une personne ma fois très jolie(pas que les autres filles qu’il avait côtoyé étaient moches…). Une fois que la jeune femme eut terminée le câlin, celle-ci dit :
- On devrait peut-être partir d’ici t’sais quoi. On va finir par moisir sinon. Et puis, on risque de prendre cent ans de plus, à trop rester avec ces Vieux qui boivent comme des trous.
Le rouquin hocha la tête et dit :
- C’est vrai ça ! Veut pas vieillir vite moi et surtout pas moisir. Ouais c’est vrai, ces vieux qui boivent comme des clochards ! Bon j’dis ça mais des fois chui pire !
Myra tira alors la racaille en dehors des toilettes des femmes. À peine avait-elle fait quelques pas, qu’un des vieux les intercepta et lui demanda à elle et à Lewis de rester s’amuser avec eux. Mais la jeune femme n’était pas du même avis. Apparemment elle n’allait pas très bien. Le rouquin le voyait déjà à sa pâleur inhabituelle. Suivit d’un haut le cœur. Ah nan. Elle allait pas dégueuler sur lui hein ! Sur les vioques si elle voulait mais pas sur lui. Lewis retint la jeune femme, l’empêchant de tomber au sol ou qu’elle ne fasse un malaise au choix. Lewis voulait continuer à boire, lui, mais si Myra voulait pas, ils allaient rentrer. Dommage, ils s’amusaient bien…
Les vieux ne s’arrêtèrent pas pour autant. Ils tendaient une bouteille d’alcool devant les yeux de la jeune femme pour la forcer à rester avec eux. Alors que Lewis allait opiner de la tête, Myra répondit qu’ils n’étaient pas d’humeur. Siiiiiiiiheuuuuu. Enfin…Lewis…ouais…on a des doutes.
À peine les deux jeunes jouvenceaux venaient-ils de sortir du bistro que la jeune femme se détacha de l’emprise de la racaille et plongea tête la première dans une poubelle et dégurgita tout ce qu’elle avait dans le ventre c’est-à-dire…rien. Alcool et…c’est tout. Normalement. Lewis fit la grimace.
- Heureusement qu’on est sortit vite. J’ai bien cru que t’allais me dégueuler sur la gueule. J’aurais pas été très content. Sur les vieux j’en aurais rien à faire mais sur moi…nan. L’aurais mal pris.
Lorsque Myra avait commencé à vomir dans la poubelle, des personnes s’étaient retournées vers elle et la montraient du doigt en parlant entre eux. Lewis avait alors tourné la tête vers eux, leurs jetant un regard noir et leurs avaient dit :
- Quoi ! Vous avez jamais quelqu’un rendre son repas ? Nan mais vraiment ! Sales bourges de mes deux !
Pour enfin terminer ses paroles par un doigt d’honneur.
Une fois que Myra eut terminée, elle secoua la tête et s’assit sur le sol. Pour ensuite proférer des paroles qui laissa de marbre le jeune homme. Hein ? Quoi ? Elle lui demandait pourquoi il ne l’avait pas amenée au septième ciel ? Heu…oui oui Lewis comprenait cette phrase mais…qu’est-ce qu’elle venait faire maintenant ? Il était trop cérébral ? Heu…là il comprenait pas trop.
- Scuse mais je comprend pas trop pourquoi tu sors ça maintenant…je vois pas le rapport entre les deux et..t’aurais pu…raaaah ça me gonfle !
Puis, sans prévenir, le jeune homme revint à l’intérieur du bistro. Pour quoi faire ? Se bourrer la gueule bien sur.
Il s’empara de la bouteille que lui tendait l’un des vieux en souriant et bu une grande gorgée d’alcool. Il fallait surtout pas énerver Lewis quand il était bourré parce que sinon celui-ci pouvait se bourrer la gueule jusqu’à ce que son corps ne puisse plus accepter une goutte d’alcool dans le sang.
- Je peux te donner une bouteille gratuite si tu veux.
- Nan !
Regard noir.
Le vieux déglutit nerveusement et repartit à ses occupations. Le rouquin quand à lui, rejoignit Myra.
Lorsqu’il fut devant elle, celui-ci s’accroupit. Il fronça les sourcils. Oulaaa…heu…attention…son côté racaille ressortait.
- Ouais donc. J’ai pas compris ce que tu m’a dis tout à l’heure. Pourquoi je t’aurais pas amenée au septième ciel ou un truc dans le genre…Mais si tu voulais tant le faire…pourquoi tu l’a pas fait toi ? Bon pour te dire…le faire dans les toilettes, c’est pas le top. Tu préfère le faire dans la rue ? C’est pire. Aucune intimité. On a qu’a rentrer à l’académie alors. Et pour le fait que je sois trop…cérébral ?…Excuse moi mais…au collège…j’étais celui qui créait le plus de problèmes…et en cherchait par la même occasion. Personne n’osait s’approcher de moi. J’en ai même envoyé un à l’hôpital tellement il me faisait chier. Alors si tu appelle ça cérébral…
Puis, sans laisser le temps à la jeune femme de contester ses paroles, le rouquin l’embrassa. Langoureusement. Une fois le baisé terminé, la racaille se remit debout et reprit :
- Retire ce que tu viens de dire et c’est bon, on en revient plus dessus.
Lewis sortit alors son portable.
- Attend deux secondes ici, j’appelle un pote pour qu’il vienne nous chercher.
À ces mots, le jeune homme se dirigea vers l’angle d’une ruelle et composa un numéro que lui seul connaissait. Quelques secondes de sonneries puis une voix.
- Ouais c’est moi. Lewis abrutit ! Bon t’es ok en forme ou dans les vapes ? Pourquoi ? Tu peux venir me chercher ? Non ? TU VEUX QUE JE FASSE TA VIE UN ENFER ?! Bon là chui devant un bistro de vioque. S’apelle le bistro des amis ou un truc dans le genre. Bon tu arrive dans genre cinq minutes. Ouais a toute.
Une fois qu’il eut terminé de passer sur ses nerfs sur le pauvre jeune homme qu’il avait eu au téléphone, la racaille rejoignit Myra.
- J’ai appelé un pote pour qu’il vienne nous chercher. Tu nous vois dans notre état rentrer seul ? Normalement il va pas tarder….
Dix/quinze minutes plus tard une espèce d’ancienne voiture décapotable noire apparut. Lewis fronça les sourcils. Au volant de la voiture, un jeune homme aux longs cheveux bruns. Un soit disant pote à la racaille. Celui-ci descendit de la voiture et s’avança tout joyeux vers Lewis.
- Voila chui arrivé !
- …
- Quoi t’es pas content ? Oh c’est qui la jolie fille avec toi ?
- Change pas de sujet idiot ! Je t’ai dis de venir dans cinq minutes. J’peux savoir pourquoi t’a 10 minutes de retard ?
- Heu…heu…
- Nan ok j’ai compris. Toujours entouré de filles comme d’habitude ! Bon tu nous accompagne à l’académie keimoo !
À ses mots, le rouquin prit place sur le siège des passagers en compagnie de Myra.
Alors qu’ils venaient à peine de faire quelques mètres, le jeune homme reprit :
- J’peux savoir c’est qui la fille ?
- T’occupe ! Conduis au lieu de poser des questions !
Ils ne mirent pas longtemps pour arriver à l’académie. Le jeune homme s’arrêta en plein milieu de la rue, ouvrit les portières des passagers et dit en souriant :
- Voici venu votre dernière demeure Monsieur.
- …
- O…ok je me la ferme. Et je pars…
- Tout de suite !
En deux trois mouvements, le jeune homme avait disparu.
Lewis éclata de rire et reprit :
- C’est comme ça qu’il faut parler à ce genre de mecs. Bon rassure toi chui pas comme ça d’habitude. Enfin…ça dépend avec qui.
À ses mots, il s’empara de la main de Myra.
Une fois à l’intérieur de l’académie, les deux jeunes montèrent les étages en direction des dortoirs en gloussant. Arrivés au niveau des chambres, Lewis porta son index à sa bouche en disant :
- Chuuut. Faut se taire. J’crois qu’ils doivent être en train de dormir. J’ai pas envie de me faire éjecter de l’académie et de dormir dans la rue.
Alors qu’il posait sa main sur un des poignées, le rouquin se rendit compte que la porte était déjà ouverte.
- Mais quel idiot laisse sa porte ouverte !
Avec un sourire complice à l’attention de Myra, celui-ci entra dans la chambre.
- Classeuuuuh…ouais bof. En fait c’est une chambre normale.
En effet, il y avait simplement quelques lits, une armoire et…un mini frigo.
Lewis s’avança vers celui-ci et le montra du doigt en disant :
- Cool. J’en ai pas un comme ça dans ma chambre. Voyons ce qu’il y a dedans.
À ses mots, il l’ouvrit. Ouais de l’alcool mais beaucoup moins fort que celui qu’on lui avait donné. De la bière. C’était déjà ça. Mais…vu comment Myra avait réagit tout à l’heure, mieux valait ne pas lui donner un autre alcool.
- Y’a que de la bière mais bon…mieux vaut pas que je t’en donne, j’ai peur que tu recommence à te sentir pas bien.
Il y avait quand même une télé écran plasma aussi dans la pièce. Il y avait aussi une porte dans la pièce. Où pouvait elle mener…
Lewis l’ouvrit et découvrit…une mini salle de bain.
- Cooooooool. Hein ? Normalement…la salle de bain c’est pas dans les couloirs ? Bizarre…Mais cool quand même.
Le rouquin se tourna alors vers Myra et dit en souriant :
-Tu veux prendre une douche pendant que…heu…pendant que…je regarde si y’a quelque chose à manger ?
N’y voyez aucune pensée perverse dans ses propos…enfin…je l’espère. | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] Ven 25 Mar 2011 - 16:49 | |
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| | Sujet: Re: Un verre de Whisky...heu nan d'Aguardiente[Pv Myra] | |
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