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 Montaro Adkins, de strass et paillettes

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AuteurMessage
Montaro Adkins
♠ Lycée - 4ème année - Vice-président Paranormal
Montaro Adkins


Genre : Masculin Vierge Chat Age : 24
Compteur 85
Multicompte(s) : Jun Aoki

KMO
                                   :

Montaro Adkins, de strass et paillettes  Empty
MessageSujet: Montaro Adkins, de strass et paillettes    Montaro Adkins, de strass et paillettes  EmptyLun 25 Juin 2018 - 17:05

CASIER JUDICIAIRE:
|| Adkins Montaro||

Personnage de l’avatar
<Montaro Adkins, de strass et paillettes  Futurm10>

• Genre : Mâle
• Âge, date de naissance : 28 ans (7 septembre 1999)
• Nationalité : Japonaise
• Orientation sexuelle : Aaronophile

• Langue(s) parlée(s) : Japonais, Anglais

• Si Civil : (si non, supprimer les catégories suivantes)
• Métier : Drag-Queen (la nuit)

• Si Professeur ou Personnel : (si non, supprimer les catégories suivantes)
• Poste : professeur de psychologie à l'université (le jour)

• Groupe : Creepies
► Description physique
.

Les années ont passées, et le jeune homme a prit de l’âge. Si on aurait pu penser qu’une bedaine de bière se serait bien installée, c’est avec surprise qu’il est resté assez fin, bien que moins musclé que dans sa jeunesse. Ses cernes se creusaient elles aussi davantage. De plus, dû à sa dernière poussée de croissance, il s’est aminci, et il fait maintenant un bon mètre soixante-dix-neuf.

Mais c’est vers ses 24 ans qu’il reprit le sport -qu’il avait largement délaissé suite à son travail- puis qu’il commença à se maquiller. N’ayant plus aussi peur de ne pas paraître virile, -bien que le monde l’entourant demandait clairement une certaine force masculine pour survivre- ce dernier n’hésitait pas à couvrir son visage de crèmes, d’anticerne, de fond de teint même. Ces produits étant plutôt onéreux, il pouvait désormais se le permettre, grâce à son deuxième boulot.

Et en parlant de ce dernier, c’était un tout autre aspect de Montaro qui s’y reflétait lorsqu’il s’habillait pour s’y rendre. Si dans son quotidien il privilégiait les pantalons noirs assez sobres, ainsi que les chemises à motifs tels que des petits carreaux, des rayures, ou même des choses plus fantaisistes et extravagantes pour le weekend, c’était un tout autre univers mêlant strass et paillettes dans lequel il plongeait. En effet, cet univers requérait un certain maintien physique, ce qui n’accordait pas vraiment sa place à la pilosité, c’était donc imberbe que restait Montaro dans son quotidien. De plus, lors de ses représentations, il arbore fièrement de hauts talons, toujours aiguilles, quelques fois à plateforme, même des cuissardes. Il accumule les futilités que ce soit au niveau des bijoux, des strass, de la quantité excessive de maquillage ou des minijupes et autres robes de divas qu’il possède, il semblerait que cette passion soit un véritable gouffre à argent, mais il s’en moque. Il lui arrive même de porter des lentilles, et c’est sans compter les faux-cils qu’il utilise à chaque fois que Misaki est de sortie.

Montaro se ronge toujours les ongles à l’occasion, mais cela n’a aucune importance puisqu’il en pose régulièrement des faux, toujours dans le cadre de ses prestations. De plus, il s’est mit à fumer, peu après le départ de son premier amour, Aaron, des cigarettes mentholées, comme ce dernier avait l’occasion de faire.

► Description psychologique
.

Toujours accueillant et agréable, Montaro est cependant un peu plus vigilant du à l’atmosphère pesante de la ville. Cependant, lorsqu’il sort en tant que Misaki, il ne se fait plus vraiment de soucis concernant ce qui pourrait lui arriver et prends un malin plaisir à devenir extrêmement extraverti.

Moins modeste qu’avant, il n’hésite pas à s’engouffrer dans des futilités et à se couvrir d’artifices. Sans doute est-ce pour combler le vide et la déchirure que lui a procuré Aaron, garçon qu’il aimait éperdument, en s’éloignant de lui pour s’engager dans la branche politique qu’il souhaitait. Néanmoins Montaro ne lui en veut pas et reste profondément amoureux de lui, et sera toujours prêt à répondre présent dès que ce dernier en éprouverait le besoin.

Aussi plein de désillusions on remarque une certaine tendance à la mélancolie, voir au sarcasme chez le garçon, profondément désespéré suite à ses expériences concernant le futur qu’il s’était promit d’atteindre. En effet, son avenir professionnel constitue un véritable échec selon lui, puisqu’il n’est pas parvenu à aider et soutenir la dureté des cas qu’il a pu observer.

Alors qu’il avait atteint le fond au niveau de son estime, depuis cette fameuse émission et depuis qu’il est devenu Misaki, il s’affirme et se pose beaucoup moins de questions qu’auparavant. Il ose beaucoup plus de choses et en quelques sortes, est un peu moins responsable, plus spontané que lorsqu’il était adolescent. Peut être est-ce sûrement du à toutes les accumulations de responsabilités dans sa jeunesse qui l’ont en quelques sortes privé de cette dernière, qu’il tente de se rattraper à présent.

Toujours superstitieux, il tente de se calmer un peu et de surmonter son anxiété lorsqu’il est témoin d’un geste ou détail susceptible de porter malheur, en grande parti à cause de sa femme qui ne supporte pas vraiment ce domaine qu’elle qualifie comme étant ridiculement puéril.

Toujours très sensible et intériorisant énormément, il a accumulé un taux de stress bien trop conséquent ces dernières années, causant chez lui une dépression avancée, qui s’est atténuée depuis la rencontre avec sa femme Maya, qui lui offre une certaine stabilité, mais il est toujours très irritable et prêt à replonger.

► Mémoires
.

Après trois ans d’études universitaires dans le domaine qui me plaisait tant, je trouvais rapidement du travail, le quartier de Bougu s’étendant de façon un peu plus large sur l’ensemble de la ville, la violence, l’alcoolisme, la dépendance chez les jeunes étaient toutes aux rendez-vous, et mon métier de travailleur social prenait soudainement tout son sens.

Néanmoins, si j’étais tout excité de pouvoir sauver et aider des gens en difficulté, notamment dans ces périodes plutôt sombres, c’est assez rapidement que je déchantais.

L’un de mes premiers cas : violence conjugale. À la vue de ce sang, des bleus de cette femme, de son corps meurtri et de la cruauté de son mari, c’était tout bouleversé que je les quittais, pour vomir deux pas plus loin dans la rue, complétement écœuré par la situation, que je retrouvais bien évidemment par l’après.

C’était donc après avoir enchainer une dizaine de cas, et senti mon âme s’écorcher à chaque horreur témoigné, que je décidais de poser un congés « pour dépression avancée ».

Je n’étais finalement qu’un faible, un minable, un lâche. J’étais incapable de faire ce dont j’avais toujours rêvé, et n’avait absolument aucune idée de ce que je pouvais faire à la place. J’étais inutile. Un véritable déchet sociétal, et c’est vous dire ce qui pouvait en être de mon estime…

Et alors que j’étais au fond du gouffre, que je ne parvenais même plus à payer mes rendez-vous avec le psychologue que je consultais ; je décidais de sortir, comme à mon habitude, dans un bar de mon quartier.

Je dépensais mon crédit dans des boissons alcoolisées, repensant à tout mes problèmes, mes déceptions, quand un homme -ou une femme, difficile à décrire à cet instant-, s’approchait de moi, un immense sourire au bord de ses lèvres, chargées en rouge à lèvre.

En fait, l’intégralité de son look était plus qu’extravagant, et bien que je fus vraiment surpris, voir presque répugné lorsque cette créature m’approcha, je la laissais finalement bien vite me consoler, et il semblait que mon histoire la touchait. C’est ainsi que bien vite, Diamond et moi devinrent amis.

Au fur et à mesure de nos rencontres, un lien profond commençait à se tisser, et c’était tout naturellement qu’elle défaisait mes préjugés. Et un soir… Elle m’invitait chez elle, vers 17 heures, bien avant sa prestation.

Je pénétrais sa demeure, légèrement anxieux mais curieux, découvrant son vrai visage, un visage masculin tout ce qu’il y a de plus banal, mais plutôt charmant tout de même. De son vrai nom Jin, c’était plutôt un garçon simple dans la vie quotidienne, à mon plus grand étonnement. Mais je voyais avec quel plaisir il se transformait pour sortir, et c’était très intrigué que je l’observais faire, touchant timidement deux ou trois accessoires alors qu’il se retournait vers moi, un sourire bien étrange et une lueur que je ne lui connaissais pas s’installant peu à peu dans ses yeux :

« Et si t’essayais ? Juste pour ce soir, allez ! Je vais t’apprendre ! »

Il était tellement excité qu’il ne me laissait pas vraiment le choix, et c’était un peu gêné que je me laissais prendre au jeu. Et c’était ainsi que Misaki fit sa première sortie.

J’étais tellement stressé dans mon quotidien, je baissais toujours le regard en passant dans des ruelles plutôt malfamées, et c’était sous ce masque que j’osais m’affirmer, que soudainement, je ne craignais plus rien, du haut de mes talons de 10 cm minimum, je me sentais plus imposant, plus fort que tout les autres. Et c’était sans compter la grande confiance en moi que ce déguisement pouvait me procurer. Pour changer, je m’amusais, et ça faisait vraiment du bien.

Et alors qu’un soir je faisais mon petit show dans un bar miteux en plein Bougu, toujours accompagné de ma fameuse amie et alliée Diamond, c’était après ma prestation sur une vieille chanson kitch qu’un homme vint me parler. Il était très sérieux, bien habillé, pas vraiment dans l’ambiance du lieu, ce qui lui donnait tout de suite une crédibilité supplémentaire. Il me proposait de candidater pour une émission de téléréalité japonaise nouvelle, mettant en scène des « personnages peu ordinaires » censés s’affronter durant 4 semaines dans des battles lancés par les spectateurs.

Au départ totalement réticent à l’idée de paraître ridicule devant le japon entier, je déclinais son offre poliment, mais il insistait. C’était après une longue conversation et une proposition d’argent plutôt conséquente, du genre qui ferait que je puisse me permettre de me déguiser sans toujours aller emprunter des affaires à Diamond, que je puisse me loger sans enchainer des petits boulots à la chaine, que j’acceptais.

C’était donc ainsi que je participais à cette émission, me couvrant de ridicule quelques fois, mais toujours sous le nom de Misaki, protégeant et abandonnant la pitoyable existence de Montaro Adkins. Dans cette dernière, je fis quelques rencontres, plutôt intéressantes, pour la plupart enrichissantes. Ce fut le grand vide une fois le programme terminé, et je ne passais plus un soir sans errer dans un bar.

Et alors que je n’avais pas pris la peine de me transformer, je fis la rencontre de Maya Yoneyma, avec qui le feeling se fit très vite ressentir. Au bout de quelques semaines, elle m’avouait ses sentiments, et bien que je ne les partageais pas exactement, j’éprouvais pour elle une telle affection que je décidais de sauter sur l’occasion, tentant peut être de me persuader que je pourrais l’oublier.

Sauf qu’il n’en était rien. Plus les mois passés, plus je continuais de l’aimer lui, de le haïr d’être parti, de l’admirer de l’avoir fait. Il me manquait plus que ce que je n’aurais pu penser, et finalement je me rendais compte du vide que représentait ma vie. En fait, je me couvrais d’artifices depuis le départ, incapable d’accepter le manque, me réfugiant dans des addictions diverses telles que l’alcool comme lors de mon adolescence, la cigarette, mais toujours à la menthe, toujours en souvenir d’Aaron, qui semblait réussir sa vie, lui.

Mais voilà que mes 25 ans approchaient, que Maya ne cessait de parler d’enfants, que nos projets devenaient plus murs, que nous avions décidé d’emménager ensemble depuis un an, et qu’elle découvrait ma double identité.

Au départ vraiment surprise, je crus qu’elle allait me quitter, mais il n’en fut rien : elle acceptait et m’encourageait « si c’est ce qui te permet de t’épanouir ». Je la demandais en mariage, persuadé que même si je n’en étais pas amoureux, je ne pourrais pas m’en passer. J’avais besoin de quelqu’un, et c’est peut être triste à dire, ça peut sembler légèrement égoïste, mais c’était la seule qui était prête à tenir ce rôle, à rester toujours à mes côtés. C’était alors qu’elle tombait enceinte, plus heureuse que jamais, ce qui ne pouvait moi aussi, que me combler par conséquent.

Pourtant, je continuais de le voir. Aaron avait bien changé, mais lorsqu’il me retrouvait, il y avait toujours cette fluidité, ce naturel qui qualifiait bien notre relation, et cet amour, immortel. Ça ne durait jamais bien longtemps, et je faisais toujours croire à ma femme que c’était une histoire de représentation. Évidemment, je me sentais sale de lui mentir de cette façon, mais l’amour que j’éprouvais envers Aaron était plus puissant et plus pur que le reste, et c’était le seul qui comptait vraiment. Je l’aimais, tout simplement, il avait peut être changé, mais pas ce que je ressentais.

Concernant ma vie professionnelle, suite à ma rencontre avec Maya, je décidais de postuler dans l’académie Keimoo, celle où j’avais été boursier, qui m’avait accueilli et diplômé. N’ayant pas vraiment de formation dans l’enseignement, j’obtenais tout de même un travail en tant que professeur de psychologie, suite aux études que j’avais pu effectuer. De toute évidence, le prestige de l’académie avait considérablement diminué, et il n’y avait plus vraiment d’espoir dans le domaine. Mon travail me servait juste à combler une salle de paroles vaines, et combler le vide de mes journées. De plus, cela me permettait de récolter de l’argent supplémentaire, -dont je n’avais pas vraiment besoin étant donné la prime du à mon émission ainsi que mon travail nocturne- que j’envoyais à ma famille, toujours cloitrée dans la campagne. Finalement, cet endroit que je rêvais de quitter paraissait bien plus paisible que cette ville où j’avais atterris…
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