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 Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus]

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MessageSujet: Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus]   Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus] EmptyVen 17 Juil 2009 - 19:03

    L’aube dessinait ses formes sur la joue d’albâtre d’une jeune femme aux airs profondément endormis, paisibles. Des cheveux en patraque d’un roux pétant et un corps étalé en diagonale dans un lit où l’on ne pouvait trouver nulle trace de couverture. Normal, elle était par terre, en bouchon. Un geste léger, à peine brusque, trop fluide pour un dimanche matin. Un bâillement simple, la forme se meut, doucement, elle s’étire, félin aux airs gracieux qui occupe l’entière place d’un lit pour deux personnes. Et puis…deux ombres inconnues se faufilent dans l’entrebâillement de la porte. Elles se glissent silencieusement, de chaque côté de la bête endormie, et…

    « Bouuh !
    - Kyaaaaaaaaa ! »

    Ellen s’était enfin réveillée. En sursaut, certes, mais au moins, elle ne mettrait pas trois heures à se lever. Désormais assise, le souffle haletant, le cœur battant trop vite pour ses pauvres côtes fragiles, elle regardait successivement les deux petites filles qui souriaient, malignes, assises à ses pieds (par terre, et non sur le lit), avec un air malicieux sur leurs visages d’albâtre. Leen ne dit rien, se contenta de les observer, tandis qu’un langage complice devenait compréhensible dans le silence qui s’était installé. Elle fit un geste, et les deux fillettes se ruèrent dans le lit, attrapant chacune un coin de la couverture pour la tirer sur elles. Elle les serra contre elle, chacune d’un côté de ses flancs, et toutes trois finirent par s’endormir en cette belle matinée d’été, qui n’allait pas tarder à être gâchée. En effet, plus tard, aux alentours de onze heures, une voix mauvaise les réveilla, tandis qu’une main furetait sur chacun des deux côtés de son ventre. Les deux présences chaudes et rassurantes lui furent enlevées, alors que des doigts s’abattaient violemment sur ses joues. Ellen ouvrit les yeux, se débattit contre sa propre mère qui tentait vainement de la frapper. Celle-ci lui criait qu’elle était une honte, surtout pour avoir défié les règles : elle n’avait pas le droit d’approcher ses sœurs, surtout lorsqu’elle décidait de passer un week-end dans la maison familiale. Le silence, désormais plus lourd. Elles étaient parties, laissant l’adolescente et sa marque rouge sur la joue. Elle était vexée, mais habituée à cette situation. Elle se redressa dans son lit, attrapa doucement un ruban que sa sœur Stephie avait laissé derrière elle. Il fallait bien qu’elle s’y fasse.

    * Quelques heures plus tard *

    A peine le début de l’après midi commencée, Ellen furetait déjà dans ses affaires pour préparer un sac afin de se rendre directement à Keimoo : l’académie n’étant pas trop loin de la maison temporaire des avocats Shizen. Munie de vêtements simples dans les tons gris et marron, qui se réduisaient à un short et un T-shirt légèrement trop grand, ainsi que d’une écharpe léguée lors d’un incident en boîte de nuit, de vieilles converses accompagné de guêtres brunes et abimées. Ses cheveux avaient été simplement brossés à la main, attachés en deux couettes inégales, des mèches se battant en duel sur son front. Elle descendit les escaliers tel un éléphant, histoire de signaler sa présence : cela ne servit à rien, sa mère avait déjà quitté les lieux en compagnie de ses sœurs, histoire d’afficher un peu plus la distance qu’il y avait entres elles. Elle soupira, se dirigea dans la cuisine où son père sirotait un café en lisant le journal : vestiges d’une vie française. D’ailleurs, leur conversation ne fut pas en japonais mais dans cette langue raffinée. Car son père s’était levé pour venir l’embrasser sur le front.

    « Comment vas-tu ma chérie ? Ah…Je suis désolé pour ça. (Il toucha du bout du doigt la joue encore rougie de l’adolescente).

    Mais il n’eut pas le temps de lui en dire plus, car déjà la jeune fille était dehors, dans un vent matinal peu accueillant pour cette journée d’été qui s’annonçait mauvaise. Serrant sa peluche contre son ventre, elle ramena la lanière de son sac sur son épaule et se mit à avancer rapidement jusque dans la rue adjacente. Là, elle bifurqua plusieurs fois histoire d’arriver à Keimoo mais par le chemin le plus long, car elle n’avait pas tellement hâte de se rendre à l’académie. Enfin les grandes portes furent devant elle : elle les poussa non sans discrétion. Apparemment, sa mauvaise humeur matinale pouvait se lire sur son visage et également sur ses bruits d’animal lourd et sauvage. C’était ça s’appeler Ellen Shizen : accepter la maladresse dans les coups durs… Les couloirs furent très vite l’objet de son investigation. En réalité, elle ne cherchait pas à se rendre dans un endroit prédéfini, elle désirait simplement marcher, s’approprier les lieux, et découvrir pourquoi pas des pièces qu’elle n’avait encore jamais vues. Car pour une pseudo nouvelle élève, même si Ellen bougeait beaucoup, ses petites promenades solitaires ne servaient à rien car elle oubliait généralement les lieux qui avaient trouvé place dans sa mémoire de poisson rouge.

    Mais le lieu sur lequel elle tomba n’était pas vraiment celui sur lequel elle aurait aimé tomber. Bien au contraire, c’était cette pièce là qu’elle aurait aimé éviter, voir ne jamais rencontrer de toute sa vie scolaire à l’académie. Figée devant une porte ouverte, Ellen déglutit doucement. Elle fit un pas en avant, chercha le mur pour se retenir. Le choc des souvenirs était assez rude. Il y avait dans sa tête du sang, des cris, des hurlements, de la cohue, une odeur âcre de médicaments, une main qui s’afférait inutilement sur sa cheville oh combien douloureuse… ! Mais qu’importaient les souvenirs, la jeune fille s’avançait déjà dans la salle. Une salle de danse, parfaite, belle. Des miroirs qui chevauchaient le mur, des barres qui n’attendaient plus que les ballerines apprenties de l’école. Elle était déjà au milieu de la salle, le souffle haletant, ses yeux d’azur allant de ci de là, furetant, curieux, comme une seconde découverte. Elle était une gamine ébahie, impressionnée…Alors que ce décor lui était tellement familier ! Hésitante, Ellen posa sa peluche et son sac près d’elle, tandis qu’elle s’approchait d’une barre. En caressant le bois du bout des doigts, elle frémit, se mit en position…Et se recula brusquement. Observant son reflet dans le miroir, elle secoua la tête et fit très vite demi-tour, ramassant ses affaires. Il fallait qu’elle parte d’ici…



Dernière édition par Ellen Shizen le Lun 19 Oct 2009 - 13:38, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus]   Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus] EmptyJeu 30 Juil 2009 - 13:45

Plus que quelques jours avant de repartir ''chez soi''. Hum hum. C'est difficile de prendre pour mainson un endroit où l'on a passé que quelques heures. Voilà les premières pensées d'Haruko le matin, une sorte de speudo-déprime. Un de ces jours où on le sens perdu. Voila quelques mois déjà que l'américaine vit au Japon, quelques moi qu'elle dort, mange, et travail dans cet établissement. Autant dire qu'elle le prenait plus pour sa maison que l'embassade. Ici, elle avait des rencontres plutôt intérressantes et avait beaucoup changeait. Mais ça elle ne le déplorait pas encore. en effet la jeune fille c'était adoucit. Où était passée la petite terreur de la cour de récré. Va savoir ! Dans la tête d'Haru, c'était le brouillard et dans sa poitrine, la tempête. Comme-ci, elle ne voulait pas repartir de ce lieu, se serait- elle attachée à ce point? C'est un de ses matin où tout vous las et par paradoxe rien ne vous intérresse. Un de ses matin où il vaut mieux ne pas se lever.

La jeune fille eut un léger sursaut de claire voyance, voyons ! Il fallait se ressaisir. Quand ce genre de matin pointait à l'horizon, L'élève ne connaissait qu'un seul remède : faire tout ce qui lui plaît pour s'occuper l'esprit et guerrir ce mal étranger qui empoisonnait son âme. Elle n'a pas changé au point de se transformer en guimauve quand même. Après s'être aprêtter pour passer la journée Haruko était partie dans l'établissement pour mettre ses projets à execution. Il était vrai que depuis son arrivé, l'adolescente avait travaillé d'arrache pied pour ne pas se faire trop remarqué pendant l'année scolaire, délaissant toutes ses activités de prédilection. La brunette ne tarda pas à arrivait dons son "temple" : La bibliothèque. Ah! Combien de temps passé à dévorer toute la lecture qu'elle pouvait ingurgiter. Rien qu'en passant l'entrée, Haru ne put s'empêcher de sourire. Elle passa des heures à boire les écritures de ses auteurs préférés, réflechir sur les bouquins de spycologie, son thème de prédilection ainsi que rêver aux receuils de poême. Après ces quelques heures, l'inconditionelle lectrice se remis en quête d'autre livre . En fouillant les étagères. Elle tomba sur une chose assez intérressante. Elle ne put s'empêcher de sourire à la vue de ce petit facicule de danse classique. La couverture montrait une petite fille en ''première''. Ah la danse classique, le premier amour d'Haruko. Quand elle était petite, son rêve était de devenir danseuse étoile... Mais le destin en avait décidé autrement! Depuis la jeune fille avait étudier bien des danses sans trouver celle qui égalerait la danse classique. D'ailleur, voilà longtemps qu'elle n'avait pas danser.


Après avoir fait un détour par sa chambre pour prendre des affaires adaptées pour danser, la voilà en route vers la salle de danse la joie au coeur. Fini la déprime du matin ! Elle se dirigeait là-bas presque en sautillant telle une petite fille. Pleins de souvenirs lui remontait à cet instant. Avant d'entrer dans la salle, elle alla se changer dans les vestiaires. L'époques du tutu rose était révolu pour Haru. Elle avait choisi une tenu plus sobre. Un juste-au-corps noir un des collant blanc sans oublier les ballerines. La danseuse se dépêcha pour ne pas être vu avant d'être dans la salle de danse. Elle allait si vite qu'elle n'eut pas le temps, une fois arrivée dans la salle, d'éviter l'impact avec une jeune personne alerte. Le choc la fit un peu dérailler. Elle mis du temps avant de reprendre toutes ses capacités en main et ce n'était pas la peine car en observant qui l'avait bousculer. Un éclair de surprise s'empara d'elle. D'habitude, Haruko réagissait pas comme ça, mais en face d'elle se tenait une jeune fille qui forçait le respect.

- Miss Shizen !
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MessageSujet: Re: Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus]   Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus] EmptyLun 3 Aoû 2009 - 13:48


    Alors qu’elle était dans sa vaine tentative de fuite, Ellen ne vit pas la jeune demoiselle qui entrait au même moment qu’elle sortait. Ce fut un choc assez violent, d’autant plus que sa future interlocutrice faisait bien une tête de plus qu’elle. Leen tomba à la renverse, fesse contre terre, et éleva ses yeux d’azur sur la personne qu’elle avait malencontreusement bousculé. Tout en se relevant, elle récupéra sa peluche qu’elle serra contre son ventre, ramena la sangle de son sac sur son épaule, et observa la demoiselle qui venait, à l’instant, de l’appeler par son nom de famille, accompagné d’un adjectif peu commun : du moins personne ne l’avait appelée miss depuis des années ! En fait, depuis l’année où elle avait eu un accident, et que sa carrière de danseuse avait été ruinée par des muscles et tendons déchirés. La jeune fille frémit, dévisagea sans rien dire cette élève qui, apparemment, l’avait suivie dans sa carrière. Ce qui n’était pas une bonne chose d’après elle : à sa connaissance, seuls les français et américains pouvaient se souvenir de ce qu’elle avait fait. En revanche, au Japon, elle n’avait été connue que par le biais d’un article éphémère. Ce n’était probablement pas possible que ce soit ça, elles devaient s’êtres déjà vues quelque part.

    « Est-ce que nous…nous connaissons ? »

    Hésitante dans sa question, elle esquissa un vague sourire intimidé, se demandant réellement si elle pouvait être connue ici, à Keimoo, académie prestigieuse où elle était une petite bourge parmi tant d’autres. A vrai dire, si c’était le cas, elle tenait fermement à nier son existence passée. La demoiselle l’observait avec une insistance déconcertante, amenant dans la salle une atmosphère de gêne : surtout pour Ellen qui, de ses yeux bleus essayait de fuir les miroirs et les barres de la salle aux airs sadiques et dramatiques, ne lui rappelant que trop ce qu’il s’était passé, ce jour-là. Ce jour où elle avait exécuté un mouvement trop brusque et moins fluide que d’ordinaire, parce que la fatigue avait neutralisé ses muscles. Ce jour où son tendon avait émis un craquement révulsant et où elle avait sentit que tout son poids pesait sur son pieds, où elle avait eu la nette et terrible impression que sa cheville se scindait en deux. Ce jour où ses genoux avaient touché le sol devant un public affolé, parce qu’elle hurlait tout ce que ses poumons pouvaient cracher en air. Ce jour où son père l’avait soulevée dans ses bras et qu’elle s’était évanouie tant la douleur était inhabituelle et forte. Ellen secoua la tête vivement, ses doigts s’étaient crispés sur sa peluche.

    « Je ne pense pas être la seule Shizen ici, tu sais ce nom est assez commun. Je ne me souviens pas t’avoir vue quelque part, à moins de s’êtres croisées ? »

    Elle mentait, cela se voyait dans ses yeux et son air stressé. De plus, elle savait pertinemment qu’aucun autre Shizen de sa famille n’avait foulé le sol de Keimoo, et que personne ne prendrait sa suite dans cette académie. Elle était la seule à étudier ici, pour des raisons familiale. Le nom Shizen n’était répandu qu’aux alentours de Tokyo où vivait la plupart de sa famille, ainsi qu’en France, aux Etats-Unis et en Allemagne, et tout ceux qui étaient encore étudiants préféraient les écoles occidentales à celles, typiques du Japon. Il n’y avait aucun doute, donc, pour que cette demoiselle ne ce soit pas trompée quant à son identité, et que cela venait probablement de l’extérieur…car, définitivement, son visage ne lui disait vraiment rien. En outre, une jeune fille de cette grandeur ne pouvait, dans l’esprit de la petite Ellen, être oubliée aussi facilement.


    « Je pense que tu te trompe de personne, désolée. »

    Elle esquissa un sourire qui complétait ce mensonge, et tenta de passer outre la demoiselle. Ce fut à ce moment-là qu’elle se rendit compte qu’elle avait fait tomber la clef de sa chambre. Lorsqu’elle se retourna, celle-ci était sagement posée au sol, et avait du fuir de sa poche dans l’intention probable de se suicider vainement. Leen soupira, se dirigea vers l’objet qu’elle ramassa du bout du doigt. Alors son regard croisa son reflet, immaculé. Son imagination était telle qu’elle se cru voir bouger, tendre les jambes. Avant d’être soigneusement habillée d’habits rosâtres et lui allant à merveille, tombant sur ses hanches et mettant en valeur sa minceur de danseuse. Il y avait désormais une mélodie, fine et douce, qui accompagna alors les mouvements du reflet comme si soudainement, celui-ci avait décidé d’exorciser l’esprit de l’être réel qu’était Ellen Shizen. Seulement la réaction de la jeune fille fut instantanée, elle se détourna, se dirigea hâtivement vers la porte où demeurait encore la demoiselle.

    « Excuse moi, mais j’ai à faire dans ma chambre. Si tu veux bien m’excuser… »

    Ce qu’elle n’avait pas vu, c’était que dans sa hâte, elle avait laissé sa clef derrière elle.


[HRPG : Désolée du rp' minable u_u']
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MessageSujet: Re: Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus]   Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus] EmptyMar 18 Aoû 2009 - 14:15

« Excuse moi, mais j’ai à faire dans ma chambre. Si tu veux bien m’excuser… »

La mine alerte, sourire géné. Tout indiquait que ceci était un mensonge, telle une star soucieuse de son anonyma la jeune fille niait, mais une fille comme Ellen Chizen, il n'en existait pas 310 ! Surtout dans cet établisement...
Haruko avait déjà vu l'ex danseuse en représentation. C'était en quelques sortes son ego, son exemple. Celle qu'elle devait atteindre pour faire une carrière dans la danse classique, son premier grand amour selon ses prorpes mots. Son talent la faisait rêver, elle qui avait vu son corps se développer, tuant ainsi ses possibiliées dans le milieu à tout jamais. Le petit songe provoqua comme d'habitude un pincement dans la poitrine de l'élève. Quand elle revint à la réalité, la fugueuse était déjà prête à partir. Un peu barsoudi par ses paroles Haru laissa ballader son regard à traver la pièce comme pour situer le lieu où elle était. C'est ainsi qu' un objet métallique attira son intention. La clef de la chambre. Que faire ? Des moyens s'offraient à la brunette : le premier était de faire avouer la véritable identité de cette Miss Shizen, le deuxième était de simplement lui faire remarquer l'oubli de la cléf et la laissait partir. Mais c'était une trop belle occation...


- Cela va être dur sans la clef de la chambre, tu ne penses pas ?

Une phrase vaine histoire de fréner speudo-inconnu dans sa course. Avec un certain en train l'américaine atteignit l'objet et le brandit triomphalement en direction de la danseuse.

- En effet tu ne me connais pas, mais il est dur pour une fille comme moi de ne pas reconnaître Ellen Shizen, Ex danseuse, mannequin et photographe en herbe. Je connais un peu ton parcours et j'ai osuvent vu ta tête. Même si maintenant ça doit faire quelques années !!

Et comme ci de rien était, la demoiselle Lewis alla à petits pas au milieu de la pièce, entre les mirroirs et la barre. Rien que de se tenir ici, Haruko sentait une émotion ressemblant à la joie en plus intense envahir son corps. Peut être que d'un point de vue extérieur, cela ressemblait plus à de la provocation ? Il fallait vite corriger ça, Haru ne voulait pas manquer de respect à cette fille.

- J'éspère que ce n'est pas moi qui te fais fuir. La pièce est assez grande pour deux amateurs de danse classique. Enfin quand je dis amateur pour toi, ce n'est pas valable.
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MessageSujet: Re: Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus]   Mauvais souvenirs... [Pv Haruko] [Hiatus] Empty

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