₪ Académie Keimoo ₪

In a decade, will you be there ?
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

 

 Ahora que la mierda ya me llega hasta los ojos [Jun Aoki]

Aller en bas 
AuteurMessage
Jun Aoki
♠ Lycée - Quatrième année
Jun Aoki


Genre : Féminin Bélier Dragon Age : 24
Adresse : chambre 02, rez-de-chaussée
Compteur 163
Multicompte(s) : Montaro Adkins

KMO
                                   :

Ahora que la mierda ya me llega hasta los ojos [Jun Aoki] Empty
MessageSujet: Ahora que la mierda ya me llega hasta los ojos [Jun Aoki]   Ahora que la mierda ya me llega hasta los ojos [Jun Aoki] EmptyDim 17 Juin 2018 - 4:32

CASIER JUDICIAIRE:
|| Aoki  Jun||

Personnage de l’avatar
<Ahora que la mierda ya me llega hasta los ojos [Jun Aoki] Futurj10>

• Genre : ♀
• Âge, date de naissance : 18 avril 2000 (28 ans)
• Nationalité : Japonaise
• Orientation sexuelle : Bi

• Langue(s) parlée(s) : Japonais (langue natale), Espagnol (Excellent), Anglais (Bien)

• Si Civil : (si non, supprimer les catégories suivantes)
• Métier : Police (Gardienne de la paix)

• Groupe :  Rebelles
► Description physique
.

Si Jun étant adolescente paraissait toujours plus vieille que la réalité, à son plus grand bonheur, notamment concernant sa consommation d’alcool; en prenant de l’âge, on pourait continuer à lui attribuer quelques années de plus, sans pour autant la vieillir de trop. Elle est en effet restée assez jolie, bien que toujours très attachée à ses artifices : ses cheveux sont toujours blancs, quoiqu’il lui est arrivé de les teindre en un blond polaire; ses yeux en amandes accueillent toujours aussi souvent des lentilles bleus clairs, mais ces dernières ne sont plus indispensable à la belle. En effet, si auparavant, elle ne sortait et ne se montrait jamais sans, cela s’est atténué avec les années. Il lui arrive même de sortir démaquillée histoire de laisser un peu sa peau respirer, qui, dû à sa forte consommation de tabac, a vieillit un peu plus vite que ce qu’elle n’aurait souhaité.

Son corps est toujours aussi svelte et voluptueux, mais ses cheveux ont été coupé, ce qui fait qu’on lui donne facilement trente ans. De plus, elle a légèrement maigri, certainement est-ce du à son augmentation de tabac ou aux nombreux entrainements physiques qu’elle endure, notamment dans le cadre de son travail. Son style vestimentaire reste bien plus sobre que dans sa jeunesse, mais elle n’hésite pas à rester assez sexy, veillant tout de même à être classe, du moins, lorsqu’elle n’est pas en uniforme.

Sa démarche s’est arrangée avec le temps, elle est plus posée, plus féminine, et Jun est toujours aussi confiante dans ses gestes, mais légèrement plus douce qu’auparavant.

► Description psychologique
.

Si dix ans ont passé, Jun est globalement restée la même, si ce n’est que certains aspects de son caractère se sont atténués, voir amplifiés. Toujours très curieuse et taquine, elle n’a toujours pas de tact lorsqu’il s’agit d’exprimer le fond de ses pensées. Très sarcastique comme auparavant, elle est toujours aussi irritable et prête à vous adresser son fameux petit sourire mesquin si vous décidez de la piquer.

Néanmoins, elle fait preuve de sang-froid dans une majorité de situations, son métier l’y obligeant quelques peu. Moins violente que lorsqu’elle était adolescente, elle est toujours capable de vous humilier, cependant, extrêmement sensible et touchée par l'univers ambiant, c'est avec une légère amertume et une profonde colère qu'elle contribuera à la décadence keimoosienne.

Toujours charmante, il lui arrive de se révéler quelques peu aguicheuse, mais seulement par intérêt, et elle n’ira jamais jusqu’au bout de ce qu’elle amorce, puisque totalement éprise de son compagnon, avec qui elle est désormais mariée. Très fidèle et entière, elle en fait sa priorité puisqu’il l’a énormément aidé à panser ses plaies, notamment dans sa jeunesse concernant le suicide de son amie Valeska, dans lequel elle s’attribuait le rôle de meurtrière.

Si désormais ces ressentiments sont révolus et qu’elle y pense l’âme légèrement mélancolique, elle a tout de même des tendances dépressives passagères, et assez intenses. Elle se réfugie énormément dans l’alcool, le tabac, voir le cannabis, qui est devenus très facile d’accès, mais qu’elle cache à son amant puisqu’elle dit être « parfaitement en contrôle » : elle n’y touche que quand ça ne va pas -mais ne peut s'en empêcher lorsque c'est le cas...

Un peu moins provocante et contradictoire, elle reste tout de même très têtue et ne fera que ce qui lui semble être correct, se mettant quelques fois en péril, ne pensant pas toujours aux conséquences. Bien moins irréfléchie que dans sa jeunesse cependant, en vue des conditions de vie plus que difficiles, elle accorde un intérêt primordial à protéger son entourage.

► Mémoires
.

Étais-ce un miracle? Après une dernière année académique pleine de rebondissements, toujours aux côtés de Loan, qui peu à peu, devenait de plus en plus important, comme s’il ne l’était pas déjà suffisamment, j’eus mon diplôme. N’ayant évidemment aucune idée de ce que j’aurais pu en faire, je décidais de m’arrêter là. À quoi bon continuer les études puisque de toutes évidences, je savais que ce n’était pas pour moi? Mes notes catastrophiques au cours de ma scolarité ne faisaient que le prouver. Il me fallait une vie active, quelque chose de grand, de spécial, qui me fasse vivre et qui m’anime plus qu’une heure avachis sur un pupitre au fond d’une salle de classe.

C’était ainsi que je commençais, même pas majeure, à travailler dans un petit bar de Bougu, où je me rendais plutôt souvent, le patron me faisant toujours les yeux doux. Il était vraiment content quand j’ai commencé à travailler, un peu moins quand je refusais ses avances, et que j’envoyais chier les clients qui me voyaient comme un objet à longueur de journée.

De plus, suite à mes nombreux refus, le patron, Kosei, se fit de plus en plus désagréable, et commençait vraiment à m’insupporter. Ne tolérant aucune autorité, c’était bien vite que je décidais de démissionner, et me retrouvais à la rue, ne pouvant définitivement plus collaborer au sein de ma colocation.

Je retournais donc vivre auprès de Kimi, qui bien que nos rapports se soient extrêmement atténués suite à toutes ces histoires en Espagne, devint très vite une amie sur qui je pouvais me tournais, pleurer, suite à mes nombreux petits boulots que j’enchainais. Finalement, cette mère que je repoussais, qui passait son temps à m’engueuler renouait peu à peu avec moi, et je me retrouvais assez en sa personne finalement, et m’en voulais presque d’avoir été autant odieuse avec cette femme que j’admirais à présent.

Peu à peu, j’apprenais à devenir adulte, et c’était de manière bien différente que je quittais le foyer familial à nouveau, pour rejoindre Loan cette fois, qui semblait terriblement avoir besoin d’aide.
Impuissante, je voulais l’aider, mais il n’en faisait qu’à sa tête, et arrêtait ses études quand je les reprenais.

Je décidais, dans une ironie cruelle, de m’engager dans la police, et suivait ainsi, suite à trois ans d’études en criminologie, une formation pour devenir gardien de la paix. J’avais d’une part cruellement besoin de renouveau, et à la fois de sécurité, de stabilité, notamment quand je voyais ce que devenait mon partenaire. En fait, quand je voyais ce que ma ville natale devenait, je n’aspirais plus qu’à une chose : sauver ce qui pouvait l’être, espérant secrètement un miracle pour balayer l’enfer quotidien.

Si pour le moment, je restais gardien de la paix, mon ambition était plus grande, et elle consistait à intégrer la brigade criminelle, ressentant un puissant besoin de me rendre utile, d’atténuer la détresse qui ne cessait plus de m’environner.

À mes 25 ans, je décidais de me marier avec mon partenaire, prenant peu à peu conscience de la difficulté de la situation dans laquelle il s’était embarqué. Même si j’étais contre, de part mon métier et ma conscience, les activités qu’il faisait, je restais silencieuse, tentant toujours de le protéger, mais toujours plongée dans une inquiétude qui ne faisait qu’augmenter mon stress et mes moments dépressifs.

Mon quotidien n’aidant pas, je voyais bien que tout s’effondrait autour de moi, à commencer par mes coéquipiers qui se laissaient corrompre à tout va. Peut être n’étais-je pas vraiment différente, à fermer les yeux sur les activités de Loan, à laisser s’échapper quelques jeunes délinquants que je prenais en pitié, les faisant simplement promettre de ne pas recommencer.

En fait, j’étais faible, et dans un monde aussi chaotique et destructeur que celui dans lequel je vivais, je ne pouvais que me déchirer. Elle était bien loin cette idylle d’une vie meilleure à l’étranger, du parfait bonheur conjugal, de la réussite professionnelle, de la reconnaissance citoyenne.

Alors c’est ça… devenir adulte?
Revenir en haut Aller en bas
https://keimoo.forumactif.com/t10934-jun-aoki-en-charge-mei https://keimoo.forumactif.com/t10951-65325oshi-65325oshi https://keimoo.forumactif.com/t10937-livret-scolaire-jun-aoki
 
Ahora que la mierda ya me llega hasta los ojos [Jun Aoki]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Jun Aoki
» [+18] Hasta el alma rota (Loan)
» Jun Aoki [en charge : Mei]
» Erreur d'un soir [PV : Jun Aoki]
» Le meilleur pâtissier [PV Jun Aoki][Terminé]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
₪ Académie Keimoo ₪ :: ₪ Event ₪ :: ► See you in ten years :: Présentation-
Sauter vers: