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 « Un… joyeux non-anniversaire ! » « A qui ? » « A vous ! » « A moi ?! »

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AuteurMessage
Wunjo Ivanov
♦ Civil - Dealer - Bookmaker
Wunjo Ivanov


Lion Tigre Age : 37
Compteur 644

KMO
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MessageSujet: « Un… joyeux non-anniversaire ! » « A qui ? » « A vous ! » « A moi ?! »   « Un… joyeux non-anniversaire ! » « A qui ? » « A vous ! » « A moi ?! » EmptyMar 10 Nov 2009 - 0:35


    (Ceci est un poste inutile
    Parce que...
                        1) J'avais envie d'écrire :) (et j'ai plus de rp à faire là^^)
                        2) On est le 10 aujourd'hui, c'est le faux anniversaire de Wun, bravo loupiot, tu as 20 ans aujourd'hui ;) )


    Les journées étaient affreusement monotones. Blessé, Wun avait était assigné à résidence. Et on lui avait ENCORE coupé les vivres. Partant du principe qu’il avait un logement –Keimoo- et de la nourriture –la cantine, payée pour l’année, il n’avait pas besoin d’argent. Naturellement, il s’était fait sérieusement sonné les cloches pour avoir mis sa vie en danger, qui plus est pour autre chose qu’une mission donnée par l’organisation. Faux sur toute la ligne.

    Il n’avait pas revu Ellen. Inno avait disparu de la circulation. Son meilleur ami –et seule personne au courrant de sa vie d’espion à l’école- était aux abonnés absent. Son animal de compagnie aussi avait déserté les couloirs. Sans parler de son associé, lui aussi était un fantôme. A croire que la terre entière avait décidé de la laisser s’ennuyer et dépérir dans son coin. Non, pas les groupies. Mais elles, il s’en passerait très largement.

    D’autant plus qu’elles l’avaient harcelé de question. Comment tu t’es fait cette blessure au ventre ? C’est quiiii ? Pauvre Wuuuun ! Tu as maaaal ? Ca vaaaa ? Tu peux marcheeer ? tu veux de l’aide ?
    Il avait du inventer une histoire idiote. Il s’était fait agressé par une bande de voyous dans la rue qui l’avait attaqué au ventre au couteau. Ben voyons. Lui qui était très doué en art martial et avait toujours une arme sur lui, logique. L’histoire était passée, et les groupies, efficaces, comme toujours, avaient fait passer le message à qui voulaient bien l’entendre. Si bien que de temps à autre, des gens à qui il n’avait jamais adressé la parole venaient lui demander si ça allait bien, et si les voyous avaient été arrêtés. Parfois, il faisait une drôle de tronche. Le temps que l’info remonte au cerveau. Ah oui. L’anecdote…

    Aujourd’hui, 10 novembre. Journée banale. Wun avait décidé qu’elle le resterait. Il allait prétexter une douleur lancinante pour ne pas aller en cours, s’échouer dans un canapé ou un transat, lire ou dormir, se vider l’esprit. Être seul, parce que les groupies seraient en cours. Un instant de bonheur et de calme, enfin !

    L’ovni blond atterrit dans la salle commune qui, comme il l’espérait, était vide. Formidable. Il balaya la pièce du regard, se demandant quel serait son lieu de repos, quand son regard tomba sur la table. Un gateau. Des bougies, des cadeaux amoncelés. Des cartes. Qu’est-ce que c’était encore que cette blague. Plus par curiosité qu’autre chose, il s’approcha, les sourcils froncés. Son regard amusé se mua rapidement en une lueur d’incompréhension : bon sang ! Qu’est-ce que fichait son prénom marqué avec des petites étoiles en sucre sur le gateau ? Et sur les cartes ?

    Il s’empara de la carte la plus grande de toute et l’ouvrit pour en avoir le cœur net. Erreur, grave erreur : une musique stridente ressemblant vaguement à la chanson « joyeux anniversaire » retentit. Carte musicale, damned ! Il la referma en toute hâte et s’empara d’une autre, qui lui semblait plus…rustique et normale, afin d’en avoir le cœur net. Une écriture arrondie. Exagérément arrondie. Ca lui en donnait presque le tournis.

    Inutile de retranscrire là les mots dégoulinant de niaiseries que contenait la carte. Les cartes.  Certaines faisaient exception. Wun en trouva des plus sobres, des drôles, des ironiques, des je m’en foutistes. Mais une majorité de mièvrerie. Le tout, dans l’unique et noble but de lui souhaiter…son anniversaire.

    Wun eut un rictus. Ce genre d’attention aurait pu le toucher si : 1) Elles venaient de gens auxquels il tenait ou, à défaut, pour lesquels il avait un minimum de considération, 2) Il n’avait pas oublié, depuis le temps, l’intérêt de fêter un anniversaire, 3) son anniversaire n’avait pas eu lieu il y a de cela 3 mois. En plus, tout un chacun s‘attendrissait sur ses 20 ans tout frais. Bel age qu’on disait. Dommage que le garçon en ait en fait 23. Un nombre qui fait déjà bien moins rêver…

    Tout ça pour dire que ce genre de témoignages le laissait de marbre. Pire, ça l’irritait. Et ce n’était que la face émergée de l’iceberg. Le soir, quand les groupies n’auraient plus cours, il aurait surement droit au reste : les cris, les embrassades, la fête peut être. Dommage, il n’avait qu’une envie : du calme. A la limite, il voulait bien voir Ellen, Inno, Edward. Les deux premiers ne lui souhaiteraient pas son anniversaire à cause de leurs relations…spéciales disons. Edward ne le ferait pas parce qu’il connaissait la vraie date. Avec Ellen, il pourrait parler et mettre les choses à plat : c’était toujours plus constructif que fêter un faux anniversaire. Avec Inno, il pourrait passer ses nerfs, et inutile de préciser que là, c’était chose TRES nécessaire. Avec Edward… pas de justification. Il était normal d’avoir envie de voir son meilleur ami.

    Et Akim…
    Le garçon revint soudainement à la mémoire de Wun. C’est qu’avec toute cette agitation, le garçon n’occupait plus trop ses pensées. Le retour brusque de l’Egyptien au royaume des pensées de Wun le renfrogna d’avantage : son absence devenait parfois insoutenable. Particulièrement ces jours où on a la désagréable sensation qu’on est seul même quand on est entouré. Bon, me direz vous, là, Wun n’était pas entouré du tout. Mais ça ne changeait rien du tout. Seul dans son transat ou entouré d’abrutis, c’était du pareil au même. Avec le bruit en plus dans le second cas.

    Le garçon balaya les cartes de la table. Cette vision l’agaçait. Au moins, par terre, elles faisaient office de tapis. Il attrapa une étoile en sucre sur la gateau, et commença à jouer avec du bout des doigts. Il se prenait trop la tête, au fond. Un faux anniversaire n’est jamais rien qu’un non-anniversaire, une banalité quotidienne qu’il lui suffisait d’ignorer.
    Il se dirigea vers le canapé, s’y installa confortablement, l’étoile roulant sur ses phallanges.

    L’ironie du sort voulait tout de même qu’autant de midinettes se mobilisent pour un non-évènement, et que le jour de son véritable anniversaire, il n’y avait que quelques clampins pour se souvenir qu’il s’agissait d’un jour spécial.

    « La rançon de la pseudo-popularité » souffla Wun du bout des lèvres. Et hop, la pastille sucrée en forme d’étoile atterrit sur sa langue.

    Aujourd’hui, tout le monde croit que j’ai eu 20 ans. Je les ai eus il y a 3 ans. VDM


Dernière édition par Wunjo 'Dan' Ebels le Jeu 20 Juin 2013 - 18:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Un… joyeux non-anniversaire ! » « A qui ? » « A vous ! » « A moi ?! »   « Un… joyeux non-anniversaire ! » « A qui ? » « A vous ! » « A moi ?! » EmptyVen 13 Nov 2009 - 2:43






La nuit était en train de s'effacer et le jour en train de se lever. Assit au centre de la salle d'informatique, Lun avait noué sa chevelure en un chignon asiatique. Habillé d'un vieux tricot beige et d'un blue-jean déchiré, il rendait triste mine. Seulement, le visage du garçon se reflétant grâce à l'ordinateur sur ses genoux laissait transparaître la jeunesse. Certes, le jeune Marv paraissait dix ans de plus avec assez de facilité. L'éphèbe en avait bien conscience. On ne lui jamais ses papiers en boîte de nuit et lors des contrôles dans les bars, il était rarement dans les adolescents appréhendés.

Est-ce que je meurs, ou est-ce mon anniversaire ?
Astor.


L'apprenti journaliste laissait ses mains naviguer sur son système télématique à une vitesse choquante même pour les plus initiés. Répondant à ses amis hacker en même temps qu'il infiltrait sans grande difficulté le système du gouvernement japonais. Le chapeau gris surnommé prince se mit à lire les fichiers de l'état qui annonçait une augmentation de l'activité de la mafia du côté de l'académie Keimoo.
Enregistrant ce fichier dans une disquette à part, Lun referma ses dossiers. Rapidement, il se remit à taper afin d'entrer dans le computer de la police et plus précisément dans l'ordinateur d'un commandant.

Lun lu quelques procès-verbaux avant de copier&coller toutes les activités et registres des trois derniers jours. Il les envoya sur un de ses disques durs et retourna parler avec ses camarades pirates, leur demandant s'ils avaient retrouvé le système de la mafia japonaise.
Une réponse négative d'ensemble. Beaucoup y retravaillaient, mais aucun n'avait de piste potable. Depuis la dernière tentative pour rentre dans le système, ce dernier avait changé d'endroit et il n'était plus localisable. Lun avait confiance, il parviendrait à remettre la main dessus. Seulement, il avait bien d'autres soucis avant ça.
Recevant une nouvelle commande afin d'en apprendre plus sur une élève de l'académie, Lun répondit à tous ses mails sur une autre adresse. Celle-ci servait pour l'académie Keimoo dans le recel de photographies volées.Répondant aux demandes d'une dizaine de fanatiques assez dingues, Lun leur envoya des photographies d'Elisa, de Setsumi, de Wunjo et de lui-même. Il se faisait passer pour une fille. Terminant, il se rendit sur le site qui permettait de demander des photos, rentrant les nouvelles commandes afin d'augmenter ou de baisser le prix des populaires.
Puis il alla sur le compte de banque de la demoiselle retirant une grande partie de l'argent pour l'envoyer dans une banque étrangère en Espagne. Sur ce compte-là, il devisa en deux l'argent. Envoyant une partie à la Bourse et une autre dans un compte en banque fictif à Hawaï.

Une seconde, Lun Marv demeura silencieux. Il rouvrit le dossier des photographies pour ouvrir le dossier de Wunjo. Regardant son camarade, Lun eu un sourire gouailleur dirigé vers lui-même. Il serait foncièrement déçu si un jour, il rencontrait vraiment ce type-là. Il s'était tant imaginé un type bien que foncièrement ce serait un grand blanc.
Éteignant l'ordinateur pour le ranger dans son sac, Lun soupira satisfait. Il balaya du regard la salle déserte. Son cheval de Troie était installé dans tous les ordinateurs de la salle d'informatique. Il serait rapidement tout ce qui se passait dans ses petits ordinateurs.

Même les plus cons ont leur jour de gloire : leur anniversaire.
Cavanna.

Le jeune homme s'aventura dans les couloirs. Quelques minutes plus tard, il rentra dans une chambre universitaire pour s'excuser d'avoir laissé ses enfants à garder chez sa nourrice toute la nuit. Puis, il s'endormit dans le lit de sa camarade qui ne tarda pas à le rejoindre dans le lit : bien qu'un autre soit libre, amie à ses heures, mais jamais amante. L'amitié peut être parfois une valeur sacrée, surtout chez ce genre de fille qui tombe amoureux comme on tombe d'une chaise.

Lorsque le matin pointa véritablement le bout de son nez, Lun annonça qu'il n'irait pas en cours vu qu'il n'était couché que depuis deux heures, sa camarade lui laissa entre les mains une lettre. Dessus, se trouvait un mot pour le russe le plus célèbre de l'académie. Elle donna aussi à Lun une boîte de chocolat avant de se retourner pour qu'il lui attache son soutien-gorge.

« Entre populaire, vous vous connaissez ! Donne-lui cette carte pour moi, veux-tu bien ?

- Je le connais pas. » Protesta un peu trop vivement Lun, avec véracité. La nourrice des enfants de Lun se retourna en souriant avant d'enfiler une robe criarde d'un orange Halloween. « Fais-moi plaisir, Lun. » Supplia-t-elle de ses yeux de chats, filant près du miroir pour se maquiller.
« Je n'ai pas envie ! » Râla le jeune homme tout en terminant d'habiller ses enfants, et ne mettant lui-même le jean de la veille et un pull rouge vif.
Son ami se mit à chanter, s'asseyant sur les genoux de Lun afin de lui mettre un peu de rouge sur les lèvres et un trait quasiment invisible de noirs aux yeux.
« Est-ce bien la peine ? » Maugréa Lun, effacement avec sa main le maquillage sur ses lèvres.
« Cesse de rouspéter. » Se mit à rire son amie, avant de l'embrasser sur les lèvres, y laissant une trace plus rouge encore.

Lun se redressa. Malheureusement, elle n'en avait pas finit avec lui. S'amusant avec ses cheveux, elle se mit à les tresser à la manière indienne. « Parce que ça te rend adorable. »
« Pas besoin d'être mignon. »

Une heure plus tard, Lun reçu un appel téléphonique de son tuteur. Il voulait les enfants pour les emmener faire les boutiques en oncle cadeau. Lun promit de lui apporter dans la matinée. Il le fit assez tardivement, suivant son tuteur dans les boutiques pendant quelques temps avant de s'excuser et de protester qu'il devait aller en cours. Au lieu de cours, Lun en profita surtout pour prendre un peu de pause.

Tout en marchant dans les couloirs, le garçon faisait tourner entre ses doigts, la carte de son amie. Elle avait écrit dessus : « Ivanova, je sais qu'on ne se connait pas. Tu dois être agacé de toutes ses fans qui t'écrivent. Sans doute, que ce mot n'aura jamais le même effet que produira un mot de ta famille ou de tes amis. Pourtant j'ose le faire, car je ne peux m'empêcher de penser à toi. Tu mes hantes comme un marchand de rêves, je pense à toi.
Je suis un peu folle de t'aimer.
Un peu folle d'espérer.
Au moins aurais-je tenté.
Bon anniversaire, Wun.
Akita Mamiyoto »

Nul besoin de le dire que Lun avait cédé et soufflé la plupart du mot à sa camarade. Il se sentait d'autant plus concerné par le problème. S'il se moquait d'elle, il se moquerait de lui un peu.

Lui allait la donner ou il n'allait pas la donner, telle était la question ? Fallait-il ou non le faire ? S'il disait l'avoir fait, elle n'irait pas vérifier. S'il le faisait, il passerait pour un con.

Perdu dans ses pensées, Lun s'aventura dans la salle commune des étudiants. Il fut alors surprit de n'y trouver personne, puis de voir un gâteau sur la table. Enfin, de voir le jeune homme à qu'il pensait être là.

« Wun ... » laissa échapper le jeune homme de ses lèvres rosées.

L'apprenti journaliste ne se rendit pas en direction du russe. Il se baissa pour regarder les cartes tombées sur le sol. Son doigt jouant à tirer l'une d'entre elle de l'enveloppe pour lire des niaiseries presque amusantes tant elles étaient mielleuses. Aucune pudeur.

L'adolescent se redressa, se rendant face à son compagnon. Lun posa sur la table la boîte en chocolat et la carte de son amie.

« Encore une qui tombera par terre. »
Murmura le garçon en souriant délicieusement. « lis-la tout de même. C'est court, et puis … Elle l'a écrit avec soin. Elle serait déçue que tu n'y jettes pas un regard. Quant aux chocolats, elle a passé sa journée d'hier à les faire. Si tu n'en voulais pas, offre-les à … qui tu veux. »

Le populaire anglais repoussa une mèche indienne de devant son front, regardant au travers de la fenêtre les étudiants qui commençaient à sortir. Signe que dans les minutes la sonnerie indiquerait la fin des cours.
Certainement qu'alors des gens rentreraient ici. Lun sourit doucement tendit un paquet cadeau, entouré d'un papier argenté, choix tricherie honteuse que son auteur préférait éviter d'exploser et surtout achat de dernières minutes dans le magasin où il achetait les vêtements de ses enfants. Lun n'aurait jamais su que le russe aurait eu vingt ans, soit la majorité aujourd'hui, si on ne lui avait pas dit.

Il lui donnait plus. Peut-être parce qu'à lui-même, on donnait plus.
Maladroitement à cause de la situation qui l'embarrassait, Lun manqua de faire tomber l'objet et le posa vivement sur la table.

« C'est le mien. »
Chuchota Lun encore plus piètrement. Dans le petit paquet un ours en peluche avec un roman de nombreuses pages. Lun avait appris, comme tout le monde, que le jeune homme était blessé.
Il pensait que la lecture lui ferait peut-être passer le temps. Lui, il n'aimerait pas être contraint de rester dans le coin. Il était septique, face au coup de couteau. Lun avait vu assez de blessures pour savoir qu'en général les bandages coup de couteau n'avaient pas l'aspect qu'on lui avait décrit. Néanmoins, il savait aussi qu'il avait tendance à voir le mal part.

Un sourire doux. Lun ouvrit les lèvres pour parler, mais la porte d'entrée claqua.

Il se rapprocha lentement de Wun, effleurant presque ses lèvres. Quoique pas tout à fait, avant de sursauter. Un groupe d'étudiants rappliquèrent dans la pièce, des filles parmi eux. En voyant Wun, elles s'approchèrent joyeusement, criant un joyeux anniversaire.

Lun disparu en même temps, abandonnant là l'ours et le livre, disparaissant sans doute. Ce qui n'était pas si grave, il n'était qu'un parmi les autres à souhaiter ce non-anniversaire. Encore que ... Il n'avait pas eu le temps de le dire.

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