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 Miya Chanteclair - V2

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2 participants
AuteurMessage
Miya Chanteclair
▼ Civil - Fleuriste
▼ Civil - Fleuriste
Miya Chanteclair


Genre : Féminin Taureau Singe Age : 31
Compteur 741
Multicompte(s) : Chaque chose en son temps, mon petit chou. ♥

KMO
                                   :

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MessageSujet: Miya Chanteclair - V2   Miya Chanteclair - V2 EmptyMar 28 Juin 2016 - 19:42


           
DOSSIER DU CITOYEN
   
   || Chanteclair  Miya ||
     



     • Sexe: ♀
     • Âge, date et lieu de naissance : 24 ans - 12 mai 1992 - Kyoto
     • Nationalité : Franco-japonaise
     • Orientation sexuelle : Héterosexuelle

     • Etat civil : Célibataire
     • Langue(s) parlée(s): Français, Japonais, Anglais (pas hyper bien mais elle s'en sort !)
     • Profession:  Fleuriste
     • Manager d'un Club : La grande question est de savoir si elle peut garder la présidence du club d'Ikebana & de Jardinage étant donné qu'elle adore ça !
     
► Description physique


     • Apparence, expressions, allure, gestuelle :

La jeune métisse mesure toujours son mètre soixante-douze et le porte avec fierté. Naturellement fine, elle a gagné ce côté élancé grâce au sport qu’elle pratique désormais régulièrement. Tenant à porter le cheveu assez court, elle le garde pour l’instant en carré plongeant au niveau des épaules, aimant l’encadrement que cette coiffure procure à son visage. Originellement blonde, elle se teint désormais les cheveux en brun, pour se rapprocher du côté japonais de sa naissance et mieux s’intégrer dans ce pays qu’elle a adopté comme étant le sien. La seule couleur dénotant reste celle de ses yeux puisque ses prunelles gardant leur vert tirant sur l’émeraude, qu’elle ne peut pas se résoudre à abandonner pour porter des lentilles. Pour le reste, elle n’a pas vraiment changé d’un point de vue physique : hormis son gain de muscle (on gagne des abdos et des muscles plus dessinés), elle reste ce qu’elle a toujours été, avec sa constitution fine, se retrouvant aussi bien sur son visage – notamment son nez – que sur ses mains, rappelant étrangement celles de poupées.

Mains qui ont souffert de leur habituelle manucure impeccable, puisque le fait de travailler manuellement au quotidien lui a fait abandonner cette manie qu’elle avait de toujours être parfaite des cuticules. Même si elle continue de les soigner, c’est à moindre frais, et ses mains se sont creusées de légères ridules sous l’effort manuel pratiqué de manière journalière.

Une nouveauté importante reste le fait qu’elle se maquille nettement moins qu’auparavant, laissant sa peau et ses lèvres nues de toute coloration. Le mascara reste l’indémodable, avec, parfois, un peu d’eye-liner si l’envie lui en prend.

De la même manière, sa gestuelle a beaucoup évolué, en ce qu’elle est nettement moins expressive d’un point de vue corporel. Elle avait tendance à beaucoup bouger, elle est finalement beaucoup plus « figée ». Ses mains ne s’agitent que lorsqu’elle y trouve un intérêt, et son visage arbore beaucoup moins d’expressions faciales qu’auparavant. La prédominante reste la mélancolie, mêlée à un peu de tristesse. Sinon, la neutralité est sa meilleure amie. Si vous voulez la voir sourire, vous aurez le plus de chance d’observer ce phénomène – s’étant raréfié – lorsqu’elle travaille, puisque les fleurs et l’Ikebana sont désormais une réelle passion. En revanche, rien ne change question allure, puisqu’elle met toujours un point d’honneur à se tenir bien droite, ses mains souvent liées telle qu’elle l’a appris lors de son enseignement nippon des bonnes manières. Sa voix a également changé, en ce qu’elle tire plus sur le grave qu’auparavant, et est nettement moins appuyée.

Pour finir, Miya s'est offert le luxe d'un tatouage, représentant deux petites carpes koï nageant ensemble, sur son poignet gauche. Il déborde sur environ un tiers de son avant-bras.

     • Tenues vestimentaires :

D’un point de vue vestimentaire, on constate également un changement chez Miya. Bien qu’elle apprécie toujours autant les tenues mettant sa féminité en valeur, elle s’est beaucoup calmée sur le prix et la variété de sa garde-robe. Les robes et jupes ont également dû faire place aux pantalons, qu’ils soient à pince ou de sport. Qui aurait cru un jour voir une robe cocktail côtoyer un survêtement  dans son placard ?

Les couleurs, en revanche, sont toujours aussi variées, et elle apprécie autant porter du sombre que du clair. On notera toutefois que les couleurs vives se sont grandement estompées de ses placards. Elle privilégie beaucoup plus les pastels. De la même manière, les indémodables talons ont vu leur nombre diminuer, pour laisser place à des sandales plates, ainsi que des baskets, ou, parfois, des Doc si l’envie lui en prend.

Enfin, les bijoux ont quasiment disparu de son quotidien, puisqu’elle a tenu à s’en débarrasser, autant pour s’aider financièrement que pour éponger des cicatrices émotionnelles. Son seul plaisir reste un fin bracelet en or, agrémenté de trois petites perles rosées, qu’elle porte de temps à autre, puisqu’il s’agit d’un des rares cadeaux inutiles qu’elle s’est fait au sortir de l’hôpital.

     
► Description psychologique


     • Mentalité, attitude envers autrui, philosophie personnelle:

La Miya exubérante et flamboyante a beaucoup disparu, pour faire place à une jeune femme beaucoup plus calme et effacée. Sa gestuelle et son caractère allant de pair, on remarque chez la métisse une certaine mélancolie la berçant quasiment au quotidien, laissant un parfum légèrement amer sur son passage.

S’étant énormément tournée vers les fleurs, elle y consacre facilement 90% de son temps. Elle s’ouvre finalement essentiellement lorsqu’elle est seule et compose de nouveaux bouquets, prend soin des plantes en pot qu’elle vend et/ou possède, et il n’est pas rare, si vous arrivez à la surprendre dans ces situations, de la voir avec un léger sourire aux lèvres ou une mélodie qu’elle chantonne du bout des lèvres.

De manière générale, ses deux ruptures consécutives, ainsi que la cessation de tout contact avec sa famille a eu un énorme impact sur la jeune femme, qui s’est nettement assombri. Son appareil photo prend quelque peu la poussière sur l’une de ses étagères, et son dernier cliché remonte à loin. Elle a également arrêté le yoga, ne trouvant plus, en ce sport, la paix intérieure qu’il était censé lui procurer. A l’inverse, elle passe désormais énormément du peu de temps libre qu’il lui reste, en-dehors de son travail, à la salle de sport, où elle pratique le kick-boxing avec assiduité. C’est, en fin de compte, l’un des seuls exutoires qui l’aident, progressivement, à se sentir et à aller mieux.

Ne fréquentant plus beaucoup du monde qu’elle a connu à l’université, elle oscille entre son petit appartement, orné de plantes et de fleurs dans toutes les pièces, où elle dort énormément, et le parc municipal où elle aime s’asseoir pour observer le monde alentour, cherchant à trouver si elle a sa place dans tout ce petit monde qui défile et l’entoure. Son refuge favori reste le jardin de l’université, qu’elle cherche toutefois à fréquenter au maximum en-dehors des heures de « pointe », afin d’en profiter dans le calme et en toute sérénité.

Miya est également beaucoup versée dans la musique, et, pour apaiser ce tourbillon d’émotions qui l’habitent régulièrement, elle se baigne dans la musique classique pour laquelle elle s’est découvert un amour inconditionnel. Si l’occasion lui est donnée, elle compte apprendre à jouer du piano, appréciant particulièrement sa sonorité qui a le don de calmer ses nerfs.

Nerfs que vous aurez l’occasion de voir à vif si vous ne venez qu’à prononcer le nom « d’Ethan » ou de « Cameron », ne s’étant pas encore pleinement remise – voire pas du tout. Très prompte à pleurer, elle risque de s’isoler pour calmer le début d’une crise d’angoisse qui sera montée sans y être invitée si vous insistez ; pouvant parfois la plonger, par la suite, dans un état de léthargie pouvant durer plusieurs heures, la laissant prostrée sur son lit, sans bouger.

     • Signes particuliers, manies, obsessions, phobies (etc.) :

Miya passe beaucoup – vraiment beaucoup – de temps à dormir, au point que c’en est devenu un mécanisme de self-défense. Si elle se sent agressée ou oppressée, elle compensera en s’enfermant chez elle pour dormir, parfois jusqu’à 17h de suite. Ce qui, bien sûr, influe en mal sur son commerce. Autant dire que sa chambre à coucher contient quatre réveils afin de s'assurer un réveil et continuer une vie qu'elle espère meilleure avec l'avenir

Un des tics étant apparus chez elle au vu de sa situation actuelle est celui de pianoter dans la paume des mains de ses ongles lorsqu’elle est vraiment contrariée.  N’étant pas une grande fan des balles anti-stress, elle se contente de fermer les yeux et de prétendre que ses doigts sont sur un clavier de piano. Jouant une mélodie qu’elle apprécie, elle se détendra assez rapidement pour peu que personne ne cherche à intervenir.

Niveau obsession, il est certainement possible d’affirmer que Miya l’est par les fleurs, puisqu’elle les bichonne comme si sa vie en dépendait. Certaines finissent vieille fille/folle aux chats, elle, ce sera maniaque de jardinage qu’elle sera. Sans conteste.

     
► Mémoires


    • Histoire :

Si l’on doit reprendre depuis le début, Miya est née à Kyoto un 12 mai, en  1992, d’un père français et d’une mère japonaise. Elle a grandi en France les quinze premières années de sa vie, élevée comme une enfant de la haute société française. Essentiellement isolée, elle n’a connu que deux amis dans ses jeunes jours, avec qui tout contact a été rapidement coupé, ses parents n’appréciant guère l’influence néfaste qu’ils pouvaient (ou pourraient) avoir sur leur fille, n’étant pas issus de la même caste, et donc, n’ayant pas les mêmes manières.

Une fois sa quinzième année révolue, Miya est envoyée au Japon pour y découvrir cet autre pan de son héritage et apprendre l’étiquette à la japonaise. N’ayant jamais mis les pieds dans une école, puisqu’ayant toujours bénéficié de cours particuliers au sein de sa maison, elle découvre les joies d’un lycée privé pour enfants aisés qu’elle quitte rapidement, s’étant faite à sa solitude et appréciant moyennement le caractère superficiel des personnes côtoyant l’établissement. Son seul contact social se fera pour les activités extra-scolaires, puisque, malgré son apprentissage des valeurs nipponnes, Miya continue de vivre à l’occidentale et sort souvent pour faire du shopping, prendre des cours de danse et monter à cheval.

Ce n’est que lorsqu’elle finit son lycée qu’elle doit se battre contre la volonté de ses parents de la rapatrier en France pour y parfaire son éducation. La jeune femme ayant découvert sa passion pour la photographie et le journalisme n’entend pas quitter un pays qu’elle s’est prise à apprécier, et obtient un compromis : intégrer l’Académie Keimoo, dont les cursus universitaires sont extrêmement réputés, et obtenir des scores parfaits si elle veut rester au Japon et poursuivre sa « passion égoïste ». Sur place, elle y retrouve Ethan Matthews, jeune homme américain qu’elle connait de l’enfance, puisque leurs familles étaient et sont encore régulièrement en affaires.

S’ouvrant au monde, elle finit par faire tomber le masque de la jeune femme hautaine et superficielle pour découvrir les joies de la vie universitaire et des relations sociales constructives. Pour contre-attaquer une potentielle prise d’indépendance, ses parents prévoient ses fiançailles avec le jeune Matthews. A deux, ils s’évertuent à annuler cette mascarade, jusqu’à se retrouver finalement au pied du mur et devoir sauter le pas. Pas qu’ils sautent avec un certain plaisir puisque leurs sentiments ont fini par s’aiguiser… La vie suit doucement son cours et un mariage est prévu, jusqu’à ce qu’Ethan rompe pour se tourner vers la gent masculine, laissant la jeune femme à la dérive totale, Miya ayant, entre-temps, coupé tout contact avec sa famille pour s’offrir le luxe de vivre sa vie comme elle l’entend et sans se la faire dicter.

Vendant sa maison, elle déménage courtement chez des camarades universitaires avant de trouver refuge chez Cameron Donovan, ami et ancien amant, qui lui offre de l’héberger. Nourrie, logée et blanchie, elle reprend doucement le cours de sa vie, ébranlée. Abandonnant son cursus de journalisme, elle décide de s’axer uniquement sur la photographie et tenter de percer dans le milieu professionnel. Après plusieurs mois de colocation, la relation entre les deux jeunes gens finit également par évoluer, offrant un réconfort à Miya qu’elle ne pensait plus possible d’obtenir. Sans être officiellement en couple, elle profite toutefois d’une relation amoureuse lui permettant de redresser la barre et reprendre du poil de la bête. C’est, toutefois, non sans compter la disparition subite de son nouvel amour, celui-ci n’ayant laissé aucune trace de son passage après une violente dispute avec sa petite sœur.

Brisée psychologiquement par cet enchainement de circonstances ayant poussé la capacité d’encaissement de ses nerfs à leur paroxysme, Miya tombe en dépression et finit hospitalisée pour refus de s’alimenter, dépression nerveuse aigue et tendances suicidaires. Elle y reste près de 8 mois, surveillée de près par le personnel qui compte bien remettre la métisse sur pieds. Ce qu’ils parviennent à accomplir, puisque Miya sort de l’hôpital sur pieds, malgré des séquelles psychologiques sur lesquelles elle devra compter encore quelques temps. Se rendant désormais hebdomadairement chez un psychologue, elle tente de doucement remonter la pente, se refusant à abandonner une vie d’indépendance qu’elle a si chèrement gagnée.

Décidant d’abandonner définitivement les études, elle range son appareil photo au placard et entame une formation pour devenir fleuriste. Elle est actuellement employée en alternance, mais compte bien s’acheter un petit fonds de commerce avec l’argent de sa vente de maison et monter sa propre boutique de fleurs. Affaire à suivre…

     • Relations proches et familiales : (qui vous a élevé / avec qui vous vivez, etc.)

Miya vit actuellement seule dans un petit appartement. Elle n’a plus du tout de contact avec le peu de famille qu’elle possédait, à savoir son père et sa mère :

• Son père, Jean-Baptiste, est Français. Il a su se faire un nom dans l’import-export de marchandises et possède une filiale dans l’hôtellerie. Il est très à cheval sur sa haute condition et a cessé toute communication avec sa fille lorsqu’elle lui a fait savoir qu’elle comptait réellement devenir journaliste et cesser de suivre ses directives.

• Sa mère, Ichigo, est Japonaise. Apparemment issue d’une lignée japonaise noble, elle a été très heureuse de se marier à Jean-Baptiste, sa fortune venant redorer le blason terni de ses ascendants. Très à cheval sur l’étiquette et partageant les vues de son mari concernant sa haute condition, elle s’est toujours montrée très stricte à l’égard de Miya et n’a pas supporté sa « trahison », lui tournant définitivement le dos pour renier sa fille.

Miya a également un demi-frère français répondant au prénom de Thibault. De deux ans son ainé, il est issu d’un premier lit officieux de leur père, qui ne l’a d’ailleurs pas déclaré. Ils ne se connaissent pas.




     

   

           
CARTE DU MEMBRE
   
   ||  Pseudo ||
   



   • Âge: 23 ans
   • Localité (facultatif): France
   • Etudes ou profession (facultatif): Etudes, encore et toujours !
   • Comment as-tu découvert Keimoo: J'y suis depuis un petit moment. ♥

   • Ton niveau de fréquence: Autant que possible.
   • Remarques, suggestions: Vous m'aviez manqué !
   • Souhaites-tu un parrain ? Je pense pouvoir m'en sortir sans... :)
   • Aimes-tu les chats ? Vuiiii ♥
   
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Naoko Tanaka
▼ Université - 3ème année - Vice Présidente Cuisine
▼ Université - 3ème année - Vice Présidente Cuisine
Naoko Tanaka


Genre : Féminin Scorpion Buffle Age : 26
Adresse : 15 Rue du Tatami, Quartier Hebi
Compteur 849

KMO
                                   :

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MessageSujet: Re: Miya Chanteclair - V2   Miya Chanteclair - V2 EmptyMer 29 Juin 2016 - 0:34

Rien à redire sur ta V2, ça fait du bien de te revoir parmi nous ! ♥
Je te change ton groupe, bienvenue chez les civils.

Pour ce qui est du club, sachant qu'il y a déjà un manager, et apparemment personne pour prendre la présidence, il n'y a pas de problème pour que Miya la garde.

Si un élève se propose cependant, elle devra passer le flambeau.
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MessageSujet: Re: Miya Chanteclair - V2   Miya Chanteclair - V2 EmptyMer 29 Juin 2016 - 7:21

Merci Nao-love. ♥

Et of course pour le club ! ;)
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MessageSujet: Re: Miya Chanteclair - V2   Miya Chanteclair - V2 Empty

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