Convocation de Ryoji Terrada

Sujet: Convocation de Ryoji Terrada Dim 27 Jan 2013 - 9:02

Tirant une dernière bouffée de ma cigarette, je l'écrasai dans le cendrier situé près de la porte d'entrée, adossé au mur extérieur, une jambe repliée pour que mon pied puisse y prendre appui. Il faisait un peu plus froid, aujourd'hui. Peut-être à cause de l'heure matinale ? Je n'avais pas pour habitude d'être présent aussi tôt à l'Académie, même pour le travail « volontaire ». Je préférais travailler tard plutôt que de me lever aux aurores...

Retroussant ma manche d'un coup sec du bras ramené vers moi, je consultai l'heure. 06h55. Bien, j'avais au moins faire l'effort d'être à l'heure et présentable. En même temps, il n'y avait rien de compliqué à enfiler un jean noir, un coll roulé écru, un manteau noir, une écharpe brune et des gants assortis. Bien que cela soit une torture, préférant largement mes pantalons cuir moulant et mes t-shirts caractérisés par l'absence significative de tissu... Souriant à ma propre remarque, j'entrai dans le bâtiment pour me diriger vers l'Accueil. C'était ici que j'avais rendez-vous, après tout. 06h56. J'avançai vers la personne chargée de l'accueil pour lui signifier ma présence, tout en croquant dans une pomme. Il n'y avait rien de tel pour nettoyer les dents, assainir l'haleine et remplir l'estomac au passage.

Un doigt longiligne vint remonter mes lunettes le long de l'arête de mon nez pour les reposer convenablement à leur place initiale. 06h58. Je n'aurais jamais le temps de finir ma pomme; tant pis... A moins que le Directeur ne me fasse la faveur d'arriver en retard ?

■ **HEADMASTER** Age : 49 57 **KMO** :

06h59.
M. Ashita Shiori ouvrit la porte de son bureau sans en sortir.
Il fit signe à l'homme d'entrer en fixant la pomme sans rien dire. - Il est de coutume au Japon de ne pas manger dans les lieux publics, les bureaux ou en attendant un rendez-vous. - Le directeur portait une tenue simple qu'on associait autant à un homme d'affaire qu'à un directeur : un veston, une chemise noire, une cravate rouge et blanche proprement nouée, un pantalon à pince ainsi que les inévitables chaussures de ville.
Quand monsieur Terrada entra dans son bureau le directeur se pencha en avant en signe de salut. Il l'invita à s'asseoir sur un de ses sièges en cuir placés face a son bureau.

Le directeur ferma la porte et vint prendre place face au médecin.

En premier lieu, il observa son subordonné quelques secondes. Aucune expression ne marquait son visage. Il prit la parole, s’exprimant dans un japonais plus lent que la moyenne, assez grave et bas.

"Otsukaresama desu Terrada-Isha. Souhaitez-vous un thé ?" Le directeur prit une paire de lunettes noires abandonnée sur son bureau. "Prenez le temps d’avaler votre morceau de pomme avant de me répondre." Continua-t-il froidement dans un japonais claquant. Il quitta des yeux son interlocuteur et appuya sur une touche de son téléphone. La voix de sa secrétaire lui répondit. L'homme lui demanda poliment du thé.
Ensuite, il ouvrit un dossier au nom du médecin. Celui-ci contenait son CV, les rapports d'autres employés de l'académie, les différents entretiens avec l'ancienne direction et ses propres notes accumulées au long du mois de janvier. Après un moment, le directeur remonta ses lunettes et le regarda.

Il toussota un coup avant de poursuivre. "Vous êtes médecin depuis trois ans à l’académie Keimoo. Vous étiez assez proche de l’ancienne direction. Ze." L’homme suspendit ses mots. Les ralentissant. 'N'est-ce pas ?"

Sans attendre la réponse de l'homme, le directeur continua.

"Vous avez un grand nombre d’élèves à votre charge. Vos journées doivent être particulièrement longues et épuisantes. Je souhaiterais que vous me décriviez votre quotidien, vos difficultés et vos souhaits pour l’avenir. "

Le directeur termina sa phrase. Il regarda le dossier, remonta à nouveau ses lunettes. Il se saisit d'un ordinateur portable gris, posé à coté de lui, et se mit à taper sur le clavier de ce dernier.
07h05.

07h pile. Flûte. Quelle ponctualité. Tant pis pour ma pomme. J'avalai rapidement mon morceau en bouche et jetai négligemment le trognon bien entamé dans la poubelle la plus proche avant de m'essuyer la main d'un mouchoir tiré de ma poche, et le replacer ensuite, rapidement.

Je répondis à son salut par une légère inclinaison du buste accompagné d'un signe de tête, les yeux fermés furtivement avant de me redresser; sa remarque m'arrachant un sourire, alors que je m’asseyais en croisant quelque peu les jambes. Il avait l'oeil, le dirlo.

Ohayougozaimasu, Shiori-Inchou.Volontiers...

Croisant les mains pour les poser sur mon genou le plus ramené à moi, je l'observai sortir ses papiers avec application, vivant dans un rangement à m'en rendre malade. J'avais beau être un tant soit peu ordonné, face à lui, j'étais un bordélique chronique.

Remontant furtivement mes lunettes sur mon nez, je passai une main dans mes cheveux avant de l'envoyer rejoindre sa jumelle, esseulée sur le mont genou se rebellant quant à l'équilibre que je lui imposais.

Sans piper un mot, je haussai un sourcil à son énumération rapide ne laissant pas place à réponse, mon regard s'écarquillant sous la quantité d'informations qu'il me demandait de lui fournir, tout à trac. Euh. Il voulait tuer mon cerveau de bon matin, c'était ça...?

Faisant mine de réfléchir, je gardai le silence un instant, avant de replonger mes yeux noisettes dans son regard indéchiffrable - muraille qu'il était.

Ehm. Commençons par le quotidien...?

Je me raclai légèrement la gorge pour avoir le temps d'analyser, trier et ressortir les informations qui en valaient des cases de mon cerveau - oui, j'avais organisé mon cerveau en cases, c'était plus pratique. Nettement.

M. Fatalys et moi-même voyons beaucoup de monde. Tous les jours. De manière plus importante et cette période de froidure. Les interventions sont variées, du cachet pour un nez qui coule à une épaule déboîtée lors d'un match de handball un peu trop fougueux... Peu de cas de fractures, fort heureusement.

Nouveau silence. J'attendais toujours sagement mon thé.

Les horaires sont vivables. 8h30-19h. Ce qui demande le plus de travail, au final, c'est de traiter et d'archiver les dossiers en fin de journée.

7h10

■ **HEADMASTER** Age : 49 57 **KMO** :

Spoiler:

07h10

Le directeur observa le jeune médecin. Il remarqua le sourire sur son visage face à sa remarque et s'en amusa. Il se mit à l'écouter d'une oreille attentive. Le fixant, un peu dissimulé par ses lunettes. Il lui fallait laisser le temps à l'autre d'analyser sa question et de formuler ses phrases. Le manque d'assurance du médecin était distrayant. Ça changeait un peu de tous ses employés surs de soi, vindicatifs et agressifs dès le premier abord. Le turnover régulier des employés faisait de ce dernier l'un des plus anciens se trouvant dans l'académie.

L'hésitation de son homologue, lui fit lever un sourcil. Monsieur Ashita se demanda s'il aurait une réponse à sa question ou si l'homme se contenterait de faits concis et larges. Le directeur ne souhait pas impressionné son subalterne. Il ne l'avait pas convoqué dans le cadre de remontrances ou critique.

« Vous avez plus de travail en période hivernale qu'en période estivale ? » Questionna le directeur, intrigué par cette information. Il lui semblait logique que les maladies soient plus nombreuses avec le froid, mais il lui semblait tout autant logique que l'été les élèves se blessent plus souvent avec des activités extérieures plus nombreuses.

La porte d'entrée s'ouvrit, sans un bruit, ou une demande d'entrée et la secrétaire déposa un plateau contenant deux tasses de thé vert. Elle prit une des tasses pour les mettre devant le médecin et l'autre devant le directeur, qui la remercia poliment, sans excès de chaleur. Elle demanda aux deux hommes s'ils désiraient du sucre, en déposant le sucrier sur la table. Puis, elle quitta la tête, après un salut hiérarchique japonais des plus poli.

Le directeur profita de cette distraction pour se mettre à taper sur l'ordinateur portable gris, installé devant lui. L'appareil produisait une lumière vive, qui avec la lumière encore tamisée du matin, donnait un aspect inquiétant à son propriétaire.

Ce dernier remonta ses lunettes, avec l'index de la main.

« Auriez-vous besoin d'un étudiant pour vous aider le soir, dans votre archivage ? Et de manière générale, auriez-besoin de formations, de matériels ou d'assistants supplémentaires ? Le poste que vous occupez vous satisfait-il ? »

Les questions du directeur sonnaient lentement, alors qu'il les tapait sur son clavier, ponctuant ainsi chacune de ses phrases par le bruit de ses doigts sur la machine. Au milieu de ses questions pas l'ombre d'un sourire ne vint éclairer le visage de l'homme, assez impassible.

« Dernier point. Que pensez-vous du règlement mis en place. Y verriez-vous des rajouts, des retraits ou des modifications ? »

07h25

Spoiler:

J'arborai un air totalement perdu et abasourdi sous le nombre de questions, sentant mes épaules s'affaisser progressivement sous leur poids; comme si elles s'entassaient pour menacer de me tuer écrasé, enfoui. En définitive, ce directeur était un sadique pur jus. Intéressant. Esquissant un petit sourire en coin, je relevai encore une fois mes lunettes du bout du doigt, les laissant lentement glisser le long de mon arête nasale, notant au passage que Shiori-inchou avait le même tic que moi. Ou comment rendre un entretien sérieux en une scène de comique de répétition. Je croisais les bras en levant le regard au plafond pour ordonner mes pensées et réfléchir convenablement.

Aussi fou que cela puisse paraître, oui. Le sport en salle est assez dangereux, puisque les élèves se sentent plus en sécurité et se permettent des gestes qu'ils ne feraient pas en extérieur. J'ai bien dû soigner un lycéen pour une sévère entorse du poignet parce qu'il avait fait la course avec un camarade et avait oublié de freiner pour se manger le mur en plein visage...

Soupirant de désespoir à cette scène que je me remémorai sur le coup, je glissai une main dans mes cheveux pour me gratter légèrement le cuir chevelu, mes lunettes retombant sur le milieu de mon nez; encore. Elles le faisaient exprès, ces sales bêtes, pas moyen qu'il en soit autrement... ! Abandonnant tout espoir de les voir obéir docilement à mes injonctions télépathiques, je les saisis pour en replier soigneusement les branches et les glisser dans la poche de ma blouse blanche, enfilée pour l'occasion, histoire de tenir un peu mieux mon rôle, psychologiquement parlant.

Permettez-moi de répondre dans le désordre. Mon poste me convient. Un étudiant serait le bienvenu à condition qu'il soit sérieux. Pourquoi pas du matériel. Face à la bêtise de certains de mes « patients », de quoi constituer des plâtres de fortune avant de les transférer à l'hôpital serait une bonne chose. Des atèles, aussi. Et mon ordinateur professionnel commence à dangereusement rendre l'âme.

Fronçant les sourcils avec un air sérieux, je songeai subitement que j'en demandais - encore - sûrement trop. Mais, après tout, il avait demandé à ce que je réponde à sa question, non ? Bon. Je l'observai un instant en silence, songeant que le teint blafard que lui donnait la lumière émanant de son ordinateur le faisait paraître pour un simili de zombie. Un air émacié, semblant creuser ses joues et lui tracer une barre au niveau du front. Un frisson me parcourut. Brrrr. C'en paraissait presque trop vrai pour ne pas être réel.

Euh. Le réglement ?

Je penchai la tête sur le côté, le temps que mes neurones se remettent en état de marche. Sa tête de no-life sur le point de décéder m'avait fait perdre le fil.

A première vue, je n'ai rien à y redire, non. Sauf si vous pouvez ajouter une clause demandant aux personne scolarisées d'user un peu plus de bon sens et de ne pas passer à l'infirmerie pour un nez qui coule...

Je saisis la tasse de thé fumant posée devant moi pour en siroter une gorgée, plus décontracté.

07h38

■ **HEADMASTER** Age : 49 57 **KMO** :

Sans changer d’expression de visage, le directeur écoutait le jeune médecin lui énumérait ce qu’il souhaiterait pour améliorer son travail au sein de l’académie scolaire. Dans la plupart des universités japonaises, ce sont souvent des hôpitaux entier qui s’y trouvent et qui soignent les élèves. A l’académie Keimoo c’était différent et les élèves en situation dangereuse étaient transférés dans la clinique du centre-ville.
Une convention avait été signé entre l’école et la clinique afin que les élèves soient pris en charge par les mêmes médecins et se retrouvent dans le même niveau,

« Bien. » Le directeur croisa ses doigts, posant ses mains sur son bureau.

Son regard sérieux et noir se posant sur monsieur Terrada. Quelqu’un qui l’aurait connu, aurait vu la plaisanterie, bien au fond, enfouit profondément derrière ses lunettes. Pour l’instant, c’était surtout un visage intimidant.

« Pourquoi n’utilisez-vous pas les demandes de matériels se trouvant dans intranet ? »

Le directeur regarda son ordinateur et les notes qu’il avait inscrit, les demandes de matériel.

« Nous disons donc : du matériel médical, un nouvel ordinateur portable ou fixe ? Oui, ce sont des demandes raisonnables qui pourront être satisfaite pour le mois d’avril. Ca me semble convenable. Lorsque vous m’en aurez fait la demande par email, je chargerais la logistique de vous trouvez ce qui vous convient. »

Le directeur sourit posément.

« Au cours des deux prochains mois, nos étudiants auront une série d’examens à passer pour aller en classe supérieure. Je souhaiterais également vous envoyez certains d’entre eux pour un examen médical. Je songe à des élèves dont l’état de santé physique ou mental inquiète les parents. Etes-vous habilité à ce genre d’examen ? »

Sujet: Re: Convocation de Ryoji Terrada Mar 19 Mar 2013 - 10:41

Une grimace tord mon visage sous la grimace. Pourquoi je n'utilisais pas l'intranet. Eh bien. Parce que ça me fait royalement chier ? Hm. Je me force à esquisser un sourire. Autant être franc.

Je déteste tout ce qui est informatique. Littéralement. Je préfère les demandes papiers, ou, le cas échéant, de vive voix...

Hochant la tête à son énumération pour marquer mon approbation, je ne retiens pas mon soupir en l'entendant parler d'e-mail. Je vais donc vraiment devoir m'y plier ? Tant pis. Si c'est pour du matériel, je ferai un effort.

Portable, si possible. Je peux finir de travailler chez moi si besoin est, grâce à cela.

Je marque une pause dans ma réponse, comme si les mots à venir allaient faire fondre ma gorge et mes cordes vocales sous une vague d'acide.

Très bien, je vous enverrai un e-mail...

Capricieux, ce directeur. Ecrire une lettre m'aurait bien plus plu. Le bonheur de tenir un stylo à encre entre ses doigts et le laisser courir sur la feuille est sans limite, comparé au pianotement mécanique des doigts sur un clavier fonctionnant une fois sur deux du fait d'une poussière logée là où il ne faudrait pas.

Je remonte encore mes lunettes sur mon nez, en profitant pour rejeter mes cheveux vers l'arrière du fait de ma main. Ca tiendra le temps que ça voudra... Je fronce les sourcils. Du travail en plus ? Allons bon. Enfin, s'il ne s'agit que d'examens... Je daigne offrir un sourire poli et clair au directeur.

Oui. Je pourrai vous fournir une copie de mon diplôme et de mes habilitations complètes, si vous le souhaitez.

Saisissant ma tasse de thé, j'en bois une nouvelle gorgée. Chaud et vivifiant. De quoi continuer la discussion tranquillement !

Au pire des cas, je pourrai toujours m'épauler de M. Fatalys, ou de M. Valentine. Ils sont tous deux compétents.

07h46

■ **HEADMASTER** Age : 49 57 **KMO** :

Chaque grimace et geste du médecin sont remarqués par le Directeur de l’Académie qui garde une certaine réserve face à elles. Souverain dans son attitude, il décrit son interlocuteur et prend quelques notes au travers des phrases. Il semble amusé par le coté rédhibitoire de l’informatique. Toutefois, l’homme n’en perd pas le fil de la discussion. Il sait que c’est attendrissant de ne pas savoir gérer la technologie mais ce n’est pas adéquat dans une académie comme la sienne.

- Bien.

Nota simplement l’homme avant d’hocher de la tête. Il ne répondit pas à la question des diplômes, se contentant d’un regard sarcastique et légèrement moqueur. Le médecin ne pensait-il pas que le Directeur avait tous les papiers et diplôme qu’il fallait dans ses dossiers ? Dans le cas contraire, il ne laisserait pas exercer dans son académie. Il n’était pas fou au point de confier les étudiants sous se responsabilités au premier venu.

Ashita regarda un bref instant l’heure. Le temps passait. Il avait abordé la plupart des sujets, mais préféra vérifier sur son écran d’ordinateur qu’il n’en avait raté aucun.
• Le travail et les formations, c’était vu.
• Le règlement ? Vu.
• Les vœux ?

Le directeur se redressa sur sa chaise, il salua poliment Ryoji Terrada. Il était en retard. De 10 minutes.

- Si vous n’avez aucune question, il me semble que j’ai abordé auprès de vous le principal. Laissez-moi vous raccompagner à la sortie.

En ouvrant la porte de son bureau, le Directeur lu dans le regard de sa secrétaire qu’elle avait saisi le sens de ce retard. Elle attrapa le téléphone et il su qu’elle commandait de quoi déjeuner.

08h10

Le 10 juillet 2013 à la Ville de Keimoo,
Monsieur Ryoji Terrada,

Je vous invite le 05 août 2013 à la mairie de la ville de Keimoo où se déroulera la fête de l’Académie. A cette occasion, un nouveau règlement scolaire va être présenté aux élèves et aux membres du personnel.
Concernant le matériel que vous avez demandé, vous constaterez qu’un nouvel ordinateur fixe a été installé dans votre bureau. Ce dernier est relié à l’ordinateur portable se trouvant dans le carton joint à cette lettre. Ainsi, si par mégarde vous perdez ou oubliez votre ordinateur portable, vous aurez toujours la possibilité de travailler sur le fixe sans perdre vos données.

Je vous informe également que le du 22 au 24 juillet, vous aurez une formation informatique. Je vous conseille vivement de la suivre afin d’obtenir de meilleurs résultats dans ce domaine et d’envisager une promotion.

Derniers points, j’aimerais que vous consultiez les étudiants suivants dont le comportement à changé ces derniers mois ou dont le comportement nous semble perturbé de manière générale. Nous aimerions savoir s’ils portent sur eux des traces de violence ou de surmenage.
• Zakuro Fea (Il nous a été signalé qu'il présentait un changement dans son comportement.)
• Shiki Katsuragi (Le garçon semble avoir perdu tout son entrain et a beaucoup moins de relation. Il s'est renfermé.)
• Shin Masara (Ce garçon semble avoir toujours été renfermé et certains professeurs s'inquiètent.)
• Jake Keegan (Certains de ces professeurs pensent qu'il aurait besoin d'une attention particulière.)

Vous avez le délai que vous jugerez nécessaire, vu votre emploi du temps surchargé, pour faire ces examens.

Je vous remercie d’appartenir aux membres du personnel et de l’attention que vous portez à nos jeunes,

M. Ashita Shiori

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