Gunzi - Togainu No Chi | • Sexe: [ ♂ ] Masculin • Âge & Date de naissance : 13 novembre 1990 • Origine(s) : Californien • Orientation sexuelle : Bisexuel, à tendance homo. • Langue(s) : Américain, de naissance. Il étudie le japonais depuis deux ans. • Etudes : Commerce international • Groupe : Rebelles • Club(s) : Jardinage |
>>> Aspect physique
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• Physionomie :Jake est grand. Disons qu’en Californie, il passait plutôt inaperçu. Mais, au Japon, il dépasse aisément la population locale. Du haut de son mètre quatre-vingt et des poussières, il surplombe ce petit monde sans aucun problème. Ce qui a son lot d’avantages, autant que d’inconvénients. Par contre, ce qu’il a en commun avec le reste de cette masse aux yeux bridés, c’est la silhouette : mince. Il doit environner les soixante-quinze kilos. Tout comme sa taille, il ne sait pas exactement et, à vrai dire, il s’en tamponne. Les formes sont là : des fesses rebondies jusqu’aux épaules larges, Jake n’est pas à plaindre question corpulence. Le torse et le dos sont dessinés, ce buste planté sur des hanches masculines et les jambes qui vont avec. Rien d’extraordinaire, mais rien qui ne soit déplaisant à regarder. Enfin, c'est son avis personnel.
D’effigie, il reste dans la même banalité : une bouche, un nez, deux yeux. Rien de transcendant. Ne serait-ce que le bleu de ses yeux. Le bleu pas vraiment azur, qui tire bien plus sur le gris. Un gris de suie. Un gris des mauvais jours, ceux où le ciel est menaçant et où vous vous demandez s’il ne serait pas plus prudent de prendre un parapluie pour sortir. Juste au cas où… Un bleu de ce genre-là, qui décline sur un gris de ce style-là. Un nez longiligne, un peu pointu. De ceux qui bougent, donnant un côté mignon, quand vous parlez. Jake ne l’a jamais aimé, le "petit côté mignon". Et, comme la plupart des gens, il y a quelque chose qu’il n’aime pas chez lui. Et là, c’est bien son nez. Le truc relou, avec ça, c’est qu’il se trouve en plein centre du visage. Genre, LE truc qu’on ne peut pas louper. Les lèvres sont fines et pâles, se noyant avec la couleur de sa peau. Peau un peu trop laiteuse, pour quelqu’un qui vient de la Californie, mais il n’a jamais été de ceux qui font crêpe sur le sable, voyez…
Ses cheveux sont longs, blonds, mal coupés, mais toujours démêlés, à défaut d’être coiffés. Il les entretient quand il a le temps, détestant aller chez le coiffeur, donc maniant lui-même la paire de ciseaux. Cheveux qui retombent sur ses oreilles – élémentaire, mon cher Watson. Oreilles percées à de multiples endroits : du lobe jusqu’au cartilage, sans oublier – pour la droite – celui de l’oreille interne.
Enfin, tout ça, ce sont les points généraux. Ce qui distingue réellement Jake du reste de la foire aux moutons, ce sont ses tatouages. D’abord, pour remonter des pieds jusqu’à la tête : les chevilles. De simples flammes, que le jeune homme a fait lui-même, un soir de cuite. Il ne s’en est pas trop mal sorti… Tellement, qu’il a fait faire les mêmes, par un tatoueur, mais sur ses poignets, cette fois. Mais, ça n’a pas suffit. Il a fallu qu’il continue et c’est la nuque qui a subit ses pulsions. Quelques dessins, enfantins, pour s’amuser. Quand il a voulu caché tout ça, las, il n’a rien trouvé de mieux que de transformer les petits œuvres d’art en une sorte de cache-col sur peau, laissant juste un trait blanc qui suit sa trachée. Mais ce n’est pas tout ! A partir de ce point – les clavicules, environ – l’encre semble prendre possession d’elle-même et part en tous sens, pour former des arabesques, couvrant les pectoraux. La même chose, sur les omoplates, mais pas de façon symétrique. Et puis tout ce fatras de noir – puisque rien n’est en couleur – s’achève sur la dégringolade chimérique qui suit son échine, jusqu’aux creux de ses reins. Autant dire qu’à lui-seul, il est une œuvre d’art.
• Vêtements :Jeans, t-shirt, baskets. Voilà. Des détails ?
En dehors de l’université, Jake porte des jeans délavés, troués, parfois tâchés d’on ne sait trop quoi. Avec des t-shirt aux couleurs sobres, mais aux illustrations souvent trash ou explicites, sur les pensées stéréotypées qu’on attribue aux anarchistes. Il enfile le plus souvent une veste en cuir noire.
Dans l’enceinte de Keimoo, monsieur s’assagit un peu, parce que le règlement l’exige. Il porte des jeans plus présentables, avec des t-shirt tout de qu’il a de plus banal. Parfois, il enfile même une chemise, quand l’envie lui prend. Et il porte une veste cintrée, un peu féminine, diront les mauvaises langues. Mais, à cet accoutrement plus sobre, il ne change rien à son comportement. Et, à la limite, c’est ce qui le rend plus rebelle que la façon dont il se sape.
Il se plait à agrémenter tout ça de grosses écharpes, de bonnet en tout genre, de mitaines de cuir ou gants en laine. Petit plaisir qu’il ne peut se permettre que depuis qu’il vit au Japon. L’hiver californien n’est pas du genre rude, voyez. Alors l’été, il aime y retourner, mais l’hiver, vraiment, il l’aime dans ce nouveau chez-lui : le paradis des gros habits !
>>> Aspect psychologique
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• Psychologie :Jake est un salaud.
D’abord, il faut savoir que notre blond possède un remarquable sens de l’observation. Il peut retenir des détails qui vous auront paru totalement triviaux et s’en resservir plus tard, souvent contre vous, pour porter une accusation ou bien essayer d’en savoir un peu plus – surtout si c’est contre votre gré. Cela n’en devient que plus intéressant. Il parle avec facilité, d’un naturel plutôt enjoué. Mais, quand il s’agit de percer quelqu’un à jour ou bien de protéger ses arrières, il ne le fait jamais sans réfléchir. Sauf si Alccol et Drogue, ses deux sœurs d’armes, sont de la partie, bien évidemment.
S’il y autre chose que le côté souriant chez Jake, c’est bien son défaut à être sans cesse dans la provocation. Certains disent qu’il s’agit là d’une simple protection d’un homme qui souffre, d’autre qu’il n’est rien d’autre qu’un gamin immature et qui n’est pas sorti de sa crise d’adolescence, d’autre n’en penseront rien et beaucoup d’autres n’oseront tout simplement rien dire. Et de tous lesdits autres, justement, il n’en a rien à faire. Qu’ils pensent, disent, clament haut et fort ce qu’ils pensent. A partir du moment où ils jugent, c’est que la provocation a tenu son rôle et il n’en est alors que plus satisfait.
Pour entretenir son petit penchant rebelle-attitude, Jake conserve un certain mépris des règles. Il les applique, parce qu’il compte bien terminer ses études. Mais au strict minimum. Il s’est intéressé à la façon de les décortiquer, pour pouvoir les contourner avec des arguments en béton. Ce qui fait que, bien souvent, lorsqu’il finit dans le bureau du CPE, avec une convocation pour mauvaise conduite ou pour avoir outrepassé les règles de l’académie ou on ne sait quoi encore, il en sort indemne, sans aucune sanction. Parce que Monsieur ne se gêne pas pour aller chercher la petite bête au cœur des failles.
Autre trait purement caractéristique de notre bonhomme : il déteste mentir et sa franchise lui attire souvent des problèmes. On peut le penser vantard, puisqu’il sait ce qu’il vaut. Et on peut surtout le trouver sans-cœur ou encore égoïste ou bien sadique – enfin tout un tas de choses sympathiques, voyez-vous – simplement parce qu’il n’a pas de tact. Dire les choses en tournant pendant des lustres autour d’un pot ou bien dire les choses telles qu’elles sont, un peu comme elles viennent… Evidemment, le plus pratique est encore de gagner du temps et de jouer cartes sur table. Mais, visiblement, à en croire ceux qui témoignent, ceux qui parlent, ceux qui jugent, ceux qui sifflent… Bref, pour beaucoup, ce n’est pas le mieux à faire et ils n’en gardent pas un souvenir très folichon.
Pour finir, dans les grandes lignes, Jake sait faire preuve d’un détachement qui peut parfois choquer. Il est capable lâcher des boutades à des enterrements, de voler de la nourriture à la soupe populaire, de cracher dans un hôpital… Bon, peut-être pas le dernier exemple. Il n’est pas stupide, non plus. Bien que beaucoup le pensent, dans ces cas-là, ou mettent son comportement dans le même panier que sa provocation. Mais il n’en est rien.
Parce que, dans le fond, Jake est juste un peu seul. Juste un peu maladroit. Juste un peu comme une âme en peine. C’est facile, finalement, de cerner une personne comme lui, même s’il peut prendre un malin plaisir à changer du tout au tout quand il sent que vous commencez à mettre le doigt sur un sujet qui lui tient à cœur ou que vous creusez un peu trop en lui. Il n’est pas difficile de capter l’enfant qui souffre sous ses airs rieurs et anarchiques.
Jake est un enfant et les enfants, ce qu’ils veulent, le plus souvent, c’est qu’on les prenne par la main et qu’on marche avec eux.
• Particularités :Particularités ? Sérieusement…
Jake fume. Il fume des cigarettes et des joints. Il a la main portée sur la bouteille et une fâcheuse tendance à trop lever le coude. On ne peut pas dire que ce soit un drogué ou un alcoolique. Il n’a pas besoin, il ne ressent pas la dépendance de se rouler un pétard ou de se vider une bouteille de whisky. Il a simplement la fâcheuse tendance à tuer le temps en livrant ses poumons en pâture au goudron et autre substances pas nettes, à mêler son sang à un liquide étranger ou encore à doper son cœur d’un produit trop trafiqué pour qu’il ne cause pas de dégâts.
Il a pour habitude de prendre sa douche avant son petit-déjeuner. Il commence par se laisser tomber sur une surface moelleuse – canapé, lit, pouf… - quand il rentre d’une journée de cours. Il compte ses Miel Pops quand il les mange, sans s’en rendre compte, mais ça l’énerve quand il en prend conscience. Souvent, il jette donc les céréales. Il trouve que l’odeur des pots d’échappement n’est pas désagréable, tout comme celle d’une feuille de menthe qu’on écrase ou qu’on coupe. De temps en temps, il achète des trucs bio, juste parce que ça fait bien dans son panier et sur le tapis de la caisse. Et puis, parce qu’il a l’impression qu’il risque moins de crever d’un cancer dans deux ans.
Ainsi qu’un tas d’autres conneries.
>>> Biographie
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• Histoire :Jake a une histoire aussi banale qu’inédite, aussi tranquille qu’inquiétante. Une vie à son image.
Il est né – et c’est déjà un bon début, non ? – un 13 novembre. Il faisait gris, froid et humide. Le vent soufflait par intermittences saccadées, mais toujours par bourrasques. Et c’est dans ce tumulte qu’il poussa son premier cri. Celui d’un nouveau-né.
Il connu une enfance aisée, presque facile. Un père plus souvent absent que présent, plus souvent à rater les anniversaires, les spectacles, les noëls… Mais une mère qui comblait tellement ce vide qu’il passait inaperçu. Tellement, que lorsque la figure paternelle était présente, Jake n’y prêtait que très peu d’attention.
Il s’est toujours demandé comment Sam, sa mère, avait pu rester avec un tel homme. Et surtout, comment elle pouvait fermer les yeux sur ses multiples adultères. Comment elle avait pu pardonner, même quand il lui avait ramené l’enfant de sa maîtresse à garder, parce qu’ils partaient en "voyage d’affaire" tous les deux. Juste tous les deux. Sur une île paradisiaque. Deux semaines.
Jake avait quatre ans lorsqu’il a connu Emy. Elle était la fille de la concubine de son paternel, que cette dernière avait eu avec un précédent mari. Elle était aussi blonde que notre jeune homme, mais ses yeux étaient marrons. Un marron très clair, qu’il a longtemps comparé aux petits éclats de marrons glacés que sa mère lui donnait en temps que friandises. D’où l’explication du surnom "chessnut" qu’il lui a attribué dès le premier jour et qu’il utilise encore maintenant.
Ils ont presque grandi ensemble, puisque les voyages d’affaires ou les séminaires ou les réunions tard le soir étaient fréquentes. De plus en plus, d’ailleurs. A mesure que Sam déclinait, le mari fuyait la moindre responsabilité qui le raccrochait à sa famille. C’est lorsque J a approché la dizaine d’années, qu’il commençait à comprendre la vie des adultes, que sa chère et tendre maman a été déclarée souffrante de la maladie d’Alzeimer. Elle avait juste un peu plus de trente ans. Le bel âge, dit-on. Elle ne s’en est pas souvenue longtemps.
Le second cri que Jake a poussé, c’était à l’adolescence, quand c’est dans les mêmes draps de ceux d’une femme qu’il découvrit le foudroiement des corps humains. Pour dire ça poétiquement. Sinon, plus simplement et sans détour – à la Jake : il s’est envoyé en l’air. Et, quelques temps plus tard, il passait aux personnes du même sexe. Il allait avoir quinze ans. Il s’était un peu perdu dans le sexe, peut-être un peu jeune, peut-être un peu dans les voies de son père. Parce que dans les bras d’autres personnes - dont il ne peut jamais se rappeler le nom maintenant - il se sentait un peu plus aimé que par sa seule mère qui parfois ne le reconnaissait plus, qui pouvait devenir aussi vulgaire qu’elle avait toujours été douce. Sa chère mère qui se mourrait dans la prison de son crâne et de sa mémoire qui l’abandonnait.
Jake aurait aimé pouvoir lui dire ce qu’elle représentait pour lui. Lui dire qu’elle avait mis au monde un homme condamné à vieillir et peut-être à finir comme elle. Mais que ce n’était pas de sa faute. Qu’elle ne pouvait pas savoir tout ça. Qu’il aurait aimé être plus fort, que son père ne soit pas un salaud, que sa sœur soit celle de leur union et pas celle de deux inconnus, que s’il devait tout refaire, il aimerait que ce soit mieux, tellement mieux, que s’il devait tout recommencer, il voudrait un monde à eux deux. Mais ce n’était pas possible. Et puis, elle aurait oublié.
Et il en avait bientôt dix-sept lorsqu’il prit un oreiller et étouffa sa mère avec. Il n’a aucun souvenir visuel vraiment net de ce geste : trop de larmes embuaient sa vue. Mais c’était après que sa mère ait eu un moment de lucidité et, en pleures, lui ait demandé simplement de le faire. Il n’y a qu’à Sam qu’il a toujours obéit au doigt et à l’œil. Un battement de cils et il savait quoi faire. Ce jour-là, ce fut le battement de cils fatidiques. La seule chose qu’il espère au plus profond de lui-même, c’est qu’elle ait de nouveau reperdu la tête quand il l’a caché sous le coussin et qu’il est resté appuyé jusqu’à ce qu’elle arrête de se débattre. Jusqu’à ce que son corps – un peu amaigri par le traitement assommant qu’elle devait prendre depuis des années et qui ne devait contenir que des placebos – arrête de convulsé, d’être pris de sursauts, et s’affaisse.
Une enquête a été menée. Papa a payé ce qu’il fallait pour qu’aucun soupçon ne pèse sur les épaules de son fils. Il ne lui en a jamais parlé. Jake a continué le cours de sa vie, gardant pour lui la vérité de ce lourd secret. Même Emy n’en sait rien. Même J a un doute sur ce souvenir. Il a préféré mettre de côté la dernière image de sa mère, lui demandant de l’aider à mourir, alors qu’elle pouvait "encore une dernière fois se rappeler de son visage". Et puis, juste se rappeler son sourire.
Il s’est passé deux ans avant que Jake ne parte. Il a quitté l’Amérique pour suivre sa sœur au Japon. Il ne connaissait aucun mot de cette langue, aucune coutume de cette population. Il ne savait même pas franchement qu’elle était la capitale et où la située. Il se moquait complètement de l’endroit où il allait. Mais, pour elle, il s'agissait d'un projet de longue date : elle avait appris la langue et l'avait enseigné à J, comme elle avait pu. Même s'il lui montrait qu'il s'en fichait, en réalité, il s'était appliqué à la tâche et était capable de tenir une conversation. Du moment que ça ne devenait pas trop technique. Il voulait juste suivre la seule femme qu’il respecte entièrement aujourd’hui : Emy. Et puis, au moins, il tue un peu plus le lien qu’il est forcé d’entretenir avec le paternel. Père dont il ne dit jamais le nom. Auquel il ne souhaite jamais ni anniversaires, ni félicitations, ni noëls… Et le vieux lui rend bien.
Ayant quitté son université, il a repris les mêmes études de commerces internationales qu’au pays. Il a du se remettre à niveau, mais ça n’a pas été tellement difficile. Il a juste suffit qu’il reprenne ses cours. Il a été accepté à Keimoo, sous réserve d’arrêter de faire le strict minimum. Pour l’instant, ce doit être une des seules règles qu’il applique, depuis deux ans. Il passe plutôt inaperçu, seulement connu pour ses quelques frasques. Rien de bien méchant : boycotter l’accès au toit pour se le réserver, au lieu d’aller en cours, ou bien contourner les règles de façon à ce qu’on ne puisse finalement rien lui reprocher ou encore venir avec un détail parfois trop choquant pour la tenue correcte exigée. Il enregistre tous les cours sur un dictaphone, pour les faire écouter à Emy, si jamais il ne comprend pas.
• Famille :Sam, la mère de Jake, était une femme simple et élégante. Elle était de celle qu’un rien habillait et qui savait faire de ce rien tout un style. Elle était gentille, douce et attentionnée. Même si la maladie l’a touché beaucoup trop jeune – à n’importe quel âge, Alzheimer reste une malédiction, mais le plus tard est quand même mieux – elle n’a rien perdu de son éclat. Sa coquetterie est ce qu’elle a entretenu jusqu’à la fin. Et même si elle n’était pas foutu de reconnaître ses enfants ou son mari, même si elle était imbuvable aux derniers jours, elle reste, pour Jake, la mère qu’il ne voudra jamais remplacer. Pour rien au monde.
Son père, au contraire, il donnerait n’importe quoi pour en avoir un autre. Petit homme d’affaire mesquin et irascible. Trop proche de son argent, à défaut de l’être de ceux qu’il devrait aimer. Il est vrai qu’il paye les études, le logement et qu’il donne l’argent de poche à son fils, mais la relation s’arrête là. Leur lien, c’est uniquement le virement bancaire effectué tous les mois et le compte-rendu de ses notes que Jake doit lui transmettre en réponse.
Et, dans tout ça, il y a la petite sœur. Qui n’a aucun lien de sang avec lui, puisqu’elle est la fille de la maîtresse de son père, issu de la première union de cette femme avec un français. Enfin, vous voyez le micmac… Il n’empêche qu’Emy reste sa sœur, il a presque grandi avec elle. Et puis, c’est encore elle qui fait le tampon entre lui et la figure paternelle. Alors, il faut bien qu’il entretienne les rapports, pour ne pas avoir à avouer qu’en réalité, il l’aime bien, cette petite.
| • Pseudo : Camille • Âge : 20 ans • Serez vous actif ? Ouaip ! • Comment avez-vous connu le forum ? DC • Commentaires, remarques, critiques? : Aucun, j'vous kiffe, les gens ! • Souhaitez-vous un parrain social ? Si oui, avez-vous une préférence particulière ? Pas besoin.
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