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 L’équation de la Catatrophe

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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptyLun 26 Mar 2012 - 21:46

Après s’être donnés en spectacle -la française comme le japonais- à vouloir à tout prix prendre le petit déjeuner dans le même lit, Noahki est parti de fort bonne humeur à sa séance du matin. Une bonne humeur justifiée quand on sait que la sortie est pour bientôt ! C’est pas trop tôt quand même. Du coup, après avoir été au milieu des soins des infirmières, le populaire a commencé les exercices demandés d’arrache-pied, avec limite toute l’énergie du désespoir. Le désespoir d’être resté enfermé tout ce temps dans cet hosto, mêlé à l’excitation d’en ressortir des mois plus tard. Grimaçant contre les tiraillements et les douleurs que lui provoquent les mouvements, le jeune homme sourit d’un air amusé lorsque l’infirmière tente de lui faire une remarque faisant allusion à sa relation avec Anaïs. A preuve du contraire, nouer des relations n’était pas interdit dans les hôpitaux et quand bien même qu’il se serait passé réellement quelque chose que Noahki aurait gardé la même fière allure. Pas de quoi casser trois pattes à un canard non plus. Et puis ce genre de bruits ici, c’était du soft, qui préparerait –plus ou moins-, une rebelle à goûter sa nouvelle popularité. Qui sait... ?

En attendant, le japonnais tente de penser au passage de sa soeur, complice d’un bon petit quart d’heure à venir, en toute gaieté de l’âme. Finalement, la matinée passe bien plus vite que prévue et sa séance de rééducation se met à traîner dans l’après midi, bien plus que ce que Noahki avait prévu. Avec ça, il n’aura pas pu déjeuner avec Anaïs, mais avec d’autres patients aussi affectés que lui dans divers accidents. Repas entre bras cassés... pourquoi pas. Mais son esprit, lui, vogue ailleurs, dans la hâte de faire la fête tant attendue. En espérant que personne n’ait gaulé Anaïs et sa bouteille... parce qu’en tout état de cause, elle serait portée responsable et Noahki s’en voudrait quand même beaucoup de l’entraîner dans ce genre d’imprévu. Autant penser que ce n’est pas arrivé pour se focaliser sur les bonnes choses. A moins qu’elle n’ait décidé de se descendre la bouteille toute seule ! Elle n’oserait pas. En est-il certain ?

C’est ainsi que vers le milieu de l’après-midi, on l’autorise enfin à retourner à son poste, -pour un repos bien mérité-, pour reprendre les mots de son docteur. S’il savait à quel genre de repos Noahki allait s’adonner, il aurait déjà revu trois fois ses mots m’enfin... vaudrait mieux ne pas alerter trop de monde avant l’heure. Fier comme un empereur sur ses béquilles, Noahki fait donc le malin à se pavaner dans tout le couloir, pour bien montrer qu’il est guéri, se cherchant par la même occasion, le regard de quelques jolies infirmières avec qui il échangera deux trois mots. Un fanfaron, c’est vrai. Mais comment ne pas goûter à ce quart d’heure de gloire ? Jamais marcher, ne lui aura semblé aussi glorieux, dans sa vie de populaire. C’est une bonne leçon de la vie, se morigènera-t-il tout seul, en repoussant d’une béquille la porte de sa chambre.

-Ola!
s’annonce-t-il, espérant tout de même qu’Anaïs n’en ait pas trop après son retard. Bah et puis personne ne saurait qu’il aurait un peu tardé avant de revenir, pour profiter de ses jambes (et des demoiselles).

-Tu parlais d’handicapé, hm?
la cherche-t-il déjà, un regard narquois, mais très satisfait de pouvoir revoir le monde en hauteur. Lever les yeux pour regarder Anaïs ça va une fois, mais bon il préfère se sentir plus grand, question purement mentale.Tu vois, c’est ce genre de surprise que j’allais te faire, hier, si tu ne m’avais pas coupé l'herbe sous les roues ! Mais bon, je t'en mets quand même plein la vue, avoue un peu!

Se dirigeant vers la blondinette, Noahki s’observe sous tous les angles, comme s’il se voyait sous un nouveau jour. Et puis quoi, c’était quand même comme une petite renaissance tout ça.

-Et ça se fête ! Bon t’as fais quoi de ton côté, t'as été sage j'espère. Et Lily, l'est passée ?

Un coup d’oeil vers la porte pour s’assurer qu’elle soit bien fermée.
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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptyDim 1 Avr 2012 - 11:20

Quand on y pense elle s'est ennuyée aujourd'hui, elle n'avait rien à faire, elle sa rééducation était à partir de deux jours après Noahki ayant moins à faire certainement, après tous une épaule à moitié cassée et plus vite réparée qu'un tibia fracturé? Puis la jambe il faut marcher dessus, ce qui est bien c'est que le médecin lui avait dit qu'elle pourrait retrouver une vie tranquille assez vite et même continuer son sport du moins le sois disant club où elle devait appartenir, donc si elle peut faire à nouveau de l'escalade elle peut tranquillement faire tout ce qu'elle veut, même si pour le moment ce n'était pas le mot d'ordre. Bref, là n'était pas la question avant que Lili n'arrive elle avait pu se balader un peu, sortir de cette chambre.

Une fois que celle-ci était arrivée, la journée avait été un peu mouvementée, elle n'aurait jamais cru qu'elle pouvait être une pipelette aussi déstabilisante, Anaïs avait réussi à mettre des mots dans certaines de ses phrases, mais, c'est à peine si elle arrivait à la couper, heureusement que Noahki n'était pas comme ça, sinon elle aurait vite perdu son sang-froid! Mais, bonne nouvelle, car, elle avait apporté la bouteille et pour sa Anaïs doit bien la remercier, même s'il n'y avait pas que ça d'amener des gobelets ce qui est préférable pour boire, mais, dans un sens c'est Anaïs qui a dû faire tout le reste pour essayer de cacher la bouteille et bien d'encore. Elle avait réussi à inventer un de ces mensonges qu'elle avait réussi à faire gober l'infirmière pour qu'elle ne refasse pas son lit. On peut dire qu'elle gère sur ce coup et que Noahki aura de quoi la remercier, sinon on pouvait dire à Dieu à la bouteille et à la petite fête à deux.

Elle était debout près de la fenêtre à attendre le retour de Noahki, bien qu'elle trouvait une autre excuse pour ne pas lui dire qu'elle l'attendait, puis le temps dehors était tellement magnifique qu'elle se serait bien perdue dans le parc pour y rester toute la journée. Elle fut vite sortie de sa rêverie en entendant un Ola, elle se retourne et elle le vit enfin, elle n'eut le temps de rien dire que son sarcasme revenait déjà au grand galop, ça se voyait qu'il n'était plus ans son fauteuil roulant celui-là.


" Handicaper? Mais, tu l'es toujours pour moi!" ah ben on ne va pas changer les habitudes hein... Puis c'est vrai ce qu'elle dit-il était en béquille donc toujours handicaper. "Moue si on veut, te voir marcher te rendra moins grognon c'est un bon présage." A la une et à la deux comme on dirait si bien, il n'y a pas un pour rattraper l'autre.

" Ma journée, tu parles j'ai passé mon temps à m'ennuyer à part quand j'ai pu sortir un peu! Et oui elle est passé et le cadeau aussi." faisant bien sur allusion à la bouteille, elle regarde dans la même direction que Noahki la porte était fermée puis les infirmières n'avaient plus besoin de venir ici sauf si vraiment ces deux-là les avaient appelé, mais, comme ça ne risquait pas d'être le cas, ils allaient être tranquille, c'est ainsi qu'elle se dirige vers son lit pour en sortir la bouteille se retournant et la levant pour montrer à Noahki.

" Tadam! J'ai eu dur à la planquer, j'ai dû faire des pieds et des mains, pour que les infirmières ne fasse pas mon lit, pendant que monsieur s'amusait, c'est moi qui suis pris tous les risques. Alors, j'espère que tu vas te faire pardonner maintenant!!"

Secouant un peu la bouteille de droite à gauche, non elle ne veut pas qu'elle éclabousse tout, c'est juste un air qu'elle voulait se donner, ce n'est pas la mort non plus, elle la dépose sur le chevet avant de la faire tomber ce qui serait normal, car, tenir une bouteille à une main ce n'est pas des plus pratiques. Puis elle sort les gobelets.

"Alors on commence?"
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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptyDim 1 Avr 2012 - 21:15

-Rabat-joie que tu es !

Mais Anaïs a raison. Marcher donne l’impression à Noahki d’être plus libre de ses mouvements et ça le rend forcément moins grincheux que ces derniers jours. Ce type là n’est pas fait pour rester sagement à sa place très longtemps. Avec un sourire à la mention du cadeau, le japonais a brandi un pouce en signe de victoire, pour ne pas faire trop de bruit qui attirerait l’attention dont tous deux cherchent à éviter pour l’heure qui suit.

-Tu gères.

Et c’est peu dire.
Difficile de jouer à la discrétion dans un hôpital quand on s’appelle Noahki Saigara ou encore Anaïs Leroy. Conscient des risques que sa complice a encouru, le populaire se promet qu’il se fera pardonner –d’une manière ou d’une autre- de l’avoir laissé toute seule. Mais pour ce qui est de l’instant, comme la jeune fille ne tarde pas à le lui rappeler, Noahki décide simplement de lui rétorquer au nez, question de principe.

-Tu rigoles, c’était pas une partie de plaisir, c’est pas facile les séances! Je reviens en héros d’une grande bataille, figure-toi, aboie-t-il, déjà sur ses grands chevaux. -Ah bon et tu vas demander quoi par exemple ? Secoue pas la bouteille !!!!

Après avoir soupiré d’un air résigné, Noahki a posé les béquilles contre le mur avant de s’appuyer contre le chevet, sur une jambe. Fallait bien l’ouvrir cette bouteille, et pas question d’en perdre la moitié du contenu ! Pas question non plus que le bouchon aille péter au plafond alors Noahki l’ouvrirait lui-même en excellent serveur qu’il est -serveur au café, pas du service à la personne non plus- . Et puis fêtard aussi... mais ça, ça reste entre les lignes. Passé maître en la matière, le populaire a détaché la coiffe, le muselet et en un tour de main, le bouchon s’est doucement dégagé dans la main de l’expert, dans un plop familier. Servant aussitôt le champagne dans les gobelets, le jeune homme a tendu le premier à la française, un sourire enjoué.

-Bon, c’est pas la classe des flutes et le champagne n’est pas très froid, mais ça en vaut bien la peine, non ? A notre santé donc.

Après avoir -trinqué- autant que le plastique de leurs verres le leur permet, le populaire a vidé d’un trait ce premier verre de pétillant, quand même pas si mauvais compte tenu des conditions. Et puis c’était tacite, le premier verre, c’est cul sec, il se finit en une fois. Etrange sensation que de retrouver un goût familier après des mois de jeûne, si on peut appeler comme ça ! Parce qu’évidemment c’est pas ici qu’ils pouvaient se permettre tous les jours de faire péter l’alcool à volonté, en bon patient en voie de rétablissement.

Jetant un coup d’oeil vers la fenêtre, Saigara se met aussitôt à penser à une nouvelle perspective. Est ce qu’ils ne pourraient pas finir la bouteille dehors, caché quelque part derrières les arbres du parc ?

-Hé Anaïs... je savais bien que tu t’ennuierais sans moi, mais maintenant que je suis là, on passe à l’étape supérieur ?


Sans en dire davantage, le jeune homme lui a indiqué du menton, l’extérieur, d’un air enjoué. Plus besoin de s’expliquer à force de complicité, après tout. Leur prochaine destination serait dehors. L’opération serait quelque peu acrobatique, maintenant qu’ils avaient ouvert la bouteille. Noahki a calé la bouteille contre son dos et le dossier de la chaise roulante, avant de rabattre une couverture autour des épaules et de se tenir un peu plus droit que ce que devraient lui permettre les coussins savamment placés de chaque côté de la bouteille. Anaïs marcherait à côté de lui mine de rien et il lui propose de s’enrouler autour d’une couverture pour cacher leur gobelets. Tous deux pourraient prétexter la frilosité en cas de coup de vent –même si aujourd’hui se révélait être un jour ensoleillé et éclatant. Au pire, ce ne serait pas très distingué, mais dans le cas où Anaïs refuse de ressembler à un pauvre réfugié -comme lui-, ils descendraient le champagne sans verre. Et comme Noahki ne veut pas se séparer de ses béquilles salvatrices, il les a coincé derrière son siège pour les emporter dans leur ballade. Parce qu’il était hors de question de ne pas faire le fier, même en ces conditions.

-On va faire un petit tour ! s’exclame-t-il avec un sourire soigneusement composé, au regard amusé des infirmières.

Il laisse également Anaïs rajouter de la crédibilité à leur histoire, en la laissant répondre à d’autres questions passagères des infirmières et docteurs occupés sur d’autres patients. Tout compte fait, leur entourloupe prendra bien feu, puisque personne ne songe à les intercepter pour une inspection rigoureuse. Il faut dire que depuis leur dernière escapade à travers tout l’hôpital, ils se sont tenus plutôt tranquille, contre toute attente. Pourtant, on a toujours entendu dire méfiez-vous de l’eau qui dort...

Une fois arrivé à l’extérieur, Noahki fait rouler prudemment son fauteuil à côté d’un arbre, dans un angle où on ne peut les épier depuis la fenêtre de l’hôpital, ni depuis le parc où reposent quelques vieux du troisième âge au soleil. Au passant c’est amusant, mais même ces derniers, ont souri au passage de ces deux jeunes qu’ils connaissent tous, au moins de vue. Leurs exploits a déjà fait le tour des oreilles.

-Bon allez, deuxième tour !
fait aussitôt Noahki, faisant tomber les coussins et la couverture, -mais surement pas le champagne. Mission complete : toutes les conditions sont réunies pour fêter en toute tranquillité notre rétablissement !

Et puis c'est cool, maintenant que les coussins et les couvertures étaient tombés, ils pourraient même s'en servir pour s'assoir dessus.
Une question de luxe, purement improvisé.




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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptySam 7 Avr 2012 - 15:06

Elle n'y répondit même pas, mais, lui tire la langue à ce qu'il venait de dire, rabat-joie? Oui et alors? Elle en avait le droit n'est-ce pas? Après tout c'est qui, qui avait dû rester dans une chambre toute seule et s'ennuyer? Par contre elle eut un sourire quand il lui dit qu'elle avait géré, oui certes, mais, bon les infirmières s'étaient posé la question toute manière. Mais, bon à croire qu'elles lui faisaient confiance.

" Normale que je gère tu parles de moi là!" Vaniteuse? Clairement que oui ici, après tout elle avait bien le droit de faire comme lui être fier de ce qu'elle est non? À croire que la popularité de Noahki détient un peu sur Anaïs.

Au moins, elle avait réussi à faire discrétion bien qu'elle n'aurait pas pu garder plus de sérieux, si les infirmières étaient restée deux minutes de plus, elle aurait fondu en un éclat de rire, mais, heureusement pour Anaïs, elles étaient déjà partie... Quand elle y repense à cette scène on aurait pu croire voir une scène montée... Ah oui une scène... Quand elle fut sortie de ses pensées, oh une grande bataille? d'un ton bien ironique.


" Tellement héroïque que tu as des blessures pour le montrer." Il était bel et bien en béquille donc logique, n'empêche qu'il devait avoir plus dur qu'elle pour la rééducation, Anaïs ça prenait vachement moins de temps, même si elle était pressée par tout ça. Et surtout d'en finir enfin, oublier tout ce qui s'est passé les mauvais souvenirs, car, les meilleurs étaient en compagnie de son complice légendaire. "tu verras plus tard! Et crie pas comme ça, tu vas faire donner l'alerte des infirmières!"

C'est vrai, ce n’était pas le moment de se faire chopper après tout ce qu'elle avait fait avec Lily... Elle laisse faire le populaire pour ouvrir la bouteille, après tout si on veut qu'il en reste mieux vaille pas confier cette tâche à Anaïs... Elle n'est vraiment pas douée pour ça et encore moins pour ne pas faire de bruit. Finalement il trinque, ouah ça faisait longtemps et ce doux nectar qui entrait tranquillement en elle, ça faisait tellement longtemps qu'elle en avait plus bu, que ça lui faisait du bien, elle en avait assez de boire que de l'eau! Elle qui n'en boit pas déjà énormément, mais, ici à l'hôpital pas trop le choix! Elle eut fini sa coupe de champagne ou plutôt son gobelet qu'elle écoute Noahki.

"A genre tu es incorrigible, mais, ok pour l'étape supérieur!!"

C'est ainsi qu'elle l'accompagne, heureusement qu'ils avaient encor la chaise roulante pour Noahki, sinon elle ne sait pas comment elle aurait pu tout cacher par elle-même, c'est ainsi que ressemblant à un vieux papy assis avec sa couverture sur lui pour cacher, ils marchent enfin un des deux roules... Ils passent ainsi tranquillement devant les infirmières et les autres patients, comme s'il ne savait pas se taire il leur dit encore bien qu’ils aillent faire un tour, Anaïs lui avait tapoté sur l'épaule pour lui dire de se taire, servait à rien de mettre la puce à l'oreille, bien qu'aux regards qu'ont leur lançaient elle avait compris qu’ils pensaient tous à une balade romantique entre amoureux, après tout y a d quoi se poser des questions quand on sait qu'ils ont dormi dans le même lit, elle pourrait encore le faire, mais, même chez lui comme une sœur et un frère, rien que pour le faire chier d'ailleurs. Finalement, Noahki lui montre un coin et enfin ils s’installent. Anaïs avait en sorte que les coussins et la couverture leur servent pour s'asseoir, couverture à terre comme pour faire un pique-nique, les coussins pour être installé confortablement.

"Voilà on est bien là non? Et yes le deuxième tour, à notre soif et à notre rétablissement éclair!!" C'est ainsi que tranquillement ils buvaient leurs verres qui se remplissaiet à chaque fois que l'un ou l'autre n'avait plus rien dedans, parlant de tout et de rien quasiment.

" Moh! Il ne va bientôt plus nous en rester, on aurait dû demander d'en avoir pu à ta sœur. Au fait se tient toujours ton kidnapping dans ta classe?" car, dès qu'elle serait rétablie, qu'ils auraient été un peu en cours, elle risque de vraiment débarqué et de l'emmener tout le monde peut les suivre s'ils veulent. "tiens revenant à notre sujet du: je vais te demander quoi, j'ai trouvé!" Elle le regarde avec un sourire. "pour notre retour à l'établissement scolaire, étant donné que je n'ai toujours pas mes clés de chambre, va bien falloir que je dorme quelque part, donc autant que je vienne dans ta chambre! Tu n'as pas le choix de dire oui toute manière." Ben oui elle revient sur l'histoire des clés encore une fois et pour la troisième fois.
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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptyVen 13 Avr 2012 - 21:14

-C’est ça c’est ça... te monte pas trop le bourrichon non plus, rétorque alors Noahki pour ne pas admettre qu’il vient de féliciter sa complice. Évidemment, rien n’est gratuit, ce serait trop facile. Et après qu’ils aient échafaudé leur plan pour aller sagement picoler à l’extérieur, le japonais échange un regard de sentiment du devoir accompli avant de servir cérémonieusement Anaïs de ce champagne sacré.

-Ouais, à nos heures de gloire, et vas-y, tends le verre !

Bien sûr qu’ils sont biens, là. Comme des rois.
Dommage que la bouteille se vide aussi rapidement... mais il y a tout de même cet effet d’un surtrop de joie quelque part, parce qu’à descendre aussi rapidement un champagne après des mois sans une goutte d’alcool dans le sang, ça fait quand même de l’effet. Pas trop, mais un peu quand même. Ils auraient du quémander deux bouteilles à Lily m’enfin, avec la précipitation du moment, Noahki n’y a pas pensé. Bientôt, la bouteille refuse de leur déverser autre chose que du vide et le populaire soupire, dépité. Les bonnes choses ont toujours une fin trop rapide, décidément.

-Tu crois pas que je parle dans l’air non plus ! Tu t’improvises quand tu veux dès mes premiers cours, je suis ton homme. Mais sois pas surprise si je fais la même à tes cours !

Déjà enthousiasmé à l’idée d’être kidnappé ainsi par une fille en plein cours, Noahki se voit déjà dans le feu de l’action, à éblouir tous ses potes. Et mettre en rogne le prof de ce cours là... mais Saigara n’a-t-il pas déjà fait les 36 coups à tous ses profs ? Populaire incorrigible. Avant même qu’il puisse sortir une demi phrase, ce que lui annonce Anaïs lui fait tirer une tête perplexe... qui se renfrogne un instant avec une franchise qui lui est bien propre.

-Comment ça j’ai pas le choix ! Pas parce que t’as trop apprécié dormir avec moi que tu vas squatter ma chambre ! s’écrie-t-il, s’adossant au tronc d’arbre, confortablement assis sur son coussin. Et puis tes clefs, tes clefs... ça se trouve on me les a volées, c’est pas de ma faute !

Mais bien sûr. En réalité, cette idée là ne lui déplaisait pas, mais pour le simple principe de contradiction, il fallait qu’il s’y oppose avant toute chose. Et de toute façon, il était prévu qu’il emménage pour une colocation chez Kushiki, le capitaine du dojo. Enfin de la boxe, mais Saigara a pris l’habitude de le voir en capitaine du dojo. Il ne savait pas encore comment ça se ferait mais ce serait sans doute en application dès ses premiers jours en retour de l’école. La raison de ce déménagement était peut être surprenante pour certain-es, quand on sait que Saigara apprécie être entouré. Mais à force de l’être et de faire la fête tous les soirs, ses notes avaient pris un tel coup qu’il s’était vu offrir un choix contraignant par ses parents : monter en année supérieure ou alors arrêter les études et partir dans les forces défense du pays. Or Saigara avait peut être envie de tout sauf de rentrer dans un truc ressemblant à l’armée ; de là, il avait prit l’importante décision de s’éloigner du lycée, pour se consacrer –en théorie- à ses études le soir. Ainsi, il ne logerait plus tous les jours à son dortoir –que passablement toute l’académie devait connaître- et emménagerait en douce chez Shiro. Incognito.

Il imagine déjà la tête de son coloc s’il se ramène dès le premier soir de colocation, avec une fille. Quoique ce serait un coup à tenter tiens donc. Et à y réfléchir, les premiers soirs, il ne les passerait pas à la coloc mais au lycée. Jetant un regard de biais vers la jeune fille, Noahki fait mine de réfléchir.

-Je vis dans un dortoir de mecs, t’es consciente ou tu as déjà trop bu?


Avec Swanster et depuis peu, Mashimoto... Et avec son entrée déjà attendu à l’école plus la fameuse française à ses côtés, ils feraient une entrée fracassante quand toute la bande apprendrait que la fille partage la même chambre que lui.

-Quoique vu le train des rumeurs...

Sûr qu’à l’école, ça criait déjà que LA copine de Noahki c’est Anaïs Leroy.

-Parce que tu crois qu’on te laissera tranquillement pieuter dans ma chambre ? Je suis Populaire, moi, madame, a finalement conclu le populaire tout seul, se donnant de trop grands airs pour le peu qu’il est en réalité. Pas vraiment tourmenté par cette question, il a eu un air enjoué. –Tu diras que t’es tellement fan de moi que je t’ai autorisé à partager ma chambre, un truc dans le genre, ça peut marcher ma foi !

Sa foi.

Avec un rire joyeux, Noahki se rappelle encore une fois combien il a hâte de sortir de cet hosto et –entre parenthèse- d’embêter Anaïs même après leur sortie.

-Déjà, tu te remets ton épaule et on en reparle ensuite! Bon sang, y a vraiment plus de champagne !

-

WE'RE COMING HOME

Des semaines plus tard, premier jour au lycée.
Accoudé paresseusement sur son siège, Noahki est en train d’écouter –d’entendre- vaguement le professeur de géographie en train de leur déballer la carte de l’europe avec une passion dévouée. Il avait fait son coming back en fin de matinée en compagnie d’Anaïs, et limite si la marée d’élèves ne l’avait pas renversé lui et sa béquille triomphante. Des questions, des bruits, des cris de joie tout un brouhaha pour le retour de Saigara. Il avait dit qu’il retrouverait Anaïs plus tard à la fin des cours parce qu’évidemment, elle l’avait tanné avec son histoire de clefs perdues et que ces fichues clefs, Noahki n’avait plus la moindre idée d’où elles avaient pu lui échapper alors qu’il en avait la responsabilité. Et la journée était passée plus vite que prévue et tout un groupe lui gravite encore autour, alors qu’il s’apprête à contourner le portail pour regagner la cour de l’université.

En attendant, tout au long de la journée il avait eu droit à des questions sur tout un tas de trucs, dont Anaïs dans le lot, évidemment. Il avait suffit d’un sourire mystérieux en seule guise de réponse à la question de la nature de leur relation pour que les bruits se confirment sans raison. A la fin de la journée, il s’était soit disant passé tout un tas de trucs entre Saigara et Leroy que ça en devenait outrageant.

-Tu vas où là Saigara ?

-Nulle part. J’attends Anaïs.

Et pourvu qu’elle ne tarde pas.
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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptyVen 20 Avr 2012 - 22:00

" Ouè admet que tu m'as félicité un point c'est tout!" un donné pour un rendu, pourquoi changer les habitudes hein? ça ne servirait à rien surtout avec c'est deux là, à quoi bon c'est peine perdu surtout quand ils étaient partis dans leur délire, leurs délires du moment, échafauder le plan pour sortir de l'hôpital en douce avec une bouteille de champagne ouverte et des verres, et en plus c'est qu'ils ont réussi donc c'est parfait, une fois bien installer ils allaient enfin pouvoir cuver et pas qu'un tout petit peu ahah ah.

" Yeah!" et les voilà en train de picoler comme deux soulards, sauf que malheureusement avec une bouteille elle se finissait bien trop vite et après même pas 20 minutes de cuvage de ce délicieux nectar qu'il était déjà vide et encore vide, décidément, ils n'ont pas de chance nos amis ici...

" Mais, je t'en prie vient me délivrer aussi de mes cours!" L'histoire de débarquer en plein cours était toujours d'actualité, toute manière même si elle ne l'avait pas été Anaïs ne se serait pas gêné pour le faire de toute manière, quand elle dit qu'elle fait quelque chose elle le fait même si ça doit durer des jours voir des années, bon d'accord un peu peut-être exagéré là des années, mais bon on s'était jamais hein. Finalement, elle réussit à lui tirer une autre tête que d'habitude elle ne l'avait pas encore vu comme ça et dans un grand sourire l'écoute, mais, réplique aussi vite que l'éclair qui éclate en plein ciel.

" Pas le choix, c'est moi qui choisit, c'est moi qui ai gagner le pari! Donc je dis et tu fais tout simplement!" interdit de riposter elle venait de bien lui faire comprendre, s'était s'en appelle et elle tiendrait bon, elle peut être une tête brûlée lorsqu'elle le veut! "Ben voyons facile à dire sa volée... Enfin bref, dans un sens grâce à ça on sait trouver!" S'il ne comprenait pas tant pis pour elle, car, il n'y avait pas d'amour entre eux, mais une complicité qui s'était créée et cette complicité Anaïs ne la lâchera pas du tout

Tiens d'ailleurs maintenant qu'elle y pense, elle va dormir ou en sortant de l'hôpital hein! Elle va aller où elle la pauvre, voilà un nouveau dilemme de plus pour elle, elle devra dormir à la belle étoile, ben ça il en est hors de question, elle se faufilera dans le dortoir de Noahki et squattera son lit avec lui au pire s'il est dedans! C'est alors qu'il lui dit un truc pertinent, mais, qu'Anaïs n'en a rien à foutre en gros, les mecs? ça la connaît trop bien, déjà avec deux frères, mais en plus le fait qu'elle a tout ce qu'elle veut, elle n'aura pas du mal de se faire discrète dans les dortoirs des mecs, qui voudrait balancer une bombe comme Anaïs au surveillant hein?[ Elle le regarde avec un sourire et dit:


" Et dortoir mec s'est censé me faire peur? Rien à foutre je viendrais squatter, je suis sur que tes autres colocs n'y verront aucun inconvénient à ce que je sois là mais en plus à garder le secret!" En effet, les rumeurs devaient aller de bon train maintenant autant les accroître un peu non? "tout à fait alors un peu plus ou un peu moins s'en fiche dans un sens. Alors, là je crois pas fan de toi? Non met et puis quoi encore! là tu peux toujours rêver mon coco!"

Comme si elle dirait ça et qu'elle ferait croire ça, elle a sa fierté tout de même, faut pas abuser aussi...

Retour au pensionnat...


Voilà, ils étaient enfin rentré au pensionnat, bien sur ce que Noahki lui avait dit, s'était avéré vrai, une foule comme pas deux, des gens qui posaient des questions et qui l'étouffaient, elle s'était remise de son épaule et n'avait quasiment plus rien d'ici un mois elle pourrait recommencer le sport, mais, la marée d'élèves qui étaient arrivée à leur rentrée l'avait énervé au plus au point, elle détestait d'être entourée comme ça... Si bien qu'elle avait très vite trouvé une échappatoire, lorsque Noahki avait dit-on se rejoint après la fin des cours. Si bien que ses cours avaient très vite passé... Et on en plus on l'avait dispensé de sport donc tranquille et fini avant les autres universitaires.

Finalement, elle tourne et qui elle voit Noahki, il était dos à lui, il avait l'air de parler avec quelqu'un et pourtant elle ne va pas se gêner pour les interrompre bien sur. C'est ainsi que silencieusement elle vient par-derrière et lui ébouriffe les cheveux avant de lui donner une petite tape dans le dos.


" Alors le boiteux comment va depuis ce matin!" quoi ils étaient potes non? Puis avec toutes ses rumeurs autant les mettre de côté pour le moment, elle regardait son autre interlocuteur et lui fit signe de la main en disant un Yo, ouè là on peut dire qu'elle faisait plus pote que soi-disant la petite amie de Noahki.

" Alors mon chéri on m'attend c'est bien! Tu es près j'espère!" quoi? Elle pouvait bien en rigoler un peu non? Puis plus elle sera dedans et plus ils leur flouteront la paix par la suite, plus elle va vouloir se justifier et plus ça va empirer alors autant ne rien faire. Puis elle le regarde et regarde son interlocuteur, il devait déjà savoir qui elle était.
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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptyDim 22 Avr 2012 - 21:06

-Tiens, la démontée de l’épaule, c’est pas trop tôt, s’interrompt Noahki en se retournant alors qu’une main lui ébouriffe les cheveux. Trop tard pour esquiver. De toute évidence ils n’avaient rien en commun à part cette complicité née des temps dures à l’hosto. Enfin... pas si dure que ça, cette période, quand on sait qu’elle aurait pu être bien pire que ce que Saigara a vécu. Entre lui et Leroy, c’est une synergie, à ne jamais vouloir s’avouer vaincu pour la moindre phrase au pire des défis. D’ailleurs, Noahki fusillera Anaïs du regard lorsqu’elle fera remarquer tout haut qu’elle est contente qu’il l’attende. Tiens donc ! Depuis quand il se donne des airs de toutous à attendre son proprio ?

-Prêt pour quoi ? demande une des filles du groupe, devançant Noahki, qui lui, s’apprête à rétorquer au sujet de l’attente.
-Vous allez où en fait?

Déjà noyé par les questions, Saigara a eu un air amusé par le train des choses qui constituent son quotidien. Mais au delà des questions et rumeurs suspectes, le japonais a secoué la tête devant le malin plaisir que prend sa complice pour alimenter les bruits qui courent. Comme quoi, cette popularité, elle s’y ferait, il se l’était déjà parié. Laissant à la française répondre aux questions, il a entamé quelques béquillées plus loin.

-Tu rêves ! C’est pas toi que j’attendais ! glisse-t-il discrètement vers Anaïs avec un air qui se veut aussi menaçant que persuasif. Pour lui rejeter la perche sur la figure, avec un grand sourire et mine de rien, il rajoutera tout haut, et où comptes tu te poser sans ma bonne volonté?

Et alors Noahki se rend compte de sa boulette trop tard, en espère maintenant qu’Anaïs ne révèlerait pas clairement l’endroit où elle irait se poser. Parce que c’est vrai qu’il devait l’héberger chez lui pour un petit temps, jusqu’à ce qu’elle puisse avoir un abri où loger. Un hébergement modeste, mais forcément brillant quand on avait conscience qu’il ne s’agissait autre que du dortoir de Saigara. Le populaire se demande ce que cette généreuse et bonne volonté va drainer derrière : est ce qu’après Anaïs, il allait devoir faire face à toute une horde de demande de même nature ? Parce qu’à coup sûr, c’est peut être chouette, mais ses colocataires à lui, finiraient par lui péter un câble dessus. Il devrait alors y méditer plus longuement.

En attendant, oui, il avait donné rendez vous à Anaïs pour ce soir, non, il n’avait pas prévu de se retrouvé coursé à la suite des cours, par autant de personnes. Et à coup sûr, s’il installait Anaïs directement dans sa chambre, au moins la moitié du groupe les suivraient jusqu’à son dortoir, pour au moins pouvoir avoir le plaisir de confirmer les rumeurs étranges à leur propos. Évidemment, on n'hésiterait pas non plus à vouloir s'incruster dans ce petit dortoir pour prolonger les discussions qui servent à rien. Bien. Hors sujet également, vu que c’était leur première journée de coming-back, pas question de ne pas se finir le petit verre à leur santé plus ou moins déjà entamé à l’hosto l’autre jour. Enfin... la réalité c’est que les populaires –en majeur partie- lui avaient eux-mêmes prévu cette soirée, sans que Noahki ait le moindre petit doigt à lever. Bien qu’il était clair que Saigara ne pourrait pas vraiment s’agiter du haut de ses béquilles, il pourrait bien inclure Anaïs à partager un petit verre. Qui au passant serait forcément plus festif qu’à l’hosto, sans aucun doute. Pensée à part, à tous les coups, cette blonde aux yeux verts qu’il ramènerait dans le club des populaires ne pourrait pas inaperçue. En tout cas, ses potes à lui, aimaient bien les européennes. Bref.

-Bref ! Ouais je suis prêt. On y va ?

Tôt ou tard il le faudrait, tant pis pour les bruits.

La première étape serait que sa complice s’installe dans sa chambre. Ce qui déjà, serait une opération délicate. Déjà dans le groupe affublé autour, Noahki entend des questions comme ce qu’est la nature exacte de leur relation. Une question de fille ça. Encore. Et tout en discutant tantôt avec Anaïs, tantôt avec d'autres, le japonais a fini par arriver devant le bâtiment de son dortoir, pas si loin que ça en réalité, mais qui, avec les discussions, lui prendra plus de temps que prévu.

-Mademoiselle veut se poser, cette journée l’a éprouvée, a alors fait Noahki en prenant un grand air d’empereur. On se rejoint plus tard ?

Maintenant faudrait voir si ça irait dans son sens où s'il faudrait s'y prendre par la force ou par la ruse pour ne pas se retrouver à cinquante dans son pauvre dortoir. Jetant un coup d'oeil rapide vers Anaïs, Noahki a comme fait passer un message genre: "et toi, trouve quelque chose à dire, c'est toi la rebelle!! " Après tout, complice avait aussi ce rôle, non? Quoiqu'avec cette fille, Noahki préférait ne plus préétablir de fait parce que leur complicité semblait toujours vouloir défier la notion de catastrophe. Bien...

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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptyJeu 26 Avr 2012 - 17:55

" oh! Du respect STP! J'ai des cours importants moi!" Et ben entre universitaire où lycée il y a eu une grosse différence, alors autant le mettre encore bien en vue n'est-ce pas! Autant montrée très vite qu'elle n'est pas du genre à changer d'embarquement une fois la décision prise. Puis s'ils continuent tous les deux comme ça, va-y en avoir encore des rumeurs, autant les attiser encore plus! Anaïs aime voir cette situation, elle en rigole même.

Finalement, Anaïs n'aura eu que très peu de silence, car, rien que sa phrase avait déjà soulevé des réactions, et ben c'est déjà mal parti à ce qu'elle voit, elle qui voulait être tranquille depuis son retour ici c’était louper, et ses questions, non au secours ça ne va pas être comme ça toute la journée, enfin plus la fin de la journée. Oh il veut faire le fort et le fier devant ses amis? Anaïs risque de prendre un malin plaisir à ce jeu.


" Mais bien sûr, on va te croire!" On voudrait avoir le dernier mot? C'est encore une fois mal parti ainsi avec ses deux là, Anaïs applaudit la bêtise de Noahki qui vient de lâcher un indice qui en dirait long encore une fois sur ce qu'ils voulaient faire... Anaïs eut un petit rictus tout de même, en regardant la tête de ses amis à lui. Mais, alors qu'ils commençaient à avancer, qu'est-ce qu'elle voit? Ils les suivent? Ah non mais hé ho c'est quoi ce bordel? Elle n'a pas besoin de toutous qui la suivent aux fesses, elle regarde Noahki d'un regard noir. Enfin, bref finalement elle ne s'y ferait pas à cette popularité, mais, alors vraiment pas... être suivi tous les jours comme ça par des gens? Non quelle horreur elle ne ferait pas de cauchemar oui! Bref, elle n'avait pas trop le temps de se poser des questions, mais, ce qui est sur c'est qu'elle risque de ne pas se taire et quand Anaïs est comme ça, mieux vaut ne pas être son ennemie.

"Oui je suis prête! Go!"

C'est ainsi qu'ils ont enfin bougé de place, mais, suivis du groupe de Noahki la chance qu'elle a franchement... Non, met et puis quoi encore . Elle voulait être tranquille, déjà qu’on l’avait quasiment harcelée ce matin lorsqu’elle avait quitté Noahki, même les universitaires connaissaient le fameux Noahki, la galère à géré tout au long de la journée, si bien qu’elle en avait déjà bien reclapé et sa nervosité était montée d’un cran, avant de descendre au plus bas, tellement qu’elle en avait marre.

Donc suivie du groupe où elle commençait vraiment à en avoir marre, on dirait le genre de star poursuivi par ses fans… Non en fait ce n’est pas on dirait c’est le cas ! Finalement, après avoir marché un peu, ils se stoppent et Noahki né put s’empêcher d’avoir son air bien plus supérieur à les autres. Pourquoi plus tard ? Là elle n’avait pas spécialement compris, mais, par contre son regard en avait dit long, il fallait qu’elle trouve quelque chose et vite. C’est alors qu’elle regarde le groupe, elle se met à hauteur de celui-ci, les regardent et entame.


"Allait les bouches trous on dégage de là maintenant ! Sir Noahki veut se reposer et moi de même, allait basta illico presto!"

Pas d’autres choix pour eux que de déguerpir, Anaïs y a peut-être été fort, mais, pour elle qui s’est retenue toute la journée de ne pas pêter réellement un câble, ici ça lui avait donné l'occasion de le faire, et, encore elle a encore été gentille avec eux… Elle les a supporté, si bien que les têtes du groupe avaient littéralement changé. Si bien qu’elle fit un regard noir, qu’est-ce qu’ils veulent une photo d’elle peut-être?

"Allait oust ! Noahki et moi avons des choses à réglé si vous voyez ce que je veux dire…"

Le gros sous-entendu qui a dû sûrement faire bien t’il dans la tête des autres, mais, au moins ceci avait réussi, car, certains commençaient déjà à s’éloigner et Anaïs en était ravie, quand elle regarde Noahki et hausse les épaules comme pour dire, quoi j’ai faits quoi encore?

"Quoi ? tu as voulu que je fasse quelque chose c’est fait maintenant !"
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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptySam 28 Avr 2012 - 17:47

-Et moi donc j’en ai pas des cours importants ! se met à japper Noahki, plissant du nez. Entrée fracassante d’Anaïs Leroy. –Bon c’est bon on y va là !

En tout cas, si Anaïs n’était pas habituée à être entourée d’un troupeau de populace, elle n’en laisse rien paraître ; et puis cette franchise d'effrontée lui va bien, il faut l’avouer. Toujours est-il qu’elle doit quand même avoir les nerfs depuis ce matin, à être limite papparaziée partout où elle va. Malheureusement, elle devrait vite se faire à l’évidence : ce serait comme ça tous les jours, du moins si elle continue à côtoyer Saigara d’aussi près. Surpris par l’air menaçant qu’elle se met à prendre, le populaire s’est retenu de s’esclaffer en lui lançant une bourrade sur l’épaule : Et surtout... Sir Noahki, elle a dit ? Déjà bien amusé par l’idée qui lui trotte déjà en tête, le jeune homme la laisse péter un câble sans la reprendre.

Bientôt, toute la bande s’éparpille, par ci et par là, murmurant tout et rien à la fois sur leur compte. C’est une fois sûr qu’ils soient tous partis, que Noahki s’est retourné vers la rebelle, un air joueur bien lisible sur ses traits.

-Hé mais j’ai rien dis, arrête de m’agresser ! Tu les a tous impressionné, je crois. Au passant, excellente idée Anaïs : je t’en prie, appelle-moi Sir Noahki maintenant, je pense que j’aime pas trop mal, déclare-t-il d’un air solennel, à défaut de pouvoir lui poser une main sur l’épaule. Essayant d’imaginer cette fille en train de lui donner du Sir Noahki a quelque chose de totalement décalé et inimaginable. En toute honnêteté, le jour où elle l’appellerait ainsi, fini la complicité, il passerait son temps à la fuir.

-Alors cette première journée ?

Montant les marches une à une, le japonais continue à passer la série de portes qui longent le couloir, avant de s’arrêter devant la 206. Ouvrant la porte d’un geste aussi magistral que possible lorsqu’on est en béquille, le jeune homme a mis un moment avant de franchir le seuil. Il avait dépêché quelques heures plus tôt des personnes pour ramener ses affaires et cadeaux reçus à l’hosto dans sa chambre, mais lui-même n’y avait pas encore reposé pied depuis l’accident.

-Bon. Là bas, c’est le lit de Swanster, l’autre, de Mashimoto. Là, c’est ma place, indique-t-il, se rapprochant de son lit contre le mur, avant de pointer le sol au pied de son lit, ...et toi, tu dors là ! Ou sinon dans la baignoire. Quoi. Non ?

S’asseyant lourdement sur son lit, le populaire lui envoie un malin sourire découvrant toutes ses dents. Ça fait toujours du bien de revenir par ici... toutes les tentatives de soirées sous l’inattention du pion, dont certaines ont pris le jeu, d’autres échouées, toutes ces filles qui tentent de s’agglutiner autour de la chambre 206 pour attirer le regard des populaires qui l’habitent.

-Sir Noahki t’autorise néanmoins à t’assoir à ses côtés, fait alors le japonais, tapotant le matelas. –Tiens, tes affaires aussi sont déjà posées ici! Tu sais quoi? Et bien sans moi, je sais pas ce que tu ferais. Franchement.

Effectivement, les gens qu’il avait quémandé pour cette transition hosto/dortoir, avaient visiblement tout embarqué pour le poser à l’unique adresse existante. Bon, pourquoi pas, au moins c’était chose faite. Entre temps, il ne s’étonne pas de l’absence de ses colocataires ; à vrai dire, il arrive qu’ils ne se croisent pas du tout durant des jours durant. Peut être qu’avec un bon timing, il pourrait squatter le lit de l’un ou de l’autre s’il s’avère vide. S’étirant, Saigara a lâché un bâillement paresseux.

-Tu sais qu’il y a une petit truc organisé ce soir ? Tu veux venir ? Parce qu’en attendant... si tu vas voir le frigo, là bas, on a de quoi trinquer avant l’heure.

Pour le confort, Saigara avait fait commandé un petit réfrigérateur dans la chambre ; toujours utile pour y caler quelques bouteilles de ci et ça. Evidemment, c’était pas tellement autorisé, mais le japonais n’a jamais été l’élève modèle à suivre.

-Le sir Noahki t’autorise aussi à faire comme chez toi.
a-t-il conclu, comme s'il faisait une énorme concession.

Encore avec son air d’empereur.
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MessageSujet: Re: L’équation de la Catatrophe   L’équation de la Catatrophe - Page 3 EmptySam 19 Mai 2012 - 20:03

" Mes bien sur, moins important que les miens je te dis!" Elle n'en démodera pas, car, après tout c'est qui, qui avait doublé? Pas elle qu'elle sache, mais, bien se populaire aux grands airs devant ses potes ou plutôt son peuple, oui elle voyait Noahki comme le roi et les autres ses sujets c'était vraiment ça en les observant bien et mieux. Déjà pas de très bonnes humeurs dues à l'attroupement qui se faisaient le matin alors ce n’est pas le moment de la serrer, elle détesterait ça.

Si bien qu'elle se mettait sur le côté gauche de Noahki, elle ne supportait pas qu'on la coince comme ça et les questions qui se faisaient encore et encore, elle n'y prêtait même plus attention, elle en avait assez et allait vraiment pêter un plomb, quoique ça pût être marrant en la voyant comme ça non? Noahki ne l'a pas encore vu pêter un câble au si haut point. Non juste son caractère de merde qui était complètement un peu celui de Noahki. Une fois tous partirent lorsqu'elle avait enfin montré son véritable visage, elle se retourne vers lui quand elle entend Sir Noahki, elle le regarde en haussant un sourcil.


" Et puis quoi encore? La lune, non, mais, tu rêves éveiller mister, ta cas demander à ton troupeau de vaches de t'appeler comme ça." Oui, vous avez bien entendu elle a dit troupeau de vaches, après tout c'était ça non? Un troupeau qui suivait son chef? Rien que d'imaginer ça elle était vraiment entré de rigoler en elle, si bien qu'elle souriait. Bref, reprenons où ils étaient! Long soupire.

" Un calvaire cette journée j'en suis tellement épuisée qu'on pourrait croire que je suis passée sous un rouleau compresseur, non met comment tu fais pour supporter ça? Et des blabla par-ci et des questions par-là et des attroupements que je dois quasiment fuir en courant! Sinon à part sa moue ça pourrait aller et toi ta journée? En tout bon populaire comme d'habitude je suppose?"

Déjà pourquoi elle demandait ça vous allez me dire? Elle doit bien se douter que lui ça ne le dérangeait pas être le centre du monde pour lui s'était parfait. Tout en le suivant elle regardait à gauche et à droite, quoi peur de se faire prendre? Mais, non pas du tout il faut bien qu'elle repaire tout de même elle risque d'y passer un petit moment dansa chambre. Quand il se stoppe devant une porte puis l'ouvre et passe enfin le seuil tout en lui expliquant qui dort ou, elle le regarde et dit:

" dommage pour toi je compte bien t'emmerder encore un peu et dormir avec toi, la baignoire ça fait trop mal, même en ayant fait une soirée bien arrosée, donc impossible, pas de bol tu devras me supporter dans ton lit!" franchement pour ça elle s'en foutait, elle avait déjà dormi avec lui dans le lit de l'hôpital, alors ici ou ailleurs c'est pareil pour elle, ce n’est pas comme s'il se passait un truc entre eux, juste de la complicité qui grandit de jour en jour. Lui répondant du tac au tac.

"Ouè c'est ça et la rebelle te dit que tu vas t'en ramasser une à force de t'appeler Sir!" quelle idée tout de même, par contre elle ne perdit pas une minute, elle fit comme chez elle, après tout ça risque de l'être pour quelques jours au moins, elle regarde la pièce voyager un peu, quand il parle du frigo comme un aimant elle s'y dirige directement.

" Magnifique tout ça, y a de quoi être bien entamé et bien sur que je viens à votre soirée, non met sans moi y a pas de soirée." Lui fou une tape sur le derrière de la tête. "arrête avec tes Sir tu me casse les pieds."

Elle le regarde, puis s'assied à côté de lui, tout en se couchant sur le dos. "et tes colocs ils en pensent quoi de tout ça? Quoi que ça peut s'arranger s'ils ne veulent pas." Faisant craquer ses doigts pour montrer que la manière forte est toujours la meilleure, mais, la douce et la séduction aussi peu très bien fonctionner.

" Et cette soirée? C’est en l'honneur de qui où de quoi? Quant à quelle heure?" Le regardant toujours couchée sur son lit. Mains sur son ventre.

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