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 Lubie d'Ange. [PV Lewis]

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MessageSujet: Lubie d'Ange. [PV Lewis]   Lubie d'Ange. [PV Lewis] EmptyDim 25 Déc 2011 - 1:23

  • Il faisait déjà nuit sur la ville de Keimoo. Deux heures du matin, tous dormaient à poings fermés. Tous, sauf quelques exceptions. Sharwyn faisait partie de ceux là. Voila des heures qu’elle tentait en vain de trouver le sommeil. Autrefois, son mal était uniquement mental. Sa vision de la perfidie de ses violeurs de jeunesse lui revenait sans cesse, l’empêchant de fermer l’œil. Mais maintenant, le mal était double. S’ajoutant à ses cauchemars et flashbacks incessants, une fièvre de cheval était apparue il y a de ça deux jours. La femme n’en pouvait plus. Le premier jour de sa maladie, ce fut l'infirmier qui s’occupa consciencieusement d’elle. Mais au bout de 24 heures d’attentions douces et chaleureuses, la belle dut se résigner à renvoyer l'homme d’où il était venu. En effet, malgré toute sa bonne volonté, il n’était pas parvenu à tirer Sharwyn de sa fièvre définitivement. Cette dernière allait et venait par crises intermittentes. Ça devenait insupportable.

    Sharwyn soupira en y repensant. Elle en avait marre, de tout ça. Marre de ses cauchemars incessants et de l’image affreuse de ses bourreaux se passant le morceau de viande. Marre de cette fièvre atroce qui la clouait sous ses draps, avec interdiction formelle de bouger. Marre de vivre, tout simplement, également. Chose qui n’était jamais arrivé à la belle. Même après tout ce qu’elle avait enduré, elle était restée forte, elle avait continué à aimer la vie. Mais là, rien ne semblait la tirer de la torpeur dans laquelle elle semblait s’être glissée il y a de ça des mois déjà. Une somnolence qui l’emmenait au pays des rêves, au pays de Morphée, un paradis cotonneux qu’elle aimerait ne plus jamais quitter. Et s’il suffisait de se trancher les veines pour retrouver à tout jamais ce paradis ? C’était une question qui effleurait l’esprit peu sain de la belle enfiévrée.

    Étouffant de chaleur sous ses draps, trempée de sueurs froides, qui glaçaient ses reins et faisaient claquer ses mâchoires, elle décida de passer à l’acte. Lentement, elle s’extirpa des draps blancs qui la retenaient prisonnière de son lit, et ses jambes passèrent en position verticale. Ses plantes de pied épousèrent parfaitement la moquette, alors qu’elle poussait faiblement sur ses bras pour soulever sa maigre masse. Elle chancela un instant, debout sur ses jambes tremblantes, avant de lâcher le lit. Puis elle gagna à pas de loups le hall de l'école. Son idée ? Mourir près de son piano, son Monstre Noir caché dans la pénombre de la salle de musique. Oui oui, elle divaguait complètement. Ses quarante degrés de fièvre lui faisaient perdre l’esprit.

    Elle tituba longuement, courageusement pour descendre les escaliers en spirale, sans faire trop de bruit. Mais la salle était située assez loin de là où elle se trouvait. Dans un soupir, elle entama sa marche mortuaire. Au bout de dix minutes, d'une marche d'une lenteur démesurée, elle était déjà morte d'épuisement et de froid. Quelle idée de se trimballer en robe atrocement courte, d'été, d'une blancheur immaculée ? Arrivée à la moitié de son périple, elle s’arrêta, chancelante. Son regard se fit vitreux, et une bourrasque de vent souleva un pan de sa robe fine, laissant entrevoir le cran d'arrêt fiché contre sa cuisse, bien logé dans son étui. L'arme n'avait encore jamais servie.

    Ses jambes se dérobèrent brusquement, alors qu’elle tentait de continuer sa marche jusqu’à la vieille salle, traversant la cour. Elle s’écrasa contre le bitume froid, sa robe d’un blanc laiteux, flottant en ondulations gracieuses autour de son corps inerte. Ses jolies boucles suivaient le tracé de son vêtement peu épais, alors que la femme semblait expirer sur le dallage, le vent s’attaquant à ce corps vulnérable et enfiévré, secoué de frissons accompagnés de râles de douleur, qu’était celui de Sharwyn.

    Apparemment, c'était pas ce soir qu'elle jouerait du piano.
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Lewis McAlister
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MessageSujet: Re: Lubie d'Ange. [PV Lewis]   Lubie d'Ange. [PV Lewis] EmptyLun 26 Déc 2011 - 15:22


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I've got a really bad disease

 


Deux heures du matin. Normalement les élèves de l'academie dorment à cette heure-ci. Mais il y a quand même quelques exceptions. Certains se réveillant en pleine nuit d'un cauchemar qui ne les feront pas retourner dans le sommeil avant quelques heures. Tu es de ceux-là. Tu t’es réveillé il y à cela d’une heure. Tu te trouves assis sur ton lit, une main dans tes longs cheveux roux. Tu n’avais pas refait ce rêve depuis de nombreuses années. Depuis que tu étais au Japon, tu n’avais pas rêvé de SA mort. Pourquoi ce soir-là ? Tu ne sais point. Ce soir-là, Dieu t’en veux. Il t’en veut de ne pas l’avoir sauvé. Tu aurais dû être là. Tu aurais dû arriver à temps. Tu t’en voudras à tout jamais. Pour te rassurer tu penses qu’il est mort d’un suicide. Ou d’un accident. D’une maladie. Mais d’un meurtre, non. Cela ne te viendra même pas à l’esprit. Pourtant, tu revois ce sang qui recouvre le sol froid de la salle de bain. Scène proche d’une scène de crime. Non tu n’aurais jamais pensé cela. Mais as-tu une preuve qu’il s’agit d’autre chose qu’un meurtre ? Une boite de médicament retrouvé sur le lavabo pour prouver le suicide ? Ou bien des poignets aux veines coupées ? Non. Rien que du sang et un regard étonné que tu voyais dans les yeux de ton frère. Comme si quelqu’un qu’il n’aurait jamais cru revoir se trouvait dans la pièce. Non. Tu n’aurais jamais pensé cela.

Tu secoues la tête et te lève de ton lit difficilement. Tu as dormis habillé cette nuit. Comme si tu savais que tu n’arriverais pas à te rendormir. Comme si tu savais que tu allais faire ce rêve-là. Tu ne savais pas que tu étais devin. Tu es habillé d’un simple t-shirt et d’un simple jean rapiécé. Comme à ton habitude. Tu ne fais jamais d’effort vestimentaire. Sauf en cas d’exception. Ce qui arrive très rarement. Tu enfile un simple manteau en cuir noir. Tu ne dormiras pas ce soir. Même si tes yeux sont cernés et rouge, conséquences d’un manque de sommeil. Tu dormiras mieux le lendemain. Cela t’ai égale que tu sèches un cours. Tu t'empares d'un paquet de cigarette posé sur ta commode que tu ranges dans une des deux poches et ton briquet. Il fait froid dehors. La buée sur la vitre de la fenêtre te le confirme. Tu auras froid en sortant mais tu n’en a que faire. La cigarette, ta vieille amie de toujours, sera là pour te réchauffer. Une photographie attire ton attention sur la commode à l’autre bout de la pièce. Tu t’en empare non sans avoir jeté un bref coup d’œil attristé et la range dans ta poche. Une fois ceci fait, tu sors dans les couloirs, en fermant à clef au passage. La lumière automatique du couloir s’allume lorsque tu te diriges vers la cour de l’académie. Une fois à l’extérieur, tu es étonné par le manque de lumière. Seule la lune arrive à éclairer ton chemin. Heureusement grâce à elle. Car tu as bien failli ne pas voir le corps étendu sur le sol. La lune éclaire une jeune fille étendue sur le ventre, habillée seulement d’une courte robe blanche. Elle ne bouge pas. Tu fronces les sourcils, te demandant bien ce qu’elle faisait à cette heure-ci et habillée de la sorte à dormir dehors. Mais tu comprends qu’elle ne dort pas. Qui dormirait à l’extérieur par cette température hivernal ? Personne. A part des SDF. Mais il n’y a pas de sans-abris dans cette école. Du moins, il n’en connaissait pas. La jeune fille qui se tenait étendue sur le sol était loin d’en être un.
Mais que fait-elle ainsi par terre.

Tu t’accroupis à sa hauteur et lui prend la main. Celle-ci est gelée. Tout comme l’était celle de ton frère. Etait-elle morte ? Tu secoues la tête pour t’enlever cette pensée morbide de la tête.

Tu te souviens des gestes de premier secours qu’on t’avait appris au collège. Ta main dans la sienne, tu commences, inquiété :



Hey ! Tu m’entends ? Si oui, presse ma main.


Aucune réponse ne te vint en retour. Tu lâches sa main et t’empresse de la mettre sur le dos. Ses yeux sont fermés. De ses lèvres sortent des gémissements de douleur. Tu poses ta main sur son front. Celui-ci est brûlant. Comme le tien il y à cela quelques minutes lorsque tu t’es réveillé. Tu la prends dans tes bras et cherche du coin de l’œil un endroit où la poser. Tu remarques un banc à quelques pas. Tu te diriges vers celui-ci et la pose sur le dos. Tu enlèves ensuite ton manteau avec lequel tu t’empresses de la border. Tu sors de ta poche une cigarette que tu allumes et tire une bouffée en attendant qu’elle se réveille.
 







Spoiler:


Dernière édition par Lewis McAlister le Ven 1 Nov 2013 - 23:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Lubie d'Ange. [PV Lewis]   Lubie d'Ange. [PV Lewis] EmptyJeu 5 Jan 2012 - 16:37

  • Le froid qui s'emparait chaque seconde un peu plus de ses muscles fins et tremblotants. Ce seul lampadaire qui éclairait faiblement son corps étendu sur les dalles. Le vent qui s'engouffrait dans les pans de sa robe légère, d'un blanc laiteux. Pas un bruit. Cela aurait pu être une mort douce. Dans la quiétude et le respect du corps qui s'ankylose. Mais, un peu comme tout ce qui régissait la vie de la belle, là aussi ça échoua. Plus de tranquillité. Plus de solitude. Plus de silence.

    Au lieu de ça, un contact physique. Au niveau de la paume. Ça brûle... C'est donc un homme. La belle est inconsciente, aussi amorphe qu'une poupée de chiffon. Mais elle ressent tout, entend tout. Ce contact embrase littéralement sa main, mais elle est incapable de bouger ou d'émettre le moindre son. Elle aurait voulu pouvoir hurler et se débattre, mais tout ce qui sortit de ses lèvres entrouvertes, ce fut un léger gémissement plaintif.


    "Hey ! Tu m’entends ? Si oui, presse ma main."

    Une voix suave, profonde, un poil rauque. L'homme avait des intonations qui laissaient penser que lui aussi était tourmenté en cette nuit glaciale. Elle aurait voulu presser, même écraser les phalanges de cette main qui osait prendre la sienne. Elle bouillonnait de l'intérieur mais ne pouvait que rester immobile... Prisonnière de son propre corps transi de froid et frôlant l'hypothermie. Le contact se rompt. La voila qui roule doucement sur le coté, puis sur le dos. Le vent envahit son cou fin et fragile, elle frissonne derechef. Ce n'est pas possible... Elle ne va pas rendre l'âme ici, maintenant, dans une cour vide et sous les yeux d'un homme dont la voix était plus qu'inquiétante ?

    La main revient, embrasant cette fois ci son front déjà brûlant. Elle ne peut que grogner légèrement, ses sourcils se fronçant sous la douleur du contact. Qu'il arrête de la toucher... Qu'il cesse cette torture. Qu'il la laisse expier sur le bitume froid, en cette nuit de mélancolie totale. Qu'il la laisse tranquille...

    Il fait tout l'inverse. Avec une certaine délicatesse, le voila qui s'empare de la femme et la soulève avec une telle facilité que ça en est déconcertant pour la belle. Se sentant flotter dans les airs, l'homme ayant posé ses mains chaudes le long de sa robe et non directement sur sa peau de marbre, il ne brûle plus. Le contact est à la limite de l'agréable maintenant. La chaleur émanant du corps du mâle réchauffe quelque peu le sien, glacé. Elle pousse un soupir de contentement, sentant peu à peu la circulation sanguine courir à nouveau dans ses membres.

    Il se met en marche, et la femme se sent déconcertée. Peut on la porter avec tant d'aisance ? Ce ne devait pas être un freluquet cet homme là. Plus les pas se succédaient, plus la jeune femme essayait de lui trouver un âge. La situation la mettait on ne peut plus mal à l'aise. La dernière fois qu'un homme l'avait approchée d'aussi près c'était.. Ce jour précis où elle avait perdu innocence, naïveté, joie de vivre, et virginité.

    Son coeur accélère la cadence, alors qu'elle se demande où l'homme l'entraîne comme ça. Et s'il allait faire comme eux ? Après tout, elle était à sa totale merci, et il n'y avait pas un chat dans les alentours... La nausée lui monta à la gorge et une unique larme passa la frontière de ses paupières pour mourir entre ses lèvres rosies par le froid.

    Il la dépose, toujours avec cette même facilité déconcertante et cette délicatesse qui surprenaient la belle. Elle grogne au contact du banc, le bois glacé dans son dos empreint de sueurs froides. Ses cheveux sont humides de cette fièvre qui l'envahit. Elle ne sent plus le vent. Ils sont dans un coin assez abrité apparemment. Cela fait du bien.

    Il l'enveloppe de son manteau. A partir de là, tous les doutes de la belle s'envolèrent instantanément. Ce mec là, il aurait eu mille occases de se la faire. Et il s'occupait d'elle sans aucune arrière pensée. Il y en avait qui n'étaient pas des connards finis alors ? Elle se posait des tas de questions. Ce fut l'odeur du tabac arrivé à ses narines qui la tira de sa torpeur. Elle ouvrit un oeil, puis l'autre. Ses iris étaient teintées d'un rouge sang qui pourrait paraître terrifiant. Elle étouffait de fièvre...

    Son regard tomba sur son sauveur, le connard pas si connard que ça, enfin, vous m'avez compris. De longs cheveux fins et aux reflets roux, ressemblant étonnamment à ceux de Wyn'. Une taille fine, une silhouette longiligne, un bracelet de force au poignet. Des lèvres minces, pinçant une clope dont la cendre rougissait alors qu'il tirait une latte de bon coeur, les yeux clos. Il avait de longs cils. Très féminins. Tout le reste de son visage était cependant dur, un peu comme pour signifier "me faites pas chier, sinon je cracherai mon venin". Elle n'aurait absolument pas imaginé tel homme la tirer d'affaire, ça c'était sûr.

    Ses yeux baissèrent jusqu'à la veste qu'elle avait sur elle, alors qu'elle se redressait doucement. Une Phaze, un ancien modèle. Ce petit con avait de quoi se payer ce genre de fringues de creepie ? Elle en aurait presque été jalouse. Arrivée en position assise, la voila qui grimaça tout en prenant son crâne dans ses mains

    "Ma tête..."

    Ça lui lançait. Elle avait un coup chaud, un coup froid. La chair de poule parcourait son corps fragile. Son regard rouge sang se posa de nouveau sur l'homme aux allures androgynes. Il avait rouvert les yeux, soufflant la fumée de ce qu'il venait de tirer entre leurs deux regards qui se croisaient pour la première fois. Sharwyn se demandait qui il était, ce qu'il foutait là à une heure pareille, et aussi pourquoi est ce qu'il avait osé la toucher, et qui plus est, la sortir du pétrin...

    Rien ne vint. Pas la force de parler. Alors il n'y eut pendant cette dizaine de secondes, qu'un regard perçant celui de l'autre, plongeant à l'intérieur pour en déceler la vraie nature de son sauveur, alors que la fumée du tabac froid embrumait la profondeur de leurs regards accrochés.

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MessageSujet: Re: Lubie d'Ange. [PV Lewis]   Lubie d'Ange. [PV Lewis] EmptyDim 8 Avr 2012 - 1:09


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I'm here to save you girl


Lewis tira une bouffée de cigarette, les yeux clos. Il n'y avait que ça qui arrivait a le réchauffer et à le calmer lorsqu'il sortait de ses gonds ou faisait un cauchemard. Oui il se les caillait avec seulement son t-shirt noir, mais il avait donné son blazer pour une bonne cause. Et oui Messieurs Dames, Lewis bien qu'il soit un idiot fini, une racaille mais qui n'en ai pas vraiment une disons plutôt rebel est GALANT. Lewis c'est le justicier masqué contre les forces du mal, le policier contre le crime et la drogue, le cow boy contre les indiens, le...bref vous avez compris. Lewis est au service de la Dame.( ...c'est marrant je le vois pas du tout comme ça). Alors son instint de justicierpoliciercowboyetcequevousvoulez était ressortit lorsqu'il avait vu une jeune fille en détresse en haut d'un donjon gardé par un sauvage dragon, couchée sur le sol froid de la cour. C'était pas une mocheté en plus. Non Lewis n'a aucune pensée déplacé derrière la tête. Il constate, observe, rien de plus, il donne son avis. Bien sur avant de la voir, il avait failli se vautrer. Ouais parce que Lewis ne regarde pas souvent au sol. Que voulez vous qu'il y ait au sol dans une cour ? A part une peau de banane ou autre fruit j'vois pas. Non normalement y'a pas de corps par terre. A moins qu'une personne venait de se suicider, sautant par le je ne sais combien d'étage. Mais il n'y avait pas de sang autour du corps. Non. Juste un corps de sexe feminin respirant avec difficulté. Le rouquin resta quelques secondes sans réagir puis des notions de geste de secours lui venant du collège lui revinrent en mémoire. D'habord retourner la personne sur le dos. Puis lui prendre la main et lui demander si elle entend et si oui de presser la main. Après...après il se souvenait plus. Il savait juste a peu près qu'y avait le bouche a bouche et le massage cardiaque. Et un autre truc ou faut mettre la tete de coté pour faire vomir. Ça c'était si la personne était en train de s'étrangler. Et la jeune fille sur le sol n'était pas du tout en train d'avaler sa langue. Non, elle était sur le ventre et..elle bougeait plus. Alors le rouquin s'était accroupit à côté d'elle, lui avait prit la main( prenant le pouds au passage on sait jamais) et lui avait demandé si elle l'entendait. Aucune réaction. Hey dors pas surtout quand j'te parle. Non Lewis, elle ne dors pas, elle est un peu juste sonnée et fiévreuse. La racaille avait ensuite apperçu a l'autre bout de la cour un banc ou il pourrait la poser. Il l'avait ensuite prit dans ses bras ( vous voyez comme quand le mari prend la mariée dans ses bras) et s'était dirigé vers le banc en question. Il l'avait ensuite déposée sur le dos et l'avait bordée avec son blazer noir. Bon peut etre qu'il tenait pas super chaud mais c'etait deja ça. Il avait ensuite tiré une cigarette de sa poche puis avait tiré une bouffée en attendant qu'elle se réveille.

"Ma tête..."

Lewis tourna la tête vers la jeune fille. Il sourit en la voyant éveillée mais son sourire disparu aussitôt lorsqu'il vit qu'elle se tenait la tête et fronçait les sourcils. Il remarqua aussi qu'elle frissonnait. La racaille fronça les sourcils.

- Hey sa va ?

Avant même de laisser le temps à la jeune fille de répondre, celui-ci se dirigea vers les toilettes de la cour. Il savait quoi faire lorsqu'on avait de la fièvre. Il fallait juste du froid. Mais Lewis n'avait pas de pac de glaçon sur lui. Il fit donc avec les moyens du bord c'est à dire avec du papier toilette lequel il ambiba d'eau froide. Une fois ceci fait, il revint vers la jeune fille. Il s'assit à côté d'elle et lui tendit le papier.

- Tien. Presse ça sur ton front, la fièvre doit normalement passer.

Une fois qu'elle l'eut prit, Lewis sortit une autre cigarette de sa poche, l'alluma et tira une autre bouffée. Il porta son regard sur la jeune fille et lui tendit la cigarette en disant :

- Tu veux tirer ? A moins que tu ne fumes pas...Mais si tu fumes pas, la cigarette peut être une bonne chose par temps froid. Essaye et tu verras.

Une fois ces mots dit, le rouquin posa la cigarette sur le banc laissant le choix à la jeune demoiselle de la prendre ou non. Alors que la racaille allait se présenter, Lewis entendit un petit grabuge près du grillage à l'entrée. La cour était en effet proche de l'entrée de l'academie. Il fronça les sourcils et dit en se levant :

- Reste ici j'en ai pour deux secondes.

A ces mots, il se dirigea vers les grilles. Celles-ci étaient entrouvertes. Hein ? Le gardien avait pas fait son travail cette nuit ? Les personnes qui se trouvaient à l'exterieur étaient de jeunes adultes. Jeunes ? Entre 25 et 30 ans. Mais lorsqu'il vit une des personnes, celle-ci ou plutot celui-lui ci lui dit quelque chose. Non...Impossible.

- Toi ? Qu'est c'tu fous là ?

Le jeune adulte arrêta ses occupations en l'occurence bruler une poubelle sans défense et se tourna vers la racaille. Il écarquilla les yeux, étonné de le voir ici.

- Lewis ? Ça fait un baye. Comment vas ton frère ?

Avec un sourire en plus.

Lewis tiqua et répondit :

- Te fous pas d'ma gueule. J'repete ; qu'est ce que tu fous ici ?

L'autre ouvrit en grand ses bras.

- Et bien tu ne vois pas ? Je me promene dans la ville. À une heure étrange. Mais n'a t-on pas le droit de se promener comme on le souhaite ? 

- Ouais...tu t'amuse a bruler des poubelles et des bagnolles, c'est ça que t'apelles te promener ?

- Lewis...Toi aussi tu es passé par la, tu sais ce que ça fait.

Le rouquin secoua la tête en signe de négation. Pourtant il avait raison. Lorqu'il avait apprit la mort de son frère, la personne qu'il aimait le plus au monde, celui-ci était rentré dans une gang assez reconnu au Japon. Il braquait de petits commerces, rakettait les plus petits que soit, fumait des joins et prenait même quelques fois de la coke. Mais c'était avant. Maintenant il avait changé. Peut être pas trop mentalement il était toujours un peu rebel mais ses fréquentations avaient changées. Myra et Tsu par exemple. Pas les plus intellos de l'academie mais de chouettes personnes. 

- Ouais. Mais tu sais très bien que c'est du passé.

- Allez...tu n'aimerais pas recommencer quelques fois ?

Regard froid.

- Non.

- Hey, c'est qui elle ? Elle est libre ?

La racaille porta son attention sur un idiot boutonneux montrant du doigt quelque chose se trouvant derrière le rouquin. Celui-ci se retourna et vit la jeune fille qu'il avait sauvée il y a ça quelques minutes. 

- J'tavai dit d'pas bouger bordel.

Le boutonneux s'avança vers elle en souriant. Des arrières pensées derrière la tête.

- Hey qu'est s'tu fous ?

Le moche s'arrêta aussitôt. Lewis le regarda en fronçant les sourcils et avec un regard signifiant "Tu la touches, tu passeras un sale quart d'heure".  





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MessageSujet: Re: Lubie d'Ange. [PV Lewis]   Lubie d'Ange. [PV Lewis] EmptySam 12 Mai 2012 - 22:17

  • "Hey, ça va ?"

    La voix de l'homme interpella la jeune femme qui posa alors son regard sur lui. Leurs regards se croisèrent, perçants, et la femme laissa un blanc de plusieurs secondes avant de se mordiller doucement la lèvre, osant légèrement hocher la tête. Son cerveau lui faisait un mal de chien mais elle ne voulait rien laisser paraître. L'homme qu'elle avait pris pour un salaud de première l'avait déposée doucement sur le banc quelques minutes plus tôt, et Sharwyn sentait peu à peu la chaleur recouvrer ses muscles transis. Merci la veste du bonhomme, pour ça.

    Relevant les yeux après sa rêverie, elle se rendit compte que l'homme avait disparu. Là, elle déposa la veste sur le banc, à coté d'elle, pour que l'homme la reprenne à son retour. Ça allait mieux, maintenant. Même si rien qu'en enlevant le vêtement de ses épaules, elle sentit le vent se faire plus fort sur sa peau fine.

    Le jeune homme revint. Dans ses mains, un peu de papier toilette humide. La belle fronça des sourcils alors qu'il lui tendait le papier. Elle le prit, et un peu à contrecœur, commença à le tamponner de part et d'autre de son front, rafraîchissant son front fiévreux.

    "Tu veux tirer ?"


    Elle releva la tête. Devant elle, une clope, a moitié entamée, qui venait se poser délicatement sur le rebord du banc sur lequel elle se tenait. Elle cligna des yeux, pas sûre de trop bien comprendre. Evidemment qu'elle fumait, plutôt des trucs pas forcément très légaux d'ailleurs, mais elle se demandait tout de même s'il n'y avait pas un truc louche dans sa clope. En général quand on est fumeur on est pas si généreux gratuitement niveau tabac. C'est trop précieux.

    "Essaye et tu verras."

    Elle croisa son regard, tenta un peu de le fusiller des yeux. Il pensait vraiment qu'elle ne connaissait pas la fumette ? Elle avait déjà tellement fumé dans sa vie qu'elle était déjà passé au stade supérieur, celui où il faut sniffer et se piquer pour ressentir un quelconque effet. Mais, il fallait le dire, cela faisait déjà un bout de temps que la belle n'avait rien pris. Un peu de nicotine ne lui ferait pas de mal, et puis, vu le froid qu'il faisait et comme elle venait de rendre sa veste à son propriétaire, ça ne pouvait qu'être bénéfique.

    Elle tira longuement sur la clope, les yeux mi clos. Un bruit sourd se fit entendre derrière le grillage de l'école. La jeune femme bondit du banc, chancelante. Elle aurait peut être dû attendre un peu avant de se camper sur ses jambes... Son regard se posa au delà du grillage, d'où arrivait une ombre fugace.

    "Reste ici j'en ai pour deux secondes."

    A peine eut elle voulu se retourner vers le jeune homme qu'il l'avait déjà dépassée, et se dirigeait vers la naissance du bruit. Elle fronça des sourcils. Pardon ?! Je rêve ou cet homme lui avait donné un ordre ? Elle en restait bouche bée. Tirant une autre latte, elle se redressa, se dirigeant d'un air rebelle vers là où avait disparu son sauveur. Ah ça non, on ne lui donnait aucun ordre.

    Alors qu'elle venait à bout de sa clope, elle tomba nez à nez avec une poubelle qui flambait, sous un lampadaire où se tenaient le jeune homme qu'elle venait de rencontrer et un autre, un peu plus vieux.


    "Allez...tu n'aimerais pas recommencer quelques fois ?"

    La belle fronça des sourcils, toujours tapie dans l'ombre, alors qu'un autre homme se dessinait derrière le trentenaire qui causait avec son bonhomme aux longs cheveux. Qui d'ailleurs, répondit par un "Non" glacial à la proposition "alléchante" de son interlocuteur. Visiblement, ils ne s'entendaient pas à merveille ces deux là.

    "Hey, c'est qui elle ?"

    La jeune femme se raidit d'un coup, alors que Lewis faisait volte face pour essayer de voir dans la pénombre qui se cachait là. Trop tard. La lueur rougeoyante de la clope avait dévoilé quelque peu son visage, alors qu'elle fronçait des sourcils, se saisissant du mégot entre ses doigts.

    "Elle est libre ?"

    Le mégot tomba à terre. Sharwyn aurait voulu l'écraser, mais elle était pieds nus, jambes nues, bras nus... En réalité, elle était carrément en nuisette pas vraiment épaisse devant ce qui semblait être un gars tout ce qu'il y a de plus repoussant. Lui par contre, il avait l'air de l'avoir dans l'oeil, vu comme il ne lâchait pas la belle du regard.

    "J'tavais dit d'pas bouger bordel."

    Cheveux longs venait de s'adresser à Sharwyn. Elle grogna alors

    "C'est pas parce que tu m'as filé un coup de main que j'vais t'obéir comme un chien."

    Les deux autres s'esclaffèrent, se foutant ouvertement de la gueule du sauveur de Wyn. Le boutonneux, toujours mort de rire, s'avança vers Sharwyn, visiblement fortement attiré par le peu de ce qu'il distinguait d'elle dans la nuit. Lewis chercha à s'interposer, et le moche arrêta sa course, redoublant de rires, comme s'il ne semblait pas vraiment impressionné par l'homme aux cheveux longs.

    La belle soupira, et d'un bond étonnant tant il était agile, elle apparut dans la lumière, ses cheveux roux flamboyant dans la clarté du lampadaire, arriva pile devant le boutonneux, et ni une ni deux, se saisit de ce qu'il avait entre les jambes, serrant assez pour l'entendre couiner de douleur.

    "Et toi, c'est pas parce que tu te prends pour un caïd que tu peux te payer la tête de tout le monde."

    Elle serra encore plus fort, alors que ses yeux, de par leur malformation de naissance, viraient à un vert phosphorescent effrayant.

    "Il y a un truc, qu'on peut qualifier de hiérarchie dans notre putain de société."

    Arrivé au comble de la douleur, elle lâcha alors l'homme, ou ce qu'il en restait, qui alla s'écraser à ses pieds en position foetale, happé par la souffrance.

    "Toi, t'es visiblement en bas, tu saisis ?"

    En voila un qui était hors service déjà. Les mots de Wyn étaient amers, alors qu'elle relevait avec grâce le voile fin qui recouvrait ses jambes fines, laissant dévoiler ses cuisses, mais surtout le cran d'arrêt qui dormait sagement contre sa peau blanche. Elle le sortit de son fourreau, et le reflet de la lame fit l'effet d'un éclair dans le regard du vieux, qui ne riait plus du tout. Son regard, à elle, était sauvage et animal. Elle en avait maté des plus coriaces quand elle refourguait sa came à des toxicos complètement barges.

    "C'est qui le suivant ?"

    La fièvre était finalement passée, apparemment.
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Lewis McAlister
♣ Université - 3ème année
Lewis McAlister


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MessageSujet: Re: Lubie d'Ange. [PV Lewis]   Lubie d'Ange. [PV Lewis] EmptyVen 27 Juil 2012 - 21:23

    Spoiler:


    "C'est pas parce que tu m'as filé un coup de main que j'vais t'obéir comme un chien."

    Lewis tiqua. Douché. La racaille tourna la tête sur le côté.

    - Tss ! réussi-t-il seulement à dire.

    Ah la il fallait vraiment dire qu'elle l'avait "cassé" la donzelle. Et les deux autres idiots qui se marraient. Alors que le rouquin allait leur en foutre une, que la jeune fille en détresse enfin plus vraiment maintenant, sortit de l'ombre. Ses cheveux se colorèrent de Roux avec la Lumière du reverbere que Lewis ne remarqua pas avant. Elle était assez jolie il fallait l'avouer. Soudain sans prévenir, celle-ci empoigna l'entrejambe du boutonneux la tordit en disant : 

    - "Et toi, c'est pas parce que tu te prends pour un caïd que tu peux te payer la tête de tout le monde."

    Et bien elle avait pas peur la demoiselle. Pas peur du tout de se faire agresser. Fallait dire aussi qu'il payait pas de mine physiquement. Le rouquin sourit. La jeune femme serra plus fort. Lewis remarqua alors que ses yeux prenaient une étrange couleur. Un espèce de vert flashy. Hum...lentilles ? 

    - "Il y a un truc, qu'on peut qualifier de hiérarchie dans notre putain de société."

    Ah ? Lewis ne le savait pas, elle lui apprenait un truc la. C'est une fois ces mots dits que la jeune femme lacha le boutonneux qui s'etala sur le sol en tenant ses parties en gémissant. 

    "Toi, t'es visiblement en bas, tu saisis ?"

    Dit de façon très froide. Gloup. La racaille avala sa salive. En bas. Les pauvres. En haut. Les riches. Une fois cette phrase terminée, celle-ci releva sa "robe". Non non Lewis c'est pas un matteur je vous rassure. Il remarqua au passage (Non non j'ai dis), un espèce de fourreau accroché à sa cuisse droite. Elle en sortit une lame. Hein ? Une lame ? Heu. Madaaaaay. Quoi ? Mais heu. C'était pas en Amérique normalement qu'on avait le droit d'avoir une arme chez soi ? Mais on est pas en Amérique la !! On est au Japon. JAPON. Au japoooon putaaaaain. La racaille écarquilla les yeux.

    - Alors a qui le tour ? 

    Le rouquin poussa un soupir puis répondit franchement :

    - Personne ! Tu ranges ça tout de suite !!

    Puis sans prévenir, Lewis s'empara de la main de la jeune fille, envoya son pied au passage dans celui qui se tordait de douleur par terre puis commença a courir. Super vite. Comme si sa vie en dépendait. Vite vite vite. Bon il saurait au passage que la jeune fille l'enverrait bouler ou autre chose mais il s'en foutait. Il voulait pas avoir de problèmes. Surtout pas lui qui en avait suffisament merci bien. Hop a droite. Un petit parc a l'abandon. Entourer de planches en bois. Il en cassa une en donnant un coup de pied puis s'engouffra a l'intérieur, en gardant toujours la main de la jeune fille dans la sienne. Il sentit au passage qu'elle lui plantait les ongles dans la paume. Avait-elle peur ? Ou alors voulait-elle dire "LACHE MOI TOUT DE SUITE SALE PERVERS JE VAIS T'ECLATER LA TRONCHE !" Hum. Il pensait surtout a sa. Gloup. Le rouquin "sauta" dans un espèce de jeu pour enfant, un trou genre pour jouer a cache cache ou un truc comme sa. Il fit signe a la jeune fille de se taire. Elle fronça les sourcils et ouvrit la bouche pour essayer de dire quelque chose. Il lui porta la main a sa bouche avant qu'elle n'ai pu crier. 

    - Chut ! Parle pas si tu veux pas qu'on se fasse repérer ! 

    Des bruis de pas qui s'approchaient d'eux. De plus en plus près. Bon il fallait jouer ce jeu la. Un soupir puis Lewis murmura a la jeune fille :

    - Bon écoute. Il faut qu'on fasse sa si tu veux pas qu'on se fasse repérer et qu'on ait des ennuis : On fait genre on est un couple. Genre un couple heu. Qui serait en plein acte. Mais j'te fais rien hein t'inquite pas. Juste heu. On fait genre on s'embrasse. Mais je te fais rien d'autre j'te jure.

    Sa en faisait beaucoup des heu. Deux. Un peu trop. Alors que la racaille voyait deux pieds apparaitre et une tête se baisser, celui-ci se pencha vers la jeune fille et l'embrassa. Pas langoureusement ni passionnément comme un couple amoureux. Tendrement. Timidement. Comme s'il embrassait pour la première fois. Pour ne pas faire peur a la jeune femme. Pour la rassurer. La rassurer qu'il était la et qu'il ne lui arrivera rien. Une fois le baisé terminer, celui-ci lacha la main de la jeune femme puis lui carressa les cheveux. Une fois ceci fait, il l'enlaça. 

    - Tss. Ils sont pas là ces deux cons. C'est qu'un couple degueulasse qui se bécote. 

    Lewis entendit ensuite un coup sur le "mur". Un bruit de fer. Gloup. Barre de fer. Ouf. Heureusement qu'il était partit. La racaille poussa un soupir puis relâcha la jeune fille. ET PUIS COMMENT CA UN COUPLE DEGUEULASSE!!

    - Desole d'avoir fait sa mais c'était la seule solution. J'veux pas avoir de problèmes. 

    Une fois ces mots dit, la racaille s'allongea. 

    - Ouf il est partit. J'aurais jamais cru le revoir un jour. Ça fait tellement de temps. 6 ans je crois.

    Mais pourquoi il lui racontait sa ? Elle en avait rien a faire de ses problèmes. Lewis s'assit, puis observa la jeune femme. Elle le regardait en fronçant les sourcils.

    - Quoi ?

    Le rouquin enleva son blouson et l'envoya sur la jeune fille. Sa tête et son visage étaient cachés par celui-ci. La racaille sourit puis enleva le blouson. Il le plaça sur les épaules de la jeune fille et le zippa. 

    - Garde sa s'il te plait, j'ai pas envie que les gens se posent des questions en nous voyant. 

    Un silence puis il renchérit :

    - Tu veux rentrer ? Au fait j'm'appelle Lewis.
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