Elena Perez[Terminé]

Elena Perez

• Sexe: [ ♂/♀ ] ♀ • Âge & Date de naissance : 24 ans née un 3 Juillet 1986 • Origine(s) : Espagnole • Orientation sexuelle : [ hétéro/homo/bi] Hétérosexuelle

• Langue(s) : [ langue maternelle et/ou secondaire(s) ] Langue maternelle : Espagnol. Langues secondaires : Anglais, Japonais, Egyptien. • État civil : Célibataire, anciennement en couple.[voir Histoire] • Profession : Serveuse le jour, Prostituée la nuit

>>> Aspect physique

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• Physionomie : [ 10 lignes minimum ]





J’ouvre la porte du bar et entre.

Un homme s’approche de moi. Une quarantaine d’années. Cheveux bruns striés de mèches blanches. Barbe naissante. Yeux verts. Il sourit et me dit :

- Désirez-vous une table jeune homme ? Ou bien voulez-vous vous installer au bar ?

Je souris à mon tour et dit :

- Une table.

L’homme me guide alors vers une table au fond. À faible lumière. Sombre. Mais je vois suffisamment. Devant moi, une table nappée de blanc. Une bougie rouge allumée servant à éclairer l’endroit où je me trouve. C’est peux comme éclairage mais cela me suffit. Je n’ai pas vraiment besoin de voir ce qu’il se trouve dans l’assiette. Je vois très bien à faible luminosité. Je vis moi-même dans l’obscurité. Je ne sors jamais ou presque jamais. Aujourd’hui est un jour exceptionnel. D’habitude je reste enfermé dans ma chambre, les volets fermés. En pleine réflexion. Sur mon futur. Ma vie. Je n’ai que très peu d’amis. Que je soupçonne parlant dans mon dos. Et pas que du bien. Plus de mal. Je vis seul. Ma famille…je n’ai pas de nouvelles depuis longtemps. Très longtemps. Mon métier ? Écrivain. Débutant. Je reste des jours et des jours à chercher l’inspiration devant mon ordinateur mais sans plus. J’espère au moins la trouver. Sinon, comment gagnerais-je ma vie ? Je n’ai pas envie de me retrouver à dormir sous les ponts. Et à faire la manche. Je veux mourir vieux. Et que lorsque je partirais de ce monde je me dirais que ma vie n’a pas été aussi mauvaise qu’elle n’été.

Quelques minutes plus tard, l’homme revient avec une carte et me la donne. Je la prend celui-ci repart.

Je regarde les menus. Et les plats. Aucun ne me donnent vraiment envie. Mais maintenant que je suis ici, une carte à la main, je ne peux faire marche arrière. Une fois le plat choisi, l’homme revient. Je lui dis alors mon choix et il repart, un carnet à la main.

Quelques instants plus tard, un couple vient s’asseoir près de ma table. Moi qui voulait rester seul sans personne près de moi…Mais je ne peux pas leurs dire de partir. L’homme vient chercher leurs commande et il repart.

Dix minutes au plus tard, une femme s’avance vers eux. De loin, elle parait être sortie de l’adolescence. De près…proche de la trentaine. Mais jeune. 25 ans. Elle tient dans ses mains deux assiettes. Comment fait-elle pour les prendre sans en faire tomber une seule. Elle doit sûrement être dans le métier de serveuse depuis plusieurs années. Je me désintéresse de celle-ci, m’empare d’un morceau de pain et croque un bout. Il est dur. Mais je le préfère ainsi. Une fois tout le morceau entamé, une assiette est posé sur la table en face de moi. Je lève les yeux et croise le regard d’une femme. La même que celle qui a servit le jeune couple. Un regard froid, sans sentiment. Des yeux sombres tels du charbon. Une longue chevelure blonde platine lui arrivant au niveau des hanches. Soyeux. Le sont-ils naturellement ou bien prend en-elle soin ? Une paire de lunettes rondes. Lui donnant un air sérieux. Les serveuses doivent être sérieuses avec leurs clients. Elles ne doivent montrer aucun sentiment, aucune réaction de bienveillance. Leur métier servant simplement à servir les plats commandés. Rien de plus. Une peau pâle comme la mort. Tout comme moi. Je n’ai jamais réussi à bronzer. Je ne bronzerais jamais. Le peu de temps que je reste au soleil…De fines lèvres maquillés de gloss transparent. Cela lui va très bien. Même naturelle, elle peut être magnifique. Un cou fin. De longs doigts fins. De pianiste. La jeune femme est habillée d’une courte robe noire lui arrivant quelques centimètres au dessus des genoux. S’agissait-il de sa tenue de serveuse ou bien…

Celle-ci se penche vers moi et me murmure pour que moi seul puisse l’entendre :

- J’ai à vous parler. Une fois que vous aurez terminé.

J’écarquille les yeux mais acquiesce de la tête. Elle sourit et repart comme si rien ne s’était passé. Pourquoi souhaitait-elle me parler à moi alors que je ne suis rien pour elle. Un simple inconnu. Venant pour la première fois manger dans un bar. Pourquoi. Je ne suis rien. Une ombre. Un rejet. Mais lorsque j’ai croisé son regard, quelque chose en elle m’a attiré. Je ne sais s’il s’agit de physique ou de moral. Mais cette jeune femme, je le sens, n’est pas comme les autres. J’ai vu de la tristesse dans ses yeux derrière son sérieux et sa froideur. Une tristesse qui ne la quittera jamais. Je la regarde servir une autre personne. De longues fines jambes. Je ne peux m’empêcher de penser ce qu’elle fait dans ce genre de métier. Je la verrais plus dans le métier de mannequin. Mais peux être qu’elle n’a pas eu le choix de faire celui-ci. La vie ne fait pas réaliser le métier que l’on souhaitait faire étant petit. Seul le destin nous le dira.

Je m’empare de ma fourchette et commence à manger.



• Vêtements : [ 5 lignes minimum ]

Je revis la jeune femme quelques jours plus tard. La croisant par hasard dans la rue. Elle ne me reconnut pas du premier coup. Les vêtements que portait Elena ce jour là étaient différents de la première fois que je l'ai rencontré. Elle portait une chemise. D'homme. Noir. Avec une cravate. Un pantalon serré tout aussi sombre. Ce qui me choqua dans son apparence fut le cache oeil noir qu'elle portait à son oeil gauche. Lorsque je lui demandais la prochaine fois que nous nous étions vu, pourquoi portait-elle ce cache oeil alors que celle-ci n'avait aucun problème de vue, la jeune femme sourit mais ne dis rien. Je n'ai jamais su pourquoi elle le portait. Mais ce n'était que très rarement. Je ne sus que quelques jours après notre rencontre qu'elle soignait son apparence en portant des robes, et en se maquillant, seulement pour son métier de serveuse, et rajoutant des couvres chefs pour ses clients lorsqu'elle leurs donnaient rendez-vous dans la rue.

>>> Aspect psychologique

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• Psychologie : [ 10 lignes minimum ]

Une fois mon plat terminé, j’attend que l’on me ramène le dessert. Je n’ai même pas terminé la bouteille de vin sur la table que je me sens un peu pompeux. Je n’ai jamais bien tenu l’alcool. Ni aimé. Alors pourquoi ce soir ? Je fais tout le contraire de ce que je fais d’habitude. Je devrais être dans ma chambre sombre, à chercher l’inspiration pour mon premier roman. Mais ma conscience fait tout l’inverse de ce que je lui demande. Mais je ne peux que lui obéir. Je lève la tête et voit l’homme qui m’a accueillit en arrivant au bar. Il tient dans sa main la carte des desserts. Mais la jeune femme le retint. Elle lui murmure quelques mots à l’oreille en me montrant du doigt. Il secoue la tête et la sermonne gentiment. Mais il sourit et repart. Celle-ci s’avance vers moi. Elle s’excuse.

- Je m’excuse de ne pas vous laisser terminer votre repas mais…mon métier de serveuse se termine là.

Sans prévenir, elle s’empare de mon poignet et me fait signe de me lever. Une fois debout, elle me guide vers un endroit qu’elle seule connaît. Mais où donc m’emmenait-elle ? Un mauvais pressentiment m’empara. Ce bar…était-il…Non. Cette phrase voulait pourtant tout dire. Pourquoi…avait-je choisi ce bar là en particulier. Pourtant lorsque j’étais entré, rien ne laissait présager sa deuxième activité. Je ne pouvais que la suivre. Pour l’instant. Lorsqu’elle voudrait…je l’en empêcherais.

Elle ouvre alors une porte. Une pièce sombre. Éclairé simplement de bougies parfumées. Un lit. Double. Je ne m’étais pas trompé. Mon dieu, pourquoi étais-je tombé sur ce bar-ci ?

Elle se tourne alors vers moi lentement. Encore ce regard emplis de tristesse. Qu’elle cache sous un air sérieux et froid. Mais tellement voyant. Même par moi. Par une personne comme une autre. Celle-ci s’avance alors vers moi. Elle me jette un regard remplis de tristesse et approche lentement ses lèvres des miennes. À quelques centimètres des miennes, je secoue la tête et la repousse gentiment.

Je baisse la tête et répondit :

- Je ne peux pas. Je suis désolé mais je ne peux pas.

Celle-ci baisse les yeux à son tour mais ne dis rien.

- Pourquoi ?

Elle lève aussitôt les yeux vers moi.

- Pourquoi fais-tu cela ?

- …

Je fronce alors les sourcils et rétorque :

- Si tu m’a interrompu pour…pour ça alors, je peux m’en aller.

Alors que je posais la main sur la poignée de la porte, celle-ci répondit :

- Je le fais car…mon passé me la forcé à le faire.

Cette phrase me poussa à en apprendre plus sur elle.

Celle-ci s’assit alors sur le lit. Je m’assoie à ses côtés.

- Dites moi…que pensez-vous de vous ?

- De…moi ?

J’acquiesce.

- Personne…ne m’a posé cette question. Vous êtes le premier. Tout comme vous êtes le premier à ne pas vouloir.

- Tout simplement…que pense les gens de vous ?

- Cela dépend des personnes…pour l’homme que vous avez vu à l’entrée, ne je suis qu’une collègue de travail. Il me trouve sympathique mais je pense qu’il cache bien son jeu.

- Vos parents…

- Mes parents…cela fait longtemps que je ne les aient pas vu. Pour eux, je ne suis que leurs fille chérie. Tous les parents disent cela de leurs enfants c’est bien connu. Une fille sérieuse. Ne rapportant que des bonnes notes lorsque j’étais à l’école. Aucunes mauvaises fréquentations. Pas de petits amis. Même au lycée….une fille sérieuse quoi.

- Un peu trop même non ?

Celle-ci esquisse un sourire.

- Pour vous ?

- Moi…je ne me le suis jamais demandé. Qui suis-je vraiment…une femme. Sérieuse. Sans sentiment. Très peu ou pas d’amis. Coincé. Beaucoup de personne me le disent lorsqu’ils me connaissent un peu. Depuis longtemps je n’ai porté que des pantalons. Aucun vêtements ne laissant dévoiler mes bras et mes jambes. Mais un jour, je me suis libéré. Petit à petit. Mon défaut…je m’énerve trop rapidement. J’en ai souvent honte. Un sermon ou même une claque peut me faire arrêter. Je n’ai jamais réussi à m’arrêter seule.

- Vous êtes…spéciale donc. Vous n’étiez pas comme les jeune filles qui s’amusaient à piquer le petit copains de leurs amis ou de passer du temps devant la classe par exemple…

- Je n’ai jamais aimé ce genre de personne. Et pourtant, c’est bien ce que je suis devenue. Je me déteste moi-même maintenant.

- Pour les personnes vous voyant pour la première fois ?

- Pour la première fois…je ne le sais. Je ne suis pas dans leurs têtes. Mais nombreux d’entre eux je pense, doivent penser de moi que je suis une femme sérieuse. Un peu trop. Pourtant…j’y étais obligé depuis ma naissance. Je ne devais pas parler à des inconnus, accepter des bonbons à n’importe qui. Répondre. Toutes ces choses là.

- …excusez moi de cette question mais…quels sont vos…goûts ? Vous n’êtes vraiment pas obligé de répondre…

- La lecture…depuis que je suis toute petite. Mon père me racontait tous les soirs de nouvelles histoires. Mais ne venant pas d’un livre. De son imagination. Mon père avait beaucoup d’imagination. Écrire. J’aurais tellement aimé devenir écrivain. Depuis ma plus tendre enfance. Mais le destin en a décidé autrement. Le dessin. Je ne suis pas vraiment une artiste mais j’aime griffonner. Des dessins sans importance. Mais tenir un crayon dans ma main me rassure. Je dessine avec des techniques différentes. Ma spécialité…les pastelles. Avec mes dessins, je me créer un monde meilleur que le mien. Un monde sans violence et ou tout le monde s’aime. Que voulez-vous savoir de plus sur moi ?

- Votre passé…



• Particularités : [5 lignes minimum ]

Avec le moral.

>>> Biographie

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• Histoire : [ 20 lignes minimum ]

Votre passé.

À peine avais-je prononcé ces deux mots, que la tristesse se fit de plus en plus voir dans ses yeux.

- Je vous ai demandé de me raconter votre passé mais…je ne connais même pas votre nom.

Celle-ci sourit d’un sourire triste et répondit :

- Elena.

- Elena. C’est un très joli prénom.

- Perez.

- Perez…c’est…

- Espagnol. Oui, je suis née en Espagne. En Andalousie. Le Sud. Cordoue. Une magnifique ville. Un 3 Juillet 1986. En plein été. Il faisait une chaleur épouvantable. À cause de la chaleur et du stresse, ma mère avait bien cru me perdre. Mais mon père l’a emmené à temps à l’hôpital et je suis née. Mes parents. Tous deux nés en 1950. Mon père était pompier et ma mère une merveilleuse chanteuse.

- Votre enfance s’est-elle bien déroulé ?

- Au début oui…

- Au début ?

- Déjà à mes six ans, mon père m’a obligé à ne pas porter de robes ou de jupes. De soigner mon apparence. Tout comme mes faits et gestes. Quelques années plus tard, il m’expliqua qu’il ne voulait pas que je devienne comme lui. Un mauvais garçon. Il ne faisait qu’à sa tête. Négligeant son apparence, répondant à ses parents. Bref, un mauvais garçon. Pour soigner encore plus mon apparence et mon sérieux, mon père m’a même acheté une paire de lunette. Au début je ne voulais pas les mettre, mais il me força. Bien entendu, au début, je ne fus pas très bien vu en primaire. Je n’allais pas vers les gens, préférant rester assise sur mon banc à lire. Pourtant, un jour, une fille vint vers moi et me demanda si je voulais venir jouer avec elle. Je ne savais quoi répondre. Le soir, je demandais à mon père quoi répondre. Il me dit que si une fille me demandait de jouer avec elle, de ne pas désapprouver. Le lendemain lorsque la fille me demandait si je voulais jouer avec elle, je répondit « Oui » avec un grand sourire. En primaire je n’avais qu’elle comme amie mais elle me suffisait. Je n’osai pas aller vers d’autres gens.

Au lycée…mes notes étaient toujours aussi hautes. Tout comme mon sérieux. Pourtant, je tomba amoureuse. Dès que je croisais son regard, mon cœur s’emballait, mes joues devinrent rouges, mes mains devinrent moites. Je n’avais jamais ressentit cela avant. Le soir, je parlais à ma mère de ce jeune homme. Elle me disait de ne pas parler de garçon devant mon père. Elle me disait d’arrêter de penser à lui. De ne penser qu’aux études. Pourtant, les quelques amies que j’avais avaient tous un petit ami. Sauf moi. Je voulais savoir ce que ça faisais de sortir avec un garçon. Si le premier baiser allait tout seul ou bien qu’il fallait attendre longtemps avant de le faire. Mais ma mère ne voulait rien savoir. Je ne me concentrais donc qu’aux études et rien d’autre. Je perdis tous mes amis. Une fois que j’eu mon bac, mon père me proposa de faire un petit job d’été. Il m’en proposa plusieurs mais un seul m’intéressait. Serveuse. Cela me plaisait comme métier. Servir des gens. Prendre la commande. C’est ainsi que je rencontrai de nouvelles personnes. Tout se passa très bien au début. Je ne ramenais pas des masses d’argents mais de quoi me payer quelques loisirs. Mon père me dit de prendre un petit studio et vivre seule mais…avec le petit pourboire que j’avais en tant que serveuse, cela ne suffisait pas. Il me dit qu’une fois les années passés, je gagnerais beaucoup plus. J’ai maintenant 22 ans. Et pas de changement. Je gagnais toujours la même somme d’argent. Je rencontra un jour un homme. Un homme d’affaire. Le genre de personne qui avait largement de quoi gagner sa vie. Je l’avais détesté au premier regard. Pourtant il m’intéressait. Mais ce n’étais que physique. Moralement je le détestait. Il venait déjeuner tous les soirs. Et moi seule devait lui apporter sa commande. Un soir, alors que je terminais plus tard que d’habitude, il m’arrêta quelques instants et m’emmena dans un endroit sombre. La suite…vous pouvez facilement la deviner. J’étais consentante. Pourtant il s’agissait quand même d’un viol. Punis par l’état. Un témoin nous vis ce soir là. Quelques jours plus tard, la police commença un avis de recherche. Une fois que celui-ci le su, IL partit pour le bout du monde sans me le dire. Une semaine plus tard, je ressentit des symptômes que je n’avais jamais eu. Des vomissements, vertiges. De plus en plus présents. Au début je ne savais pas que j’étais enceinte. C’est ma mère qui la su. Dès les premiers symptômes. Lorsque mon père l’apprit(mon ventre grossissait de plus en plus), celui-ci partit de la maison. Plus d’histoires le soir. Jamais perdu la personne que j’aimais le plus au monde. Mon sérieux venait de disparaître d’un coup dès lors que je le rencontra. Où était-il ! Je voulais le voir. Tout de suite. À chaque appels sur son portable, je tombais sur sa messagerie. Je laissais un message. À chaque fois. Mais il ne me rappelait pas. Je voulais…je voulais le tuer. De mes propres mains. À cause de lui, mon père s’en était allé. À tout jamais. Vint alors le jours de mon accouchement. Malgré que ma mère était à mes côtés, je voulais qu’une seule personne soit en ma compagnie. Lui et personne d’autre. Je regardais partout autour de moi mais il n’était pas là. Je fus tellement affligé que je perdis la vie qui se trouvait en moi. J’avais fait mourir une vie. Un enfant qui n’avais jamais pu connaître le monde. Moi qui adorait les gamins. Je fus choqué à vie. Ce passage éprouvant me laissa une cicatrice. Quelques mois plus tard, je repris le métier de serveuse. Ma mère continuait de me dire de vivre seule. Qu’elle ne pouvait pas s’occuper de moi. Elle devint un jour malade. Si je partais, qui s’occuperait d’elle ? Personne. Depuis que père était partit. Mais elle ne voulait rien savoir. Elle me disait de vivre ma vie et de ne plus s’occuper d’elle. Que sa vie la quittais petit à petit. Je savais que l’argent gagné en faisant le métier de serveuse ne servait pas à payer le loyer d’un petit studio. Je fus donc obligé de faire le métier que je détestais le plus au monde. Catin. Je savais pourtant que les femmes gagnaient beaucoup d’argent. Après cela dépendait des clients. Je gagnais donc assez d’argent pour payer le loyer et même acheter de quoi vivre. Largement même. Un jour, j’appris la mort de ma mère. Je n’avais plus aucune raison de vivre ici en Espagne. Ce pays me rappelait trop de mauvais souvenir. Je décidais donc de partir pour le Japon. Un pays que j’avais toujours rêvé allé. Mais pas pour y habiter. Et me voici donc dans cette ville du nom de Keimoo.

J’avais écouté toute la vie de cette jeune femme sans l’interrompre. Une fois qu’elle eut terminé, je ne savais plus quoi dire.

- Je suis bien observateur. J’ai bien vu qu’il y avait dans votre regard, autre que du sérieux, de la faiblesse. Enfouie depuis des années en vous je le découvre. Je suis désolé…

Je leva alors la tête, des larmes coulant sur mes joues. Je m’approcha alors lentement vers elle et l’embrassa.


• Famille : [ 3 lignes minimum ]

- Votre père était donc un pompier

- Oui…un grand pompier. L'un des meilleurs.

- Votre mère.

- Une talentueuse chanteuse. Elle faisait chavirer le coeur des hommes rien qu'avec sa voix.

Derrière l'écran

• Pseudo : ... • Âge : 16 ans • Serez vous actif ? Oui • Comment avez-vous connu le forum ? Troisième compte • Commentaires, remarques, critiques? : nop • Avez-vous quelque chose à ajouter ?

Rapide la réponse oO.

Oui c'est surtout ce genre de fautes que je fais souvent, ça m'énerve xD.

Cela ne me dérange pas de rajouter des lignes dans les vêtements. Tu veux que je le fasse sous la narration de l'écrivain ? ^^

Et non dans mes rps, ils ne seront pas racontés sous la narration de l'écrivain ^^. Mais j'hesite entre la première et la troisième personne...j'aimerais bien essayer a la première personne, ça sera la première fois mais...je ne sais pas si je vais aimer xD.

Je vais corriger les fautes et rajouter les lignes demain ^^

Voilà pour les vêtements ^^. Cela te convient ^^ ?

J'ai surtout du mal avec ce genre de fautes...comment faire la différence entre peux, peut et peu ? Et surtout je n'ai jamais su quand rajouter un s ou pas à ai XD.

Moi et la conjugaison, on est pas amies...

Hey Hey! J'ai aussi mon mot à dire sur cette fiche.... il fallait s'attendre, non? x)

C'est dans l'histoire, tout au début, le passage sur les parents et la Guerre Civile est un peu maladroit. Sachant que celle-ci a duré 3 ans (36-39), il est impossible que les parents se soient rencontrés pendant ces dates puisque tu précises, du moins pour le père, qu'ils sont nées en 1936. Genre le père qui a fait soldat, dans un de camp, alors qu'il avait 3 ans....
Ensuite, "quelques années après", plutôt 50 ans après. Hm, à cet âge et avec les conditions de vie qu'on avait en Espagne dur dur d'avoir un enfant. Il va falloir que tu corriges les dates là.

Je ne sais pas si tu connais le vrai sens de "mozo". Ce n'est pas garçon proprement dit, mais paysan. Enfin, une personne saine qui travaille avec ses mains et mène une bonne vie. Des nos jours, seulement les vieilles personnes l'utilisent encore, surtout pour lancer un compliment aux belles/beaux filles/garçons qui sont agréables à voir.

;)

edit :

Changer le métier des parents ^^.

Ah mozo...en fait je ne savait pas comment on disais garçon en espagnol donc j'ai chercher dans le dictionnaire et j'ai trouvé ça. J'ai juste rajouté malo pour dire mauvais xD. Comment on dit mauvais garçon alors OO. Oh lala j'ai des origines espagnoles et je sais pas dire ça la honte >.<.

Merci ^^.

Voilou j'ai corrigé les quelques petites fautes que j'ai trouvé par-ci par là ^^

Ah il en reste encore Oo...moi qui veut faire des efforts en orthographe xD. J'aimerais bien que tu les mettes en gras pour que je les corrige ^^.

Spoiler:

D'accord ^^.

Par exemple à partirais pourquoi il n'y a pas de s ? Ah nan je crois savoir...on ne met un s qu'à la deuxieme personne...et à leur j'ai compris on ne met jamais de s c'est vrai xD.