Takuya Hibari ♣ Université - 2ème année
Genre : Age : 29 Adresse : Bougu 181
KMO :
| Sujet: Hibari Takuya Dim 24 Aoû 2014 - 21:45 | |
| DOSSIER DE L'ÉLÈVE: || Hibari Takuya ||
| • Sexe: Homme • Âge, date et lieu de naissance : 19 ans, né le 30 Août 1995 • Nationalité : Japonaise • Orientation sexuelle : Hétérosexuel
• Langue(s) : Japonais, Anglais • Année d'études : 4ème • Groupe : Racaille • Club(s) : Kendo
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► Description physique .
• Apparence, expressions, allure, gestuelle : (Soyez le plus précis possible ! )
De son arrière-grand-père Américain, Takuya a gardé quelques caractéristiques physiques propres aux occidentaux. Un visage plus anguleux, un nez plus long ainsi qu’une taille, 1m78 pour 65 kilogrammes, légèrement plus élevée que la moyenne japonaise. Autre héritage, Takuya bronze aisément, peut-être un peu trop dans un pays où le teint pâle est encore assez majoritairement vu comme un symbole de beauté. Ses yeux, de la même couleur que ses cheveux longs généralement attachés, sombres, sont en revanches typiquement asiatiques et lui permettent de se différencier de la plupart de la racaille habituelle, portant cheveux courts, rasés, crêtes et autres clichés habituels.
Il n’est pas rare de voir sur son visage l’expression du plus parfait ennui. Autrement plus rare, ses sourires se peignant sur les commissures de ses lèvres un peu trop fines, sont généralement accompagnés de fossettes qui, selon le contexte, peuvent paraitre charmantes ou inquiétantes. Takuya a en effet comme mauvaise habitude d’arborer un rictus au bord des lèvres lorsque celui-ci s’énerve. Ses traits anguleux, ses fossettes qui ne font que creuser d’avantage son visage, ainsi que ce rictus habituel, Takuya en joue souvent et cherche à inquiéter son interlocuteur à l’origine de son agitation par ce biais, afin d’éviter si possible tout débordement ou simplement pour prendre l’avantage avant même de passer à l’action.
Décontracté, mais toujours sous contrôle, sa démarche s’en ressent, marchant d’un pas rapide mais souple, le dos droit mais non cambré. Cette démarche lui permet d’obtenir une certaine stature qui, couplée à sa grande taille, lui permet généralement de se tirer d’affaire, que ce soit grâce à son bagou ou ses poings. Ancien pratiquant de Kobudo d’Okinawa, les 12 années passées à l’entrainement lui ont permis d’obtenir la rapidité et la force nécessaire pour certains sports, ou règlements de comptes. Toutefois, un peu trop maigre, celui-ci doit, dans la plupart des sports, sans cesse compenser son manque de masse, par la vitesse et la dextérité. Chose difficile, qui lui fait souvent défaut pour les sports de combats en face d’un adversaire de niveau égal mais au poids plus important.
Enfin, celui-ci porte le dessin d’une alouette tatouée sur son flanc gauche, auquel il semble très attaché, qu’il gardera précieusement caché sous ses vêtements, connaissant la réputation de l’académie.
Ni trop beau, ni trop moche, Takuya sait jouer de ses attributs, passant de charmeurs à bourreaux selon ses expressions.
• Tenues vestimentaires :
Il est rare de le voir sans ses chemises fétiches qu’il arbore fièrement à toutes occasions. Toujours propres et repassées, celles-ci sont choisies avec soins et ce, qu’il s’agisse de la chemise blanche classique ou de celle avec l’imprimé de la Grande Vague de Kanagawa.
Parce qu’une chemise ne suffit pas pour s’habiller, Takuya porte en complément une veste noire qu’il échange volontiers avec des pulls assez sobres, à l’instar de ses pantalons et chaussures de ville. Afin de compléter la panoplie, le jeune homme aime sortir, lorsque l’occasion se présente, sa montre de marque au bracelet en cuir ou, lorsque l’hiver approche, son manteau navy bleu marine.
Il semblerait qu’on puisse le voir, parfois, dans une tenue tout autre, où blouson en cuir sombre sonne avec lunettes de soleil, jeans et doc martens noires, dans des endroits peu fréquentables, et qui tranche avec ses airs d’homme réservé, froid, mais volontaire.
► Description psychologique .
• Mentalité, attitude envers autrui, philosophie personnelle: (Soyez le plus précis possible ! )
Réfléchit, posé, peu loquace, voilà ce que les observateurs extérieurs ne le connaissant pas ont l’habitude de dire de Takuya. D’un humour pince-sans-rire assez particulier, celui-ci répondrait sûrement, que s’il ne parle pas beaucoup, c’est tout simplement parce que le sujet de discussion ne l’intéresse pas du tout. Discuter avec lui requiert généralement beaucoup de patience et de calme mais surtout, un ego bien préparé. Lançant piques et taillades, sa langue peut être aussi acérée qu’une lame pour l’interlocuteur non préparé. Méthodique et calculateur, Takuya est assez borderline avec les divers règlements que comportent les lieux qui l’entourent, ce qui lui a déjà valu plusieurs ennuies. Cet état d’esprit le rapproche naturellement de la plupart de la racaille, faisant affaire avec eux, sans toutefois s’y confondre totalement car celui-ci méprise la plupart d’entre eux. Le regard qu’il porte sur les rebelles n’est généralement pas beaucoup plus reluisant, les jugeant trop frileux pour jouer dans la même cours que les racailles, et pas assez inventif pour devenir populaire.
Sous ces aspects peu reluisant, Takuya sait, avec ceux qui selon lui en valent la peine, et avec le temps, ranger ses piquants et montrer une facette de sa personnalité plus douce, moins agressive. Ses rictus de mépris se changeant alors en sourires, son ton froid en une voix réconfortante. Sûr de lui avec ses connaissances et ennemis, Takuya peut paraître d’avantage insouciant avec son cercle d’amis naturellement restreint.
Il respecte l’art, le sport, les connaissances informatiques, et, par extension, tout ce qui nécessite un minimum de talent. Le tiraillement entre ces deux facettes de sa personnalité, ou entre ses origines japonaises et occidentales n’arrangent pas le sentiment de honte que celui-ci ressent à vivre loin du besoin tandis que d’autres peinent à survivre. Il a sans doute un peu plus le sens de la justice qu’il ne souhaite le montrer. Au fond, Takuya dissimule ce sentiment qu’il juge comme une faiblesse derrière ses airs de durs.
Parfois théâtral dans sa manière de se comporter, il aime mettre en scène sa vie comme un comédien sur les planches. Jouant de son charme, se prêtant volontiers à l’exercice de la pirouette ou, lorsqu’il le juge nécessaire, à celui de la violence, tout est bon selon-lui pour se tirer d’une affaire complexe.
Vivant mal ses relations avec sa famille, Takuya ne voit son frère ainsi que son père que comme des arrivistes qu’il méprise allégrement, et vis-versa. Sa mère quant à elle, entretient des relations plus douces et affectueuses mais paradoxalement moins proches avec Takuya que son mari ou son second fils. Chaque échec du jeune homme semble tendre un peu plus le fil qui le relie à sa mère.
• Signes particuliers, manies, obsessions, phobies (etc.) :
Outre ses rictus qui apparaissent comme des tics, son obsession pour s’attirer des ennuis ou sa phobie du vide, trois choses viennent compléter le tableau.
Son obsession pour les oiseaux, qu’il juge comme seuls animaux dignes d’intérêts car capables de s’envoler, libres, mais également, son amour de la lecture. Remplie d’estampes d’oiseaux de toutes sortes et de livres, sa chambre reflète l’univers de Tayuka. Ne rentre chez lui que celui ou celle montrant patte blanche et ayant reçu son autorisation. Maniaque uniquement dans son espace de vie qu’il nomme « mon temple », rien ne doit être dérangé sous peine de subir son courroux. Celui-ci voit en effet sa chambre comme le seul espace où il peut se laisser aller à se reposer complétement, et ainsi recharger complétement ses batteries car le monde n’a selon lui plus d’emprise sur sa personne lorsqu’il est seul dans cette pièce.
Écorner un livre, en changer un de place ou faire tomber quelque chose équivaudrait donc à infliger une blessure directe à Takuya. Une colocation pourrait être tout à fait stimulante.
Fumeur régulier, le fait de devoir ralentir en intégrant Keimoo pourrait le rendre plus tendu qu’il ne l’est déjà.
► Mémoires .
• Journal intime [Top secret !] [justify] Je suis né il y a 19 ans de cela, une fin d’été alors que les premiers vents froids parvenaient à Tokyo, dans la clinique où l’on me mit au monde. Je n’ai pour ainsi dire jamais connu la plupart des maux, physiologiques, que la plupart de mes contemporains ont à endurer chaque jour de leur existence. Nous étions à l’abri du froid, de la faim, de la maladie, des fins de mois difficile, moi et ma famille. Cette dernière était aisée. Très tôt, j’appris le sens du mot « dépense », très tard, celui du mot « besoin ».
Mon père, japonais de pures souches n’était parti de rien, ou alors de très peu. Celui-ci décrocha son diplôme d’ingénieur en informatique pour signer, au milieu des années 80, chez une industrie de pétro-chimie en pleine reconversion vers l’ère du numérique. Un pari risqué, qui se révéla lucratif pour ceux formés à ce type d'emploi. Mon père en faisait partie.
Je suis né des mois après le tremblement de terre de Kobe, l’emprunte du deuil national se sentait encore. Pourtant, j’appris bien plus tard que ce tremblement de terre avait permis à de nombreuses entreprises de dégager d'importants bénéfices et, par extension, de donner un second souffle à une croissance alors déjà en perte de vitesse. La reconstruction était lucrative, l’entreprise de mon père, devenu cadre par la suite pour ses excellents résultats en 1995, avait également remporté la loterie et dégagea un chiffre d’affaire impressionnant. Je crois que c’est à partir de ce moment que je commençais à culpabiliser.
Ma mère, elle, avait un ascendant Américain, son grand-père. Un de ces GI qui était arrivé en 1945 sur les ruines de l’empire, et qui, comme tant d’autre, s’était marié avec une japonaise. Je crois que j’admirais ce héros que je n’ai jamais connu. Je me l’imaginais comme celui qui avait mis à bas l’empire du mal que devait représenter alors le japon pour le monde libre.
J’appris plus tard que la réalité était bien plus complexe que cela, vers mes 12 ans, que mes origines étaient partagées. D’une part entre un peuple nippon qui avait certes causé du mal à des millions de personnes en Asie continentale et Pacifique mais qui était d’abord embrigadé par une poignée de fanatiques et qui n’avaient pas mérité pareil châtiment, deux villes rasées, des milliers de personnes irradiées. Et d’autre part, les Etats-Unis, qui avaient agi en héros aux yeux du monde, mais qui avaient selon moi surtout utilisé ce prétexte pour asseoir leur domination à travers le monde, imposant leur mode de vie tout au long de la guerre froide.
Il me restait alors à choisir entre la peste et le choléra. Mon malaise empira alors, au fur et à mesure que les chapitres d’histoire à l’école avançaient.
Je me battais beaucoup au Chugako, non pas que l’on m’injuriait, mais je voyais en chaque fils de quelqu’un une occasion de payer par la douleur les morts de Kobe. J’étais simplement immature, je n’avais pas encore compris que nous n’étions pas responsables de nos actes. Je trouvais mon refuge dans l’apaisement de la lecture et la patience du Kobudo. Alors je mûris, accepta la réalité, tentant de me fondre dans la masse alors que les années passaient. Pourtant, un certain malaise persistait chez moi, sans que je ne puisse jamais le définir.
Étouffé par le carcan de l’éducation stricte qui m’était réservé, vers mes 16 ans, je ne rentrais pas chez moi un soir, préférant aller à la rencontre de Tokyo la nuit. Repêché par la police, mes parents furent surpris de me voir arriver avec un sourire jusqu’aux oreilles. Je fus surpris de recevoir une claque de ma bouche jusqu’aux oreilles en réplique. Pourtant, je recommençais, ces sorties agissant comme un marteau sur cette éducation que je me figurais être des chaines. Cette période, qui dura deux ans, fut agrémentée de rencontres étranges, intéressantes, pas toujours très fréquentables, pourtant, au milieu de ce patchwork, quelques âmes qui en valaient la peine puisque venant de classes populaires et marginaux. Ils étaient selon moi, forcément géniaux. J’en fis mes amis.
Je fis plusieurs fugues, manquais à l’école, mes notes dégringolèrent si bien que je me fis virer de mon kookoo alors que j’étais à la fin de ma troisième année. Mon père, furieux, était prêt à me déshérité au profit de mon petit frère, sage et discipliné lui.
Ma mère intervint en ma faveur, le supplia, si bien que je m’engageais à ne plus sortir du rang si ils me trouvaient une nouvelle école. C’est durant la dernière semaine des vacances d’Août que j’appris qu’une école était disposée à me recevoir. J’allais faire mon entrée à Keimoo, en quatrième année, au début du second trimestre.
J’étais disposé à rentrer dans le rang, pourtant, je savais que ça n’allait pas être aussi simple.
• Relations proches et familiales : (qui vous a élevé / avec qui vous vivez, etc.)
-Son père, Takeo Hibari, ingénieur ayant fait carrière, mauvaises relations avec lui, les deux hommes ne se parlent que peu ; -Sa mère, Imane Hibari (Yosuno), mère aimante tenant une boutique de prêt-à-porter chic à Shibuya ; bonne relation avec Takuya ; -Son benjamin, Shun Hibari, désormais en première année de kookoo, relations difficiles depuis que le benjamin sait qu’il peut hériter de la richesse familiale si son ainé venait à déraper une nouvelle fois. - Son arrière-grand-père, Peter Colleps, ancien GI, aujourd’hui décédé qu’il n’admire plus mais qui occupe toujours une place importante dans sa vie.
CARTE DU MEMBRE: || Waylander ||
| • Âge: 19 ans • Localité (facultatif): France, 91 Essonne (Cortex les pyramides tout ça). Prochainement Lille. • Etudes ou profession (facultatif): Préparation aux Instituts d’Études Politiques. • Comment as-tu découvert Keimoo: Grâce à une ancienne personne présente sur ce forum.
• Ton niveau de fréquence: Écrire ne me pose généralement pas de problèmes. • Remarques, suggestions: / • Souhaites-tu un parrain ? En effet. • Aimes-tu les chats ?
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Dernière édition par Takuya Hibari le Mar 26 Aoû 2014 - 22:26, édité 1 fois | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Hibari Takuya Mar 26 Aoû 2014 - 14:48 | |
| Bienvenue à Keimoo jeune padawan ! \o. Voyons voir cette fiche :o. ► ID : - Attention, un club tradition est obligatoire à l'inscription de Keimoo ! Ce sujet ~ici~ te donnera une liste des clubs tradition auquel ton personnage peu participer. - Pour le groupe, je le met dans celui des racailles alors ? ► Physique : - 345mots/350, je met permet de chipoter là dessus parce que j'aimerais des précisions sur sa condition physique : 65kg pour 1m78 c'est plutôt maigre, surtout pour un sportif, tu pourrais rajouter quelques mots là dessus ? ^w^ Sinon ça me va ! ► Tenue vestimentaire,ect : Ok ! ► Psychologie : - 341mots/350. Là encore, développer un poil ? Sur le côté qu'il montre avec ses proches, puisque tu as pas mal développé sur la personnalité avec les gens extérieurs à son cercle . ► Particularités : - 137mots/150. Je te propose d'étoffer ça avec quelques détails sur ses petites manies, anecdotes, raison pour laquelle il réagit de tel ou tel façon . ► Histoire : - 774mots/700 : Ok ! - Attention au niveau du monopole, grande entreprise ect, d'autres sont passés par là avec ce genre d'idées . Notamment la famille Masato ( oui je parle de ce que je connais x) ), qui est déjà ultra implantée et ce depuis plusieurs générations dans des domaines tel que l'électronique et l'informatique. Qui dit plusieurs générations dit : assez difficile à supplanter ( que ce soit pour beaucoup de marques/famille ect), donc à voir dans ton histoire pour harmoniser ça . - Naître dans un contexte de grève au Japon ? : La tension serait donc peu présente étant donné que le Japon est connu pour avoir un taux de grève extrêmement bas depuis les années 70 ? Remarque ça expliquerait aussi pourquoi la famille n'est pas touchée ^^. Donc ça me va quand même. - Le pauvre garçon m'a l'air de n'avoir vécu que dans le tiraillement entre ses deux origines malgré le 21eme siècle dans lequel il se trouve. Tu pourrais développer quelques points sur sa vie amicale ? Sentimentale ? Son enfance heureuse ? Malheureuse ? Outre le fait qu'il n'ai pas été dans le besoin ? Ce genre de détails plus légers ? - J'ai besoin d'une petite précision : Keimoo est une école élitiste dont on ne peu pas dire qu'elle soit disposée à recevoir un élève surtout avec un dossier scolaire faible. Du coup si j'ai bien compris, ses parents lui paye l'académie pour qu'il rentre dans le rang ? Si oui, ça me va . ► Famille : Ok ! Voilà pour les quelques points à approfondir avant validation , si tu as des questions, n'hésite pas à me MP =). Pour le parrainage, on verra après coup, que je regarde qui est présent ou non. Code validé ~ |
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