₪ Académie Keimoo ₪ In a decade, will you be there ? |
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| Homonymie, araignée et glaive vorpalin. [ft Cammy, event] | |
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Kami Otagame ♦ Civil - Artiste Tatoueur
Age : 35 Adresse : Vous percer la peau. Peut-être même vous la peindre. 79 Multicompte(s) : Dans tes cheveux.
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| Sujet: Homonymie, araignée et glaive vorpalin. [ft Cammy, event] Jeu 22 Nov 2012 - 9:37 | |
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Tapotant du bout des doigts sur les surfaces plastifiées des écouteurs, proprement agacée par la couleur trop vive du foulard, je triturais sans vergogne sur le morceau de tissu, comme amusée d'avance à l'idée de pouvoir le déchirer. Finalement. C'était assez drôle. Mais le orange n'était pas une couleur que j'appréciais. Trop hésitante, trop entre deux. Trop proche du jaune, trop éloignée du rouge. Rouge. Ce rouge, que j'aimais voir orner les lèvres des filles et les doigts des garçons, qu'ils se battent ou qu'ils s'embrassent.
Je n'aime pas le orange. C'est une couleur qui n'a pas sut choisir son camps.
Je n'avais pas particulièrement envie de courir, de glisser ou de feindre. Healer était un choix pacifique qui me permettait de rester tranquille, et de veiller sobrement au déroulement des actions des autres, avec le choix de prendre des initiatives ou non. Choix désabusé de la moquerie aberrante quant à la sportivité du reste des humains. En gros, c'était ça. Un sourire effleura mes lèvres, les tordant d'un léger contact, et faisant se dépasser d'entre elle les nuances de mon empathie sadique. Ce soir, avions nous le droit de faire mal aux autre ? De les voir se tordre dans ce plaisir que nous leur fournirions ? Un gloussement m'échappa, foudroyant aussitôt les désirs inadaptés à la soirée, et j'arrachais les écouteurs de mes oreilles, toujours bordée par mon rire. Bon. Trouver le binôme... ! Fait tellement excitant en soi, no ? Trouver son binôme, trouver, rechercher, découvrir la personne qui allait être obligée de passer sa soirée avec vous, parce que quelqu'un de haut placé et bien intentionné l'avait décidé. Peut-être totalement par hasard ? Huhu. Je roulais une seconde les épaules, faisant déplacer sur ma peau le corps de l'Araignée, et ses subterfuges métalliques. Trouver mon binôme...
Papillon de rouge et de noir. Des velours qui flirtaient aux dorures, en se glissant des entrechats de tissus chocolats. Des attouchements carreaux qui se voulaient caramel, accompagnés par une bordure pâle, et du cuir sur les tibias. Mais ce rouge magnifique dont se drapait la robe me fit l'apprécier aussitôt. Quel choix esthétique judicieux. Cela la mettait tout en valeur, en dépit du désopilant foulard orange qu'elle tenait au bout de ses doigts écarlatement gantés. Écarlatement. Oui, très exactement. Je laissais un sourire s'étaler sur ma face, regrettant presque de n'avoir rien de rouge à porter ce soir. Quoique. Elle serait suffisamment carmine, pour nous deux. Beauty killer.
« Hello. Marrant qu'on ait attribué la protection des autres à une fille qui se balade avec le glaive vorpalin en main. T'comptes découper le paracétamol avec ça ? Heh... hehehheehhe... »
Pas que ce soit une mauvaise idée, mais je craignais que ledit paracétamol finisse dans l'oeil de quelqu'un, et que la lame, aussi factice soit t-elle, représentait un jeu bien amusant. Très séducteur.
« On y va ? Nous c'est... les salles de classes. En avant, Carmen ! »
Passke je ne savais pas ton nom, très chère. HS: - Spoiler:
certes, je poste dans le batiment abandonné, déjà. Mais je fais comme si elles n'y étaient pas rendu. Si ça te dérange, je pourrais éditer, et faire comme si elles y sont déjà. D'accord?
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| | | Cammy Logan ♦ Civil - {Pluri-emploi} Itinérante
Genre : Age : 34 Adresse : Arms of Mother Nature 872 Multicompte(s) : Shiki & Erik
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| Sujet: Re: Homonymie, araignée et glaive vorpalin. [ft Cammy, event] Dim 25 Nov 2012 - 19:32 | |
| - Spoiler:
Bon normalement ceux qui ne sont pas du Comité ne sont pas censés savoir qu’il y avait un autre « poste » que les Survivors, mais bon tant pis. Et je m’excuse par avance si mes textes à venir sont maladroits, je n’écris jamais à la première personne… Mais je fais une exception cette fois, pour suivre ton rythme ;)
JABBERWOCKY
Il e'tait grilheure; les slictueux toves Gyraient sur l'alloinde et vriblaient: Tout flivoreux allaient les borogoves; Les verchons fourgus bourniflaient.
«Prends garde au Jabberwock, mon fils! A sa gueule qui mord, à ses griffes qui happent! Gare l'oiseau Jubjube, et laisse En paix le frumieux Bandersnatch!» « Hello ». Elle ne semblait pas me connaitre. Ou me reconnaitre, du moins. Et bien tant mieux. Appelle-moi Carmen si tu le désires, après tout tu n’es pas si loin du compte. Chaque syllabe commence sensiblement pareil, phonétiquement parlant. Même si l’allure et le style de cette Araignée semblait avoir attiré mon attention au premier jet, j’avoue avoir été un peu refroidie par son élocution mais…elle avait bien parlé de Glaive Vorpalin, là ? Voilà qui était intéressant… Je ne m’en rendai pas vraiment compte, mais si un miroir s’était glissé à cet instant entre cette jeune fille et moi, j’aurais pu apercevoir ma petite bouille flanquée d’un sourire. Au lieu de ça, je regardai ma ceinture, vers ce couteau de boucher qu’on pourrait effectivement qualifier de tel.
- Pas vraiment, non…
Ce seraient les premiers mots que je prononçai après avoir quitté la salle des fêtes. L’air frais me faisait un bien fou. Tout cet espace empli de personnes tantôt sympathiques bien que peu nombreuses, tantôt désagréables m’avait presque donné la nausée.
Le jeune homme, ayant pris sa vorpaline épée, Cherchait longtemps l'ennemi manziquais... Puis, arrivé près de l'Arbre Tépé, Pour réfléchir un instant s'arrêtait.
Or, comme il ruminait de suffêches pensées, Le Jabberwock, l'oeil flamboyant, Ruginiflant par le bois touffeté, Arrivait en barigoulant. Peu après, nous nous glissâmes par l’entrée du bâtiment abandonné en direction de notre poste de garde, dans une salle de classe. Une salle de glace, à notre image en fin de compte. Celle où nous nous trouvions était la moins dérangée, et différents mets étaient disposés là. Je regardai avec mépris mes propres apports. Dire qu’il avait fallu que je mette la main à la pâte pour des personnes qui n’allaient même pas savourer la subtilité des mélanges épicés. Attrapant mon fameux glaive, je laissai sa lame rétractable glisser sur les tables d’écolier devant lesquelles je passais d’un pas lent. Je le posai sur une petite table et sortis une boite d’allumettes d’une poche dissimulée. Je fis mine de vouloir allumer - par une de ces brindilles enflammées - d’une main les bougies également factices d’une lampe électrique disposée sur la même table où reposait mon accessoire à présent fétiche. Mon autre main se glissa jusqu’à l’interrupteur à l’arrière de la lampe. Ainsi ses quatre ampoules se mirent à frétiller. Je fis le même cinéma pour toutes les lampes similaires qui étaient juchées çà et là dans le vaste auditoire. Enfin, je terminai par le bureau devant le large tableau noir. Il faut que je précise que ce lieu était à l’identique du reste d’un point de vue décor. Cependant sur le bureau, rien d’inflammable car le chandelier à trois branches en son milieu était bien réel. Je l’avais ramené après l’avoir dégoté dans une boutique d’occasion. Il fallait une part de réalisme dans cet évènement fantaisiste. Il faisait ancien. Et tout le monde – me connaissant bien-sûr, est-ce utile de le préciser – sait que j’aime tout ce qui n’est pas de l’air de notre temps. Rien de très surprenant sur l’hommage que j’ai pu faire d’une de mes héroïnes préférées. Et dans cette tenue d’Alice, je me sentais étonnamment bien malgré sa tournure farfelue. Je ne pouvais pas me permettre autre chose. Enfin, j’aurais aimé une robe de style victorien ou médiéval, mais n’aurait pas suivi avec l’ambiance du moment. J’avais quand même pu constater que ça n’avait pas gêné Lawrence ou Zakuro, mais que voulez-vous. Je n’allais pas tendre le bâton pour me faire critiquer par des Elora Van Alen et j’en passe.
Ne sachant que dire à ma nouvelle compagne, je me récupérai mon Vorpal et me tournai vers le tableau aux traces de griffes ayant pour but d’effrayer d’éventuels rôdeurs. Je posai délicatement ma main sur la surface d’ardoise et appuyai un bref instant.
- Faisons semblant…qu’il s’agit là d’un miroir. Penses-tu que de l’autre côté, toutes ces chandelles sont réelles ?
Je ne me tournai pas vers l’Araignée. Elle pouvait aisément imaginer, si elle le souhaitait, mon reflet contre le tableau. Que les lampes électriques fussent de flammes et de cire, que les filaments de coton écartelés fussent bien de la soie. Mais dans ce cas, serait-elle conçue par mon binôme ?
J’ai peur des araignées mais bien plus encore…du temps moderne. Une, deux! Une, deux! D'outre en outre! Le glaive vorpalin virevolte, flac-vlan! Il terrasse le monstre, et, brandissant sa tête, Il s'en retourne galomphant.
«Tu as donc tué le Jabberwock! Dans mes bras, mon fils rayonnois! O jour frabieux! Callouh! Callock!» Le vieux glouffait de joie.
Il e'tait grilheure; les slictueux toves Gyraient sur l'alloinde et vriblaient: Tout flivoreux allaient les borogoves; Les verchons fourgus bourniflaient. From Through the Looking-Glass and What Alice Found There, 1872. Lewis Carrol.- Spoiler:
Pour ta prochaine réponse, peut-tu prendre en compte les interventions de Taylor & Ryoji ? Jette un oeil à leur topic =) ^^ Je le ferai à mon tour à mon prochain post. =)
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| | | Kami Otagame ♦ Civil - Artiste Tatoueur
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| Sujet: Re: Homonymie, araignée et glaive vorpalin. [ft Cammy, event] Mer 26 Déc 2012 - 2:46 | |
| Nous ne serons jamais rien sans amour. Nous ne serons jamais que des objets animés par la colère, la haine, et motivé par l'intelligence froide du meurtre et de l'envie de voir s'oublier ce manque cruel. Nous ne serons alors qu'à l'apogée hostile d'un humain qui éveille son esprit à ce qu'il connaît le mieux : la souffrance. Comme des notes de piano soufflées par des mains étrangères, les mots allaient et venaient dans mon esprit, vagabonds et distants, étreignant mon cœur avec la violence d'un baiser. Un baiser qui devait d'ailleurs s'annoncer, et qui pesait sur ma poitrine comme une complainte qui ne s'éteint pas. Mes métaphores s'alignaient, mais je restais alourdie par un monde qui s'acharnait dans sa violence. Passive actrice d'un spectacle auquel je ne voulais participer, je me faisais silencieuse, immobile, et laissais la société se débattre dans les grondements de sa haine. Puis soudain tout s'effrita. Mes masques, mes rires et mes chansons de démence, quand une petite fille plus âgée que moi me permit de jouer à un jeu que je n'imposais pas, mais auquel on me permettait de m'inviter. Une vague de bonheur, de gratitude à l'égard de Fifi Brindacier explosa dans ma poitrine, et je sentis mon regard se remplir d'une expression louche. Je cillais, et inspirant pour récupérer mon calme, observais les flammes qu'elle avait allumé dans mon imagination, puis cet étincelante ardoise dans lequel se reflétaient désormais nos visage. J'accrochais mon regard à la surface noire, et caressais l'éclat rouge de mes yeux. Bien sûr. Un sourire adorable, adoré, car pour une fois tellement sincère, glissa sur mes lèvres. Je me tournais vers elle.
« Elles seraient allumées. Elles seraient allumées, et elles éclaireraient tout le mur. Peut-être, par contre, leur lumière serait stoppé ici, à ce cadre, et l'ombre coulerait sur le papier peint. Ces bureaux seraient peut-être des monstres heureux qui parleraient en silence. Les entendraient-tu crois ? Ils souleveraient leurs casier, et échangeraient les souvenirs des journées d'écolier. De l'autre côté du miroir, tu serais brune, et je serais blonde. Peut-être que tu serais un homme, peut-être que je serais une Alice. De l'Autre côté du miroir, ce serait tellement étrange et fabuleux, que je vivrais dans un monde qui ne m'effraierait pas, car je n'en attendrais rien de logique. De ce fait, j'y serais à l'aise. »
Mes doigts caressèrent l'ardoise, et soudain, je pivotais pour me placer face à elle, et poser mes doigts sur son front, plonger mes yeux dans les siens.
« Dis moi. Qu'est-ce qui me prouve que nous ne sommes pas de l'Autre côté du Miroir ? Que ceci n'est peut-être pas la réalité d'une chose qui se déroule ailleurs ? Et si tu n'existais pas ? Et si j'étais une araignée, en train de marcher sur le verre de la glace ? » | |
| | | Cammy Logan ♦ Civil - {Pluri-emploi} Itinérante
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| Sujet: Re: Homonymie, araignée et glaive vorpalin. [ft Cammy, event] Lun 25 Fév 2013 - 23:24 | |
| Elle me répondit de la plus agréable des manières. Depuis mon arrivée à Keimoo, jamais personne n'avait ainsi pénétré ma bulle de façon aussi aisée. J'avais bien invité Yui une unique fois, mais cet l'homme immaculé qui n'eut de cesse de faire battre mon coeur plus que de raison, avait presqu'aussitôt disparu. L'Araignée était comme moi. Du moins, elle avait cette aisance de l'imaginaire qui nous rend si particulier. Avec admiration, je bus ses paroles échappées de son être original autant que consternant. Mon impression de plus tôt, lorsque je l'avait aperçue dans la salle des fêtes était encore une fois la bonne. Mais j'étais à mille lieues de m'attendre à un tel succès. Alors j'imaginai en fermant les yeux ses descriptions prendre vie, les lumières de l'autre côté du tableau, l'ombre, les adorables monstres fabuleux. Je vis le Gros Coco et d'autres personnages de jeux d'échecs déambulant dans un univers qu'une petite fille de huit ans réinventant ses poèmes d'école tandis qu'elle s'imaginait être sa propre camarade de classe peu cultivée ne sachant point compter. Je me redécouvris brune, couverte de vêtements criards me rapprochant du terrain d'une auberge qu'à chacun de mes pas s'éloignait . Et ça ne m'effraya pas non plus car je m'y sentis chez moi, flottant dans le sentier à la fragrance d'une marmelade d'orange poivrée.
J'entendis les pas de l'arachnide se rapprocher de moi, mais étrangement, je ne ressentais aucune angoisse, presqu'en confiance alors que je ne savais encore rien d'elle. Mes paupières s'ouvrirent brusquement lorsque ses doigts caressèrent la peau délicate et pâlotte de mon front. Elle osait avec insolence pénétrer mon espace vital, chose que j'exécrais en temps normal. Mais pas cette fois. Je fus intimidée par ce regard franc transperçant le mien. Elle m'effrayait, autant que me fascinait. Une prédatrice redoutable, hypnotisante. A sa merci, j'allai tomber nette dans ses filets lorsque soudainement, j'entendis quelqu'un pénétrer dans la pièce. Je détournai alors brusquement ma personne de ma compagne redoutable, comme prise en faute. Une forme de gêne s'empara de moi, mes joues s'empourprèrent. Je fus émue, d'une manière inconnue, si bien que je sentis une douce chaleur s'emparer de mon être. Ma bulle d'oisiveté éclata avant même que j'eusse pu répondre à la question posée précédemment, se faisant ainsi happer dans l'atmosphère violée par cette fausse blonde à l'allure dépourvue de bonnes manières, maquillée comme une voiture volée, vêtue de cuir telle une catin à la solde d'un Marquis de Sade des temps modernes. Je lui lançai un regard froid avant de l'ignorer totalement et m'approchai des victuailles, comme si de rien était. Je me sentais comme prise en faute, en flagrant délit de laisser aller alors que j'ouvrai les portes de moi-même à ma binôme dont j'ignorais encore le nom. Ce qui d'ailleurs me posait un problème. J'eus l'envie de découvrir qui elle était. On ne pouvait pas rencontrer pas une personne si semblable à soi-même, bien que redoutable, et rester dans l'ignorance de son identité. C'est à ce moment qu'un autre individu louche mais facilement reconnaissable choisit de faire son entrée réalisant ainsi mon souhait.
« Miss Logan, Miss Otagame... Tout se passe bien ? Personne, jusqu'ici ? »
Courtois , le Docteur Terrada faisait honneur à Bram Stocker. Un bien meilleur vampire, à l'ancienne, que la prostituée enragée de quelques secondes plus tôt. Évidemment, membre du personnel, il supervisait l'évènement en s'assurant que tout se déroulait correctement. Je ne pouvais pas décemment lui dire que l'intrusion de son affreuse binôme avait gâché un moment agréable bien qu'ambigu d'un point de vue extérieur. Je m'inclinai alors face à lui.
"Terrada-Sensei. Nous sommes arrivées voilà quelques minutes. Rien à déplorer, hormis l'intrusion précédente de cette adepte du péroxyde d'hydrogène nourries d'OGM qui vous sert de compagnie. Quoiqu'il en soit, je vous souhaite de passer un agréable moment.Si vous avez la canine qui démange, revenez nous voir."
Sans attendre de réponse, je m'inclinai à nouveau avant de voir le médecin scolaire prendre congés. Me revoilà à nouveau seule avec... Miss Otagame donc. Je tournai le visage vers elle, toujours aussi imposante, voire trop. Il était vrai que son costume faisait froid dans le dos. La magie de l'instant précédent était dissipé, j'en éprouvai du regret. Ne sachant plus que dire, j'attrapai deux gobelets et préparai un cocktail de jus de fruit pour chacune de nous. Abricot, orange litchi et autre saveurs délicates se mêlèrent en un tourbillon suave que j'accommodai de quelques décors sucrés aux formes diverses, faisant honneur à l'ambiance d'Hallowe'en. J'apportai ensuite les nectars jusqu'à l'Araignée.
- A défaut de Bételgeuse, j'espère que ceci te plaira. A la tienne, Otagame.
Je levai ainsi mon jus de fruits avant d'en prendre une gorgée. Bételgeuse, quasi-homonymie de Beetlejuice,ou jus de cafard. Référence à ce soit-disant chef d'œuvre cinématographique de Tim Burton. Pas trop mon genre, mais j'ai quand même bien aimé. Quelque chose me susurra alors à l'oreille que la soirée allait être longue. Peut-être tenterais-je une sortie un peu plus tard, pourquoi pas.
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