Fiche de Seiko Ashita

•• Nogaruwako, Geisha ••

• Sexe: [ ♀ ] • Âge, date et lieu de naissance : 18 ans / 21 décembre 1996 • Nationalité : Japonaise • Orientation sexuelle : Cela vous regarde-t-il véritablement ? • Langue(s) parlée(s) : Japonais et Anglais, débutante en Chinois, notion de Français et Russe • Étude(s) : Sciences Politiques - Première année • Groupe : Populaire, quoi d'autre ? • Club(s) : Club de Karaté, Club de Kendo, Club de Cérémonie du Thé

► Description physique

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• Apparence, expressions, allure, gestuelle :

Seiko est la définition même d'une populaire, avec tous les aspects que cela implique. Soignée du sommet de son crâne à la pointe de ses orteils elle mettra systématiquement un point d'honneur à se faire remarquer. Pour cela pas de vulgarité ou de grivoiserie. La demoiselle fait tout dans l'élégance et la tradition. Née d'une fille de geisha, elle en a hérité des traits fins, une taille élancée et un visage de petite taille, signe ultime d'élégance dans le monde japonais. On ne peut le cacher, Seiko est d'une très grande beauté, capable de tout avoir par une moue bien contrôlée. Un physique avantageux, et elle le sait pertinemment, pouvant jouer de son visage d'ange pour obtenir ce qu'elle veut.
Entretenant sa beauté avec tous ce que l'argent peut acheter aujourd'hui, il est fort probable que vous puissiez vous acheter un petit studio confortable en revendant ce que vous trouveriez dans sa coiffeuse. Il résulte du soin qu'elle met à sa parure une peau qui n'a rien à envier à celle des poupons et une chevelure en cascade d'un noir d'ébène, bois noble qui lui convient très bien. Elle n'a jamais coupé ses cheveux, et il en résulte une longueur impressionnante, que les soins apportés ont su préserver. Une toison d'or noir, qu'elle aime à porter comme sa plus belle parure, et une grande fierté. Ses pupilles sont tout aussi noir que sa chevelure, sertissant un œil en amande à la définition parfaite, qu'elle rehausse la plupart du temps d'un maquillage discret mais élaboré et raffiné. Très expressifs, vous pourrez croire qu'ils reflètent une honnêteté certaine, mais vous vous rendrez très vite compte que comme tout le reste, elle contrôle ses émotions et son regard pour manipuler à sa guise. Ses lèvres sont fines et délicatement rosées, dévoilant un sourire d'une blancheur impeccable. Autant vous dire que jamais elle n'avouera avoir du porter un appareil dentaire dans son plus jeune âge, ayant fait une pression monumentale pour l'enlever au plus vite, et ayant toujours dévoué un soin méticuleux pour le cacher aux personnes qu'elle côtoyait. Ayant gardé certains tics, vous la verrez souvent se cacher de sa manche ou d'un éventail qu'elle semblera sortir de nulle part lorsqu'elle sera prise à sourire.
Assez grande pour son âge et ses origines, elle mesure un mètre soixante-neuf. Un corps aux courbes déjà définie  mais aux traits d'une poupée de porcelaine pour une jeune fille de quinze ans, son physique a le don d'attendrir un grand nombre de personnes, dont ses professeurs et surtout son père, qui n'a jamais rien pu lui résister. Mais depuis sa plus tendre enfance, Seiko n'a jamais été considéré autrement qu'une adulte en devenir, et qui devait le devenir vite. Pas de temps pour le jeu et les courses dans la boue, elle a toujours été élevée comme une héritière, son physique ayant donc du suivre cette mentalité qu'on lui imposait. On peut donc deviner lorsque qu'elle ne cherche pas une quelconque rémunération un regard très sage et réfléchi.

• Tenues vestimentaires :

Etant pourtant dotée d'une taille appréciable, la jeune fille se rehausse bien souvent d'une paire de talons, uniquement signée par un grand couturier ou si jamais l'envie lui prend, en ignorant tout regard d'autrui, elle pourra enfiler une paire de getas, la protégeant du sol sans trop la surélever.
Elle poura venir un jour parée de son plus beau kimono, mais attention ici pas question d'un simple yukata, kimono informel qu'on peut voir porté en été par une japonaise lambda et Seiko n'est pas une japonaise lambda. Il est tout à fait normal pour elle de se parer d'un furisode en soie entièrement réalisé à la main et d'aller en classe vêtue de cette manière pour arriver le lendemain en tenue moderne et tendance, mais qui aura sans aucun doute coûté le prix d'un an d'étude à l'Académie. Aimant profondément le matériel, « diamonds are a  girl's bestfriend » pourrait être la chanson de sa vie et en effet elle voue un culte aux bijoux et à tout ce qui peut scintiller, n'autoSeikont de l'occidental dans sa vie que s'il est fait de plusieurs carats et ferait rougir une impératrice russe. Elle n'attendra pas un cocktail ou un dîner mondain pour sortir ses plus belles parures, ne comprenant pas qu'on puisse laisser de telles merveilles dans un dressing, qui pour sa part doit sûrement faire la taille d'une des plus grandes chambres étudiantes que le campus peut offrir. Refusant tout vulgaire, elle refusera jusqu'à sa mort ayant en abomination les lolitas et les femmes se permettant des combos de tenues sortant de la décence. Toujours dans la décence et la convenance cela ne l'empêchera bien évidemment pas de tenter de contrôler le monde qui l'environne, aimant le son d'une foule marchant à son pas.

► Description psychologique

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• Mentalité, attitude envers autrui, philosophie personnelle:

Seiko est une peste, personne ne pourra le nier. Fonctionnant dans l'instantané, elle ne supporte de pas de ne pas avoir ce qu'elle souhaite tout de suite. Son père ayant été très absent, il a pallié cela en la couvrant de cadeau, et cédant au moindre de ses caprices, ce qui n'a pas donné un résultat très joli. Ce qu'elle veut, elle l'a, et si jamais cela tarde trop, ce qui se compte souvent en seconde, elle est capable d'un caprice tel que son père remuerait ciel et terre pour la contenter.  
Aimant les hommes, ou plutôt jouer avec les hommes elle chasse tout particulièrement les riches héritiers, aimant voir leur tête tourner sur son passage, son père n'aimant pas véritablement ce passe-temps, elle se cache de lui et écope les cocktails à la recherche d'une proie désireux de lui offrir un diamant ou une attention irréfrénable. Car de l'attention c'est bien tout ce que désire et cherche la jeune japonaise. Un psychiatre attribuerait ça à l'absence de son père lors de son enfance, qui a préféré la couvrir de présents plutôt que de venir l'embrasser le soir, mais elle répondra que c'est tout simplement parce qu'elle le vaut bien. Elle aime qu'on la regarde, et fait tout pour cela. Sachant que personne ne pourra s'opposer à elle au sein de l'académie, son statut de fille du directeur obligeant, elle évolue dans les environs comme s'ils lui appartenaient, ignorant lascivement les règles et se considérant au-dessus de tout cela. Qui en effet pourrait lui reprocher de se promener sur le campus à une heure indécente de la nuit ? Aucun surveillant ne tenterait son poste à venir la réprimander, pas plus que n'importe lequel des policiers de la ville, qui prennent soin de saluer la jeune héritière d'un des hommes les plus influents de la ville, quoiqu'elle puisse se trouver en train de faire. Évoluant dans les soirées mondaines tel une carpe koï dans une mare, elle se sent extrêmement à l'aise avec le jeu des grandes familles, le jouant avec une précision et un sang-froid malgré son jeune âge qui en étonne plus d'un. N'ayant jamais trempé même l'orteil dans un scandale, il est inutile de chercher quelque chose pour la desservir, elle surveille son image d'une poigne de fer, ne laissant rien transparaître. Si elle aime se faire remarquer, jamais cela ne pourra la desservir, puisqu'elle y veille à chaque seconde.
Ne mâchant pas ses mots, elle ne se refrène jamais, sortant toujours sa pensée de la manière la plus crue, surtout lorsqu'il s'agit d'un simple étudiant, qu'elle considère bien évidemment comme un moins que rien, tout au plus un être humain au plus bas de l'échelle sociale, qui n'a donc aucun intérêt pour elle.
Mais si elle peut sembler superficielle par ses crises caractérielles et sa manière de vivre, elle est une personne très instruite, et surtout experte dans les arts de vie traditionnels japonais, pour lesquels elle se passionne. Vous ne la verrez jamais dénigrer un élément de cérémonie du thé ou un aspect du kendo. Elle voue un respect profond à la culture et la tradition.
Elle aimerait être appréciée du plus grand nombre, toujours en quête de reconnaissance, mais si un grand nombre la respecte voir la craigne à cause de la lignée, elle sait pertinemment qu'elle ne peut réellement compter sur personne, une solitude qu'elle cache bien et qui malheureusement ne la rends que plus amer. Ayant vécue enfermée la majeure partie de sa vie, ses seules relations se cantonnent à des relations d'intérêt, n'ayant jamais tissé de lien plus fort. Elle n'en comprends même pas l'intérêt, n'ayant jamais eu l'expérience d'un véritable lien.


• Signes particuliers, manies, obsessions, phobies (etc.) :

Alors qu'on pourrait s'y attendre de la part d'une fille de bonne famille, élevée comme une princesse, Seiko n'est pas la définition même d'une petite chose fragile, un jouet de porcelaine qui ne peut sortir de sa vitrine de peur de se briser. Elle est même cinquième dan en Karaté et Kendo, faisant d'elle une des plus jeunes personnes à accéder à ce titre. Passionnée de sports de combat depuis son plus jeune âge, elle affectionne également les traditions, excellant dans l'ikebana et chanoyu, soit la cérémonie du thé dans son art le plus pur. Ayant été élevée dans une tradition pure, elle a bien évidemment appris à jouer du shamisen et du shinobue bien qu'elle n'excelle pas particulièrement dans les disciplines musicales et artistiques comme la calligraphie. Si elle n'est pas des meilleures dans la pratique des arts elle est cependant en passe de devenir une spécialiste de l'époque d'Edo, fascinée par des hommes comme Hiroshige et Yosa Buson.
Elle possède un tatouage, réalisé lors de son Shichi-go-san alors qu'elle avait sept ans, sur ordre de son père. Très heureuse de le posséder, c'est une des seules choses qui la relie à son père, qu'elle n'a que très pu voir dans son enfance. Ce tatouage représente une carpe koï nageant autour d'une pivoine, signe de la richesse obtenue grâce au courage et à la ténacité. Seule héritière de sa famille, ce tatouage est aussi son signe d'appartenance et de succession. Marquée par son enfermement dans la maison familiale lors de sa jeunesse, la jeune japonaise a une peur irrationnelle des portes et fenêtres murées, pouvant aller jusqu'à des vertiges ou des crises de tétanie si elle est mise face à ça.
Ne pouvant ignorer son haut statut, elle a fait des garçons de bonne famille son terrain de jeu, les menant par le bout du nez d'une main de maître et les laissant sur le bord de la chaussée dès qu'elle se lasse ou qu'elle considère avoir eu assez de cadeaux.

► Mémoires

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• Journal intime [Top secret !]

Seiko est née dans une des meilleures cliniques privées du Japon, dans un secret quasi total. Ashita Shiori, son père, en passe de devenir un des hommes les plus influents du Japon ayant voulu cacher au monde la naissance d'un enfant eu alors qu'il était très jeune, et tout juste marié à la mère.
Pendant ses premières années, elle fut donc placée avec sa mère, dans un endroit que personne n'a jamais pu trouver. Un certain type de prison où tout vous est servit sur un plateau d'argent. N'étant qu'une enfant elle se fichait éperdument de cela, ayant tout ce dont elle pouvait avoir besoin. Un confort très certain et une mère aimante, qui n'avait plus qu'elle. Mais si jamais elle faisait ses premiers pas dans un cocon resserré, riant aux éclats, sa mère ne supporta pas l'enfermement. Bien qu'issue d'une très bonne famille elle avait toujours vécu libre, et cet prison la fit tomber dans une dépression sévère. Un mal qui ne fut pas vu à temps et la jeune femme se suicida, n'ayant trouvé aucune autre porte de sortie. A trois ans, Seiko se trouvait donc sans mère, et le secret fut difficile à garder pour Shiori. Le corps de la fille d'une famille influente ne peut pas disparaître facilement, et tout éclata. Prenant le meilleur de la situation, il présenta sa fille au monde comme son joyau, tout en sachant qu'il lui faudrait bien vite avoir un fils, afin de ne pas perturber l'équilibre fragile du jeu de pouvoir en se privant d'héritier. Le sort en décida autrement. Suite à une maladie pourtant bénigne, il fut opéré et des complications s'ensuivirent. Il perdit le don de procréer, obligeant Seiko à être désignée comme bénéficiaire de l'empire bâtit par les Ashita.

Les parents de Shiori, saisissant la gravité de la situation et ne pouvant laisser leur lignée disparaître reconnurent l'enfant comme leur unique héritière, et obligèrent Shiori à la tenir éloignée de ce monde, la laissant avec une armée de tuteurs et gouvernantes pour parfaire son éducation. Elle grandit donc dans une grande maison traditionnelle de la campagne japonaise, entourée de murs gigantesques l'empêchant d’apercevoir le monde tel qu'il est. N'ayant jamais été à l'école, elle n'a pu expérimenter les premières choses de la vie d'un enfant. A l'âge où tout jeune se retrouve dans le bain parfois cruel du monde elle restait derrière sa prison dorée, son entourage veillant à ce qu'elle devienne une parfaite petite fille digne des exigences de son père.
Pas une fois elle n'a vécu les déceptions en amitié, de la dispute dans le bac à sable aux coups bas qu'un élève de primaire peut faire. Personne n'aurait osé la pousser ou la brimer, connaissant trop le statut de sa famille.

Son père, absent, ne revenait que très rarement, la couvrant de cadeaux à chaque fois. Des kimonos qui permettraient à une famille moyenne de vivre pendant un an, des bijoux de jade et des voyages dans les plus haut lieu de l'Europe, rien n'était trop beau pour sa fille unique. Il l'exhibait tout de même régulièrement lors des soirées de convenance, arborant tel un diamant à son doigt cette petite fille si mignonne et cultivée, qui ravissait les connaissances du directeur et était toujours du plus bel effet. Elle savait jouer de n'importe quel instrument, pouvait servir le thé dans la plus pure des traditions, dansait et chantait comme un ange. Toutes ses prestations étaient suivies de cris d'admiration, Shiori s'en assurait. Grandissant donc comme une déesse, admirée et servie par tous ceux qui croisaient son chemin, elle assimila cela à la normalité. Sauf que les enfants prodiges grandissent, et bien souvent de manière pas totalement équilibrée. Cette facilité à tout obtenir et se faire remarquer de tout le monde devint son quotidien, et en grandissant elle fit tout pour le garder. Ses caprices envers son père devinrent de plus en plus fréquent et elle apprit très vite à utiliser l'absence de ce dernier comme une arme. Chaque occasion ou événement qu'il manquait était accompagné d'une crise de sa fille, qu'il réglait en lui envoyant un présent toujours plus cher, plus faste, plus impressionnant. Elle aurait pu demander des perles de pluie venu d'un pays où il ne pleut pas qu'il se serait arrangé pour lui en ramener assez pour se baigner dedans.

Elle comprit bien vite que cela ne marchait pas qu'avec son géniteur, et que chaque personne qu'elle voyait était friande de ses faveurs. Il fallait se faire bien voir de la fille de Ashita-san, et elle saisit cela dès qu'elle en eu le besoin. Des jeunes hommes voulant entrer dans sa vie aux jeunes filles désireuse de monter dans l'échelle sociale en devenant sa prétendue amie. Elle obtenait ce qu'elle voulait, et aurait pu rendre la nuit très noire si elle avait désiré la lune.

Mais bien que couverte de tout ce qu'elle pouvait rêver, elle désirait une chose plus que tout, la seule que sa famille ne voulurent lui accorder : vivre sa propre expérience dans le grand monde. Ses grands-parents redoutant ceux qui pourraient vouloir profiter d'elle et de sa situation s'y opposèrent farouchement, décrétant qu'elle resterait là où elle était jusqu'à sa majorité. Mais Seiko était passée maîtresse dans l'art d'obtenir ce qu'elle voulait, et savait surtout ne jamais abandonner avant d'avoir satisfaction. Son grand-père s'étant profondément prit d'affection pour elle, il lui suffit de feindre une dépression et un abattement profond pour que sa famille, redoutant que le même schéma que la mère de Seiko ne se répète acceptèrent qu'elle rentre à l'université. Elle ne pu cependant pas décider de l'université en elle-même ni de sa section. Elle rentra donc à l'Académie en Sciences Politiques, ce qui fut bien évidemment aussi facile pour elle que de claquer des doigts, son père occupant la place de directeur... Et la jeune fille est parfaitement au courant de cela, et compte bien jouer de ce statut privilégié. Remarquée dès les premières heures, elle a déjà à sa suite une petite cour personnelle de jeune fille désireuses de se hisser dans la société ou tout simplement d'être reconnue.

Sa première année se passa comme elle l'avait présagée, pas une ombre ne vint se glisser dans le parfait petit monde de Seiko, elle eut des notes excellentes, car qui oserait mettre une note un temps soit peu moyenne à la fille du directeur ? La deuxième année avait commencé depuis quelques mois, mais Seiko ne s'inquiétait pas tellement, qu'est-ce qui pourrait bien ébranler son quotidien si parfait ?

• Relations proches et familiales :

Ashita Shiori : Plus chef de famille que père, il est néanmoins son géniteur. Ne pouvant rien refuser à sa fille, il est à la merci du moindre de ses caprices, culpabilisant de son absence lors de l'enfance de cette dernière. Il ne peut rien lui refuser et elle le sait, jouer de ça comme de son statut.
Ashita Yume : Mère défunte de Seiko, elle ne l'a connue que dans ses plus jeunes années, cette dernière s'étant suicidée alors qu'elle n'avait que trois ans. Elle ne connaît rien de sa mère ou de sa famille maternelle, le côté paternel s'en étant assuré.
Ashita Genshiro : Le grand-père de Seiko, chef de famille à la retraite il a laissé les rênes de la famille à son fils. Il est dingue de sa petite-fille et ne peut rien lui refuser non plus. Cependant il contrôle la vie de cette dernière d'une poigne de fer, refusant qu'elle soit mêlée à un scandale et veillant à son image et sa protection avant tout. Il lui imposera une armée de garde du corps s'il juge cela utile et s'est longuement opposé à la venue de sa petite fille à l'Académie.

CARTE DU MEMBRE:
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• Âge: 22 ans • Localité (facultatif): Quelque part en France • Etudes ou profession (facultatif): Etudiante en Anglais • Comment as-tu découvert Keimoo: J'aime hanter ces murs depuis des années, à vrai dire ! • Ton niveau de fréquence: ... Vous commencez à me connaître ! • Remarques, suggestions: ... • Souhaites-tu un parrain ? Je veux que ce soit Naoko ma marraine :D • Aimes-tu les chats ?