♣ Nakagawa Natsu ♣

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• Sexe: [ ♂ ] • Âge, date et lieu de naissance : 17 ans ♣ 21 Juin ♣ Japon • Nationalité : Japonais • Orientation sexuelle : Se découvre encore • Langue(s) : Japonais ♣ Anglais • Année d'études :  4ème • Groupe : Intello • Club(s) : Kyûdo et Natation

► Description physique

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• Apparence, expressions, allure, gestuelle : (Soyez le plus précis possible ! )

Contrairement aux autres membres de sa famille, l’adolescent n’est pas du genre tape à l’œil. Son idéal est l’invisible. Si ses cheveux sombres et sa peau blanche lui permettent de se fondre dans la masse, ses yeux bleus attirent le regard. En effet, on dit des japonais qu’ils sont tous les mêmes. Cheveux noirs, peau laiteuse, yeux sombres. Du moins ils le sont tous là où a grandi Natsu. Ses deux parents ayant les yeux aussi noirs que l’ébène, la question de la légitimité de l’enfant empoisonna bien des esprits, éloignant d’autant plus le jeune garçon du monde. Depuis ce temps, Natsu garde constamment les yeux baissés. Rares sont les fois où le jeune homme soutiendra le regard d’un autre. D’autant plus qu’il ne se démarque pas plus avec son corps. Une taille fine, des muscles peu développés, une taille parfaitement dans la moyenne, rien d’extraordinaire pour un gamin de dix-sept ans. La seule chose dont il peut être fier dans son physique, c’est ses mains. En effet, le jeune homme fait une véritable fixette sur ses doigts qui, par chance, sont longs et fins. Hormis cela, tout le dérange. L’ossature trop marquée au niveau des côtes, le visage rappelant davantage l’enfant que l’adulte, son cou trop fin pour être celui d’un homme. Natsu sait parfaitement que s’il voulait se faire passer pour une femme, il n’en aurait aucun mal. Il suffirait simplement de troquer ses vielles affaires contre des jupes et de porter une perruque.

L’adolescent devrait, par ailleurs, commencer à investir dans une potentielle perruque. Ne faisant guère attention à ses cheveux, ces derniers se retrouvent souvent dans ses situations pour le moins désagréables. Si ses mèches pouvaient hurler, cela ferait bien longtemps que Natsu aurait eu une bonne leçon. Souvent décoiffé, le jeune homme ne se soucie ni de l’herbe, ni de la poussière et encore moins des noeud. C’est au moment de laver ses cheveux qu’il regrette toujours amèrement de ne pas faire attention. Lorsqu’il étudie, lit ou fait du sport, le fils Nakagawa tente souvent désespérément de les attacher, bien que cela ne serve pas à grand-chose à cause des nombres mèches rebelles qui réussissent à s’évader.
Pour la majorité, Natsu Nakagawa est un fils de riche à la démarche lente et au regard lassé, constamment en train de traîner des pieds, ne participant jamais au cours de sport, trop distrait pour faire attention à ce que ses vêtements soient bien arrangés. Ce jeune homme fait tout pour être le plus effacé possible et jusqu’à présent, cela marche très bien.


• Tenues vestimentaires :

La mode n’a jamais été le fort de Natsu. Bien au contraire. Alors que ses sœurs se vêtaient telles des reines, le jeune homme se contentait du plus simple accoutrement. Il ne trouve pas d’intérêt à mettre des vêtements qu’il risquait d’abîmer… étant particulièrement maladroit, Natsu sait pertinemment qu’il les abîmera. Là est sa malédiction vestimentaire.
De plus, même lorsqu’il tente désespérément de s’habiller avec classe, c’est peine perdu. Certainement un mauvais gabarit… des épaules pas assez carrées pour soutenir ses hauts. Il a constamment l’impression d’être un clown, d’être la personne dont tout le monde rira à la fin de la soirée. Ne désirant pas se faire remarquer, Natsu préfère dons s’habiller sobrement.

Néanmoins, malgré cela l’adolescent arrive encore à sortir du lot avec ses habits débraillés. Des boutons attachés de travers, une chemise froissée, une ceinture non nouée. Certains qualifieront cela « d’original », Natsu dit juste que c’est une tare. On pourrait croire qu’il le fait exprès, ce serait certainement plus marrant, surtout pour le jeune homme, mais il n’en est rien. Pourtant, dès qu’il ne porte pas la chemise qu'il s'impose pour les cours, le jeune homme fait beaucoup moins de fautes vestimentaires. Certainement parce qu’il ne porte que des T-shirts… Même s’il a encore des problèmes avec ses pantalons, c’est déjà un bon début n’est-ce pas ?

► Description psychologique

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• Mentalité, attitude envers autrui, philosophie personnelle: (Soyez le plus précis possible ! )




Ne te fait pas remarquer. Fait en sorte que personne ne te vois. Voilà le commandement le plus important de la vie de Natsu Nakagawa. Bien qu’il n’arrive pas toujours à suivre ses propres préceptes, le jeune lycéen s’imagine que malgré ses frasques, plus il se pensera invisible,  plus il le sera. Néanmoins l’invisibilité n’est pas une chose facile à assurer dans une école ou l’on croise des centaines de personnes.
Aux premiers abords, Natsu n’est pas la personne la plus sympathique du monde. De loin, ce jeune homme parait froid, distant voir même hautain. Certains racontent qu’il refuse de regarder les autres parce qu’il les considère comme des insectes, alors que c’est seulement parce qu’il déteste ses yeux. Lorsque l’on prend la peine d’apprendre à le connaître, on découvre une toute autre personnalité. Natsu est, en effet, l’incarnation même du proverbe « l’habit ne fait pas le moine ». Ce jeune garçon est le contraire même de l’égoïsme. S’il n’aide pas souvent les gens c’est surtout à cause de sa timidité et de son besoin de se faire invisible. S’il le pouvait, le fils Nakagawa passerait son temps à aider autrui. Malheureusement, étant profondément complexé par son existence, Natsu se contente de baisser les yeux et d’ignorer le malheur des autres ce qui entraîne en lui de profonde phase de culpabilité durant lesquelles il va s’isoler de tous.

Malgré ses airs de simplet, ce garçon est très intelligent. Ayant passé la moitié de sa vie enfermé dans la demeure familiale, il a une culture générale assez impressionnante qu’il ne partage guère, toujours par peur de se faire remarquer. Néanmoins, Natsu est une personne loyale en amitié et n’hésitera pas à se mettre au-devant de la scène si c’est pour défendre une personne qu’il aime… encore faudrait-il qu’il trouve ce genre de personne. En effet, ayant toujours eu de fortes réserves envers le monde extérieur, l’adolescent n’a pas encore eu l’occasion de se faire des amis. Jusqu’à présent, c’est surtout vers ses sœurs ou ses animaux de compagnies que l’enfant Nakagawa s’est tourné. D’autant plus qu’au moindre compliment, les joues du jeune homme se teintent et ses tics de stress refont surface, le faisant la plupart du temps passer pour un fou ou un obsédé sexuel.

Trop souvent, le fils Nakagawa s’isole dans un coin de la cour avec un livre qu’il ne lira même pas. Il se contentera de le fixer pendant que ses mèches rebelles tomberont devant ses pupilles claires. La plupart du temps inexpressif, Natsu n’attire pas spécialement les gens. Il se contente de les observer en cachette, du coin de l’œil, pendant qu’il mordille frénétiquement sa lèvre inférieure.
Le plus important à retenir, c’est que derrière ses airs d’enfants associables, Natsu Nakagawa est en réalité un jeune homme souriant, qui peut se montrer serviable et surtout énergique. Une surprise pour tous ceux qui le voit arriver en cours le matin, traînant des pieds, des cernes imposants sous les yeux… La raison de ses cernes ? La lecture, quelle question.

• Signes particuliers, manies, obsessions, phobies (etc.) :


Bien qu’à première vu l’adolescent semble être parfaitement calme, il n’en est rien. Effectivement, Natsu est sujet à un grand stress que seules quelques mauvaises habitudes dénoncent. Prenons des exemples simples… Comme les stylos extrêmement mâchouiller dans sa trousse, le frottement énergique de son pouce contre son index lors de situation de stress ou encore les coins des pages de ses cahiers arrachés dans le but de faire des confettis. Ce ne sont que des détails de son comportement qui ne sont remarqués que par les yeux les plus avisés.  

L’invisibilité n’empêche pas les passions d’atteindre le cœur d’un homme… Et Natsu n’est pas l’exception à la règle, bien qu’il l’aurait fortement aimé. Passionné de lecture en tout genre, ce jeune homme serait incapable de donner son style favori. Peut-être le fantastique… à moins que la science-fiction ou les écrits dystopiques. C’est un véritable dilemme pour lui de répondre à ce genre de questions et c’est principalement pour cela qu’il fuit ardemment le club de Littérature. En effet, Natsu n’aime pas étaler ses connaissances et encore moins faire partie d’une quelconque activité qui regroupe d’autre personne que lui. Malheureusement, cette académie pousse ses élèves à choisir deux clubs. Bien que le jeune homme ait rechigné longuement, il a finis par renoncer, comprenant que ses caprices ne marcheraient pas. C’est ainsi qu’il s’est retrouvé dans le club de Kyûdo. Dans lequel il essaie, comme à son habitude, de passer inaperçu.

Néanmoins, étant donné que sa santé passe avant toute chose, Natsu pratique régulièrement du sport… en solo et très tard le soir. Il est tellement obsédé par le fait de ne pas se faire remarquer qu’il préférera aller courir à une heure du matin, quand tout le monde dort plutôt que d’affronter les regards de tous.

Le jeune homme ne supporte pas, par ailleurs, tout ce qui rampe. Il a un véritable problème avec les limaces et ver-de-terre, mais le pire reste les fourmis. Suite à un épisode pour le moins gênant de son enfance durant lequel Natsu s’est retrouvé avec le contenu d’une fourmilière sur les jambes, l’adolescent ne peut plus regarder une fourmi sans avoir un frisson d’horreur.

► Mémoires

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• Journal intime [Top secret !]

L’amour est un cadeau. Encore faudrait-il avoir le droit d’aimer.

Il était une jeune femme répondant au nom de Rika Ûta. On la disait belle et gracieuse, sans doute était-ce pour cela qu’elle était tant convoitée. Afin d’aider son père dans ses affaires, Rika décida d’accepter de se marier à un homme qu’elle connaissait à peine. Là était le prix de la prospérité du commerce de son paternel. Si elle s’obstinait à dire à tous qu’elle n’avait nuls regrets, la flamme qui autrefois brillait dans ses yeux s’étaient bel et bien éteinte dès l’instant où elle s’était unie à cet Homme.
Afin de ne pas faire honte à sa famille, Rika fit son maximum pour donner le plus rapidement un héritier aux Nakagawa qui continuaient de penser que seul un homme pouvait diriger l’affaire familiale. Malheureusement, elle mit au monde trois filles. Yuna, Mira et Sakura faisaient la fierté de leur mère. Souriantes et pleine de vie, elles étaient cette petite étincelle qui brillait au fond des pupilles de Rika, éclairant d’une faible lueur les ténèbres qui la consumaient depuis son mariage.
C’est le 21 juin 1997 que Rika répondit enfin aux attentes de son mari et qu’elle lui donna un fils. Afin de célébrer l’été, ils décidèrent de le nommer Natsu.

Tout aurait pu être parfait, si en grandissant le jeune garçon n’avait pas eu les yeux bleus. Rika eu beau jurer n’avoir jamais trompé son mari, celui-ci ne pouvait s’empêcher de se sentir déshonorer. En réalité, il ne s’agissait qu’un saut de génération. Ne dit-on pas que les gènes sont capricieux ? Ce fut le cas pour la famille Nakagawa. En réalité, ce n’était pas Natsu qui était issu d’un adultère, mais son père. En effet, le chef actuel de la famille, grand-père de Natsu, avait vécu, des années auparavant, une histoire d’amour avec une jeune anglaise lors d’un de ses voyages d’affaires. Bien que sa femme ne lui pardonna jamais cet acte, elle accepta d’élever l’enfant qu’il avait donné à cette étrangère morte en pleine couche. D’autant plus que ce bambin était le portrait craché de son père. Une génération plus tard, l’erreur de son grand-père refit surface à travers les yeux bleus de son petit-fils. Personne, à part Natsu, ne possédait des pupilles aussi claires dans la famille. L’enfance joyeuse qu’aurait dût avoir le fils Nakagawa se transforma rapidement en cauchemar.

Bien évidemment, cet enfant ne comprenait rien à la situation. Tout ce qu’il voyait, c’était ses oncles qui murmuraient à leurs enfants de ne pas trop s’approcher, d’autres encore qui riaient en disant que jamais le vieillard n’accepterait de faire de Natsu et de son père les héritiers de la fortune. Le petit garçon ne comprenait rien, il ne savait pas pourquoi son grand-père, qu’il n’avait  jamais vu, pouvait ainsi décider de sa vie et de celle de l’homme qu’il nommait Père, mais il s’en fichait. Il avait ses sœurs et sa mère. Le reste n’avait aucune importance.
De toutes les filles qui se trouvaient sur Terre, Natsu était persuadé que Yuna était la pire. Il n’y avait rien de féminin chez elle. Violente, elle passait son temps à pourchasser toutes personnes qui osaient l’approcher. Et bien qu’elle ait un succès certains auprès de la gente masculine, Yuna ne s’intéressait qu’aux arts martiaux, pour le plus grand malheur de Natsu qui servait souvent de mannequin d’entrainement.
Mira, elle, était l’incarnation de la féminité et de la beauté. Le contraire parfait de son aînée. Douce et aimante, elle amenait souvent Natsu à la bibliothèque pour le cacher de l’ignoble Yuna qui ne pouvait alors que s’en prendre à la plus jeune des sœurs : Sakura. Seconde victime de l’aînée, la cadette des filles était une véritable pleurnicharde qui avait tellement peur de ses sœurs qu’elle hurlait dès que quelqu’un ouvrait la porte de sa chambre, même lorsqu’il s’agissait du chat. Néanmoins, ce furent les plus belles années de la vie de Natsu.
Tout bascula lors de sa dixième année. Le jeune garçon commençait doucement à comprendre pourquoi ses cousins n’avaient pas le droit de jouer avec lui, ou pourquoi certains insultaient sa mère de dépravée. Malgré tout ce que l’on disait sur sa génitrice, Natsu la défendait à chaque fois, mais son acharnement ne suffit pas. Le 15 Janvier 2007, Rika Nakagawa se donna la mort. La femme Nakagawa s’était bourrée de médicaments. Déjà sous ordonnance d’antidépresseurs depuis un moment, toute la famille savait qu’elle allait mal. Si cela ne surprit pas les membres des Nakagawa, Natsu et ses sœurs furent profondément choqués de découvrir leur mère morte tandis qu’il se rendait dans sa chambre pour la réveiller.

Leur père entra enfin activement dans leur vie. Contrairement à ce que tout le monde pensait, ce ne fut pas Yuna qui craqua la première, mais Mira qui, à cause de son amour profond pour sa mère, décida de fuir le logis familial. L’ainée et la cadette des filles décidèrent de se plier aux règles de leur père sans essayer de protester. Après tout que pouvaient-elles faire face à pareil géant ?
Quant à Natsu, il cessa tout bonnement de lever les yeux. Persuadé que c’était de la faute de ses pupilles si sa mère avait perdu la vie. Son père ne pouvant le regarder, le jeune garçon fut mis à l’écart de la famille à tel point qu’il eut l’impression de cesser d’exister. Il était invisible. Il avait beau venir débrailler aux repas, ne pas se montrer polis, ne pas sourire ou même faire des bêtises, personnes ne le voyait. Personne ne lui parlait. Parfois, tard le soir, ses sœurs se glissaient dans son lit pour lui murmurer des paroles d’encouragements et en retour, il leur promettait d’être fort et de sourire. Que pouvait-il faire d’autre de toute façon ?
Durant des années, il communiqua à l’aide de lettre avec sa sœur Mira qui utilisait le pseudo de Tolkien afin de lui écrire, Natsu étant un fan inconditionnel du seigneur des anneaux. Les journées de l’adolescent se résumait à ça, suivre les cours à domicile de Sakura, qui était d’un an son aînée, afin d’avoir des connaissances (une obligation imposée par Yuna), ensuite il piquait quelque chose à manger dans la cuisine avant de prendre un livre et d’aller s’asseoir avec les chiens dans le jardin. De temps en temps, il relisait toutes les lettres que sa sœur lui envoyait. Il était le spectateur de la décadence familiale. L’aînée si énergique était devenue une gentille femme de maison tandis que l’autre s’évertuait à impressionner un père qui s’obstinait à briser les siens. Natsu détestait cette famille. Il la haïssait au plus haut point.
C’est au début de la nouvelle année scolaire que Yuna vint le trouver. Le peu qu’il y avait dans sa chambre avait été empaqueté afin d’être envoyé dans sa nouvelle école. En effet, son aînée avait réussi à convaincre leur père d’inscrire son unique fils dans une académie prestigieuse, malgré le coût d’une telle scolarité. Natsu ne savait pas vraiment si c’était pour se débarrasser de lui ou pour le sauver que sa sœur s’était lancée dans une telle manœuvre, mais dès ce jour, le garçon invisible qui ne connaissait rien au monde extérieur fut projeté dans la lumière.

Natsu ne savait pas comment réagir. Entre peur et excitation, il savait qu’il allait être livré à lui-même dans cet univers qu’il connaissait à peine. Néanmoins, afin de ne pas décevoir ses proches et toutes personnes qui pourraient entrer en contact avec lui, il décida de continuer de faire comme d’habitude et de s’effacer tout simplement.


• Relations proches et familiales : (qui vous a élevé / avec qui vous vivez, etc.)

Hiro Nakagawa ♣ Père de Natsu. Il s’agit d’un homme relativement froid qui ne pense qu’à ses affaires. En réalité, Hiro était follement amoureux de Rika et se sentit profondément blessé à l’idée d’avoir été trompé. Suite à cette histoire il s’est éloigné de sa famille. A la mort de Rika, il est revenu pour élever ses enfants, mais la ressemblance entre sa défunte femme et son fils était tellement forte qu’Hiro s’est mis à ignorer Natsu. La culpabilité vis-à-vis de la mort de Rika est un sentiment qu’il partage avec son fils, puisqu’il est persuadé que c’est de sa faute si sa femme s’est laissée aller au suicide étant donné qu’il n’a jamais mis fin aux rumeurs qui circulaient sur la fidélité de Rika. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne déteste pas Natsu. Néanmoins, ce dernier ne le porte pas dans son cœur, sans pour autant le détester.

Rika Nakagawa ♣  Mère décédée de Natsu. Sa mort a beaucoup affecté toute la famille. Natsu continue de se rendre régulièrement sur sa tombe ou il dépose toute sorte d’objet. Jamais de fleurs parce qu’il se souvient que sa mère détestait ce genre de gestes cérémoniaux. C’est à cause de la mort de Rika que son fils est autant sujet au stress.

Yuna Nakagawa ♣ Sœur de Natsu (22 ans). Aujourd’hui c’est une femme douce et compréhensive, bonne à mariée et douée en affaire. Pourtant Natsu en garde un très mauvais souvenir, notamment à cause des jours où il servait injustement de mannequin d’entraînement. En effet, Yuna maîtrise parfaitement les arts martiaux, bien qu’elle ait cessé de pratiquer après la mort de sa mère.

Mira Mashima ♣ Sœur de Natsu (20 ans). A la mort de sa mère, Mira est allée rejoindre en cachette son grand-père maternelle et s’occuper désormais du business Ûta : Une boutique de fleur. Depuis son départ, elle s’est mariée et à même une petite fille. Elle n’a gardé contact qu’avec Natsu, bien que son père la surveille depuis son départ. Natsu l’adore et va souvent lui rendre visite. Etant donné qu’elle ne vit pas très loin de l’académie, il va souvent dormir chez elle.

Sakura Nakagawa ♣ Sœur de Natsu (18 ans). Bien que Sakura ne soit plus une pleurnicheuse, c’est tout de même la personne la plus fragile de la famille. Natsu la considère plus comme une petite sœur que comme une grande-sœur. Il est constamment en train de vérifier qu’elle aille bien et se fait souvent réprimander par les professeurs à cause d’elle. Pourquoi ? Parce qu’elle lui envoie tout le temps des messages pendant les cours.

CARTE DU MEMBRE:
||  Perceval ||

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• Âge: 20 ans • Localité (facultatif): Sud de la France • Etudes ou profession (facultatif): L2 Info-Com • Comment as-tu découvert Keimoo: En cherchant désespéramment un forum rpg ~ Le hasard • Ton niveau de fréquence: Relativement régulier • Remarques, suggestions:  // • Souhaites-tu un parrain : Oui pourquoi pas ! • Aimes-tu les chats ?