Retour au chaud [PV Zakuro Fea-Terminé]

Suite du rp qui se trouve Ici


C'était main dans la main que Zack et Renji étaient retournés à la moto, un sourire heureux sur le visage. Zack n'avait eu besoin de dire nul mot pour faire comprendre à Ren, qu'il était sans doute tout aussi attaché. Avant d'enfourcher ce monstre de mécanique noir, Renji avait montré à Zack où il avait habilement rangé la peluche pour la protéger de la pluie et ils avaient ris en constatant à quel point Renji l'avait compacté pour qu'elle tienne.
Une fois à moto, Renji attendit que Zack se place derrière lui et attrapa ses mains pour placer ses bras autour de sa taille. Il posa un instant les siens par-dessus puis ferma les yeux en se laissant légèrement aller en arrière pour se coller contre Zack. Il avait eu envie de ce contact avant de démarrer. Il eu même du mal à se décider de partir tant il appréciait cet instant.


- On reviendra, lui signifia-t-il comme une promesse, avant que Zack ne mette son casque et qu'ils se décident enfin à reprendre la route.


~~*~~


Sur la route, Ren roula tranquillement et choisit de passer par le centre ville, pour profiter de ses lumières. C'était toujours incroyable de voir ce festival de lumières colorées, de panneaux publicitaires sur écran géant, les vitrines colorées et les feux des voitures qui formaient comme des sortes de guirlandes. Après une courte traversée, ils empruntèrent une route qui menait sur les hauteurs de la ville. Après quelques batiments, le paysage laissa bientôt place à des étendues de forêt et de campagne puis ils arrivèrent enfin à destination, dans le quartier Amami, après quelques virolos dans la montagne.



Ils empruntèrent une passerelle, continuèrent sur encore deux cent mètres et arrivèrent dans la cours de la résidence Dingding, où il logeait. Ren choppa les affaires dans le coffre sous la selle puis fit le tour de la résidence par l'arrière, afin montrer à Zack, la rivière qui longeait le batiment en contrebas. La vue était très chouette et c'est ce qui avait contribué à ce que Renji décide de prendre cet appartement.



Photos de l'appartement ici



Ils pénètrèrent ensuite dans le batiment et empruntèrent les escaliers jusqu'au troisième et dernier étage, l'appartement se trouvait sous les combles. Arrivés devant la porte, Renji avec la peluche d'anaconda autour du cou, s'empara de ses clés dans le fond de sa poche ou tout du moins, il essaya car le tissu de son jean était tellement trempé qu'il lui collait à la peau. Il tendit donc les affaires qu'il avait dans une main à Zack et se pencha légèrement en arrière pour pouvoir plus aisément glisser la main dans sa poche. Une fois ces dernières récupérées, il déverouilla la porte et invita Zack à rentrer.



C'est Shaitane qui acceuillit ce dernier en se frottant contre ses jambes sauf que lorsqu'elle remarqua que ce n'était pas Renji, elle se précipita immédiatement vers son véritable maitre en miaulant.



- Bonsoir ma belle, tu m'attendais hein.. dit-il en la prenant dans ses bras. Zack, je te présentes Shaitane, une boule de poils très affectueuse, enfin surtout avec moi pour ne pas dire limite qu'avec moi, dit-il en riant.



Cette dernière lui donna ses habituelles coups de langue sur la joue puis il la reposa sur le sol. Elle courut tout de suite à sa gamelle. Il s'occupa alors de lui verser quelques croquettes dans sa coupelle, tandis qu'ils discutèrent longuement avec Zack de cette cuisine aux couleurs atypiques. Renji lui expliqua que c'était l'ancien locataire, un artiste peintre, qui avait repeinte cette pièce dans ces tons. Somme toute, c'était vraiment chouette et Renji adorait. Il y régnait une ambiance chaleureuse, qui lui avait donné encore plus goût à cuisiner.



Il fit ensuite faire le tour des pièces à Zack puis ils revinrent à la cuisine pour boire quelquechose. Ren proposa le choix entre coca, jus de fruit, orangina, limonade et même de l'eau plate ou gazeuse. Dans tout ça, il en avait oublié qu'ils étaient à moitiée trempés et après avoir tilté, il se dirigea vers la salle de bains, en retirant son tshirt dans le couloir, suivit ensuite de son pantalon pour se retrouver juste en caleçon . Il appela Zack, l'invitant à le rejoindre ensuite dans sa chambre puis farfouilla dans son armoire à la recherche de quelquechose de sec et propre pour ce dernier ainsi que pour lui.


Il lui montra ce qu'il avait choisis puis se releva et lui tendit les quelques fringues. Il y avait deux jean's, ainsi qu'un tshirt noir et une chemise de la même teinte.



- Tiens tu pourras essayer ça, ça devrait t'aller, même corpulensce, même taille.



Il lui indiqua ensuite la salle de bains et lui demanda ses préférences pour le dinner, en lui énonçant rapidement ce qu'il pouvait cuisiner, lui donnant le choix entre des des Tsukune, ces brochettes au poulet haché, le tout accompagné de riz, ou des Yakisoba aussi appelées nouilles sautées.
Il songea aussi qu'il ne lui avait pas passé de serviette et lui en donna une qu'il pris dans le placard de la salle de bains. Avant de sortir, il l'embrassa à nouveau tendrement.


- Ca faisait trop longtemps... dit-il avec un sourire à faire fondre.


Pendant que Zack prenait une douche, il sesécha rapidement avec la serviette qu'il avait récupéré et puis enfila des fringues propres. Direction la cuisine pour préparer le repas. Il mit de la musique et se mit à cuisiner en dansant légèrement sur la mélodie rythmée. Ouais il était vraiment heureux.

[OWIIIIIIIIIIIIII!!! après avoir bataillé avec le formatage de ma clé, ensuite de mon ordi, j'ai ENFIN réussi à conserver mon rp sans avoir à le retaper! Je suis fier de moi. *out*]



L'appartement de Renji était à l'opposé totale de ce qu'un Européen ait put se faire comme idée d'un logement japonais. En dehors des fondations d'HLM du quartiers, typiques dans le coin, l'intérieur était vraiment amménagé dans une question de confort et de service plus que de coutûme. Lorsque nous entrâmes, nous fûmes accueillis par une boule de poile qui dès les explications de Ren, trouva le nom de Shaïtane. Le jeune homme la prit dans ses bras, me la présentant. Je me gardais de la caresser, bien que mon envie en soit presque mordante. Mes meilleurs amis avaient toujours étaient les chats, et j'éprouvais une grande admiration pour les félins. Je trouvais leurs mouvements musculaires si impressionnants, si magnifiques... tellement différents des autres mammifères. Shaî-tane était un chat gris et blanc, je souris.
 C'est un chat-porte bonheur? Pour les occidentaux, on offre ces chats automates, tu sais, avec la patte relevée. Je crois que les chats noirs et blancs sont à l'origine de cette croyance. Je te dirai, un jour.

(…)

Renji se dirigea vers la cuisine. J'en eus plein les yeux, tellement la pièce était décorée. Waw, ça claquait. Tournant lentement sur moi même, je dévorais des yeux le décor. C'était la première fois que je voyais une cuisine aussi « pétante ». Mes parents n'aimaient pas ce qui sortaient de la sobriété, et je m'y étais habitué. De plus, les japonais que je connaissais avaient peu l'habitude de peinturlurer avec autant de vivacité ce lieu familial.
Ren fit soudainement remarquer que nous étions trempés. Effectivement... avec l'écart de température, je ne m'en était plus apperçu, tout à mon soin de découvrir les locaux qu'habitait le jeune homme. Il se rendit dans sa chambre, je patientais, adossé à un mur, dans le salon.

(…)

Entrant ensuite dans la salle d'eau, un sourire taquin glissa sur mes lèvres quand à la tenue peu conventionnelle de Ren. So sex', babe. Nous échangeâmes un regard complice, puis, plus sage que moi, il me tendit des vêtements, en me désignant la douche. Ouiiiiii!
 Excellente idée. Je te remercie, Ren-kun.
Kun? Le suffixe me tira un sourire carnassier. Il était plus vieux que moi, plus grand. Mouhahahah, qu'est ce que j'aimais être poli en ne respectant pas les règles. Il me tendit les vêtements, que je récupérais, et relevant la tête, eu juste le temps de me faire dérober un baiser avant qu'il ne recule vers la sortie, rieur.
 Ca faisait trop longtemps, s'amusa t'il.
Je ne répondis rien, charmé et surpris. Doumô arigato.

J'aimais la douche. Sérieusement, j'aurais pu passer des heures sous l'eau giclante. Ça commençait par la rotation des robinets, avant de se poursuivre dans un contact fabuleux. Loin d'être sensuel, c'était plus... complice, qu'intime. L'eau ruisselait sur ma peau quand je sortais, fumant, de la douche. Ramenant mes cheveux en arrière, je portais mon regard sur la glace, affrontant l'éclat bleu de mes yeux. Je détournais le visage, et récupérant une serviette, frictionnais mon corps avec, sans passer par les cheveux, à ma vieille habitude. Ensuite, j'enfilais mes vêtements, avec un sourire. Même taille, même corpulence? Je me modelais à la perfection au corps de Renji, dans ce cas! Lot of laugh...

En sortant de la salle de bain, chassant mes mèches brunes de devant mes yeux, je perçus tout de suite la musique, et juste après les effluves d'odeur de cuitûres. Waw, en plus Monsieur Renji cuisinait! Alala, parfait, ce mec. Je souris, quand la musique de mon portable résonna derrière, dans la salle d'eau. Oooops... Je vis Ren se tourner, surpris, et profondément désolé pour ce manque de politesse, lui envoyait un bref « Sumimasen ». Effectivement, la sonnerie m'était plus que familière. My father.

De retour dans la salle d'eau, je décrochais.

 Yeah? Marmonnais-je en décrochant
 Zakkusu? It's me. Répondit mon père.
 How are you, dad'?
 Fine, fine, and you, boy?
 Really fine. What's the matter? Huh? Demandais-je, surpris par la légère vibration dans la gorge de mon père.
 … A great new, in my opinion. Were are you?
 So...?... Well, I'm whith a friend.
 A friend? Do you mind... a girl? Ricana t'il.
 No! So, ...what?
 Nothing. You know, I've been thinking about what you told me.
 What is it about?
 Your sensei.
 Huh?

Je sortais de la salle de bain, un violent mal de crâne empirant à chaque pas. Je me rendis dans la cuisine, comme un somnambule. Là, je m'effondrais presque sur Renji. Enfin, presque... je le serrais dans mes bras, pris d'un soudain besoin d'affectivité immédiat. Dur, très dur... Un gloussement s'échappa de mes lèvres, et je me laissais glisser jusqu'au sol, un gigantesque sourire hilare sur mes lèvres.

 Mon père a retrouvé mon professeur, disparu il y a un an. Disparu dans un accident de voiture, et censé être enterré au Japon.

Shaitane passa près de nous, humant l'odeur délectable, nous narguant du panache de sa queue.
Je reprenais Renji dans mes bras, l'attirant contre ma poitrine, par pur caprice de le sentir près de mon corps.
Si j'avais pu, j'aurais sauté dans le premier avion, direction l'Allemagne. C'était là bas qu'il était. Mes doigts se serrèrent contre la poitrine de Renji, tandis que j'enfouissais son visage dans ses cheveux.

FB.

Il est mort?
Je restais silencieux, debout au milieu du jardin, tandis que mon père affichait un air grave. Je ne parvenais pas à bouger, à ressentir quoi que ce soit. J'étais juste.. ailleurs... cela me semblait impossible et terriblement vrai à la fois. Je n'étais même pas malheureux. Juste... c'était inconcevable. Pendant une seconde, toutes les blessures de mon corps se rouvrirent avec une violence inouïe. Comme si des centaines de sabres m'auraient tranchés de toutes parts.


Mes lèvres se désposèrent sur la nuque de Renji. J'étais une foutue flamme éphémère, volant d'un espace à l'autre. Un hypocrite... mes bras se glissèrent au bassin de Renji, mes mains jusqu'à son ventre.
 Faut faire quoi? Je sais plus du tout, là.

Zack arqua un sourcil dubitatif, cherchant à assembler les dires de Renji à la manière d'un puzzle, comme si son homologue ait pu soudainement se transformer en maitre Yoda. A cette pensée, un sourire d'enfant innocent étira sesdu jeune brun qui déposa sa tête contre le dos de Renji. Silence, puis:

- Renji....?

Zack défit son étreinte, impassible, et se leva souplement. Ses yeux balayèrent les couleurs vives de la cuisine, tandis que d'une main experte, il éteignait le feu de la cuisson. Il se détourn ensuite, retournant dans le salon, son regard se reportant sur Renji, sur le canapé. Silence.
Explosant de rire, totalement aporique dans ses attitudes, Zack se jeta dans les bras du jardinier, une véritable joie de vivre collée à la peau. Plaquant Ren contre le sol décidément très confortable, le fauve appuya sur les épaules du jeune homme, plongeant son regard bleu dans les prunelles de jais. Un éclat malicieux illumina son regard.

-... règle numéro un du combattant, toujours prendre son adversaire par la ruse. Ne jamais baisser sa garde. Tu as perdu, Ren!

Zack baissa son buste, ses coudes heurtant le sol, quand ses lèvres dévorèrent celles de Renji, sa langue vagabonde imposant son ardeur à son amant. Les mains de Zack quittèrent le sol, venant presser le visage de Ren, son nez heurtant l'autre, les cheveux bruns se mêlant aux rouges. Légèrement essoufflé, Zack rompit doucement le baiser, et engagea ses lèvres sous le menton, forçant Renji à lever le visage tandis que sa bouche s'égarait; mordillait, titillait, stimulait. Zack se livrait à un jeu dont il avait décidé d'ignorer les limites, se jetant dans la gueule du loup. Si lui était un fauve, Ren était un canidé.
Qui du loup ou de la panthère saurait dompter l'autre?
Agiles, rapides, ses mains quittèrent le visage et les cheveux pour s'engouffrer par le col de la chemise, en dessous les vêtements. Caressant la poitrine, mais gêné par la position bloquée de ses bras, il pivota ses poignets, et changeant de direction, délaissant rapidement la chaleur de la poitrine pâle, pour avide, découvrir les effluves tangible du bouillonnement au niveau du ventre. Délaissant distraitement ses baisers, Zack se livra à l'incroyable douceur de la peau de Renji, ses mains massant tour à tour abdomen, côtes, puis plis inguinal. Comme un luthier, ondulant sur le corps blanc, ses bras et ses mains glissèrent sous les vêtements, comme un serpent se déplaçant sous le sable, et remontèrent jusqu'aux épaules. Presque couché sur sur le corps de Renji, Zack ôta délicatement le haut du jeune homme, découvrant visuellement le torse d'albâtre. Raffrénant quelques ultimes secondes son désir, le brun ôta doucement l'unique barrière solide à ses fantasmes. Déplaçant son corps, Zack se plaça à califourchon sur au dessus de son homologue, ses lèvres laissant pointer sa langue. Avec -presque- une subtilité dévorante, il lécha les lèvres du Loup, comme pour se souvenir du gout sensuel implosant dans sa bouche. Caressant le torse blanc, il ignora ce que faisait de lui Ren, se livrant à la chaleur de son corps. L'adolescent se sentit torse-nu, quand à la soudaine fraicheur, mais les mains lascives de Ren sur son corps lui arrachèrent un frisson n'ayant rien à voir avec la température.
Glissant des épaules au ventre, Zack perdait lentement une certaine lucidité. Fixé sur le moment présent, il se surpris à se cogner le coude contre le canapé, ce dernier supportant à demi leurs ébats. Sans pour autant s'arrêter, il continuait, avec sa langue et ses lèvres à descendre. A un certain niveau du ventre, il sentit un frémissement. Zack releva des yeux provocateurs sur Renji, ses lèvres à un milimètres de l'épiderme de l'autre.
- ça chatouille?
Ton innocent.... Zack explosa de rire, ses mains se refermant avec douceur sur le corps aimé. Puis, calmant doucement sa crise d'hilarité, fit glisser ses doigts entre la ceinture du pantalon et l'elastique du sous vêtement. L'adolescent haussa les épaules, et taquin, déclara d'un ton badin;
- Mauvaise pioche, je prends le boxer aussi.
Le mouvement qui s'en suivit fut ressentit comme un kata effectué en dojo. Il sentit ses épaules, triceps, coudes, avant-bras, poignets et pouce faire glisser l'ultime défense de tissu. Les lèvres de Zack se posèrent sur le haut du pubis, quand d'une main soucieuse, il ôtait totalement le pantalon et le boxer.
Ramenant ses cheveux en arrière, Zack laissa un mince sourire courir ses lèvres. Sourire qui ne trahissait pas pas le moins du monde l'explosion de chaleur de volonté, de désir brûlant dans son ventre. Il laissa ses mains courir avec douceur sur le pénis, pour une première approche. Lui gardait son jean (pour le moment, hihi <3). Ses lèvres s'ouvrirent, pinçant doucement un pli dermal, avant de ne descendre, sa langue glissant sur le membre, goutant à chaque sensations. Légère, très légère, sa langue effleura le gland. Il eut un frisson, et se releva à moitié, a genoux entre les jambes de Renji, et porta la main au sexe de son amant. Doucement, il referma les doigts sur le membre, appréçiant la chaleur. Les frottements de ses doigts contre le pénis débutèrent lentement la masturbation, presque timide. Une caresse lascive, contrôlée par le brun, qui se laissait aller à ses instincts. Il savait comment se faire vibrer ou bien simplement frissonner, mais saurait-il trouver le bon rythme de va et viens pour Renji?
L'érection de celui ci le lui confirma. Il Ses doigts lâchèrent le membre, presque brûlant. Fraiche, sa langue lécha le bout du gland, avant de ne totalement l'envelloper. Les lèvres s'ouvrirent, et Zack avala dans sa bouche le pénis de Ren. Des gémissement fusèrent de sa propre gorge, tandis que ronronnant et comme à bout de souffle, le brun suçait, léchait mordillait le sexe de son ainé. Une violente erection l'avait prit aussi,, mais Zack ne détachait pas ses mains du corps de Renji. Un frisson de plaisir secoua son être tout entier, et les ongles de Zakuro déchirèrent le creux des reins, dans de sanglantes griffures. Se stoppant dans la fellation, Zack se releva, et porta la main à son visage, laissant s'écouler dans sa paume l'intérieur de sa bouche. Le blanc et le rouge se mêlaient au creux de sa main. Sperme et sang. Un sourire épousa les lèvres de Zack, qui refermant le poingt, s'allongea sur le corps nu et frisonnant de Renji. Du bout des doigts, il effleura un tatouage sur la poitrine, avant de ne lever son regard bleu sur le visage de Ren.
- Humpf! Avoue... je t'ai calmé, là!
Mort de rire, il laissa sa main retourner vagabonder près du sexe de Renji.

C'est minuscule oo

Lorsque mon dos heurta le sol, je compris immédiatement que je venais de passer en mode dominé. Et c'était merveilleusement frustrant. Le souffle saccadé, je laissais, sans un mot, la chaleur emplir chaque fibre de mon corps tandis que les mains lascives de Ren m'arrachaient un frisson de plaisir. Oserais-je le dire? J'étais terrorisé. Terrorisé par cette inconnue tactile qui s'imposait a moi. mais c'était tellement délicieux. Mes lèvres entrouvertes sur un souffle que je cherchais a happer, mes doigts glissèrent sur les joues puis sur les tempes de Ren, dans une caresse tendre, tandis que sa bouche activait en moi un plaisir monstrueux, qui me glaça. Immobilisé, je sentis mes bras retomber sans force sur le sol, tandis qu'une premiere vague de chaleur m'arracha un gémissement. L totalité de mes muscles tétanisés, mes doigts crispés, mon souffle se désorganisait, au rythme d'une respiration saccadée. Fermant les yeux avec pression, je m'abandonnais au plaisir; seul la bouche de Ren comptant.
Ses vas et viens brisèrent lentement la glace de mon corps et ce fut une gigantesque explosion dans mon ventre. Le souffle coupé, mon corps se tordit en arrière, mes poumons en feu. Mes doigts crochetèrent un vêtement proche de ma main, et me le pressant avec force contre le visage, j'ettouffais le hurlement explosant hors de mes lèvres. Plongé dans l'asphyxie et le noir étouffant du tissu, je me découvrais automatique; des gémissements s'echappant de ma gorge, alors que la bouche de Ren s'activait à son odieux martyre, cambrant mon corps. Des centaines de milliers de récepteurs s'etaient activés sous ma peau, les mains de Renji faisant frissonner mon corps de haut en bas. Le tissu chuta de mon visage, et les abdominaux en feu, je me relevais de moitié, sur les coudes, le visage drapé par mes cheveux tombant devant mes yeux, en cascade. La gorge sèche, je gardais les paupières fermées, devinant la silhouette de Ren s'activant. Avec un feulement, je me laissais tomber contre le canapé, la mâchoire crispée.

RP terminé.