Nikolaï Sven Evans - Professeur de Biologie // Professeur de Chimie.

I. IDENTITÉ

• NOM : EVANS
• PRÉNOM : Nikolaï, Sven
• GENRE : Masculin
• ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 31yo – 13.03.86 – Moscow Russia.
• GROUPE : Intello forever ♥

• ANNÉE D'ÉTUDES OU PROFESSION : Professeur de Biologie & Chimie

• CLUBS : De la night
• ÉTAT CIVIL : Célibataire.
• LANGUE MATERNELLE : Russe.
• AUTRES LANGUES : Anglais – Fluent /Suédois – Correct /Japonais – Bon


• PERSONNAGE DE VOTRE AVATAR : Germany/Prussia

II. DESCRIPTIONS.

• Anatomie, marques, expressions, allure, gestuelle :

 Plutôt bel homme.
 Nikolaï est de bonne taille, mesurant un mètre quatre-vingt trois – en trichant un peu –. Ne vous reposez pas sur son allure souple et déliée, notre Russe ne se brise pas, il coupe comme le diamant. D’aspect plutôt brut au quotidien, ce blondinet sait se polir sous une maille de corps méticuleusement choisie que ce soit de jour ou de nuit. Une musculature discrète se dessine sous ses vêtements faussant toute idée de maigreur naturelle ou de type accro à la salle de sport. Nikolaï est naturellement svelte et c’est probablement ce qui lui permet parfois de se déplacer sans être entendu et lorsqu’il le souhaite, sans être vraiment vu. Cependant vous ne pourrez sans-doute pas louper sa chevelure d’un blond miel aux reflets dorés qui ont pour fâcheuse habitude de lui tomber devant les yeux ainsi que chatouiller la base de son nez droit légèrement incliné sur la gauche suite à une ancienne chute de snowboard.
D’aspect soigné, Nikolaï privilégiera les vêtements simples dit « casuals » plutôt que des vêtements formels excepté si nécessité commerciale. Dès lors, il domptera sa tignasse en ramenant tout ça en arrière à l’aide de cire à coiffer -Quelle merveilleuse invention, vraiment.-  .
Grand Fan des Jeans fatigués et tee-shirts plutôt « loose » Nikolaï ne cache plus ses cicatrices diverses. En plus d’une protubérante marque au niveau de l’appendice, Nikolaï se voit affublé d’une cicatrice que l’on peut deviner profonde faisant le tour de  son avant-bras gauche à la façon d’un bracelet en volume et permanant. Le russe se voit également porter une belle cicatrice à l’omoplate droite, suite à une chute qui aura eu pour conséquence de rendre l’utilisation de son épaule moins fluide que sa jumelle. Auriez-vous le malheur de remarquer ses cicatrices, des yeux d’un bleu grisé vous fixeront de façon plus ou moins acerbe – selon l’humeur du jour. -

 Depuis ses années d’études à Keimoo, son visage s’est un peu creusé.
Ses traits semblent un peu plus fatigués que lors de sa jeunesse. Les années de fête et autres activités nocturnes auront également eu raison de l’état de sa dentition. Café Clope Quelque chose – ayant fragilisés son émaille dentaire - se retrouve bien moins blanche qu’avant sans virer au « jaune dégueulasse » ou au marron « dent malade ». Sa canine droite est toujours désalignée suite à une bagarre, ainsi qu’une molaire brisée lors d’une altercation professionnelle – qui peut parfois le faire grimacer -.
Sa dentition est découverte par des lèvres finement tracées qui dessinaient jadis plus de sourires que de moues boudeuses. Cependant avec les années, cette faculté à livrer aux yeux du monde ses quenottes fragiles de façon spontanée se fait de plus en plus rare, privilégiant le sourire polis voir commercial. Un sourire sans âme, un sourire aux yeux fatigués.
Aujourd’hui vous remarquerez probablement son petit rictus de lèvre, ainsi que cette habitude qu’il a de la mordre.

Plus globalement, ses traits sont durs et doux à la fois. Il se fait désormais bien plus caméléon qu’avant, ayant appris à se fondre dans la masse et à se déplacer discrètement, à l’abris de la concurrence et du regard acéré des autorités. Ni fantomatique ni extravagant, Nikolaï n’attire pas tous les regards mais sait se faire voir quand il le désire.


• Tenue vestimentaire, accessoires, tatouages,  etc.

Nikolaï adore les jeans troués. Fatigués. Usés. Sans forme définie. Mais il aimera également porter de temps à autres une bonne paire de jean Levi’s tout frais sorti de la boutique avec un tee-shirt non troué par une fraise de clope malencontreusement cendrée sur lui-même ou une chemise lors de ses heures d’enseignement. Les pantalons de type militaire font également partie intégrante de sa garde-robe même s’il ne les portes plus aussi souvent. Ses tenues sont toujours simples et efficaces. Nikolaï n’accessoirise pas ses « outfits ». Il n’aime absolument pas tout cette importance portée aux accessoires masculins. Il se munira seulement de son porte feuille en cuir havane -tout aussi fatigué que ses jeans troués.- ainsi que de ses lunettes dont il a désormais besoins pour passer d’une vision lointaine à une vision rapprochée. Ses yeux ne faisant plus bien la mise au point, en bon trentenaire qu’il est devenu.

Sa seule « extravagance » se fera au niveau de ses chaussures – Sneakers ou bottes paramilitaire- ainsi que sa collection de montres de luxe. Montres qu’il change d’un jour à l’autre.
Lorsqu’il enseigne, il portera des chaussures en cuir décontractées histoire de rester jeune mais plutôt « pro ».
Sa peau n’est pas tatouée, si ce n’est des cicatrices décrites ci-dessus et le minuscule tatouage caché sur sa hanche, marque de son entreprise estampillée sur quasiment tous ces produits. Lorsque besoins s’en fait, Nikolaï portera un sac à dos ou un sac en bandoulière de couleur sombre, bien entendu.

Dans l'intimité notre Russe reste plutôt simple. Un bon jogging ample sans tee-shirt ni marcel, adorant monter la température de son appartement afin de pouvoir y vivre en caleçon, Nikolaï n'est pas souvent habillé une fois chez lui - Avec ou sans compagnie -.

• Mentalité, attitude envers autrui, philosophie personnelle:

2.0
Nikolaï a grandi. Nikolaï a changé.
Nikolaï n’est plus semblable à un papillon qui vaque à ses occupations sans penser à la suite.
Nikolaï n’est plus ce petit garçon qui se laisse entretenir par ses parents.

Il reste cependant toujours ce type gentil de base, au bon fond qui n’emmerde personne, qui ne se veut pas gênant en société. Ça n’a jamais été son style. Mais aujourd’hui Nikolaï est plus aigri, plus sombre, plus profond. Il a mûri depuis ses années de doctorat, oui vraiment.
Toujours aussi ouvert d’esprit il n’ira pas parler à quelqu’un pour le plaisir de parler – excepté s’il y a matière à une vrai conversation – Cependant, notre russe reste vraiment abordable et répondra toujours à une question. Envoyant rarement chier les gens, il ne s’embêtera pas non plus à trouver la réponse qui vous plaira le plus.
La politesse est absolument primordiale pour notre ‘jeune’ homme. Il aura tendance à placer des mercis là où plus personne ne les attend.
Nikolaï n’aura pas un mot plus haut que l’autre.
Nikolaï est devenu quelqu’un de réfléchis, calme, froid voir nonchalant.
Il se fait désormais plutôt secret.

Mais ne vous y méprenez pas. Il peut être un véritable loup dans la bergerie.

Nikolaï est un homme occupé.
Nikolaï est un homme préoccupé.

Nikolaï souffre d’addictions qui peuvent parfois lui faire perdre les pédales. Dans quel cas, il retombera dans ce qu’il sait faire le mieux – la fête.
Qui se trouve être l’un de ses métiers. En plus de celui de professeur de Biologie mais aussi de Chimie.
Cependant ces épisodes festifs se font toujours de courte durée.

Nikolaï reste tout de même un homme préoccupé par ses activités diverses qui ne sont pas toutes louables. Alors souvenez-vous que même s’il est un homme gentil, Nikolaï n’a pas peur de la violence. Il n’hésitera pas à user de méthodes douteuses pour faire flancher quelqu’un mentalement ou physiquement. Seulement, il ne se servira de personne d’autre que de lui-même pour régler ses problèmes, ce qui lui a valu les cicatrices de l’avant-bras ainsi que de l’omoplate.
Si le Russe estime que vous lui avez marché dessus ou manqué de respect, il n’hésitera pas à user de fourberie pour vous atteindre mais laissera tout de même un mot pour que vous sachiez avec vous avez affaire.
Mais s’il se trouve être d’humeur taquine, il vous fera mariner jusqu’à satisfaction avant de lancer l’offensive de façon ouverte et publique.

Malgré tout, Nikolaï reste un professeur dévoué à ses matières. Il a développé une profonde passion pour la transition de savoir. Il ne rendra jamais une correction en retard. Il ne manquera de cours qu’en cas de force majeure du fait de cette justesse qu’il se force à garder. Une fois les portes de l’université passées, les mêmes qu’il a ouvertes il y a quelques années, Nikolaï se mettra systématiquement dans sa peau d’Enseignant le rendant ainsi littéralement méconnaissable.
Mais ne vous laissez pas tromper par sa chemise repassée, son jean ajusté, ses chaussures de ville et ses lunettes de vue. Oh, non.

Si jamais vous parvenez à le reconnaître.
Oubliez tout ce que vous savez du Nikolaï de jour lorsque vous rencontrez celui de nuit.


• Signes particuliers, manies, obsessions, phobies (etc.) :

A coté de sa grande passion pour la Biologie, la chimie et leur enseignement, Nikolaï aime toujours autant faire la fête – l’une de ses activités professionnelles les plus lucratives disons. -
Producteur et distributeur de sa propre came, il est obsédé par le fait de ne pas sentir la drogue. Il est absolument dégoûté par les odeurs corporelles alors imaginez un peu s’il sentait la méthamphétamine (entre-autre) sur ses vêtements tout au long de la journée. – Im-pen-sable. Autrement, il partirait en courant chez lui afin de prendre une douche.. voir deux. L’hygiène corporelle est quelque chose de très important pour notre russe qui peut refuser de vous serrer la main si vous avez le malheur d’avoir les ongles sales.
Nikolaï est beaucoup moins obnubilé par le sexe qu’auparavant mais oubliez tout ce que vous savez sur lui la nuit. Puisqu’il a toujours pour fâcheuse tendance de boire -beaucoup- il retombera ainsi dans ses états de jeunesse incontrôlables voir dérangeants, afin de pouvoir tirer un coup.

De jour, sur son lieu de travail, Nikolaï aura toujours l’air propre sur lui et de quelqu’un d’équilibré. D’une patience hors norme pour l’enseignement de ses matière qui se veulent tout de même complexe, il sera même capable de brider son accent russe le temps d'une journée afin de se rendre le plus compréhensible possible pour ses élèves. Cette faculté à brider son accent s'avère plutôt pratique, et dans quelques situations notre russe n'hésite pas à en jouer.  
A coté de ça il est absolument obsédé par ses cigarettes, qu’il est incapable de quitter.

III. MÉMOIRES.

• Histoire :

Salut, moi c’est Nikolaï Sven Evans et je vais vous conter mon histoire. Je n’ai pas vécu d’épisodes dramatiques aussi improbables que quasiment impossible non, j’ai eu une histoire assez normale dans la mesure du possible.

Je suis donc né en Russie, le Treize Mars Mille neuf-cent quatre-vingt-six à Moscou. D’une mère Russe Svetlana Grechnev (Грешнев) qui travaillait à l’ambassade Russe en Suède et d’un père, Suédo – Gallois, Adrian Evans. Ce dernier travaillant dans la politique ou le commerce international –enfaite j’ai pas encore bien défini son travail-, a rencontré ma p’tite maman en Suède. D’après eux, ce fut le coup de foudre et me voilà, quelques 5 ans plus tard à naître dans un Pays relativement Ghetto qu’on a quitté bien vite pour aller vivre… Au Pays de Galles où Ma’ avait été mutée, emmenant avec nous une nourrisse Russe. Bref.
J’ai fait mes premières années d’école au Pays de Galle, alliant Russe et Anglais dans mes phrases. Assez comique d’ailleurs, ne pas se faire comprendre par ses professeurs. Pourtant, je devais avoir l’impression de m’exprimer en une seule et même langue puisque d’après ma nourrisse je ne m’en rendais même pas compte. D’aussi loin que je me souvienne, c’était une jolie école avec des uniformes, des règles strictes. C’est aussi là que j’ai appris à monter une espèce de poney, comme un petit tonneau-saucisse sur patte qui hennissait et sautait un peu. Son nom était Ham. (-Jambon)

Puis nous avons déménagé à nouveau à mes 12ans environs, en Suède cette fois, pendant 4ans. J’ai effectué mes années de collège, au collège international de Stockholm, avec d’autres jeunes à la famille fort aisée. Vous savez, à force de bouger comme ça, on rencontre des gens puis on les oublis assez vite, je me suis fait des amis bien-sûr, avec qui j’ai quelques conversations via internet, mais ça s’arrête là. Je n’ai pas tellement d’attache, si ce n’est mes parents et ma famille et les personnes dans les écuries où j’ai perfectionné ma monte dans le monde de l’art équestre, et mes premières compétitions.

Nous sommes ensuite retournés en Russie et à partir de là, ça se gâte. BEAUCOUP.
J’ai donc effectué l’équivalent des années lycée en Russie. C’était on ne peut plus fun, mais j’ai malheureusement rencontré les personnes les plus malsaines que j’ai eu le malheur de rencontrer. Étrangement ce fut mes meilleures années et je ne regrette actuellement qu’une chose, ce sont les Russes. C’est au contact d’un groupe d’une dizaine de personnes que je me suis rendu compte de ma bisexualité. En réalité, ma première expérience sexuelle avait été avec un garçon, d’un nom qui m’échappe lors d’une rave. Ma vie à Moscou était pourtant bien loin d’être Ghetto, mais mon mode de vie, lui l’était. Nous nous étions séparés de ma nourrisse, me laissant parfois seul le soir, lorsque ma’ rentrait tard et pa’ était en déplacement à l’étranger. Il fallait bien que je sorte côtoyer la jeunesse Russe en perdition. Et moi aussi alors, j’étais un peu perdu.
J’ai tant bien que mal obtenu un diplôme scientifique, ayant découvert une aptitude certaine pour la Bio-chimie et la biologie végétale. Étrange pour un garçon comme moi, tombé dans la drogue un peu trop tôt.
La Russie ? Mes soirées les plus folles. Musique, police, garde à vue, filles, drogue, sexe, garçons… Une vie bercée dans le luxe. Je pouvais tout toucher du doigt sans vraiment avoir à tendre le bras.
Bref.
Une fois le diplôme acquis et ayant fait le tour des gens et des soirées peu fréquentables, j’ai décidé de bouger, et approfondir mon savoir sur les chevaux. Pas la plus grande passion de ma vie, mais plutôt une bouée de sauvetage bien tombée. Et je suis donc allé travailler chez des professionnels en Angleterre, puis en Allemagne puis en Espagne. Et ce, jusqu’à ce que j’eu envie d’en savoir plus en Biologie et d’entamer des études supérieures avec deux ans de ‘retard’.

Je suis retourné en Russie, pour malheureusement me rendre compte d’une bien triste vérité. La Russie, bien que pays de mon cœur, ne pouvait m’offrir un enseignement digne de ce nom.
Nous avons donc décidé de m’envoyer à Séoul pour un temps, avant que je ne réalise que cette ville n’était point en ma convenance. J’avoue avoir été un peu capricieux, mais quoi qu’il en soit, j’ai préféré suivre mes parents qui déménagèrent sur cette merveilleuse île qu’est le Japon.
J’ai alors atterri à Keimoo, en tant qu’étudiant en 6e année de Biologie. Spécialisé en Bio-Chimie bien entendu. Ce fut la surprise de ne pas être envoyé à Tokyo -comme je me l’étais imaginé-. Malgré le calme de cette petite bourgade sympa, les quelques années passées à l’université ne se sont pas spécialement passées comme prévu. En effet, des évènements absolument indépendants de ma volonté ainsi que de la volonté de toute la population m’ont poussé à quitter la ville pour un certain temps, afin de finir mes études et parvenir à l’obtention de mon Doctorat mais aussi laisser l’eau couler sous les ponts, ayant eu des affaires disons… délicates, à régler.

Cependant, mon objectif est atteint. Je suis capable aujourd’hui de m’entretenir seul, sans l’aide de ma mère.
Lors de mes cinq années d’absence, j’ai effectivement perdu mon père d’un infarctus. Nous lui avions pourtant dit de se ménager, mais rien à faire. Après trois fractures de fatigue il n’avait pas pris soins de ménager son cœur. Ce qui brisa celui de Ma’.
Ma mère, elle, a pris sa retraite et écoule des jours heureux en Suède, où elle a obtenu le droit de résider jusqu’à ce que mort s’en suive. Pas tout à fait remise du décès de Pa’, je tente de ne pas trop prendre de nouvelles parce qu’elle me soutient que j’ai le même grain de voix, ce qui la chagrine souvent. Je pense donc à lui envoyer des lettres plutôt régulièrement.
Oui, des lettres. Curieux me direz-vous.
Dans mon second métier la discrétion se fait d’or. Les possibilités de se faire attraper se font malheureusement beaucoup trop communes.

Mon retour ?
Mon retour n’est pas un hasard.
Je suis persuadé que cette ville proche de mon pays natal a un vrai potentiel commercial qui pourrait me satisfaire. Mais c’est notamment parce que j’ai vraiment aimé mes années à Keimoo que je suis revenu enseigner mes deux matières favorites en ses murs qui m’ont porté jusqu’à l’obtention de mon doctorat. Jusqu’aux portes d’une nouvelle vie d’indépendance et de liberté.
Mon but aujourd’hui est de transmettre mon savoir, mes expériences à de jeunes âmes avides de connaissance et de nouveauté. De leur apporter les clés de cette indépendance, les clés de la liberté..
- Peu importe la méthode. -

Alors me voici à nouveau.

• Relations proches et familiales :

Sa famille, elle n’est pas bien extraordinaire. Deux parents d’importance relative à deux pays différents. Une rencontre, un enfant.
Nikolaï possède encore des grands parents des deux côtés de sa famille mais n’en a pas trop de nouvelles. Tout ce qu’il sait pour sûr, c’est qu’il héritera d’une fortune très certaine en cas de décès de l’un d’eux. D’aussi loin que leur arbre généalogique remonte, presque tous ses ancêtres faisaient partie de la noblesse de l’époque. Nikolaï est fils unique et n’a que deux cousins connus. Cousins qu’il n’a pas beaucoup côtoyés, puisque ceux-ci vivaient en Suède. La pression familiale exercée n’est donc pas très forte, puisque fort fortunés, s’il ne réussit pas sa vie, il en vivra une belle tout de même.

Ah ah ah attendez – Stop.

Nikolaï a perdu son père, décédé d’un infarctus. Perte qui l'a bien entendu affecté mais pas trop. Il a en effet hérité de la moitié de la fortune familiale, en plus de celle qu’il a réussi à amasser seul, de façon plus ou moins honnête.
Il lui reste donc sa mère, qui vis sa retraite en Suède avec ce qui reste de la famille suédoise de son mari.
Les cousins de Nikolaï sont toujours aux abonnés silencieux.
Sa nourrisse est décédée d’une belle mort dans son sommeil. – La vieille -
Il ne compte pas de véritables amis à son actif. Il vis sa vie de jeune trentenaire indépendant et libéré sans attache pour le moment.

IV. DERRIÈRE L'ECRAN.