Surprenant

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Zack avait appris qu'il y avait une écurie sur le site de l'école, mais jamais il ne pensait à ce qu'il allait voir. Après une longue et dure journée de cours, le jeune homme décida de satisfaire sa curiosité en allant explorer le bâtiment qui servait de logement pour les cheveux. Il n'avait aucune idée de ce qu'il allait trouver.

Zack passa dans sa chambre pour y remettre son sac à dos et en profita pour se libérer de sa chemise et de son pantalon propre. Il décrocha de sur un support un pantalon style jogging de couleur noir et dans l'un de ses tiroirs, il prit un t-shirt mauve foncé. Le jeune homme garde sa dague argente à son index et détacha ses longs cheveux noirs. Une fois habillé de façon plus relaxe, il allait pouvoir voir cette fameuse écurie.

Il descendit au premier et traversa tout le bâtiment pour déboucher sur la cours arrière du lycée. Il travers un long champ en prenant de grande respiration pour respirer l'air de dehors. Une fois arrivé au bâtiment en question, Zack ne vit pas tout de suite qu'il en manquait la moitié, car les arbres le cachaient. Une fois dépassés, les arbres, le sourire du jeune homme aux longs cheveux noir disparut. Une expression de tristesse passa rapidement dans ses yeux. Il était triste de voir que le bâtiment ne tannait pratiquement plus sur lui-même et triste, car son désir de voir et de caresse des cheveux n'allaient pas être satisfait.

Il était quand même curieux de savoir si les installations d'une écurie japonaises étaient la même quand Amérique. Cela peut paraitre ridicule comme questionnement, mais pas pour lui. C'est pourquoi et décida d'avancer et ce même s'il y avait des banderoles jaunes disant de ne pas entrer. Zack jeta un dernier coup d'œil derrière lui avant d'entrer.
L'homme aux yeux gris parvient à entrer entre deux planches fessant partir du mur. Il observa et remarqua au passage que le bois avait était fraichement écorcher. Pour lui, c'était un signe qu'il y avait probablement déjà quelqu'un à l'intérieur.

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Aujourd'hui je me suis habillé d'un short vert et d'un t-shirt noir ouvert dans le dos. Je suis de bonne humeur comme souvent. Je ne pensais pas à ce que j'allais endurer aujourd'hui.

On commence par escrime, je m'entraîne a au niveau et plus les compétitions approche et plus mon maitre d'arme et dur et perfectionniste avec moi. Je sais que c'est normal et le prends bien comme toujours. Une journée que je sais avec trop de psychologie du développement, j'aime bien cette matière, mais trop de psycho tue la psycho.

La journée passe avec rapidité je sais que je serais fatigué ce soir. Cet après-midi j'ai cuisine j'ai les gâteaux dans mon sac, mais je ne suis pas sûr qu'ils soient mangeables. J'ai plusieurs heures devant moi avant la boxe.

J'ai boxe ce soir j'ai le temps de rentrer chez moi pour faire quelque truc comme raconter mon entrainement à mon père. Je rentre donc pour quelques heures. Chez moi je me change et met mon sac sur mon lit. Je prends un jean taille basse déchiré sur les deux jambes c'est un slim je le mets avec un t-shirt blanc décolleté et des baskets noirs montante ma veste en cuir. Je mets mes affaires de boxe dans mon sac de sport et part pour l'entrainement.

Je vais à la boxe pour une heure il est vingts heure quand je sors de la boxe. Mon téléphone sonne en sortant je réponds c'est mon père au téléphone. Au téléphone il est en colère. Je ne comprends vraiment pas pourquoi. Il me parle d'une dispute avec ma mère à cause du club couture. J'en ai marre et lui raccroche au nez

Il y en a marre elle me prenait la tête hier ce n'est pas ma faute-moi si j'avais autres choses à faire que de rester à la regarder faire une robe Disney a ma petite sœur. Pffff je soupire et décide de ne pas rentrer chez moi ce soir. Je mets de la musique dans mes oreilles et marche. J'essaie d'appeler plusieurs fois June pour lui demander si elle est à sa chambre elle ne répond pas. Je commence à enrager.

Je ne sais pas trop où je vais, mais je sais que plus j'avance et moins plus je suis triste. Mes parents sont bizarres en ce moment comme si un truc se prépare et tout est une excuse pour me gronder, moi où ma sœur. Ils n'ont pas à passer leurs nerfs sur nous. Je soupire.

Je découvre un lieu devant moi un peu étrange comme en ruine c'est bizarre. J'entre dans cet endroit qui me dit quelque chose. Je ferme les yeux et touche les parois en bois des bouts des doigts. Oui, ce sont les écuries enfin les anciennes écuries, je savais qu'elles avaient été détruite, mais je ne savais pas à quel point.

Je soupire doucement, voilà maintenant je suis triste. Enfant c'était ici que j'ai commencé le sport par l'équitation et que mon ''don'' c'est révélé. J'enfouis la tête dans mes bras sans me soucier du froid qui commence à me faire trembler le corps. Je soupire j'ai des larmes qui coulent les nerfs lâches. J'entends du bruit quelqu'un viens. Je me lève et ne cherche même pas à cacher mes larmes, je me retrouve en face d'un garçon aux cheveux longs et bien plus grand que moi.

« Salut »

Je me prépare à partir, mais un truc dans son regard me paralyse sur place, je détourne les yeux et sima peau avait été blanche je pense que je rougirais. Je tremble j'ai froid. J'ai le ventre vide, je sors deux gâteaux de mon sac et coupe un bout de mes mains trop froides, je mets le bout dans ma bouche. Il n'est pas bon je fais une tête dégoutté et soupire. Je retiens un beurk, mais décide de ne pas les mangeaient. Tant pis je mangerai demain matin.

Je fixe mon attention sur le garçon. Qui est ? Il ne me dit rien, j'ai pourtant dû le croiser si c'est un étudiant. Mes larmes coulent encore je n'arrive pas à me calmer et des gros sanglots m'envahis, je m'écroule face à cet homme.

Trop d'entrainement et de fatigue en plus j'ai le ventre vide depuis hier soir je n'ai pas eu le temps ni de mangeait ce matin ni de mangeait ce midi et les gâteaux que j'ai fait sont vraiment trop mauvais j'ai confondu le sel et le sucre

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Il avait à peine mit le pied dans le vieux bâtiment qu'une jeune femme apparut devant lui. Cette dernière avait les larmes aux yeux, elle ne semblait pas vouloir les cacher. À ce moment-là, Zack ne s'avait pas trop quoi dire. Il la jaugea de la tête aux pieds, ou presque puisqu'elle s'écroula en sanglots devant lui. Avant cela, il avait remarqué qu'elle avait froid dû au fait qu'elle tremblait comme une feuille. La jeune femme au teint chocolat semblait aussi avoir faim, mais ne voulait pas de ces gâteaux. Vu l'expression faciale suite à la boucher de cet dernier.

Revenons au moment où elle tomba de peine devant lui. Le premier geste que Zack posa fut de s'accroupir devant elle. Il regretta de ne pas avoir amené son manteau, il l'aurait bien retiré pour le lui glisser sur les épaules. À la place de cela, il lui prit les mains. Elles étaient glacées. Le jeune homme se demanda bien combien de temps cela fessait qu'elle était dehors pour être si geler. Il décida qu'il était de prendre la parole et d'essayer de la réconforter.

-Si ça peut t'aider parle-moi. Mon nom, c'est Zack et toi ma jolie ?

Il était bien au courant qu'il pouvait sembler être un garçon très bizarre ou d'un gars un peu trop attentionner. Il allait laisser la jeune dame faire sa propre idée. Zack aurait bien pu retourner sur ses pas la minute où il avait remarqué qu'il n'était pas le seul, mais maintenant qu'il savait que c'était une âme en peine, il avait du mal à prendre ses jambes à son cou. De plus, il n'aimait pas laisser les gens dans leur petit coin d'ombre à broyer du noir pour ensuite rendre l'endroit plus sombre.

En attendant la réponse de la jolie petite dame, il s'assit près d'elle, et même un peu collé pour essayer de la réchauffer. Zack ne fessait vraiment pas sa routine habituelle. En d'autre circonstance et aurait gardé le silence plus longuement et il aurait jaugé plus en détails et il ne se serait aucunement collé. En espérant que la jeune demoiselle ne perde pas la tête et veule s'amouracher de lui. Les relations amoureuses, c'était bien une chose que Zack ne voulait pas pour le moment. Il venait tout juste de mettre les pieds dans un nouveau pays. Par contre, il espérait bien s'en faire une amie, mais pour le moment, il devait la réconforter.

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Je sais que j'ai surement l'air idiote de pleurer. J'étais devant ce garçon séparé d'au moins un mètre, mais en une fraction de seconde il j'avais les mains dans les miennes, elles sont chaudes et sans le savoir pourquoi je me sens apaisé. Calme. Il se colla un peu à moi sans doute pour me réchauffer.

J'essuie mes larmes avec mon poignet droit et le regarde, je plonge mes yeux noirs dans ses yeux pour essayer de comprendre, n'importe qui serais partie, mais pas lui. Je cesse de le regarder.

« Je me nomme Clémentine »

Je ne sais pas quoi lui dire, je ne sais pas si j'ai envie de parler avec lui j'ai les yeux dans le vide je ne pleure plus, je tremble un peu moins. Je ne sais pas quelle heure il est : tard surement. Je le regarde de nouveau.

« Pourquoi tu es là ? Désolé que tu m'aies vu pleurer je suis d'ordinaire très joyeuse »

J'essaie de lui sourire, mais ce n'est pas très convaincant. Il fait nuit, mais la lune est pleine et elle éclaire de tous son astre. Je peux voir les trais fin du garçon. Il a des cheveux longs et noir corbeau. Je crois qu'il est beau même si pour moi la beauté c'est un peu subjectif. Je pose une main froide sur sa joue chaude.

« C'est marrant tu as la peau très chaude alors qu'il fait si froid »

Je devine que Zack n'est pas d'ici il a un accent quand il parle. Je ne sais pas d'où. Je souris de nouveau avec un visage triste. Je me blottis un peu plus contre lui car j'ai froid.

D'ordinaire je ne me colle pas à un garçon sans que ce soit mes amis, j'ai très peu d'amis de toute façon qui supporteraient ça, mais ça me fait du bien comme si le garçon calmait mon énervement contre mes parents. Normalement je ne supporterais pas ça, j'aurais trop peur de ressentir un truc et avec le sport je n'ai pas le temps.

Je n'ai déjà pas le temps de voir mes amis. Je soupire, mais il me rend bien et j'ai envie de m'en faire un ami et pas un ami qui va mourir avant de fleurir, car je n'aurais pas le temps pour lui. Je le regarde dans les yeux et décide de lui expliquer pourquoi je pleurais.

« Je pleure cause de mes parents, surtout ma mère elle ne comprend pas que je n'ai pas le temps, car les compétitions approche et que je n'ai pas le temps de la regarder faire une robe à ma petite sœur, alors j'ai marché longtemps et je me suis retrouvé ici »

Je regarde autour de moi cet endroit est devenu si dangereux.

« On est dans les écuries, avant c'était un endroit si jolie avec des chevaux partout à chaque fois qu'il y avait des journées portes ouverte je venais pour profiter de l'endroit »

Je le regarde avec un regard triste et serre un peu plus ses mains contre moi. Mes cheveux doivent surement le chatouiller un peu, mais je n'y fais pas trop attention.

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Zack s'était collé à la jeune dame pour la réchauffer. Il la regarda prendre soin d'essuyer les larmes pour ensuite plonger son regard dans le sein pour ensuite le détourner. D'une voix rauque due au fait qu'elle avait pleurée, elle lui dit son nom. Clémentine, ce n'était pas un fruit ? Se demanda-t-il mentalement. Il continua de l'observer, elle semblait un peu perdue dans ce qu'elle devait lui dire et trouvait cela totalement normale, Clémentine n'avait peut-être pas le goût de lui parler de ces problèmes. Il était tout de même content de voir qu'elle ne pleurait plus et qu'elle ne frissonnait plus autant. Elle lui demanda pourquoi il était là et s'excusa de pleurer devant lui. D'une voix douce et réconfortante, il lui dit :

-Ce n'est pas grave, ça l'arrive à tout le monde de pleurer une fois de temps en temps.

Zack ne prit pas le temps de dire pourquoi il était là parce qu'il trouvait que ce n'était pas le moment de changer de discussion. Il fut surpris lorsqu'elle mit une main sur la joue. Le jeune homme laissa échapper un petit rire lorsqu'elle avoua trouve cela bizarre que sa peau soit si chaude comparativement au temps. Par la suite, elle se colla plus. Zack la laissa faire, il comprenait qu'elle avait froid. Clémentine jugea bon de se confier et lui l'écoutait sans rien dire. Elle devait se vider le cœur selon lui. Du moins, c'est ce qu'il avait de besoin lorsqu'il se retrouvait dans un état pareil. Par la suite, elle lui dit que c'était les anciennes écuries, ce qu'il savait déjà, mais n'en dit rien. Il était très silencieux, jusqu'à ce qu'il prenne la parole.

-J'étais venu voir pour les chevaux, mais il faut croire que je ne me suis pas assez informé. J'ai appris leur destruction seulement une fois rendue sur le site... Je suis un peu triste, j'aurais bien aimé faire du cheval. Disons que ça me manque depuis que je suis arrivé ici.

En effet, Zack fessait beaucoup d'équitation en Amérique, mais maintenant qu'il est rendu au Japon, il n'a pas eu le temps de trouver une écurie où il pourrait pratiquer son loisir préféré. Il baissa la tête un peu dans les nuages, et même oubliant la présence de la jeune fille. Il revient assez vite dans la réalité pour se rappeler qu'il avait toujours les mains de Clémentine dans les siens. Un léger vent froid commença à souffler, mais cela n'avait pas encore d'impact sur notre joli Zack. Il n'en était pas sure pour la demoiselle. Elle grelottait déjà à son arrivé, il n'imagina pas ce qu'elle allait de venir dans quelques minutes.

-Si tu veux, on peut rentrer dans l'académie, tu auras plus chaud, sinon je peux aller chercher de quoi te réchauffer.

Il la regardait dans les yeux, ces yeux étaient si noirs. Ce sont les remarques habituelles que Zack fessait. De plus, il n'avait pas fini de l'observer de la tête aux pieds. Il n'aime pas vraiment que les gens remarquent cette manie à tout analyser, mais pour le moment, il s'en contre-fichait.

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J'ai froid même si le garçon à mes côtés me réchauffe grandement. Je l'écoutai me remonter le moral gentiment. Mes yeux noirs plongé dans l'obscurité. Il m'expliqua qu'il était venu ici pour voir les chevaux, il ne devait pas être à Keimoo pour très longtemps, parce que tout le monde ici sait que les écuries sont détruites. Je plonge mon regard noir pleins de question sur lui. Un vent froid s'engouffre dans l'ancien boxe où nous sommes et je frissonne.

Je souris en le regardant espérant, pleins de question se bouscule dans ma tête, qui est ce garçon, il n'est pas d'ici ça j'en suis sûr, mais s'il n'est pas de Keimoo d'où vient-il ? Et pourquoi être venu ici à Keimoo, même si l'académie est l'une des meilleurs, Tokyo possèdent aussi une très grande ville avec l'une des plus grandes académie de tout le pays.

« Mais d'où tu viens si tu n'es pas de Keimoo tu viens d'une autre ville du Japon ? »

C'est vrai que cette ville est surtout cette académie et plutôt cosmopolite, toutes horizon y est représenté. Des Anglais, des Français, des Américains et pleins d'autres pays. Mais lui il ressemble à un japonais avec ses longs cheveux qui semble être noir qui est la caractérisation des Japonais.

Je souffle de l'air et un nuage blanc en sort signe du froid qui c'est installé ici. Il me proposa de retourner dans l'académie, mais je ne suis pas sensé y dormir moi, je n'ai pas de chambre à l'intérieur. Et dormir dehors ne m'enchante pas vraiment. Je regarde mon téléphone il est tard comme je le pensais un peu plus de vingt-trois heures. Je soupire ma meilleure amie June n'a pas répondu, ni à mes appelles ni à mes sms.

Son regard était plongé dans le mien, on aurait dit qu'il m'observer, mais je ne peux pas lui jeter la pierre je fais pareil que lui. Je n'arrive même plus à voir la couleur de ses yeux à lui.

« Je n'ai pas de chambre à l'internat et les grilles doivent être fermées maintenant et ma meilleure amie June ne me répond pas elle dort surement où je ne sais pas, mais oui allons à l'internat j'irais dormir sur un des canapés de la bibliothèque »

Je me leva pour lui tendre une main amicale pour aller en direction de l'académie.

« Au fait tu peux m'appeler Cléo où Clém si tu veux où me trouver un autre surnom »

Je lui souris, car je retrouve une certaine joie de vivre, parler m'a fait du bien même si je suis fatigué et que je ne sais pas où dormir

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Zack essayait temps bien que mal de remonter le moral d'une jeune dame nommé Clémentine. Sa vie ne semblait pas facile et notre jeune homme n'aurait pas aimé se retrouver à sa place. Il décida donc de jaser avec elle. Cette dernière semblait avoir beaucoup de questions, mais cela ne dérange pas notre grand homme aux cheveux noirs. Il trouve cela amusant même. Elle lui demanda d'où il venait. Il fut surpris qu'elle pensât qu'il était du Japon alors que ce n'était pas le cas. Il est vrai que par moment les Américains ont des traits physiques ressemblant à ceux des Japonais, mais cela n'effleura pas son esprit. C'est pourquoi Zack fit un petit rire avant de lui répondre :

-Je ne viens pas de ce pays, je suis un Américain.

Zack lui fit de nouveau un sourire et souffla de l'air en même temps que la demoiselle. Cela fit un peu rire notre homme, mais il vit le nuage qui se forma devant leurs yeux. Il se dit que Clémentine devait avoir froid, contrairement à notre jeune homme qui était habitué. Zack regarda l'heure sur sa montre pour voir qu'il était 11h du soir. Il devait retourner dans les bâtiments. Il allait être terriblement fatigué pour aller à ces cours le lendemain, quoi que ce n'fût pas nouveau. Voyez-vous, notre jeune homme avait de la difficulté à s'ajuster au décalage horaire. Heureusement, les professeures ne lui tombaient pas sur les nerfs en lui demandant ce qui se passait avec lui. Il semblait évident qu'il ne venait pas d'ici vu son niveau linguistique.

Zack la regardait toujours dans les yeux, s'était sa façon de faire. Cela pouvait mettre les gens mal à l'aise parfois et d'autres restaient indifférent. Il l'écouta dire :

« Je n'ai pas de chambre à l'internat et les grilles doivent être fermées maintenant et ma meilleure amie June ne me répond pas elle dort surement où je ne sais pas, mais oui allons à l'internat, j'irais dormir sur un des canapés de la bibliothèque »

Dramorion repartir dans ses pensées. S'il avait à se retrouver dans la même situation, il n'avait personne à contacter qui pourrait se trouver dans le bâtiment. Il est vrai qu'il avait rencontré un jeune homme dans la même tranche d'âge que lui, mais il n'avait pas pris son numéro en note. Il ne restait donc que sa famille et il le savait bien trop que ces derniers n'allaient pas aimer être contactés si tard...

Il reporta son attention sur la dame lorsqu'il vit sa main devant lui. Il enfourcha sa main et se leva avec son aide.

Il prit le temps de secouer ses pantalons afin de retirer la poussière qui si était collée. Il se dirigea vers l'endroit de son entrée. Il fit signe à Clémentine de passer devant lui. Par la suite, il se faufila comme un chat entre les planches de bois pour enfin se retrouver à l'extérieur.

-On va faire comme tu as dis. Nous allons nous rendre à la bibliothèque, comme cela, tu vas pouvoir te réchauffer et te reposer un peu avant le début des cours.

Zack commença à marcher vers l'académie, les mains dans les poches. Il ne marchait pas trop vite pour donner la chance à Clém de le suivre. Il savait pertinemment qu'il fessa de grand pas et que les gens plus petits que lui avaient parfois de la difficulté à le suivre.

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Le grand brun avait bien raison il fallait que je me réchauffe. Je marchais légèrement derrière lui il faisait des plus grands pas que moi. Mes yeux noirs fixais son dos j'essayais de marcher dans ses pas, pour ne pas tomber, les écuries sont dangereuses. Si je tombe je pourrais me faire bien mal et ce n'est vraiment pas le moment pour me bléser.

Je le suivais ne disant rien. Cette nuit était déjà bien spéciale. Il m'avait trouvé la pleurant sur mon sort pourtant pas si cruel, une scène digne des films à l'eau de rose qui passe parfois à la télé que ma mère regarde en travaillant. Je n'aime pas ce genre de films, moi je préfère les films d'actions où dramatique.

La fatigue se faisait ressentir et le silence devenait pesant. Je décida de le brisais, il était peu être plongé dans ces pensées et j'allais le déranger, mais tant pis. Je me souvenais qu'il m'avait dit être américain, c'est un bon sujet de conversation.

« Tu es donc Américain ? Tu es de quel régions des Etats-Unis ? Ca doit vraiment te changer 'être ici, même si ça ne fait pas longtemps que tu es arrivé. Un jour si tu as le temps et que tu n'y es pas allé il faut que taille sur les rocheuses qui donnent vu sur la mer, c'est tellement beau à voir et l'été tu peux t'y baignait c'est agréable »

Après quelques minutes de marche nous sommes arrivées dans l'enceinte du bâtiment. On se dirigea tous les deux dans la bibliothèque, je m'assis sur un des divans près de la fenêtre. Je m'allongeais et m'endormis rapidement

Je le reverrais surement l'académie et le monde est tout petit.