Emmanuel Kokei ♣ Université - 1ère année
Age : 31 Adresse : En ville, chez ses parents, dans le funérarium de Keimoo 44 Multicompte(s) : Zakuro Fea - Kami Otagame
KMO :
| Sujet: Emmanuel Kokei Lun 22 Juil 2013 - 19:44 | |
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.feat ? | • Sexe: [ ♂/♀ ] • Âge & Date de naissance : 11 septembre 1994 • Origine(s) : Né japonais par des parents japonais, mais ayant vécu la majeure partie de sa vie en France, il est au Japon dans le but de se familiariser avec son pays natal. • Orientation sexuelle : bi
| • Langue(s) : Japonais fréquemment parlé depuis son enfance avec ses parents, et français, dont il accoutumé depuis l'école primaire. • Etudes : D'anatomie humaine en visée mortuaire (thanatopraxie) • Spécialité : [Facultatif] • Groupe : Gothique. • Club(s) : Mangas[ facultatif ]
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>>> Aspect physique . • Physionomie : [ 350 mots minimum ]
« Tu abandonnes ce siège de cuir, qui sous la chaleur, devient collant. Tu te lèves, et tu traverses ta chambre, en posant ton regard sur le miroir qui se dresse devant toi, objectif que tu vises, cible que tu atteints. Tu veux te voir, tu veux te regarder, parce que cette canicule, tu en as bien l'impression, t'enlaidis. Cette sueur qui coule de ton front vient rendre scintillante ta peau aux nuances nippones. Cette sueur que tu viens essuyer par le revers de ta main trop maigre, en étalant un peu les mèches de jais qui encadrent ton visage. Tu sais très bien que si tu te les coupais, tu aurais beaucoup moins chaud en période estivale, mais tu tiens à ton apparence androgyne, et tes cheveux à la longueur ''féminine'', tu les entretiens pour qu'ils viennent glisser jusqu'à tes épaules. Pense à les couper, des fois. Ne serait-ce que pour tailler les pointes, de manière à ce qu'ils ne s'abiment pas. La sueur a dégouliné sur ton visage, et par erreur, tu as pressé tes yeux, pour les essuyer de cette humidité corporelle. Le mascara et l'eye-liner sont désormais les joyeux représentant du champ de bataille noir qui coule sur tes pommettes arrondies. Félicitations ; tu n'as plus qu'à tout nettoyer au coton. Enfin. Tu peux apprécier le fait que ton regard aux prunelles sombres soit particulièrement souligné par ce make-up à la one again. Alors tu souris. Parce qu'après tout, tu as une certaine estime de toi, et tu apprécies ton physique. Tu n'es pas trop grand, mais tu es un peu maigre. Sauf au niveau des épaules, où ton ossature se veut plus élevée que le reste du corps. Étire tes lèvres, et continues de sourire. Tu ne les peints pas, et c'est peut-être bien la seule partie de ton visage dont tu ne prends pas soin. Y a t-il une explication particulière à cela ? Peut-être. Mais tu ne la livres pas. Alors continue de sourire, parce que tu ressembles à n'importe quel autre ado japonaise. A la seule différence, bien entendu, que tu as quelque chose dans le pantalon. »
• Vêtements : [ 150 mots minimum ]
« Tu es du genre à porter ces vêtements qui soulignent les corps féminins. En France, tu t'amusais même à porter des jupes ou des robes, pour dévoiler tes jambes minces, et pour choquer ceux qui remarqueraient ta poitrine plate. Depuis que tu es à l'Académie Keimoo, tu portes avec nettement moins de plaisir ces uniformes réglementaires, lorsqu'il le faut, mais tu tâches d'egayer tes tenues en présentant ta personnalité via l'utilisation de ces vêtements choisis aux rayons féminins. Au Japon, il y a certains codes, et quand bien même on t'interdirait de porter des talons aiguilles ou un soutien-gorge, tu sais te faire plaisir en dépensant tes économies pour des collants fantaisistes ou une paire de ballerines. Il y a cette collection de chaussures, que tu as, que certaines de tes amies t'ont souvent jalousé. De temps en temps, tu portes des Doc Martens, mais tu fais toujours en sorte qu'elles apparaissent sous un angle très féminin, quitte à les acheter complètement roses. Est-ce que tu sais te faire masculin ? Bien sûr. Mais tu le fais si rarement que ça passe inaperçu. D'ailleurs, en général, c'est lors des cours d'EPS. Tu dois reconnaître qu'un survêtement est un survêtement, et comme tu aimes le sport, et la course, tu ne peux pas te permettre de porter un truc qui te collerait aux cuisses dans tes mouvements. Non, pour cette discipline là, tu ne rechignes même pas à être plus masculin que d'habitude. Et puis, le mascara qui coule sous la sueur de l'effort, très peu pour toi ! A la piscine, c'est un peu différent, cependant. Depuis que ton professeur t'a interdit le port du une pièce féminin et du bikini, tu as su couper la poire en deux en ne portant qu'un slip de bain, noir, mais orné d'une fleur de lotus rose, avec de jolies arabesques aux couleurs pastels. Ça fait ricaner les autres, mais toi, tu adores. »
>>> Aspect psychologique . • Psychologie : [ 350 mots minimum ]
« Tu es un garçon qui ne se considère pas comme une fille. Tu veux simplement te maquiller et t'habiller comme elles. Est-ce que cela fait de toi quelqu'un de dérangé ? Tu ne te trouves pas fou, tu ne te trouves même pas perturbé. Bien au contraire. Tu n'es pas le meilleur en classe, mais tu parviens à rester dans le top des dix premières places, en général, sauf en mathématiques, où lors du classement semestriel, tu atteins généralement une moyenne de trente points difficilement acquis. Tu es sportif, mais discret. Tu aimes courir et nager, mais tu ne t'impliques pas plus que cela dans les activités sportives, et tu ne te sens pas d'intégrer un club de sport. Tu es aussi du genre à ignorer totalement les remarques : tu passes devant le moqueur sans laisser la moindre expression glisser sur ton visage : ça fait quelques années que cette technique à fait ses preuves. En revanche, tu n'es pas du genre très justicier. Si quelqu'un se fait taper devant toi, tu sais parfaitement que tu n'as pas le charisme et la motivation nécessaire pour stopper l'agresseur. Tu es du genre à reculer lentement et détourner les yeux, en silence. Cette facette de ta personnalité t'as déjà valu des ennuies avec des gens qui t'étaient proches. Mais tu sais combler en étant particulièrement loyal, lorsqu'il s'agit d'autres circonstances. Par exemple, tu n'hésites pas à mentir à un professeur pour protéger ton ami n'ayant pas fait son devoir ; ou bien à lui passer directement les réponses, si tu les as. Tu passes aussi énormément d'argent aux gens qui te sont intimes. Tu veilles en général à ce que cela ne devienne pas un réflexe : et tu surveilles que les gens n'achètent tout simplement pas ton amitié. Tu es riche, mais tu ne l'expose pas. Tu es du style narcissique, et tu l'assumes amplement. Mais plus que ça, tu aimes te regarder : tu aimes constater que ton organisme est vivant, et c'est un petit plaisir pour toi, à chaque fois, comme si tu te redécouvrais dans la glace. »
• Particularités : [150 mots minimum ] « Tu as ces particularités, comme tout le monde, qui te plonge dans l'uniformité de la masse, de par tes distinctions. La première serait certainement le fait que tu t'habilles et te maquille comme une fille. Le second serait que tu ne t'attaches pas particulièrement à un style vestimentaire ; et tu peux flirter avec des robes à dentelles ou bien des corsets aux chainettes d'argents. Tu apprécies aussi les bijoux, et si tu portes de temps en temps des piercings, tu te tâtes encore pour le tatouage. Tu penses très sérieusement que cela pourrait se faire. Il suffirait simplement que tu trouves le dessin qui te corresponde le plus, ainsi que la motivation nécessaire. Mais il faut rajouter quelque chose : tu es persuadé que tu es un peintre doué. Tu ne le sais pas, mais tu es particulièrement médiocre. Les gens te font souvent remarquer ton manque de talent, mais tu persistes avec pugnacité à croire que tu es particulièrement doué avec l'aquarelle et la gouache ; comme si tout un monde reconnu par son ingéniosité prenait vie sous tes doigts. Il y a les menteurs, ceux qui disent que tu assure et que tu es vraiment un génie, et ceux qui soupirent, et qui te disent que tu te fourvoie complètement. La plupart du temps, tu aimes croire les menteurs. »
>>> Biographie . • Histoire : [ 700 mots minimum ]
« Tu es né il y a dix neuf ans au Japon, par des parents japonais, à Tokyo, au milieu des bruits, de la lumière et du progrès. Mais tu n'as connu le pays de tes ancêtres qu'un an, car tes parents, thanatopracteurs, se sont rapidement heurtés au manque de débouchés de ce métier dans un pays encore trop ancrée dans ses valeurs shinto et bouddhistes à l'égard du mortuaire. Tes parents ayant déjà voyagé, par le passé, en France, ils ont considérés que s'établir là bas serait un avantage, en vu de l'ouverture professionnelle de la thanatopraxie. Ils ont donc achetés les locaux, et petit à petit, le business du tabou, le salon de la mort s'est vu grandir. Toi et ce salon mortuaire, vous avez toujours été un peu jumeaux. Dans l'élégance de la chose, tu grandissais heureux et épanoui, mais en ayant déjà conscience de cette odeur que ne connaissaient pas forcément les autres enfants. Au primaire, lorsque tes premiers copains te demandèrent ce que faisaient tes parents, tu répondis naïvement qu'ils nettoyaient les morts. Les morts. Avait t-on réellement conscience de ce que pouvait être la mort, si l'on ne la cotoie pas ? Toi, elle a été ce parfum qui n'a jamais quitté ton foyer. Un parfum de produits ménagers, chimiques, de latex et de peau étirée par les pinces en fer. En grandissant, tu n'as jamais considéré que cela devait être quelque chose à cacher, quelque chose qui pouvait être honteux. Tu as rapidement pris conscience que cela pouvait effrayer les autres enfants, alors tu as un peu modifié la réalité auprès d'eux, de manière à ne pas les blesser et les choquer.
« Mon papa et ma maman s'occupent des gens qui sont très très vieux, et qui ne bougent plus beaucoup. »
Ça passait beaucoup mieux à l'oreille. Les professeurs, et les enseignants, quelques fois, se sont inquiétés, et ils ont même parfois demandé à tes parents à ce que tu rencontres des pédopsychiatres, pour vérifier que cet univers ne te traumatisait pas. Ça n'a jamais été le cas, tu es toujours resté dans les normes et parfaitement consciencieux du tabou que cela pouvait être aux yeux de certaines personnes.
A partir de treize ans, lors de tes premières années au collège, en France, tu as demandé à tes parents la permission de les assister dans leurs soins. Ils ont hésités, longuement. Mais finalement, ils ont acceptés. Tu as pu les voir, ces cadavres que tu voyais défiler dans le hall. Mais cette fois-ci, éclairée par la lampe, et sous le ventilateur éléctrique. La nudité de la mort ne t'a jamais effrayé : tu l'as toujours imaginé, et lorsqu'elle est arrivée face à toi, tu as trouvé ça beaucoup moins caricatural que ces films américains dans lesquels les corps étaient toujours déformés et enlaidis. Certes, tu en as vu, des morts salement amôchés. Mais c'est comme un puzzle défait, que les mains de tes parents ont toujours réconstitués, avec soin et précision. A partir de tes quatorze ans, tu t'occupais toi aussi de l'embaumage. Tes mains ont longtemps pratiqués ces mouvements à faire, pour s'occuper du mort : que ce soit positionner l'injecteur de colle entre les lèvres et la gencive, pratiquer l'incision pour retirer les artères principales, placer le corps dans la position « je suis mort », ou tenir la tête pour que tes parents puisse retirer les organes internes sans être gênés, oui, tu as longtemps fait ces gestes, avec une sorte de passion. Indubitablement, dans le sein de ton jumeau mortuaire, de ce salon, ce plaisir de côtoyer cet animal mystérieux, effrayant, et indomptable qu'était la mort.
Le jour où tout à changé, c'est ce mercredi 24 mai, ce jour où elle est arrivée, parce qu'elle avait été tuée dans un accident de scooter. Tes parents t'ont dit, énervés de son décès, qu'apparemment, le chauffeur n'avait pas respecté la priorité, et en état d'ivresse, avait catapulté cette lycéenne qui rentrait chez elle. Dans le hall, les parents de la fille, effondrés, t'avaient marqués. Mais moins qu'elle. Elle était d'origine japonaise, comme toi. Mais plus vieille de trois ou quatre ans. Ta mère avait retiré ses vêtements, et tu avais pu voir son dos violacé : là où tout le sang s'était accumulé, après le décès. Son ventre était curieusement déformé, mais elle ne portait aucune trace de blessures apparentes. Amer, ton père avait palpé le galbe rond de son ventre, et avait annoncé qu'elle était « massacrée de l'intérieur ». Pour la première fois, tu n'eus pas envie de participer à ces soins. Pas par peur. Plus par dégoût. Par dégoût de voir cette fille si belle, si jeune, allongée sur le billard. Tu as glissé tes doigts sur ses longs cheveux noirs, et pour la première fois de ta vie, tu es tombé amoureux.
Tu as réussi à retrouver ses parents, quelques temps après. Tu as un peu parlé avec eux, et ils ont même souri, au milieu de leur deuil. Dans leur salon, il y avait une photo d'elle. Elle s'appelait Emi, ce qui en japonais, signifiait « sourire », ou « beauté bénie ». Tu as trouvé que son prénom lui allait bien. Tu t'es un peu renseigné sur ce couple qui, comme tes parents, avait quitté le Japon pour un voyage d'affaire, et qui finalement, s'était établi dans cette même ville. Était-ce un hasard ? Ces gens là étaient très pieux : à l'égard de ces dieux si étranges, que tu ne connaissais pas réellement. Mais tu as réussi à faire un lien, et tes parents et ceux d'Emi sont devenus amis, complices, et confidents. Au delà de la mort, Emi subsistait ; un peu plus que simplement sur ce cliché où elle souriait, au milieu du salon. Tu n'es jamais réellement senti malheureux, après cela. Emi était morte, c'est un fait. Et tu étais bien placé pour savoir qu'on ne revient pas de la mort, que la mort est obligatoire. Toi, tu n'as jamais pleuré les gens morts : peut-être parce que tu les connais trop. Tu n'as pas pleuré Emi, en fait. Tu t'es simplement senti triste, ce jour où tu l'as vu allongée sous la lampe. Mais après cela, tu ne t'es plus senti triste, parce que tu étais amoureux de cette fille, de cette existence et de cette image qu'elle avait été.
Alors, petit à petit, tu as changé. Tes cheveux, tu les as laissé pousser. Ton corps, tu l'as habillé avec des jupes et des robes, des collants et des ballerines. Parce que ça te plaisait, et de cette manière, tu te sentais complice avec Emi. Ce n'était pas glauque à tes yeux, et même si tu en as parlé à tes amis, ceux-ci se sont détournés de toi, se sont mis à t'insulter, à se moquer de toi. La fin du collège approchait, et tu étais devenu le « petit pédé nécrophile » du collège. A croire qu'ils connaissaient presque la définition du dernier mot.
Il n'y a eu qu'un psychiatre, à partir de là. Il a assuré à tes parents que tu allais très bien. Que tu voulais simplement t'habiller comme cela. Et tes parents ont considérés que tu en avais le droit, et que l'important était que tu ne mettes pas ta vie en danger. Ils t'ont laissé cette autonomie stylistique, ont été là pour t'écouter, lorsque tu revenais, les joues griffées du collège, à raconter que les garçons t'avaient bousculés jusqu'à dans les toilettes des filles. Lorsqu'on vit avec la mort, lorsqu'on travaille avec la mort, peut-être que l'on attache plus d'importance que les autres gens à la vie. Parce qu'on a un peu plus conscience que les autres que cette vie là est fragile, et qu'elle peut être éclatée en mille morceaux à n'importe quel instant. Alors il faut profiter et vivre. Ne pas forcément aller dans les excès, et ne pas se mettre soi même en danger, mais simplement vivre et sourire à l'existence. Ça a toujours été ton leitmotiv.
Au lycée, il y a eu un changement radical de mentalité. Il y a eu cette fille, Marie, puis Solène, puis Jessica, puis Violette, puis Sophie et Hélène, qui sont devenues tes amies. Tu les attirais, comme des mouches. Et même celles qui n'étaient pas réellement tes amies, tu les appréciais, et elles t'aimaient bien. Marie te coiffaient, Solène te faisait faire le shopping avec le elle le dimanche puis que le jeudi et le vendredi tu étais au cinéma avec Violette et Jessica. Tu as repris confiance en toi, et tu en as même embrassé certaines. Mais vous êtes toutes amies, et vous le resterez certainement. En tous cas, toi, ces filles, elles t'ont beaucoup apportés. Tu leur as appris le japonais, ou du moins ce qu'elles en ont retenus, pour la plupart. Solène était assez douée, mais elle finalement dévié pour l'apprentissage du coréen. Dommage. Tu as grandi dans un lycée qui t'as toujours considéré comme un élève populaire, au sexe indéterminé.
Dans l'année de tes dix sept ans, pour des raisons d'héritages, ton père a été obligé de retourner au Japon. Il en est revenu, nettement plus riche, mais toujours aussi humble. Il a dit que si nous voulions profiter de l'argent, une des contraintes imposée par sa famille, était que toi et tes parents aillent au Japon. Vous avez longtemps réfléchis, tous ensemble, et finalement, vous avez opté pour.
Cela fait bientôt deux ans que tes parents habitent la ville de Keimoo. Et toi, avec l'allure de Emi, ça fait deux ans que tu souris aux garçons, avec du rouge à lèvre sur la bouche. »
• Famille : [ 100 mots minimum ]
Hanabi Kokei : Une femme douce et attentionnée, qui sait être à l'écoute. C'est elle, qui par son appartenance sentimentale avec la France qu'elle a découvert dans sa jeunesse (et ignorant que cela irait dans l'avantage de son fils puisqu'ils s'établiraient un an plus tard dans ce pays) qui a demandé à son mari si il serait d'accord d'offrir un prénom français à leur enfant. D'où "Emmanuel". Dans son éducation japonaise, elle a été soumise à son mari, jusqu'à son arrivée en France, où leurs rapports à un peu changés. Ils se considèrent tous les deux sur le même pied d'égalité, mais depuis le retour au Japon, en public, Hanabi reprend le masque de la femme docile. Une femme qui touche aux morts avec du matériel considéré comme « impur » par les croyants shinto n'a pas à se faire remarquer. Mais derrière la porte de sa maison, Hanabi est une femme très bien dans ses baskets, qui sourie et n'hésite pas à passer le balai à son mari, pendant qu'elle va regarder une émission de tv. Daisuke Kokei : Un homme qui peut paraître un peu dur, aux premiers abords. En réalité, Daisuke est surtout l'héritier d'une famille bourgeoise de Tokyo, qui n'a jamais réellement apprécié son cercle familial, et qui s'est émancipé très tôt. Comme sa femme, il sait jouer la comédie par rapport aux mœurs sociaux et culturels, et ne sait pas tellement parfois s'il est plus japonais que français. En tous cas, il n'a jamais critiqué Emmanuel dans son choix vestimentaire.
| • Pseudo : Zakuro • Âge : 17 ans. • Serez vous actif ? Yep. • Comment avez-vous connu le forum ? Haha 8'D • Commentaires, remarques, critiques? : Non. • Souhaitez-vous un parrain social ? Si oui, avez-vous une préférence particulière ? Non merci.
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Dernière édition par Emmanuel Kokei le Mer 24 Juil 2013 - 12:11, édité 1 fois | |
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