John Stephens V2 [fini]

John Stephens

Ft Leon Kennedy

• Sexe: ♂ • Âge & Date de naissance : 20 ans 24 décembre 1991 • Origine(s) : Anglaise • Orientation sexuelle : Anglaise

• Langue(s) : Langue maternelle anglaise, seconde langue Japonais, a commencé le russe et le français • Etudes :Droit international • Spécialité : commerce • Groupe :Racailles • Club(s) : [ facultatif ]

>>> Aspect physique

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• Physionomie : John est grand, voir même très grand. Il mesure un bon mètre quatre-vingt quinze. Il pèse dans les 80 kilogrammes. Quand on le regarde, il est plutôt qualifié de beau gosse. Et c’est vrai, enfin pour une certaine catégorie de personne surtout dans son pays natal. Pour les pays d'orient c'est surement autre chose, il dois paraitre un peu étrange et surtout grand, voir même trop grand pour la moyenne de ces pays là. Il a des cheveux blond, assez court coupé au carré, longueur qu'il n'aime pas vraiment mais il ne sais pas trop quoi choisir d'autres, en fait pour sa coupe de cheveux il est assez flemmard pour chercher mieux. Depuis son retour du japon, il les garde court , un peu mieux coiffé, surtout vu son nouveau style de niveau trés trés compliqué pour lui mais il tente de sauver les apparences enfin il essaie sans vraiment y arriver. Si l'envie lui prend il se rasera complétement
Ses yeux sont gris foncé, ce qui peut les faire passer pour bleu. Dans un sens il s'en fiche, ça n'a pas vraiment d'importance pour lui. Il se fiche complètement de ce qu'on pense de lui.

• Vêtements : John est du genre à porter des vêtements qui lui permettent de bouger facilement, il n'aime pas être trop serrer ou flotter dans ce qu'il porte. La seule chose qu'il affectionne tout particulièrement c'est son manteau. Un des rare cadeau qu'il a eut dans sa jeunesse. Il refuse de s'en séparer. Sinon il n'a pas vraiment de style particulier, mais il ne porte que des couleurs foncées, il aime passer inaperçu de ce coté là.

>>> Aspect psychologique

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• Psychologie : John est un être assez particulier, il a un peu deux facettes assez différentes. A la base, c’est une terreur, il déteste tout le monde, il ne supporte pas le contact des autres. Il fait tout son possible pour les faire fuir et généralement il y arrive bien. Il adore faire pleurer dès qu’il le peut. Mais bien sûr il fait ses coups en douce, c’est tellement plus amusant de faire ça. Mais chose étrange quand le jeune homme est dans la nature il est calme, doux, sensible. Il semble apaisé. Il adore la nature, il ne sent lui-même que dans une forêt ou dans un champ. Mieux vaut éviter de venir l’embêter dans ces moments la. Sous ses airs de gros dur, c’est en fait un jeune homme très sensible, il cache une énorme tristesse au fond de lui. Il fait tout pour cacher ses émotions sous un masque impassible. Dans un sens il ne veut plus souffrir alors il fait souffrir les autres. Mais bien habile celui qui pourrait comprendre cela en le regardant faire.

• Particularités : Il aime peindre mais personne ne le sait, enfin peindre, plutôt dessiner, crayonner, il adore se détendre comme ça, surtout quand il est dehors. en gros il adore retranscrire ce qu'il voit sur papier, ou encore ce qu'il imagine. Il n'a pas vraiment de manie, hormis celle de se faire craquer les doigts n'importe quand. Sinon il n'a pas vraiment de toc, si on peu dire, il est comme tout le monde, il n'y a rien de notable dans son attitude naturelle. Sauf peu être le fait qu'il a la phobie du vide, il a un vertige énorme, mais il fait tout pour le cacher. Il n'est pas du genre a montrer ses faiblesses.

>>> Biographie

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• Histoire : Un père médecin, chef d'une clinique, une mère infirmière dans le même établissement, une maison énorme, une voiture avec un chauffeur, tout le luxe possible, que demandé de plus...En fait pas si sure que ça. John est né le jour de noël, un beau cadeau non ? Non diraient ses parents. L'enfant n'était absolument pas désiré, et surtout la mère ne voulait pas s'en débarrasser, qu'auraient dit les voisins ? La vie du jeune garçon commençait assez mal en fait. Voyons comment se passèrent ses premières années de vie.

Sa mère faisait bonne figure devant les autres en pouponnant le plus possible, surtout devant ses sœurs. Mais quand plus personne n'était la, elle laissé l'enfant hurler de faim ou ne le changeait pas quand il était souillé, elle laissait la nourrice qui avait été engagée pour le faire. La jeune femme, elle, adorait l'enfant. Elle faisait tout son possible pour le faire grandir normalement, même si la froideur de ses employeurs était souvent dure à vivre. John reçu sa première claque violente à un an. En effet il avait eut le malheur de gazouiller devant son père qui était très énervé, sans vraiment de raison. Le petit fût sonné pendant de longues minutes, son père ne faisant rien pour le réveiller. Se fût sa nourrice qui s'en occupa, les larmes aux yeux. Elle ne pouvait rien dire à ses "maîtres" de peur de perdre sa place. Après cette claque, le père frappait régulièrement son enfant si celui-ci gazouillé devant lui, c'est pour cela que la nourrice s'arrangeait pour le tenir éloigné de son géniteur. Deux années passèrent comme ça, John eut alors 3 ans.

Un bel âge pour commencer vraiment sa vie, enfin pas pour tout le monde. John fût envoyé dans une école des plus stricte, dès son plus jeune âge il fut brider, sans le moindre loisir à l'école, et n'en parlons pas chez lui. Le pauvre petit ne comprenait rien de ce qui lui arrivait, seule sa nourrice pouvait lui expliquer, et cela était très dur pour lui. En plus son père continuait à le battre, pour rien mais personne en disait rien, on ne pouvait pas croire. En plus comme les corrections corporelles étaient autorisées dans cette école, on ne voyait pas les différences entre celle de son père et celle de l'école. Les années de maternelle furent un vrai cauchemar pour le petit garçon. Il se renferma sur lui-même. La seule façon dont sa nourrice pouvait le distraire, était de l'emmener se promener dans la campagne ou dans l'immense jardin de ses parents. John supportait de plus en plus mal la tyrannie de son père et l'indifférence de sa mère. Il faisait des crises de colère très violente, pour rien, et ses parents commencèrent à le surnommer : peste. Sa nourrice était la seule à le calmer.

Les années primaires, un régal en fait, on apprend tous pleins de chose, on est content. Enfin beaucoup d'enfants. John lui était bien content d'aller à l'école mais jamais d'avoir des devoirs, car personne ne l'aidait vraiment, enfin si, sa nourrice faisait ce qu'elle pouvait, mais elle ne parlait pas très bien la langue du jeune homme. Ces années furent pire que les précédentes, mais cette fois ci les parents eurent beaucoup de mal a être en paix. John ne faisait que bêtises sur bêtises, devenant de plus en plus violent, et ses blagues mauvaises étaient faites en douces. Son père le corrigeait de plus en plus, mais le garçonnet ne disait plus rien. Son père l'ayant battu tellement de fois qu'il ne faisait plus attention aux coups qu'on lui portait. Il faillit plusieurs fois se faire renvoyé de son école mais l'argent aide beaucoup....La nourrice fût renvoyée dés que le jeune garçon fût en âge d'aller dans sa dernière année de primaire. Se fût un énorme choc pour John qui la considérait comme sa vraie mère. A partir de ce jour il changea. Il ne disait plus un mot agréable, répondait en permanence à ses parents et à ses enseignants. Le collège arriva enfin

Les parents, ne pouvant plus supporter leur fils, ils avaient leur carrière, et un petit voyous, quelle horreur pour des gens aussi bien rangés qu'eux. John fut enfermé dans un premier pensionnat. Se fût une catastrophe. Il fit un petit tour en maison de correction pendant un an. Cela fortifia son caractère déjà bien mauvais. Il fût remis à ses parents, qui le firent travailler pour eux dans la maison, chose qui se passa également très mal. Pour se débarrasser de son fils une bonne fois pour toute, le père décida de l’envoyer au Japon chez son cousin chef d’entreprise. Ce dernier ne connaissait pas vraiment le jeune homme. Il chercha alors à l'aider en voyant ce qu'il était devenu.

John commença a apprécier la vie de famille. Celui qu'il appelait son oncle faisait tout pour que la vie soit agréable a son nouveau fils. Sa nouvelle famille n'avait pas d'enfants. John était heureux. Mains bien sur les souvenirs de sa vie d'avant été toujours là. John n'étant pas un imbécile malgré tout ce que son père avait pu écrire à son cousin, celui-ci décida alors de l'inscrire dans une université réputé et de tout lui payer pour prouver à son cousin que son fils était une perle d'intelligence, même s'il montré le contraire en se comportant plus que mal.


Maj: John a vécu dans l'académie pendant deux années. Il n'a pas vraiment fait parlé de lui, enfin il faisait ses coups pendards hors de l'académie. Bon il n'allait pas vraiment non plus en cours, mais il s'en fichait un peu en fait. Il retrouva Lun Marv, un collègue d'école en Angleterre, dur retrouvailles pour le jeune homme qui aurait préféré oublier son passé. Mais dans un sens cela lui fit beaucoup de bien, et il pu tourner une difficile page de son histoire.
La petite, enfin grande chose qui arriva fût sa rencontre avec Ayamé, celui-ci le changea totalement. Le rendant plus calme, enfin façon de parler. John en était complétement amoureux et dans un sens cela lui allait. Leur bonheur était tranquille. Quand un jour il reçu une lettre le rappelant d'urgence en Angleterre. Son oncle l'accompagna. John était nerveux, il avait abandonné Ayamé, enfin façon de parler vu ce qu'il s'était passé.
Arrivé en Angleterre, il appris que son père avait quitté son poste de médecin pour diriger le plus grand laboratoire pharmaceutique du pays. Sa mère, elle était désormais cadre supérieur de santé dans le plus gros hôpital possible. Le jeune homme eut une mout dégouté, ses parents avaient agis encore en oubliant tout ce qu'ils lui avaient fait subir et surtout il ne comprenait pas ce qu'il faisait dans ce pays.
La première personne qu'il vit a son arrivée fût sa mère, changée, affaiblie, et dans un fauteuil. John eut un haut le cœur, et malgré ce qu'il avait subi il se pencha vers elle quand elle lui tendit les bras. La femme pleura et lui demanda pardon. Tout ce petit monde pris la belle voiture avec chauffeur et se rendis dans la banlieue de Londres. John se demandait bien pourquoi. Là on le fit entrer dans une maison différente de celle qu'il avait connu, à l'étage il entra dans une pièce ou son père était allongé, plein de perfusion. L'homme, affaiblit, lui tendit un lettre. John en tremblant pris le papier et le lu. Son regard se chargea de colère et d'incompréhension, il sorti de là en claquant la porte.
Son oncle ayant était mis au courant se chargea de la calmer, il lui exposa tout et lui fit enfin promettre de respecter ce qui était marqué, pour pouvoir retourner au Japon. Rempli de fureur John accepta de rester en Angleterre pendant un an et de reprendre en main les affaires familiales. Il eut les mains libre pour faire tout ce qu'il souhaité, mais il fit quand même tout fructifier. Il avait quand même mauvais caractère et avait la main leste quand cela ne lui convenait pas. Il ne respectait pas vraiment les codes vestimentaire, mais étant propriétaire et principale actionnaire de la société personne ne pouvait rien faire contre lui. Malgré tout le japon lui manquait, il décida d'y retourner avec un espoir fou, celui de revoir l'homme qu'il aimait.
Avant son départ, on lui annonça que sa nourrice était décédée. Le jeune homme se ferma alors comme une huitre, tellement la douleur était puissante. Il n'était pas sur d'arriver un jour a sourire de nouveau.

• Famille : Ses parents, qui vivent en Angleterre, ils refusent tout contact avec leur fils, ce qui ne gène pas le jeune homme.. Son second père et sa seconde mère qui vivent au Japon. Il les aime assez, mais bien entendu ne le dira jamais. La seule vrai mère qu'il est jamais considéré comme telle est morte récement. John a beaucoup de mal à s'en remettre. Il a également appris dans une lettre de sa mère qu'il a un frère de quatre ans plus jeune que lui; mais il ignore pourquoi ses parents lui on cachait cela. Il sait juste qu'il s'appelle Yokei. Et qu'il vit quelque par au japon. Le jeune homme espère n'avoir jamais à le rencontrer.

Derrière l'écran

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