Resurrección

Sora Kumori

.feat Ichigo Kurosaki

• Sexe: ♂ • Âge & Date de naissance : 17 avril 1992 • Origines : Américano-japonaise • Orientation sexuelle : Indéfini

• Langues : Anglais/Japonais • Année scolaire : 4ème année • Groupe : Racailles • Club(s) : Boxe

>>> Aspect physique

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• Physionomie : Autrefois, j’étais un putain d’athlète. Le genre qui te fous le seum tellement son corps il est parfait. Ou presque. Enfin j’étais grand, beau et musclé, quoi. Je le reste, d’ailleurs. Je suis juste un peu moins musclé. 6 mois à se toucher la nouille dans un lit, c’est pas top top moumoute coté entretien du corps. Mais ça ira. Je vais vite récupérer, vous pouvez compter sur moi. Enfin bref. Sinon, je suis roux. On m’a toujours fait chier avec ça, alors pour vous faire chier, je me teins en encore plus roux. Limite fluo. Histoire que ça vous pique bien les yeux, bande de connards. Pareil pour mes yeux. Ils sont ambrés. Alors j’mets des lentilles encore plus jaune, histoire que ça devienne limite or. Il m’arrive d’en mettre des bleues, comme ça, pour changer. C’est la classe.

A part ça, j’ai l’oreille droite percée. J’y fous un petit diamant en bas, et un truc qui s’entortille avec des pointes sur les deux du dessus. J’pense que je vais bientôt me faire un autre piercing. Plusieurs peut-être. A l’arcade, au labret, un indus, j’en sais rien. On verra.
J’ai peut-être assez de marques sur mon corps comme ça. Je vais me faire tatouer un phénix sur le dos, yakuza style. Faut aussi dire que j’ai pas mal de cicatrices. Sur les genoux et les coudes, à cause du skate, mais j’ai surtout deux putains de trous, un sur l’épaule droite et l’autre sur la poitrine. Jamais deux sans trois, mais là pour le coup je préfèrerais éviter. Un m’était suffisant, d’ailleurs. J’ai aussi une putain d’entaille sur le bide, et je pense pas qu’elle parte de si tôt vu la profondeur de la blessure. J’en ai deux ou trois autres sur le reste du corps, mais à côté de ça, ça passe inaperçu. La plupart sont juste de petites estafilades. Je suis pas trop typé asiatique, après réflexion. J’ai le teint plus mat, et mes yeux sont pas si bridés que ça. En plus, j’ai un nez pointu. Merci maman.

Tiens, une fois, on m’a foutu de l’eyeliner ou un truc du genre pour me faire un regard encore plus noir. Il paraît que je fous les boules, comme ça. Je dois avouer que c’était pas trop mal comme résultat, c’était même plutôt classe. Ça me donnait l’air de toujours être dans une fureur noire. Même si enfaite, j’en ai pas besoin pour que ce soit le cas. Quand je marche dans la rue j’suis en colère, quand j’commande à bouffer j’suis en colère, quand je pisse j’suis en colère, quand je dors j’suis en colère, quand je… Vous aussi, voyez la vie en colère ! Y'en a bien qui la voient en rose, après tout.

• Vêtements : Les fringues, c’est la question qui fâche. A la base je suis quand même une racaille, un mec de la rue. Donc je m’habille comme tel. Aves les teeshirt trop longs, les baggy, les casquettes, les sweats, les trucs bling bling, bref la totale quoi. Le truc c’est que je suis aussi un skater, donc je m’habille aussi comme tel. Les jeans, les tailles basses, les trucs déchirés, les bracelets, les trucs grunge quoi. Des fois je sors, comme ça, alors je suis plus en casu avec mes p’tis polos, teeshirts ajustés, tout ça tout ça quoi. Le casu chic. Et comme j’suis un mec de la haute, il m’arrive aussi de m’habiller classe, en mode costard, veston et tout le bordel. Je m’adapte quoi. Ce serait relou de se cantonner à un seul style en particulier. J’ai besoin de mouvement, de renouveau, d’innovations. J’suis un mec qui bouge. Y’a rien de plus chiant que la routine ou un truc figé.

Y’a qu’un seul truc que je garde quasiment tout le temps, c’est ma chaîne avec la croix du Christ. Sinon, le reste de mes bijoux, pareil, je les change. Enfin je garde quand même mes codes, soit je porte des grosses chaines en argent massif, soit des pendentifs, des gourmettes, ou des bagues suffisamment larges pour faire office de poing américain quand j’en ai besoin. Le tout en même temps, ou pas. J’aime bien les lunettes aux verres colorés aussi, et les couleurs bien flashy. Tout ce qui crie « Regardez-moi ! » enfaite.

>>> Aspect psychologique

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• Psychologie : On me dit violent, belliqueux, et têtu. Les représentants de l’ordre, quel qu’il soit, ajouteront même arrogant et insolent. Et ils auront raison. Je suis tout ça. Fais un pas de travers, et c’est tout ton corps qui va le devenir. Pourtant, je sais être cool et relax… Un petit bédo aidant. Bon, ok, je ne prends pas que ça. Et alors ? Je fais ce que je veux et je crache à la gueule de ceux qui ont leur mot à dire. J’suis comme un bon vieux diesel : je chauffe, je chauffe, et après j’démarre. Sauf que j’suis un putain de diesel next-gen, le nec plus ultra de la rapidité tu vois, donc j’ai pas besoin de beaucoup de temps pour chauffer.

Mais j’suis un mec sur qui on peut compter. Parfois. Enfaite, je peux être le plus loyal et le plus fidèle compagnon, si la personne en vaut la peine. J’ai juste pas encore trouvé qui que ce soit qui remplisse cette condition. En plus, j’ai tendance à me lasser de tout très vite, donc j’suis pas aidé. Oh, autre fait notable, je suis fier, vaniteux, grande gueule et tout le tintouin, mais j’ai pas d’honneur ni de pitié. Les coups de putes, c’est mon truc. Frapper là où ça fait mal, y’a rien de plus rentable !

Tous les moyens sont bons quand ils sont efficaces, c’est un peu mon leitmotiv. Et en parlant de trucs qui reviennent fréquemment, j’ai une putain d’obsession. Celle de toujours être sur le devant de la scène, quelle qu’elle soit. Sur le ring, à contest de skate, dans la rue, partout enfaite ; peu m’importe. Il faut que ce soit moi qu’on regarde. Qu’on admire. Qu’on acclame. Et je suis prêt à tout pour ça. Surtout à me battre, d’ailleurs. J’ai le sang chaud, à ce qu’on dit. Moi je dis juste que y’a rien de mieux que d’extérioriser tout ce que t’as en toi dans un bon uppercut. Vraiment, y’a que ça qui me fait cet effet-là, celui d’être complètement vidé de toute émotion, en paix avec toi-même. J’en ai tellement besoin. Mais à cause de ça, on me qualifie souvent d’instable, psychologiquement et émotionnellement parlant. Ce qui n’est pas tout à fait faux, après tout.

• Particularités :Ma particularité, c’est d’être amnésique. Enfin, enfaite c’est plus le cas, donc c’est de l’avoir été. J’imagine. Oh, j’en ai une autre ! Je suis un artiste. Si, si. Un putain d’artiste incompris, un graffeur quoi. C’est tellement bon l’adrénaline que me procure mes petites virées nocturne, à recouvrir les murs de peinture. Celle que t’obtiens en faisant du sport n’a rien à voir. Et pourtant j’en ai essayé, des sports ! Skate, boxe, foot us, castagne et tout le tintouin !
Sinon, je suis sucettophile. J’peux pas me passer de ma dose de sucre quotidienne, et y’a rien de meilleur au monde qu’une Chupa Chups fraise. Il fut un temps j’avais remplacé les cigarettes par des sucettes, et c’est devenu ma nouvelle addiction. Enfin, la première commence à me revenir doucement, à force de fumer des spliffs. Et ce n’est pas la seule, d’ailleurs. Je ne crois pas que tout ça soit très bon pour ma carrière de skater ou boxeur pro, mais dans la vie, il faut avoir ses priorités. Et ma priorité, c’est qu’une bande de connards ont essayé de me descendre, et ça j’ai un peu de mal à l’avaler. Bien plus que j’en ai pour avaler un cacheton. Alors le choix est vite fait.

>>> Biographie

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• Histoire : Mon histoire est longue et chiante. Paradoxal pour un mec de 19 ans, je sais. Alors j’vais vous la faire en version abrégée. Parce que j’ai pitié de vous. Donc voilà, j’suis né à New York City, et j’y ai grandi jusqu’à mes… 16/17 ans, je crois. A l’époque, j’étais un petit con qui faisait les 400 coups avec sa bande de potes, juste pour attirer l’attention. D’un autre côté, grandir tout seul ans une baraque qui tient plus du palace que de la petite maison de campagne, j’crois pas que ça aide beaucoup le développement et l’épanouissement personnel d’un enfant. Bref, j’avais besoin d’affection, comme tous les gosses de mon âge. Sauf que j’en ai jamais eu. Ni chez moi, ni à l’école, ni nulle part. D’ailleurs, à l’école, on s’payait pas mal de ma tête, avec mes cheveux roux. Du coup, j’ai commencé à devenir un poil turbulent, en adoptant une nouvelle philosophie de vie. Assez simple pourtant, tu me casses les couilles, j’te casse la tête. Bon, avec cette technique, j’me suis pas fait que des amis. C’est vrai. Mais au moins, on m’faisait pas chier, ce qui en soit était un progrès notable. En plus, j’étais assez sportif, entre la boxe et le football américain, du coup on venait plus trop me chercher des noises. Enfin bref. J’ai continué à multiplier les conneries comme ça jusqu’à quoi, 14 ans ? Jusque-là, je gravissais graduellement les échelles de l’illégalité et du crime en solo. Et puis j’ai rencontré Sunny et ses potes. Des gens bien, vraiment. Pour la première fois, je comprenais le sens du mot « famille ». La mienne était désormais composée de Sunny, mon meilleur pote, Caleb le binoclard, Anyelo le colosse, Abbie la pile sur pattes, et Ezzy, mon ex-petite amie. Et depuis le jour où on s’est rencontrés, on s’est jamais lâchés. Ils étaient tous plus vieux que moi de deux ou trois ans, et ils trempaient dans des histoires encore plus louches que les miennes. Mais je m’en foutais. C’était dangereux et illégal, donc excitant. J’adorais. Du coup, j’leur filais un coup de main dès que l’occasion s’en présentait. Au début, ils étaient un peu sceptiques quant à mes capacités, mais ils ont vite compris que j’étais un mec si qui on pouvait compter.

Alors ils m’ont fait rentrer dans leur bande et leurs magouilles. Des conneries, j’en ai fait, avec eux. Et pas qu’un peu ! Trafic de drogue, organisation de combats illégaux, vols avec violence, extorsions, harcèlements, destructions de biens, violences volontaires envers autrui impliquant parfois –souvent- un séjour à l’hôpital, et je suis l’auteur de la plupart des tags qui recouvraient les murs du quartier. Oh, j’en oublie, bien sûr, mais après tout, à quoi bon tous les énumérer ? Je ne suis pas une simple liste. Même si c’était pas trop l’avis du juge qui m’a condamné à deux mois de prison pour mineur. Quoiqu’il en soit, ce que je préférais à tout ça, c’était le club de combat. Tous les soirs, au sous-sol d’un bar qui était plus ou moins devenu notre QG, ils organisaient des combats en cage. Le principe est simple : on enferme deux mecs dans une cage, un arbitre, et on les regarde se foutre dessus. C’était du combat libre, donc toutes les techniques et arts martiaux étaient autorisés. C’était juste un tout petit peu plus violent que celui qu’on voit à la télé. Enfaite, des fois, quand tu criais « STOP ! », l’autre te pétait quand même le bras. Enfin c’est une question de réflexion, l’information prend non seulement du temps à monter au cerveau, mais elle galère surtout à trouver les deux neurones restant dans ces crânes de brutes. Bref, c’était bien marrant. J’étais juste spectateur au début, puis j’ai eu envie d’essayer aussi, avec mes potes. Et j’ai compris le sens du mot « combat ». Les combats en cage, ça te forge un homme. Même si à la fin, tu ressembles plus à une bête sauvage qu’autre chose. Mais bon, ça t’apprend à vivre, quoi. Le seul bémol, c’est que t’en deviens vite accro. Comme moi.

Mais y’a pas que ça qu’ils m’ont fait découvrir. Y’a aussi le skate. Et ça, c’est à la vie à la mort. Depuis que j’suis monté sur une planche, j’en suis jamais redescendu. Jamais j’me déplace sans mon skate, que ce soit interdit ou pas. Enfin bref, c’est aussi avec eux que j’ai fait la plus grosse erreur de ma vie. Même si je m’en souvenais plus jusqu’à récemment. Une connerie qui a coûté la vie de Sunny. Enfaite, on avait foutu la merde à une soirée organisée par mon père, comme ça pour le fun. D’un autre côté, c’était lui qui m’avait forcé à y aller. Et il se trouve qu’on a un peu brusqué un invité… Ce qui a pas trop plu à mon père, qui en avait marre que son « idiot de fils fasse la une de tous les journaux people à deux francs six sous, en ternissant l’image de sa famille par la même occasion. » Enfin, famille, c’est vite dit. Mais passons. Il m’interdit de revoir mes amis. Il fit même pire que ça, d’ailleurs, puisqu’il voulait m’exiler loin d’eux, au Japon. Ce bâtard profitait du fait que je sois bilingue. Je l’ai pas choisi, putain ! Hors de question que j’aille là-bas. Alors j’ai pris mes affaires, et je suis partit. J’ai même chipé un flingue qui traînait dans un des tiroirs du bureau de mon père. Il n’était pas chargé, et je m’en fichais éperdument. Je sais me servir d’un flingue, mais dans le cas présent je n’en avais pas l’utilité ; c’était juste pour marquer le coup.
Seulement voilà, peu de temps après, j’avais rejoint Sunny… On avait un peu bu, et on s’était déjà fait quelques rails quand je lui montrais l’objet de mon larcin. Sans hésiter, il s’en saisit, et joua au gangster, mais c’était sans compter l’intervention de la police. A vrai dire, on était tellement déchirés qu’on n’avait pas reconnu l’uniforme, et ce couillon… Les as braqués. Pour rigoler ! Il n’était pas chargé. Mais quand il imita le « Pan », le bruit qu’on entendit était beaucoup plus réaliste qu’il n’aurait dû l’être.

Je me suis pris une balle à l’épaule droite, et Sunny… A eu moins de chance. Il est mort. Quand je me suis réveillé dans ma chambre d’hôpital, je n’avais plus aucun souvenir à cause du choc traumatique. Et deux jours plus tard, j’étais dans l’avion pour Keimoo et sa prestigieuse académie, sans aucune attache pour me retenir. Mais c’était pas plus mal. J’ai pu recommencer à 0, comme ça. Enfin, rien n’a changé après réflexion. Je me fous toujours dans des pétrins pas possibles, je passe toujours mon temps à faire des conneries et à skater, et le seul truc qui a changé c’est la ribambelle de gay qui me collent au cul. Bon, j’ai rencontré plein de gens, des cools, des moins cools, des victimes, des bourreaux, je vais pas en faire la liste, ce serait trop long ! Mais y’en a qui m’ont plus marqué que d’autres, comme ma petite Karie, qui est plus ou moins la seule personne que j’aime vraiment dans cette ville, ou Kazu-chan aka mon petit chiot, ma petite victime préférée. La mante religieuse aussi là, blanche comme un cul et tellement trippante, Setsumi. Junior la skateuse ! Tsumi la putain de pédale qu’a essayé de me retourner après m’avoir drogué et pas dragué ! Et la pire tata que je connaisse, cette catin de Narcisse ! Sérieusement mec, c’est assez badant d’être l’obsession d’un mannequin qu’a 6 ans de plus que moi ! En plus c’est un putain d’acharné, j’ai beau le briser littéralement en deux à chaque avance, IL CONTINUE ! IL PERSISTE ET IL SIGNE, OUI MONSIEUR !
Et quant à mes anciens potes de NYC, j’ai plus jamais eu de nouvelles, hormis d’Ezzy qui se trouve être à Keimoo aussi. Sauf qu’à ce moment-là, je n’avais plus aucun souvenir d’elle. Je n’ai retrouvé la mémoire que récemment. Quand je me suis pris une balle dans la poitrine, pour être exact. S’en suivit plus ou moins 6 mois de coma, à ce qu’on m’a dit. C’était pas mal comme sensation. J’aimerais bien trouver une drogue qui procure les mêmes. Mais tout c’est fini. Je me suis réveillé. Et il va falloir que je réfléchisse sérieusement à ce que je vais faire, maintenant que je suis de retour parmi les vivants. Après tout, les phénix ne s’épanouissent que dans le ciel.


• Famille :Quelle famille ? Elle n’en a que le nom. Y’a pas grand-chose à dire dessus, du coup. J’suis fils unique, et mon père est un vieux schnoque pété de thunes qui s’est mariés avec une femme de 15 ans sa cadette. Ce qui me sert de père est à la tête d’une putain de multinationale d’armement, et ma mère est une actrice américaine plus ou moins réputée. Quoiqu’il en soit j’ai plus trop de contact avec eux. Moins ils me voient, mieux ils se portent. Et c’est réciproque. D’un autre côté, ça doit pas être facile tous les jours d’avoir un fils comme moi, je le reconnais. A l’époque, je passais plus de temps au poste que dans ma chambre. Mais bon, c’est aussi de leur faute si je suis devenu ce que je suis. Qui sème le vent récolte la tempête.

Derrière l'écran

• Pseudo : Sora suffira • Âge : 19 ans • Serez vous actif ? Caaaay les vacaaaances ! • Comment avez-vous connu le forum ?M’souviens plus. Ca remonte à un bon moment, quand même ! • Commentaires, remarques, critiques? : Rien n’a changé, ça fait du bien de rentrer à la maison. Continuez comme ça :> • Avez-vous quelque chose à ajouter ?

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