Jin Ikeda [fini]

► Identification

• Nom : Ikeda
• Prénom : Jin
• Surnom : Si vous avez l’audace de lui donner un surnom, je ne réponds plus de rien…
• Sexe : Masculin… si, si, je vous assure !
• Âge & Date de naissance : Il est né le 13 Décembre 1991 et a donc 17 ans…
• Orientation sexuelle : Euh… il a tendance a envoyer paître quiconque s’approche de lui d’un peu trop près ; c’est donc difficile à déterminer… On va dire que, puisqu’il réserve le même traitement à tous, il est sans doute bi.
• Origine(s) : C’est un 100% Japonais.
• Langue(s) : Ben… le japonais.
• Année scolaire : 4ème année
• Groupe : Racailles
• Club(s) : Ne demandez pas à un asocial en force de rejoindre un club…

► Aspect physique

• Physionomie : Jin ressemble une fille à un tel point que ça en devient troublant. Cependant, ses attitudes et sa mine renfrognée permettent de ne pas se tromper. C’est bien un garçon, et il met son poing dans la figure de quiconque en doute. Il est donc doté d’un visage fin et très harmonieux, encadré de très longs cheveux soyeux d’un noir de jais lui descendant jusqu’à la taille. Ces derniers sont toujours lâchés, masquant une partie de son visage. La raison pour laquelle il les garde longs est un mystère puisque cela ne fait qu’accentuer son côté franchement efféminé. Ses yeux sont d’un gris très foncé, qui n’est en fait qu’une variante légèrement plus claire du noir habituel chez les Japonais. Ce qui ne l’empêche pas de très bien savoir lancer des regards noir. Il n’est pas très grand, puisque ne mesurant qu’1m68. Au niveau de la corpulence, on peut dire qu’il est en sous poids : il ne pèse que 52 kg. Et encore une fois, c’est un facteur qui accentue sa ressemblance avec une fille. Il a en effet les os très saillants au niveau des hanches, qu’il a, de base, très fines. Surtout qu’en plus, ses épaules sont plutôt étroites et ses membres très fin, de même que ses mains. Bizarrement, malgré sa promptitude à en venir aux mains, il n’est pas très musclé et garde une ossature très délicate. Il a véritablement un teint d’albâtre, très contrasté avec la couleur de ses cheveux. Il garde presque tout le temps les sourcils froncés et un regard disant clairement : « On n’approche pas »
• Vêtements : Ses vêtements restent généralement très sobres et résolument masculins. Il affectionne les teintes foncées, comme le noir ou le gris, et porte de simples jeans, accompagnés de baskets. On ne le voit jamais les épaules à l’air : c’est manches longues ou mi-longues uniquement. Il aime bien les vêtements avec capuche, et la garde rabattue sur sa tête même à l’intérieur, et surtout quand on le lui interdit. Sans être moulants, ses vêtements sont plutôt près du corps ; il déteste « nager » dedans.
Les seules « fantaisies vestimentaires » qu’il se permet sont, de temps à autre, un liseré de couleur quelque part sur ses fringues ; et des lacets décorés sur ses chaussures.
• Autres : Il a quatre boucles à l’oreille droite, trois anneaux et une petite pointe, et trois à gauche : deux anneaux et une rose argentée.
Il a sur la hanche droite un tatouage représentant le chiffre romain XII.
Il porte à son majeur gauche un anneau en acier gravé des chiffres romains de I à XII.


► Aspect psychologique

• Psychologie : Racaille au sens premier du terme, Jin n’hésite jamais à utiliser ses poings lorsqu’il lui faut exprimer son mécontentement. Ce qui arrive malheureusement très souvent. C’est en effet quelqu’un de très susceptible et complexé. La moindre remarque qu’il juge négative formulée sur son apparence androgyne le fait réagir au quart de tour… souvent à ses dépends. En effet, de part sa stature, il reçoit plus souvent des blessures qu’il n’en donne… de même, sa tendance à se défouler à coup de poing dans les murs lui à valut de nombreuses plaies et fractures. Plutôt instable, il a depuis quelques temps des tendances dépressives et auto-destructrices, et son habitude de rester à l’écart n’arrange en rien la situation. Il a au fond un grand besoin d’affection mais rejette systématiquement toute forme de rapprochement, restant ainsi quelqu’un de très solitaire… Il est aussi très paradoxal, dans le sens où, malgré sa haine de son physique efféminé, il ne cherche pas à le modifier, gardant les cheveux longs et ne faisant aucun effort pour se muscler un minimum. En bref, c’est un garçon très complexe, complètement renfermé sur lui même et, avant tout, plutôt violent.
• Particularités : Jin a la sale manie de toujours tortiller une mèche de se cheveux entre ses doigts.
Il n’a pas vraiment de passe-temps, à part peut-être s’énerver sur les autres, bien sûr. Une des seules choses qui l’apaisent : écouter de la musique. Bien que n’étant pas lui même musicien, il éprouve un grand attachement pour cet art. Ainsi qu’également pour l’écriture, aussi étrange que cela puisse paraître. Il écrit depuis quelques temps un sorte de journal intime, des mémoires, comme il dit, dans lequel il couche sur papier certaines de ses pensées, des poèmes, des phrases qui lui viennent à l’esprit… Cependant, personne n’a jamais lu ces écrits, et il a bien l’intention de les garder pour lui.
Il a aussi une étonnante capacité à s’endormir n’importe quand et n’importe où… Bon d’accord, surtout en cours.

► Biographie

• Famille :
·Sa mère Yuriko, surprotectrice et dépassée par les événements.
·Son père Akihiro, éternel absent absorbé par son travail.
·Ren, qui, bien que en faisant pas partie de sa famille, a apposé une marque indélébile sur son adolescence.
Ren




• Prénom : Secret défense ;)
• Âge : Voilà 18 ans que ce monde me supporte ^^’
• Serez vous actif ? Environ 5/10…
• Comment avez-vous connu le forum ? Troisième perso, après Yûichi et Quinn^^ …Je sais, c’est rapide… *Pas taper, pas taper !*

• Avez-vous lu le règlement ? Bon Code by Ana

[Double post pour mettre l'histoire... sorry !]

• Histoire :
La nuit était maintenant tombée. Dans la chambre d’hôpital, la jeune femme avait fini par s’endormir, le sourire aux lèvres, éreintée mais heureuse. En ce soir du 13 Décembre, elle est devenue mère. A côté du lit, tout près, assis sur une chaise, le père a lui aussi trouvé le sommeil. Dans une pièce toute proche, à l’abri de sa couveuse, se trouvait le petit Jin Ikeda, né aux alentours de 19 heures. Une famille si paisible…

~~~

Midi. Le soleil était haut dans le ciel. Un vent léger agitait la végétation qui encadrait la maison de la famille Ikeda. A l’intérieur, tout indiquait que les occupants s’apprêtaient à se mettre à table. Pourtant il régnait dans la petite salle à manger un ambiance étrange, pesante. Jin, âgé maintenant de 9 ans, semblait attendre quelque chose, une réponse de sa mère. Mais la réponse tardait. « Je…je ne sais pas mon cœur, tu sais… Papa a beaucoup de travail, mais il sera là ce soir, je te le promet ! », finit-elle par lâcher avec un sourire encourageant. Jin se renfrogna. « Il a toujours beaucoup de travail… » fit-il d’un air sombre. Sa mère le regarda d’un air coupable. « Je suis tellement désolée mon chéri… »
Renonçant à chercher une excuse à servir à son fils, elle se pencha doucement et déposa un baiser sur son front pâle.

~~~

« M’man, pourquoi on doit déménager, puisque c’est si dangereux, comme tu dis, ici ? J’aimais mieux l’autre maison moi ! » La jeune femme poussa un nouveau soupir. Son fils lui posait la même question depuis qu’ils avaient quitté la maison peu de temps auparavant. Et elle lui répéta le même réponse pour la énième fois. « C’est pour le travail de ton père, Jin, tu le sais très bien » fit-elle d’un ton las. Que cet enfant pouvait être borné ! Elle passa une main maternelle dans les fins cheveux noirs de son fils. « Jin… ne pense plus à ça… tout ce que je te demande, c’est d’être prudent quand tu sors… ce n’est pas compliqué à comprendre, n’est-ce pas ? Cet appartement est bien plus proche du travail de ton père, mais le quartier est beaucoup moins recommandable… » Elle soupira derechef et se dirigea vers un des innombrables cartons qui encombraient la pièce. Elle en revint avec une fine boîte rectangulaire qu’elle posa sur ses genoux avant de s’adresser de nouveau à son fils. « Je… ton père pense que c’est inutile mais… je voudrais que tu prenne ceci avec toi, que tu le cache toujours quelque part dans tes vêtements, je… je crois que ça me rassurerait de beaucoup… » Elle avait pendant ce temps dévoilé le contenu de la boîte à son fils qui observait l’objet avec un mélange de fascination et d’appréhension. Il s’agissait d’un petit couteau de belle facture, manifestement fait pour la défense et pour le moment rangé dans son fourreau de cuir. « Ce que je vais maintenant te dire est très important Jin… ce couteau, tu ne devras le sortir qu’en cas d’urgence… et uniquement pour cela. Que ton école ne vienne pas me raconter que tu as blessé quelqu’un avec… C’est clair ? »
Jin acquiesça d’un air absent, trop occupé à observer les moindres détails de l’objet…

~~~

Il faisait chaud. L’air était lourd, et l’on pouvait sentir que l’orage était proche. Dans une ruelle raisonnaient les éclats d’une querelle.
« Tu devrais pas avoir un truc à me donner, toi ? »
« Dis pas de conneries… J’suis pas à ton service, j’te rappelle… J’vois pas pourquoi je devrais payer à ta place ! »
Un silence.
« Mauvaise réponse. Là t’aurais dû dire « OK » et obéir sans faire d’histoire… dommage ! »
L’orage éclata.
A l’autre bout de la ruelle se tenait Jin, effrayé, mais subjugué par la scène qui se déroulait sous ses yeux.
Le tonnerre masquait les hurlements.
La victime gisait sur le sol maintenant détrempé, évanouie ou… ?
Jin ne voulait rien savoir. Il voulait rentrer chez lui, retrouver sa mère et effacer ce qu’il venait de voir de sa mémoire. Il rebroussa chemin, commençant à partir pour ne plus jamais retourner dans cette rue.
Loupé.
« Hé ! »
Jin ne s’arrêta pas, faisant mine de ne rien entendre.
« Hé, la gamine, là, je te parle ! »
Il avait dit la gamine. Ne pas se retourner. *Il ne me parle pas…il ne me parle pas…*
Des bruits de pas commencèrent à se faire entendre derrière lui. Il pressa l’allure.
« ‘Tain, fais pas comme si tu m’entendais pas… »
Une main se posa brusquement sur son épaule.
« Et tu me regarde en face quand je t’adresse la parole », fit l’autre en faisant pivoter le pré-ado terrifié.
« Mince… t’es un mec en fait ! » Il rit. D’un rire glacial… et glaçant. Ce charisme… Jin était tétanisé, littéralement cloué sur place. Il fut parcouru d’un frisson.
« Eh mais… c’est un chouette couteau que tu as là… t’es pas un gosse ordinaire, toi », lâcha l’autre dans un nouvel éclat de rire. Jin avait en effet sortit l’arme. Car il avait la nette impression qu’il était précisément dans une de ces situations d’urgence décrites par sa mère.
L’autre regarda le ciel.
« C’est pas tout ça mais j’ai pas l’intention de me faire tremper moi… à la prochaine fois, gamin… »
Après son départ, Jin resta longtemps là, debout sous la pluie, encore incapable de réagir.
Il ne rentra chez lui que des heures plus tard, accueilli par sa mère en pleurs et folle d’inquiétude, mais se révéla incapable de donner la moindre excuse…

~~~

« Jin-chan ! Tu m’apportes une bière ? Je crois que Kôsuke a rempli le frigo… » Jin leva les yeux vers l’auteur de ces mots, l’air pensif. Des yeux d’un vert pâle, limpides malgré la froideur qu’on y lisait, des cheveux de lin, tant par la couleur que la texture… Aux yeux de Jin, personne ne pouvait égaler cette splendeur hautaine qui caractérisait Ren.
Ren. Ce nom était tout pour Jin depuis ce fameux jour d’orage. Sa perte et son salut. Perte, car il lui était maintenant impossible de quitter le monde dans lequel il avait été entraîné. Salut, pour lui avoir permit de ne pas se laisser prendre par le flot d’une vie de crainte, chose impossible s’il s’était contenté de suivre la voie tracée par sa mère. Qu’en dire de plus ? Lorsqu’il était question de Ren, les mots semblaient souvent superflus.
Aussi Jin se leva-t-il, se dirigeant sans se plaindre vers le mini-réfrigérateur qui occupait le coin de la pièce.

~~~

Il était tard. Jin, nonchalamment assis sur sa chaise, semblait s’ennuyer fermement.
Les minutes s’écoulèrent, interminables, et enfin sa mère fit son apparition. « Jin ! »
Une voix inconnue lui répondit : « Ikeda-san ? Suivez moi, je vous prie, il est préférable que nous parlions dans mon bureau… »
Jin lâcha un ricanement. « Je peux parfaitement entendre ce que vous avez à dire, vous savez ? C’est quand même de moi qu’il s’agit… » Sa mère lui jeta un regard exaspéré. « Tu es dans un commissariat, je te rappelle ; n’aggrave pas ton cas en te montrant insolant… ! » Elle marqua une pause et poussa un léger soupir. « Qu’est-ce que nous allons faire de toi… ? »
« Qui ça « nous » ? Ça fait longtemps qu’on n’est plus une famille… c’est seulement « moi » et les autres maintenant… »
*Et Ren…*, ajouta-t-il en son for intérieur.

~~~

Le temps était lourd. La température n’avait cessé d’augmenter depuis le début de l’après-midi et Jin était passablement énervé.
Et le regard insistant d’un inconnu installé à la table du fond n’arrangeait en rien son humeur déjà massacrante. Il avait pris place dans ce bar en espérant se calmer au moyen d’une quelconque boisson, mais le barman, très professionnel, avait tout net refusé de lui servir quoi que ce soit d’alcoolisé. C’est ainsi qu’il s’était attablé, fulminant, avec son thé glacé et sa mauvaise humeur. C’est alors qu’il avait senti un regard se fixer sur lui. Ce qu’il haïssait au plus au point. Il rendit un instant son regard à cet imbécile et se leva brusquement pour marcher vers lui d’un air décidé. Il plaqua ses main sur la table en un claquement sec.
« Qu’est-ce que t’as à me fixer ?! Tu veux quoi ? » Tous les yeux s’étaient tournés vers lui et un silence tendu se posa sur la salle. L’autre répondit d’un sourire.
« Toi, sans doute. » C’en fut trop.
Jin laissa sa colère prendre le dessus, se jetant sur l’inconscient qui se moquait de lui, le poing en avant.
Son coup fut stoppé net par la main de son adversaire qui s’était levée dans un réflexe fulgurant.
« Dois-je considérer cela comme un refus ? » se moqua-t-il.
Jin lâcha un grondement sourd et s’apprêta à répliquer, tant par la voix que par les coups.
Une fois de plus il n’en eut pas l’occasion. D’un brusque mouvement du bras, l’inconnu le projeta – presque sans le moindre effort – contre la table la plus proche. Quelques clients crièrent.
Jin, blessé dans son orgueil, se releva, fou de rage… Pour ne voir plus que le dos de son adversaire sortant du bar.
« Eh ! T’as pas l’impression qu’on n’a pas fini ?! » Il ne supportait pas de voir l’autre s’enfuir comme un lâche… ou comme quelqu’un qui ne le considère pas comme suffisamment important pour se salir les mains. Ce qui était pire.
La réponse lui parvint tandis que l’autre s’éloignait.
« T’inquiète… Je vais pas te laisser sans nouvelles… » Il ponctua son intervention d’un rire léger et sortit.

~~~

Ils étaient seuls dans la pièce. L’atmosphère avait quelque chose d’étranger, de menaçant.
Ils se tenaient face à face.
Soudain, sans un signe, Ren attrapa vivement Jin par la nuque, déposant un baiser sur ses lèvres. Oh, ce n’était certes pas une nouveauté. Mais il y avait dans ce baiser quelque chose d’inhabituel, une agressivité non-dissimulée qui fit frissonner l’adolescent aux cheveux noirs.
« Ren ? Qu’est-ce que… »
« Maintenant, dégage. »
Le ton était froid et cassant.
« Tu…tu veux que je sorte ? Tu veux rester seul ? » fit le jeune garçon, hésitant.
« Je crois que n’a pas tout compris… » Il agrippa brutalement la soyeuse chevelure de Jin.
« Tu vires, maintenant ! Je t’ai assez vu ! »
« Mais Ren… Qu’est-ce qu’il te prend, là ? Tu deviens dingue ou quoi !? Qu’est-ce que j’t’ai fait, au juste ? »
« Parce qu’il faut que j’t’explique, en plus, monsieur ‘J’agresse-les-gens-sans-raison’ ? Ça fait des semaines qu’on le ménage, ce gars, et toi, tu fous tout en l’air en moins de cinq minutes ! Ils attendaient que ça, lui et sa bande ! Ils auraient jamais agit sans une bonne raison, et toi tu la leur offre sur un plateau en provoquant leur chef ! Alors maintenant qu’on les a sur le dos par ta faute, tu discute pas et tu disparaît sans te plaindre… c’est clair ? »
Jin fut parcouru d’un frisson glacé.
« Ren… »
« Dehors. »

~~~

La lourde porte se referma derrière lui. Mais pour lui, cela représentait bien plus. En se refermant, ce simple battant venait de clôturer un pan entier de sa vie.
Il lui semblait que son monde venait de s’écrouler sous ses pieds.

~~~

« Jin… » commença sa mère d’une voix mal assurée. « Nous… Enfin j’ai décidé de te faire transférer dans un nouveau lycée… ils…ils ont un internat… je pense que ça te serait bénéfique… Qu’en penses tu ? »
Elle se tordait nerveusement les mains, attendant une explosion de colère…
Qui ne vint pas.
« Pour ce que ça change… »
« Jin ? Tu…tu es d’accord ? »
« Ouais… et n’insiste pas trop, je peux encore changer d’avis. »
Sa mère poussa un soupir se soulagement.
Pourtant Jin était loin d’être devenu raisonnable. Quelque chose s’était brisé en lui ; c’était tout.
Dans le secret de son esprit, une pensée survint : *De toute façon, ça n’a plus d’importance…*

Jin-jiiiiin~~ ! *O*

Ah, pardon, c'est vrai, on avait dit : pas de surnom...

Je la refais :

Bienvenue, Jin-san ! ^^

Va falloir que mon (futur) troisième perso ait autant la classe que le tien, sinon ça va pas l'faire !
*commence à se creuser les méninges*