Genre : Age : 30 Adresse : 3, rue la Chance, app. 11, quartier Hiryuu, avec Lawrence E. Swanster. 1580 Multicompte(s) : Kojiro Sekigahara
KMO :
Sujet: Les papillons bleus, les cahiers bleus, les souvenirs bleus, les lettres en rouge. Jeu 7 Fév 2013 - 9:53
僕は Zakuro です
« Et pourquoi t’es aussi grand ? Merde quoi, on est au Japon ou en Norvège… »
Il put enfin fixer ses prunelles brillantes de colère sur Zak, et ce en le regardant de haut – littéralement. D’où il sortait celui-là pour être si haut perché, hein ? Il n’pouvait pas être conforme aux standards japonais et se trémousser du haut d’un petit mètre 65 ? Non, monsieur voyait les choses en grand. Bah. Après tout, tout se tenait : un GRAND jeune homme avec un GRAND chien pour une GRAND complot contre une pauvre petite canette et son petit propriétaire aux tendances dépressives. Pour sur, à défaut d’un GRAND film, ça ferait un joli PETIT conte.
Wunjo.
Zakuro est né au Japon, le onze août 1993, dans l'ancienne capitale du Japon, la ville de Nara. Enfant métissé par son sang anglais et japonais, il a vécu des déplacements de ses parents, s'adaptant de cette manière aux mondes occidentaux et orientaux, et vivant sa scolarité d'enfance chez son pays paternel; la Grande Bretagne. Le jour de la fête du printemps, à ses huit ans, Zakuro découvre le mont Fuji, et reste bouleversé par la magnificence de la montagne. Il se fait la promesse de la considérer à jamais comme le lien entre le passé qui existe dans ces histoires de samouraï qu'on lui raconte, et le présent dans lequel il est né. Il se jure d'être aussi fort que ce lien, et de devenir un samouraï moderne. Ses parents acceptent sa demande, et il devient alors l'élève d'un maitre d'arme, qui lui enseigne le chambara. Pendant plusieurs années, Zakuro vit cette passion du sabre, et se forge sa voie, en prenant Miyamoto Musashi comme exemple. Jusqu'au jour où son sensei disparait, et que ses parents, en déménageant, le force à se rendre à Keimoo.
Ses repères disparus, Zakuro est obligé de se heurter à la réalité d'un monde qui ne croit pas aux samouraï, et à une société qui ne veut pas entendre parler de bushido actif. Il s'intègre à Keimoo dans le groupe des rebelles, sans s'attacher particulièrement aux gens: se créait des connaissances, mais sa passion reste égoïste.
"« Toi, moi, tes yeux, dans un lit ? »" a dit Chess.
Zakuro est grand. "Anormalement grand, selon Wunjo. Zakuro a les yeux bleus, comme son père. Zakuro adore les Doc Martens, et aime bien les pantalons noirs. Zakuro trimballe toujours une dizaine d'arme dans un large sac de sport. Zakuro fait du karate avec Kami Otagame. Zakuro a un chien et un chat. Zakuro est un rebelle. Zakuro est tranquille et souriant. Zakuro veut dire "grenade", (le fruit) en japonais.
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2011-2012. Un peu comme le vent. ▬ Ciel bleu. Brise froide. ▬
◈ Dessins égarés.
Tout part des fleurs. Elles éclosent sur des rencontres qui prennent la figure de blonds aux yeux verts, avec un sourire mélancolique. Dans leurs pétales, je retrouve des rires qui laissent échapper la même fumée que celle des cigarettes qu'il fume, et les cadeaux des dessins. Un jour, je lui achèterais un agenda. J'aurais trop peur qu'il m'oublie.
◈ I don't speak Americano.
Les gaffes, les malentendus, les erreurs de frappes et les fautes de syntaxe, je suis le pro. Mais lorsqu'il s'agit d'un type roux en train de fumer au dessus d'une tombe, et que je cherche à retrouver mon chemin vers Keimoo, ça devient tout de suite un peu plus gênant. Surtout si le type en question s'appelle Sora Kumori.
◈ Raconter en silence.
Il y a des gens beaux. Narcisse en fait partie. Une rencontre lunaire, dans les jardins de Keimoo, à la limite du rêve et de la réalité.
◈ Histoires de classe.
Ou, comment tuer un poulet en trois leçons, par Zakuro Fea, avec la participation active de Alix.
◈ Another lonely day.
Les filles qui restent seules dans un coin se remarquent toujours. Elle en fait partie, et j'ai décidé de la dessiner. Vanité un peu surfaite, mais jolis yeux.
◈ I will never forget.
Se prendre pour un héros, quand tu en as la capacité physique, ça aide particulièrement à chasser les méchants garçons. Mais quand la victime en question refuse ensuite d'être ouverte, tu ne sais simplement plus comment réagir. Alors... Hisoka, tu vas me servir de support à livre, en attendant !
◈ Un chat et des poissons rouges.
J'adore le Japon, le printemps, et les festivités qui l'accompagnent. C'est toujours un bon moyen de se faire de nouvelles rencontres. Même si celle-ci se déroule autour d'un bassin à poissons rouges.
◈ L'âme de la lame.
La passion du bushido est quelque chose que je n'explique pas, mais que je vis. Shun le sait, et j'ai bien décidé d'en découdre avec lui. Claquements de shinai et rires des bushi, à suivre ?
◈ Maman les p'tits bateaux...
Hell est rousse, Hell est adorable, mais Hell est particulièrement étrange. Elle est bien la première fille que je rencontre qui réussi à finir en culotte devant moi. Mais elle porte des Doc Martens, alors je l'aime.
◈ Névroses.
Un cadeau illusoire, perdu entre mes mains, qu'on m'a confié, et que je devais aller rendre à Yui Valentine. Un homme blanc, si pâle, qu'il m'a plut d'essayer de peindre. Une rencontre fascinante, en soi.
◈ Le jour où le monsieur embrassa son skate.
Senta est mon camarade de classe, et par conséquent, on fait souvent nos devoirs ensemble. Mais qu'il me fasse poireauter sous la pluie, avec un devoir quasi trempé me fait parfois le détester. Surtout que je me suis fait piquer mon sac par des sales gosses! Mon sac avec un bokken dedans! Je me suis lancé à leur poursuite, et voulant jouer à Jackie Chan, ai piqué, au passage, le skate d'un type, pour rattraper ces gamins. Je comptais lui rendre, bien évidemment, mais le type en question, Schaöne, l'a très mal pris et s'est mis à me poursuivre à son tour. Une fameuse course poursuite dans la ville de Keimoo!
◈ Accompagnement d'un furet du bois joli.
"Zakuro, dites à votre professeur que vous êtes chargé d'accompagner une élève, puisque vous êtes membre du Comité!" La miss étant nouvelle, elle a eu le réflexe idiot de se perdre, et moi, étourdi, me suis lancé à sa poursuite, au travers des dédales de Keimoo. Une jolie rencontre, teintée de violet.
◈ Why the hell it means so much to me ?
Je ne dirais pas dépressif. J'envisagerais plutôt "bizarre", "effrayant", "cocasse". Wunjo est le genre de personne qui fait rire, même si c'est en dépit de son malheur ou de sa canette. Mais j'en fais la promesse! On va la retrouver, son aimée! Attaché en laisse ou pas!
◈ I cling to.
Chess. Et trop, trop de chose. Une destruction, une reconstruction. Toi, moi, tes yeux, dans un lit. Et derrière une porte close, quand cette journée se termine. Mais ça ne se finit pas, non. Jamais, jamais. Cela commence.
◈ Trop petit.
Avez vous déjà rencontré un abricot en train de s'habiller avec un pull violet féminin ? Moi oui.
◈ Yukionna et Samouraï. Légendes d'une nuit.
Dans la nuit, les lumières du gymnase s'allument sur des rencontres teintées de bleu, et accompagnées par le bruit des sabres.
Deux ans se sont écoulés. Il y a les souvenirs, il y a les actions. Il y a les trams et il y a les feuilles qui volent. Il y a ses yeux verts et son odeur de cigarette.
◈ Les nuages ne sont pas blancs.
La nuit, ses montagnes, et ses explorateurs. Hell est rousse, la nuit est multicolore, et les singes tombent du ciel.
◈ Les plumes de Billy Eliott.
Je ne danserai pas.
◈ HOW DO YOU WEAR YOUR CLOTHES ?
Chess ensorcelle le réfectoire. Littéralement. Il joue, les peaux se dénudent, et les seaux se renversent. Et au final, c'est dégueulasse. Mais monstrueusement drôle.
◈ Une pomme, un livre.
La tragicomédie de Shakespeare et de Racine, qui tombent ensemble, pour un déséquilibre studieux. Moi, je souris.
◈ Pré-Chinoiseries.
Convocation avec Ryoji. UC'.
◈ Chinoiseries.
Un bâtonnet de dango entre les doigts, je marche au travers de la foule, mes yeux cherchant son regard multicolore. Ce sont des prunelles jaunes que je croise avant qu'il ne monte sur l'estrade pour récupérer sa mention.
◈ Je te plante dans les yeux les aiguilles de l'amour.
2013-2014. Des couleurs dans le ciel ▬ Glissements de terrain. ▬
◈ To the Edge of Everything.
UC'
◈Dessins égarés
Quelques temps de plus, quelques heures de plus, quelques secondes, quelques paroles. C'est important, et je ne tolérerai pas que nous ne soyons plus amis.
◈ Chinoiseries partie III
Le monde s'écroule, et mes genoux me lâchent, parce que devant la démesure d'un bâtiment tout entier qui s'est écrasé sur lui, je ne parviens pas à rester debout. Il faut pourtant marcher, et sauver Kaori et Bianca. Et surtout, surtout, ne pas penser à lui. Surtout pas. Pas pour le moment. Sinon je vais mourir.
◈ Chinoiseries partie IV
Tu es mon immatérialité, Chess. Je t'interdis d'être atteint, d'être touché. Je l'interdis, tu es au dessus de tout cela.
◈ Kyrie
La St-Valentin qui s'est trompé de jour, ou un jeu ironique qui s'écrit avec des mots au goût de chocolat ? Rencontre métaphysique avec Yui Valentine, penché au dessus d'un passé qui cherche à s'effacer, et que je voudrais voir modulé par ses doigts. Dans l'échange de nos paroles tombales, et de mes sourires qui défient les règles de notre première et ancienne rencontre, Yui Valentine se dévoile plus que jamais être ce gris qu'il me plaît à contempler.
◈ Les incidents... c'est surement pas ce qui manque, dans cette laverie.
Zakuro n'est peut-être pas la proie idéale pour les filles en soutien-gorge. Au milieu des roulements de tambours, des bruits parasites d'une radio allumée sur un combat de sumo, Chess hurle et lance des feuilles d'érables mathématiques, et Hell danse en robe de sac poubelle.
◈ Pas de deux.
" « Je vais chercher un ami qui s'est enfermé dans une boite à gay. », « Si c'est Sentasaurus, enfonce lui un macaron dans la gorge et abandonne-le là. ». Je n'ai pas dit à Chess qu'il ne s'agissait pas de Senta, mais de Kojiro, qui par le fil d'un pari idiot entre Fenrir le strip teaser et moi, devient le sujet d'une petite stratégie portée sur l'alcool et le sourire.
◈ La mer, les crustacés...& un cours particulier !
RP abandonné
.
◈ 1+1 = ... trop.
[rp en cours] Retrouver ce rival aux cheveux roses, cet allié pernicieux d'une nuit de suicide d'un autre, pour l'aborder, les mains colorées.
◈ La quête mortifère des papillons rose fluo.
[rp en cours] Zakuro va bientôt emménager. Dans son besoin de vérifier certains derniers détails de son appartement, il a besoin de récupérer ses clefs qu'il pense être chez Chess. Mais "Chez Chess" signifie "Chez Yume Namida". Il se décide d'aller voir la demoiselle, dans l'espoir d'y retrouver son trousseau de clé. A savoir que frapper contre une porte peut se révéler au final nettement plus dangereux qu'il n'y parait, puisqu'il se fait accueillir par un poêle lancé dans les testicules.
◈ Foutoir.
[rp en cours] Zakuro, Lawrence, Ethel, Kohaku, Kojiro, Senta, Midori, Ijiwaru, Masae, Dji-Hong, Poussin, Ragnarök. Zack, Swan et Hell emménagent au 3, rue de la Chance, appartement 11 du quartier Hiryuu.
2014. Le vent qui pleure. ▬ Intempéries violentes. ▬
◈ Walk the Moon
Marcher sur la lune, la tête à l'envers, les yeux refermés sur l'image de ces étoiles qui volent en éclat lorsque la voiture vient percuter la moto. Il s'agit d'un envol, d'un mouvement incontrôlé, qui me jette au sol pour m'écraser et m'y abandonner. Mais je ne veux pas mourir. Je ne veux pas être tué par le temps, et dans le silence d'un monde qui hurle trop et duquel je me suis arraché, je cherche la main qui aidera à me relever. Ce sont les phalanges de Shiki Katsuragi que je rencontre. Il est amusant, triste et ironique de constater que ce garçon qui me ressemblait autrefois me fait remarquer à quel point nos voies se sont écartées l'une de l'autre. Car dans sa féodalité honorifique, je n'y retrouve pas ce que je suis ; uniquement ce que j'ai été. Je crois que tout ce qui me différencie de lui, c'est simplement le choix d'avoir voulu être, d'avoir voulu ne plus être, d'être détruit et reconstruit. C'est d'avoir refermé mes doigts sur le poignet maigre, et de lui avoir demandé avec mon âme d'exister pour moi. Shiki Katsuragi, il est encore ce lien à ce passé sur lequel je ne marche plus exactement de la même façon. C'est un bras en moins, c'est une blessure dans la tête, mais c'est surtout l'appréhension de la vie.
◈Pandemonium
[rp en cours]
Quelques heures à peine, Kohaku, et je te cherche dans l'absence, je te trouve dans ta violence. Toi et moi, pour un conflit qui commence sur un jeté de café. Est-ce que tu ne m'oublieras jamais, même si tous mes os venaient à être détruits ? Je peux t'en faire la promesse, si tu le désire. Je peux t'assurer que je trouverais constamment la force de faire avancer mon corps et de lever mes yeux et mon esprit pour te contempler, te regarder, à jamais, jusqu'à ce que tu t'élèves. Je ne veux pas que tu crois que je puisse ne plus bouger. Je ne veux pas que tu penses que je puisse ne plus exister, car tu es l'écho même de chacune des respirations qui vient filtrer entre mes lèvres. Kohaku, Joshua, fais moi une promesse. Ne pleure jamais pour moi ; je tiens trop à toi pour cela.
◈ The Little Prince
Et c'est la crise de l'univers qui part en vrille. Calme et tempête, violence et incompréhension, je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas. Et ce sms qui me revient en mémoire, cet anniversaire que j'ai à fêter, ce bras qui veut me faire prisonnier. Mais, non. Jamais, ô grand jamais, je ne serais pas ce que je ne suis pas. Alors allons gaiement à l'anniversaire de lun et de ses yeux verts, constatons avec affolement que ses cheveux si lumineux, que j'aime à regarder, se sont transformés, colorés par ce rouge qui est encore trop vif dans mon esprit. Je n'aime pas ta teinture, lun. Elle te fait paraître beaucoup moins lumineux. Tu gardes l'odeur de ton tabac, par contre. Et je suis content que tu m'aie invité à ton anniversaire, parce qu'avec la tension de l'instant, j'ai ce besoin de décompresser et de ne pas vouloir pleurer sur son absence.
◈Pixellisation du Roi.
[rp en cours]
C'es tune sorte de songe, un drôle de jeu qui me fait ne pas me concentrer sur Kohaku. Peut-être qu'il n'est pas là, où que je ne suis plus ici. Je me retrouve simplement dans ce parc, dans lequel il faut jouer à ce jeu trop dangereux des objets qui tombent sur les androgynes lunaires.
◈Jalousie est un mot que j'écris en rouge
Il y a ce cours d'Histoire qui devient le cadre éloigné d'une amitié qui s'oublie. Je regarde Kojiro, et comme l'on jette une bouée à un homme qui se noie, je lui demande, une dernière fois. Il ne me répondra pas, parce que Kojiro conserve ses secrets; il ne me répondra pas, et je ne serai pas en mesure de me maîtriser. Peut-être bien que je n'ai d'ailleurs aucune envie d'agir autrement, car lorsque je le frappe, c'est avec un soulagement au goût de sang.
◈ My Hell, in high heels.
Du feu, des flammes qui n'existent pas, des cris, des bousculades. Ton sourire ou tes pleurs. Ce prénom. Ce fantôme.
◈Flottements hasardeux des mots en suspension
Le quatorze février, c'est ce jour durant lequel les commerçants et les médias aimeraient que les amoureux ne s'aiment qu'une fois, et Senta, pris au jeu, se questionne sur mon programme et celui de Chess. Mais je ne veux pas de définition, je ne veux pas poser de mots, de règles, ou de limites. LE quatorze février, c'est huit jours après son anniversaire, et c'est une journée durant laquelle je peux regarder les gens s'échanger des baisers. J'ai envie, il me semble, d'embrasser la totalité complète du ciel. Ouvrir mes bras, pour ne jamais les refermer. Alors, si je ne peux pas, je lancerai sur le monde des avions de mots, des mots d'amour, et je contemplerais les gens qui ramasseront et qui liront. Parce que je crois qu'aujourd'hui est une belle journée. Alors, pourquoi ne pas en profiter ?
◈Les écailles du requin.
[rp en cours]
La pluie tombe du ciel, et dans les métaphores accrochées à ma peau que me glisse Chess, la pluie tombe du Ciel. Je pleure. Je pleure cet ami que je ne vois pas se relever, je pleure cet ami que je ne peux pas approcher, et qui s'est détourné de cette voie lumineuse, qui a teinté ses cheveux de rouge. Alors je m'enfonce dans le bleu de l'eau, je m'enfonce bien profond, là où l'oxygène ne devrait pas pouvoir exister, et j'ouvre mes yeux, soulève haut mes paupières pour nourrir mon regard de la nage silencieuse du requin.
◈Frémissements nerveux.
[rp en cours] Chaque coup, chaque mouvements ; le tout pour une respiration, un remplacement. Je veux me voir bouger plus que je ne l'étais avant même l'écrasement, je veux me voir bouger mieux que je ne le pouvais avant l'accident. Résonances des bruits de combats dans la salle vide de musculation, et sous l'oeil impétueux de la française carmine, je répète et frappe, encore et encore, parce que le plâtre n'est plus sur mon corps. Je bouge, je hurle, je danse, la liberté du corps, elle est pour ceux qui veulent être les plus forts. A dépasser les obstacles, on dépasse les portes, pour les franchir, et loin de la métaphore, le jeune Emordnys s'avance. Tes yeux verts et tes cheveux lumineux me font penser à quelqu'un, petit, tu sais ? Mais plus que cela, il me semble que tu me plais bien.
◈Visite improvisée.
Les termes s'imposent : car nous ne nous connaissons pas. Pourtant, c'est une sorte d'appréciation immédiate qui s'instaure, au delà des murs et des mots que je lui présente. Avec ses cheveux courts et ses vêtements masculins, elle n'est assurément pas le genre de professeur dont un Japon traditionaliste peut rêver. Néanmoins, elle est là.
2014. Le vent se tait. ▬ Silence sur les plaines. ▬
◈ From the inside
Elle est un peu comme un chaton. Une enfant effrayée qui devient effrayante. Kohaku m'a parlé d'elle : c'est la sorcière aux rats.
◈Croquemitaine du silence
Dites, Valentine. Au détour d'un carrefour, vous et moi, si nous discutions, où est-ce que cela nous mènera ?
◈ Les mots rebelles
Des menottes. Rrrrrh. <3
◈ Le pourpre des Torii enneigés
Pv Judikaël.
Il s'agit d'un souvenir, d'un souvenir que j'ai conservé jusque là, allant jusqu'à l'oublier. Mais un quinze novembre, dans la nuit d'un temple shintoïste, les démons remontent à la surface, et attaquent. Je tue. Encore une fois. Les lames noires et les bougies se mélangent devant mes yeux, et Kohaku n'est pas là.
◈ Unexpected Christmas.
Je déteste qu'on s'en prenne aux plus faibles, et je déteste qu'il y ait des plus faibles. Hisaka a chancelé, et les yeux de Senta s'ouvrent sur un air choqué. C'est la vie, elle est violente. Mais c'est bientôt Noël.
2015. Le soleil qui flamboie. ▬ L'essentiel d'une horloge retournée. ▬
◈ Morceaux d'écosphère
Anniversaire de Yui. Des poissons. Des bonhommes de neige promis et présents. Le froid.
◈Le vrai tombeau des morts, c'est le cœur des vivants.
UC'
◈ Oh non ... pas lui ...
Le jour gèle, mais son coeur flamboie. Je l'avais presque oublié, mais elle me renvoie à la tête ces mots qui m'irritent et qui me font me redresser contre elle. Je ne suis plus un enfant, mais je reste ce connard susceptible qui peut te cracher ta propre colère sur le front. Bonjour à mes nerfs.
◈ Troquer son coeur contre une trique. [suite 2013]
UC'UC'UC'UC' TSU
◈ Yellow beat
Suivre Akio, se la jouer presque stalker, vouloir lui offrir des pâtisseries. C'est presque tout.
◈ Schrödinger Box
Prenez un chat, ajoutez de la quantique, mélangez avec du sang, soupoudrez d'intemporalité. Obtenez le regard d'Ivory et dévorez mes questions.
2015. Eclipse ▬ « Il suppose que tout va bien aussi longtemps que Zakuro sourit. » ▬
▬ Non. ▬
◈ Vanité de sucre.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], ou l'inégalable manque de pratice d'un exercice à trois. Nous baisons ensemble, et nous sommes maladroits. [Terminé le 15/06/18]
◈ Déménagement Kohaku Kojiro
Le Chat et l'Hirondelle qui valsent ensemble.
◈ Wake Up.
Il s'agit d'un jeu. À celui qui m'avait défié dans sa notion de remplacement, je retrouve, confronté entre deux ruelles, les notions d'une humanité qui se dévore. [En cours]
◈ Le corps et ses intentions
Des fragments de souvenirs que j'achève sur le fil de la lame, pour remplacer des couleurs quotidienne par un rose trop voyant, déniché dans le caniveau. [en cours]
◈ L'entrée
UC
◈ Effleure tes hanches et babille tes idylles
Cammy et ses matérialités de couleurs pétillent dans la réalité. [en cours]
◈ Les nuages colorés
Des yeux trop brillants qui me font effleurer des tasses de thé. [en cours]
◈ THE HAPPY PRINCE
Comme un chien couché qui attend le retour de son maître.
Un enlèvement avorté. Enfoncer des aiguilles dans la jugulaire des petites filles, les faire se réveiller autour d'un diner aux chandelles, quelque part dans les égouts. Ce n'est pas tout à fait ça.
Zakuro est épouvantablement fatigué, Kojiro déterminé à le voir travailler. Ils rentrent à l'appartement, chez Zakuro et Lawrence, et tombe sur une britannique trop rousse. Une chance, n'est-ce pas, que William ne soit pas là. Zakuro considère les ombres, les habitudes trop répétées d'Hell, et Kojiro, poliment, salue celle-ci.
◈ BREAKING NEWS. Ta tête qui vole en éclat.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] -> septembre 2017. Kohaku, Lawrence.
De la farine vole et imbibe mes poumons. Zakuro s'étrangle.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] -> avant octobre 2018 [wagon] Juin / juillet (?) Zakuro a cette considération toute nouvelle de ce qu'il est. Lawrence a clairement annoncé qu'il était lui aussi une bombe à retardement, et l'onsen qui s'est passé est une rencontre avec Tomodo Izumi, qui vient tacher le tableau de leur quotidien. Subaru, Kojiro et Joshua sont des prénoms qui flottent, pendant que le ronin embrouillé se penche au dessus d'un petit humain. Il lui a promis, pour la journée, d'obéir à ses ordres. Des idées pyromanes.
◈ Caresse-toi.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] -> juillet 2018 Masturbation dans les vestiaires.
◈ Somehow I lost my way
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Elle court, et elle perd ses clefs. Je la regarde.
◈ As Nothing breathes me in.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] -> Juillet, août 2018. ~ Zakuro et Joshua évoluent. Ils grandissent, fleurissent, et il n'y a plus, peut-être plus, d'idée de hiérarchie. Zakuro a l'avantage, c'est une agréable considération, de ne plus vouloir marcher derrière Joshua. Il s'agit désormais pour lui de prendre la main de celui-ci, et de rester à ses côtés. Des groupes de midi, où ils sont tous, ces individus liés entre eux, assis sur l'herbe, en attendant que les cours recommencent, à parler entre eux, à vivre autour de Joshua et Zakuro. Des interactions humaines, des créatures qui mangent les scones de Lawrence. Des éclats de vie.
A considérer. -> Le wagon. [octobre 2018.]
->Mort de Steiphen H. Anita et ses jambes abimées, la chambre de William. Takihide debout, qui attend près de la tombe. "Mama." Du silence en glitter doré.
-> Le Jeu. Chess et Waspie. Le désespoir suicidaire d'un amour tragique. -> Le rave. Je ne sais pas. "You're shitty at taking care of them." Les mots de Lawrence sont plus froids que l'eau qu'il me balance dessus. Iji qui m'engueule. Je suis assis sur un trottoir, et j'appréhende. Je veux m'améliorer ?