Dimitri Anzu [ Terminée ]

Dimitri ( Abricot ) Anzu

.Kuroko Tetsuya - Kuroko no Basket

• Sexe: [ ♂ ] • Âge & Date de naissance : 06/05/1994 • Origine(s) : Québécoise • Orientation sexuelle : Bisexuel ou la recherche de soi.

• Langue(s) : Il est bilingue. Il parle couramment le japonais et utilise le français avec sa mère. • Année scolaire : 3ème • Groupe : Intellos • Club(s) : Club de Natation et Club de littérature

>>> Aspect physique

.

• Physionomie :
Dimitri a une chevelure semi-longue dégradée caramel qui tourne au blond l’été lorsqu’il prend trop de soleil. Il a une peau pâle qui ne bronze pas. Elle se parsème plutôt de plaques rougeâtres et douloureuses lorsqu’il ya exposition à l’astre. Ses yeux son gris et changent en fonction de la lumière se reflètant dans ceux-ci. Ils complètent bien le joli sourire de l’abricot. Sourire composé de dents blanches parfaitement alignées grâce aux merveilles de l’orthodontie. Son nez, ses lèvres et la plus part des composantes de son visage, eux, ont des traits  délicats. L’ensemble de son corps l’est tout autant sans être fragile. Grâce à ses cours de natation et de Water-polo, il est un adolescent plus en forme que la moyenne. On ne pourrait pas dire qu’il est musclé, mais relativement svelte.  Par contre, sa démarche coincée amplifie cette impression de faiblesse que sa physionomie dégage. Ses jambes épilées par besoin d’aérodynamie, et par préférence refoulée,  semblent immenses comparé à son tronc plus petit. Il en est complexé et essaye de se renforcir en s’obligeant à porter des shorts durant ses cours d’éducation physique. Il mesure 1mètre 62 et 1mètre 60 en descendant lorsqu’il se recourbe gêné par une situation quelconque. Bref, c’est un garçon au charme naturel qui gagnerait  à prendre de la confiance. L’une de ses tentatives fut de se percer la partie haute du pavillon de son oreille droite. Ses amis lui avaient conseillé ce geste plus ou moins stupide pour fâcher ses parents. Malgré les disputes qui en ont suivi, il l’a gardé. On ne voit pas très bien le diamant, car ses cheveux tombent par-dessus, mais le moindre reflet argenté suffit à remettre la discussion sur le tapis. Avant de partir pour le Japon, il s’est fait faire un faux tatouage pour embêter ses parents. Il s’agit d’une fleur de lys noire  suivi d’un « Je me souviens » en lettres attachées.  Il compte parfois se le faire tatouer pour de vrai, au même endroit, dans le creux de ses hanches dont les os sont proéminents, ce qui aurait encore l’effet d’une bombe pour ses parents.

• Vêtements :
Anzu n’a pas de style vestimentaire précis. Il opte souvent pour une traditionnelle paire de jeans moulante noire le mardi, le mercredi et le jeudi. Il les porte avec des chandails au col en V ou des chemises. La fin de semaine, les vendredis et fréquemment les lundis, il vêt des jogging et de chandails décontractés dû à son manque de motivation et de sommeil. Cela lui va aussi bien que ses ensembles plus propres et lui donne un air plus détendu qui fait ressortir son côté sportif. À la maison, il est habitué de porter des sous-vêtements aux couleurs horriblement ennuyantes, mais lors de son inscription à l’Académie Keimoo, il est allé s’acheter une grande variété de sous-vêtements aux couleurs attrayantes et visibles. De plus, il a aussi troqué ses pyjamas deux pièces agencées pour des pantalons et t-shirts non agencés pour ne pas ressembler à un enfant. Dans son ‘presque relooking ’, il s’est procuré des bijoux pour son oreille et quelques colliers et bracelets qu’il ne sait toujours pas porter avec assurance.

>>> Aspect psychologique

.

• Psychologie :
Dimitri est un garçon plutôt timide lorsqu’il se retrouve dans des situations inconnues. Il a toujours été gêné par les questions sur sa famille et par le fait qu’elle soit si différente de celle de ses camarades de classe. Le fait qu’il soit réservé le rend moins social aux yeux des autres. Pourtant, il est très ouvert et parle beaucoup en présence de gens à qui il s’est attaché. Il est un jeune homme affectueux autant  avec ses amis qu’avec ses animaux. Il a deux dégus qu’il adore. Il est très triste à l’idée de ne pouvoir les amener avec lui dans le dortoir. Il a souvent la tête dans les nuages à penser à son futur emploi. Il veut devenir écrivain, malgré tout les efforts qu’il doit faire pour y parvenir. Il est très persévérant et perfectionniste lorsqu’il s’agit des études et de la natation. Il a beau ne pas être le meilleur, il donne le maximum pour augmenter ses performances et faire la fierté de ses parents. Même s’il n’a pas honte de sa dyslexie, il bien conscience que ses parents le sous-estiment et il veut leur prouver qu’il n’est pas un imbécile. Il sera toujours prêt à se donner à fond pour aider les autres. Il a un grand cœur et même s’il n’est pas naïf, il se laisse parfois mener consciemment en bateau pour éviter les ennuis. Il a de la difficulté à dire « non » aux autres par manque de confiance ou par bienveillance. L’abricot apprend à se découvrir. Comme tous les jeunes adultes, il se pose beaucoup de questions sur le sens de la vie. Il s’en pose plus précisément sur la justice de ce monde. Il trouve incompréhensibles les gens comme son beau père dont les idées sont trop à droite. Jeune socialiste et souverainiste, Dimitri est souvent en colère contre les idées régressives de son gouvernement. Il était heureux lors de son 18e anniversaire puisqu’il pourrait enfin participer à la vie politique, malheureusement pour lui ses parents l’amenèrent avec eux au Japon. Il se console dans avec sa curiosité. Avoir la chance de découvrir un nouveau pays à cet âge n’est pas donner à tous.

• Particularités :
Lorsqu’il avait huit ans, sa mère, Margueritte, lui a fait rencontrer un professionnel qui a découvert son problème de dyslexie. Voulant à tout prix devenir écrivain, Dimitri écrit beaucoup d’histoire et lit beaucoup de livres dans l’espoir de vaincre sa maladie. Il a aussi un carnet sur lui constament. Il note tout ce qu'il trouve intéressant et ses idées. Il aimerait devenir assez connu pour partager sa langue qu’il aime tant et montrer au monde entier que son Québec abrite des gens fiers et persévérants qui auront un jour la chance de transformer ce merveilleux louveteau* en un loup puissant, en un pays.

Lorsqu’il fit un exposé oral à l’école, il expliqua la signification de son nom de famille; abricot. Une demoiselle de sa classe qui le trouvait mignon décida de lui en apporter à l’école. Ce n’était pas la bonne saison, mais elle voulait vraiment l’impressionner. Ah les jeunes filles de douze ans… Après avoir mangé le fruit, Dimitri eut de grosses plaques rouges sur les joues et le ventre. Comme quoi, le fruit le défendu n’était peut-être pas une pomme…


*L’Italie ressemble à une botte, eh bien la province de Québec ressemble à un loup

>>> Biographie

.

• Histoire :

Marguerite Lefèvre avait vécu toute sa vie en banlieue de Montréal dans la ville de Laval. Elle avait fait ses études de commerce au cégep Saint-Laurent. Durant sa deuxième année, elle dût annuler sa session, car elle était tombée en ceinte d’un homme de son programme avec qui elle avait fait la fête. Heureusement, son colocataire Asaki Anzu , qui en était follement amoureux, l’aida durant  sa grossesse et s’assura qu’elle ne manque de rien. Ils étaient amis depuis leur treize ans lorsque Asaki avait déménagé au Québec avec sa mère divorcé de son père. C’est avec l’aide de la jeune fille qu’il apprit la langue et les coutumes. Lors des neuf mois à attendre impatiemment le jeune Dimitri, leur amitié se transforma en amour. Ils élevèrent l’enfant dans une petite maison que la mère d’Asaki  paya avec l’argent du divorce de son riche mariage. Il avait  sa fierté et avait attendu d’être à sec avant de, finalement, demander de l’aide.

Dimitri fut donc élevé par son père non biologique et apprit le japonais. Cette particularité le rendit populaire un certain temps auprès des fans de manga du secondaire. Il n’éprouvait pas d’attirance pour la culture manga que ce soit les jeux vidéos, les animes ou les livres. Cette non-attirance fut la brèche qui le sépara définitivement du monde des Otakus. Bien sûr, il s’était fait d’autres amis un peu moins ouverts et rebelles qui le conseillaient sur comment énerver ses parents trop stricts.  En excluant cette partie étrange de sa vie, son bilinguisme n’avait pas vraiment influencé son existence. Il était un québécois de souche qui mangeait de la poutine, qui sacrait comme tout le monde et qui avait presque la fleur de lysé  tatoué sur le cœur. Enfin, il était assez poli et essayait de ne pas trop blasphémer bien qu’il était difficile d’y résister lorsqu’il écoutait les nouvelles concernant l’abolition du registre des armes, la grève étudiante, etc.  

Le seul réel problème du jeune adulte avait été et serait probablement toujours sa dyslexie. Il avait dû s’adapter dès la découverte. Il allait à des écoles spécialisées où il pouvait avoir accès à un dictionnaire électronique ou des ordinateurs adaptés en tout temps. Dimitri avait toujours mis énormément d’effort et de temps dans ses études pour camoufler sa difficulté en français. Il vérifiait toujours ses travaux trois fois lorsqu’il les avait terminés. Depuis son enfance, il rêvait de devenir un écrivain. Il était passionné par les histoires que lui racontaient ses parents. Il voulait lui aussi écrire des contes. Il voulait aussi écrire des romans et toutes sortes de nouvelles.

Il était en deuxième session au cégep en Art et lettre profil lettre lorsque ses parents lui annoncèrent qu’il devrait annuler ses cours pour se rendre au Japon. Son grand-père, qu’il n’avait jamais vu  de sa vie, avait un cancer. Il était en phase terminale. Le pauvre homme avait beaucoup d’argent et aurait pu faire le voyage sans problème, mais il avait trop d’orgueil. Lorsque son fils avait pris la décision de partir au Canada avec sa mère lors du divorce, il avait coupé les ponts. Il avait souffert longtemps, mais il était  trop peiné par le choix d’Asaki. Lors de la confirmation du stade avancé de sa maladie, il avait laissé sa fierté de côté et avait  payé quelqu’un pour contacter son fils. Il voulait le revoir une dernière fois. Il apprit qu’il s’était marié cinq ans après que sa petite amie Marguerite eut accouché de l’enfant d’un autre. Il apprit aussi qu’Asaki avait été engagé dans une firme de recherche pharmaceutique tandis que sa bien-aimée donnait des cours privés de rattrapage scolaire. Il était heureux de savoir que son garçon était devenu un homme digne de l’éducation rigoureuse qu’il lui avait donnée. Il pria son fils de venir le voir au Japon avec son petit garçon qu’il voulait absolument rencontrer. Il lui promit de lui léger tout son argent et qu’il pourrait servir à aider le petit Dimitri à rattraper son retard dans l’une des meilleures écoles du pays.

C’est ainsi qu’après des heures de vols, des films grands publics et des repas enveloppés à l’unité, que la famille Anzu arriva à destination. Elle s’aménagea dans l’immense maison du grand-père.


• Famille :
Asaki Anzu est le père non biologique de Dimitri. Il est marié depuis 1999 à Marguerite Lefèvre. Il est originaire du Japon, mais est parti vivre au Canada, Québec, lors du divorce de ses parents à l’âge de treize ans. Il a l’apparence d’un Japonais typique. Son caractère est parfois désapprouvé par son fils. Il est froid, distant et trop conservateur aux yeux de Dimitri qui est plus frivole.

Marguerite Lefèvre est la mère biologique de Dimitri. Elle est maternelle et plus encadrante que son mari. Elle partage aussi les idées conservatrices et capitalistes de son époux. Ce qui exaspère le jeune abricot. Il l’a trouve trop soumise et ne trouve pas qu’elle est de réelles opinions. Lors de discussions enflammées, elle reformule  toujours les dire de Monsieur Anzu. Dimitri est déçu, lui qui aime l’histoire de la libération de la femme. Il rêve du jour ou elle montera sur la table de la salle à manger en hurlant et brûlant son soutien-gorge. Enfin, de manière figurée…

Katsuro Anzu est père d’Asaki. Il est donc aussi le grand-père du jeune Dimitri. Il a vécu au Japon toute sa vie. Il s’est marié et a eu un garçon après avoir gagné une fortune grâce à un logiciel informatique. Bien que sa femme soit parti avec une partie de son argent, il n’en reste pas moins riche. Il n’a pas revu sa femme et son garçon depuis leur déménagement au Canada. C’est seulement en 2012, trente-six années plus tard, qu’il reprit contact avec Asaki. Suite à l’annonce de sa future mort, du a son cancer incurable, il prit la décision de l’inviter à vivre avec lui durant ses derniers mois de vie et de lui léger tous ses biens. Cet homme autrefois orgueilleux, rigide et sévère montre maintenant plus de compassion.  

Derrière l'écran

• Pseudo : Sauterelle • Âge : 17 ans • Serez vous actif ? Convainquez-moi :) ! • Comment avez-vous connu le forum ? Kohaku <3 ( qui me force à mettre le cœur… ) • Commentaires, remarques, critiques? : Vos cliques sont sectaires O_O ! • Souhaitez-vous un parrain social ? Si oui, avez-vous une préférence particulière ?  Oui, mais je n’ai pas de préférence. • Avez-vous quelque chose à ajouter ?

Dernière édition par Dimitri Anzu le Ven 16 Aoû 2013 - 1:00, édité 4 fois