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 Confrontation avec le médecin [PV]

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MessageSujet: Confrontation avec le médecin [PV]   Confrontation avec le médecin [PV] EmptyLun 17 Nov 2008 - 16:07

Tout allait bien depuis qu'elle était arrivée à Keimoo. Libérée du joug de ses parents et du éloignée du traumatisme qu'elle avait subi assez récemment, Mei-Lin se sentait beaucoup mieux. L'académie était plutôt agréable à vivre, et les élèves étaient en majorité féminins ou gays. Non pas qu'elle appréciât plus que les homos que les hétéros, mais elle avait moins de raisons d'avoir peur d'eux. Malgré cela, elle ne pouvait pleinement leur faire confiance. Etre gay n'empêchait pas qu'on pût avoir une attirance même passagère pour une fille.

Soit, la jeune fille évitait les tergiversations. Elle se sentait bien, c'était l'essentiel. Mais elle n'était à l'abri de rien, preuve en fut ce jour-même, tandis qu'elle se trouvait en cours. Ceux-ci ne lui posaient pas de problème pour le moment. Toujours excellente en japonais et en arts, elle n'était pas en reste dans les langues, la musique et la cuisine. Elle avait plus de mal en sciences et en histoire, mais elle s'en sortait tout de même. Bien sûr, elle était dispensée de sport.

Aujourd'hui, elle était installée en cours de mathématiques, à côté de sa camarade de chambre Ryoko Kenji. Elle avait un peu de mal à suivre le cours, car il portait sur les statistiques, et elle en avait une sainte horreur. Mais, surtout, elle remarquait les regards insistants d'un garçon assis non loin d'elle. Elle évitait soigneusement de se placer près d'un représentant de la gent masculine, évidemment. Mais elle ne pouvait éviter d'être dans la même pièce. Car comme dans la plupart des établissement, les cours étaient mixtes. Mais pourquoi donc n'avait-elle pas choisi une école de filles ? C'eût été l'idéal pour elle. En réalité, elle y avait songé, mais il n'y avait plus de places disponibles car elle s'y était prise à la dernière minute. Ainsi, elle se retrouvait dans une académie mixte, à suivre des cours mixtes. Heureusement que les chambres, elles, ne l'étaient pas. Mais elle doutait qu'il existât de tels établissement.

Revenons-en au cours de mathématiques, et au trouble de Mei-Lin. Celle-ci n'avait pas beaucoup mangé ce matin, ce qui n'était pas sérieux vu son état. Ajoutés à ça le cours pompant et les regards du jeune homme, elle commençait à devenir nerveuse et à pâlir. Mais ses camarades, concentrées sur leur cours, ne se rendirent compte de rien, d'autant qu'elle faisait tout pour le cacher. Tandis qu'elle essayait elle-même de ne regarder que le professeur, un bout de papier plié atterrit sur son bureau. Elle l'ouvrit de ses doigts fébriles, anxieuse. Sur le mot, une unique phrase : "Je voudrais te parler après les cours. Nakato."

Mei-Lin froissa prestement le message entre ses doigts et le lâcha immédiatement, comme si elle s'était brûlé avec. Nakato, n'était-ce pas celui qui la regardait depuis le début du cours ? Elle leva les yeux vers lui. Il lui sourit. En une seconde, énormément de choses passèrent par la tête de la jeune artiste. Devrait-il s'agir d'une déclaration ? A bien y réfléchir, le côté mystérieux et méprisant de la jeune fille devait forcément intriguer les garçons. Et si elle ne pouvait l'éviter à la sortie du cours ? Et s'il continuait à la harceler ? Tant de questions et de peurs qu'elle ne le supportât pas plus longtemps. Elle se leva dans le but de demander à sortir prendre l'air. Mais elle le fit trop brusquement, ce qui occasionna une subite chute de tension. Sa tête tourna et elle tomba dans les pommes.

Immédiatement, ce fut la panique en classe. Bien sûr, les professeurs et camarades de Mei-Lin avaient été informés de ses soucis de santés, mais jusqu'à présent elle n'avait pas encore créé de problème. C'était une première à laquelle ils ne s'attendaient pas. Le professeur prit les choses en main. Il savait qu'il était inutile d'appeler les pompiers, les parents de Mei-Lin avaient insisté là-dessus. Si les malaises de cette dernière étaient fréquents, ils n'étaient jamais très grave, il lui fallait juste du repos et pouvoir manger un peu. Il la saisit donc à bout de bras et la porta jusqu'à l'infirmerie. C'était la meilleure chose à faire. Heureusement pour celle qu'on appelait Polaris, elle était inconsciente, car elle n'aurait certainement pas supporté d'être prise dans les bras d'un homme. Mais ça, les professeurs ne le savaient pas.

Arrivé à l'infirmerie, le professeur de mathématiques déposa la frêle évanouie sur un lit et appela le docteur à qui il expliqua la situation. Docteur qui bien évidemment était au courant de la condition de la jeune fille, mais à qui il n'avait encore jamais eu à faire. Et pour cause, c'était la première fois qu'elle montrait vraiment des signes de faiblesse. Quand Mei-Lin se réveillerait, elle comprendrait qu'elle eût nettement mieux fait de ne pas aller en cours ce matin.

[HJ : Si ça t'arrange dans ton RP tu peux dire que Mei se réveille, comme elle sera dans les vaps elle n'aura pas trop de réactions ^^]
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MessageSujet: Re: Confrontation avec le médecin [PV]   Confrontation avec le médecin [PV] EmptyLun 17 Nov 2008 - 20:24

Le ciel est bleu, les oiseaux chantent… Et le réveil du doc aussi, bon en fait il ne fait pas encore vraiment jour, et il est bien trop tôt à son avis ! Mais ça c’est une réaction dite normale puisqu’elle revient tous les matins, écrasant d’une main pleine de dynamisme la bestiole bruyante, le rituel du matin se mit en place de lui-même. Et si on parle de rituel, c’est bien parce que Ryoji ressemble à un robot préprogrammé au réveil ! Levé, étirement, salle de bains, etc. On ne va pas faire la liste détaillée parce que ça ne présente pas un intérêt transcendantal. Tout ça pour en venir à l’essentiel ! Cette journée était comme toutes les autres avant elle, conclusion imparable et follement excitante !
Trêve d’ironie, le médecin se morfond dans son antre et tourne en rond dans la pièce qui constitue son bureau, une situation qui lui est parfaitement insupportable ! De fait, l’ennui pousse au vice, et en l’occurrence à la cigarette, ce qui n’est pas une occupation trépidante en elle-même, mais c’est toujours mieux que de creuser le lino à force de marcher dessus ! Il en venait même à souhaiter qu’un étudiant pousse la porte, quelle qu’en soit la raison, même un simulacre de maladie visant à esquiver une interro non révisée ! Pour dire qu’il frisait la désespération profonde (c’est un mot qui n’existe pas, mais il fallait l’inventer !).


*Mourir d’ennui, tu parles d’une expression, si on mourait se serait moins chiant …*

Quand soudain, telle une intervention divine répondant à ses suppliques, oui ou plus précisément un coup du sort survenant au bon moment, la porte s’ouvrit à toute volée. Et là rien de bien théâtral, on ne va pas faire d’envolée lyrique en permanence non plus, juste un professeur paniqué avec une jeune demoiselle évanouie dans les bras. Quoiqu’en fait l’image avait bien un petit côté cinématographique, en y réfléchissant bien. Mais il se trouve que le moment n’était pas au réflexion approfondi, il fallait écouter le discours haché du prof qui avait manifestement fait aussi vite que possible et qui en avait perdu son souffle.

*Évanouie en cours, Kotori… kotori… Ah oui ça y est, je me disais, que ça ne m’était pas inconnu comme nom !*

Il jeta un regard curieux sur la silhouette maintenant allongée sur l’un des lits de l’infirmerie, voila un cas intéressant, bien plus qu’une simulation ! Il remercia le professeur, le rassurant vaguement, histoire qu’il disparaisse plus rapidement et le congédia d’un geste de la main. Il cherchait à faire remonter dans son cerveau ce qu’il avait lu dans son dossier, c’est l’avantage d’avoir un cerveau qui fonctionne comme un ordinateur. Si sa mémoire ne lui joue pas de tour, cette jeune fille était atteinte d’une maladie rare, pas de traitement, mais sa vie n’était pas en danger, du moins tant qu’elle évite les comportements à risque.

*Voyons, voyons, mademoiselle Kotori qu'est-ce qui vous amène à moi ?*

Il s’approcha du lit un air curieux sur le visage, d’une part parce qu’il n’avait jamais eu l’occasion de la rencontrer en chair et en os, et d’autre part parce qu’on ne croise pas des malades comme elle tous les jours. Elle était pâle, et pas qu’un peu il posa une main sur son front doucement et de façon purement professionnelle, pas de température à priori. Ses parents avaient prévenu qu’elle était sujette à ce genre de perte de conscience, provoqués en général par son anémie. De toute évidence, elle respirait régulièrement, surement un nouveau malaise bénin. IL était penché au dessus d’elle a l’examiner d’un air intrigué, quand il remarqua qu’elle bougea légèrement les paupières.

*bonne nouvelle, la belle au bois dormant est de retour parmi nous !*

- Mademoiselle Kotori vous m’entendez ? Vous vous êtes évanouie en cours !

Il n’avait pas reculé guettant le moment ou ses yeux s’ouvriraient pour de bon, s’il avait su peut-être aurait-il veillé à ne pas conserver cette proximité, mais ce n’était pas écrit sur le front de cette gamine. Et cela ne figurait pas non plus en gros gras et souligné dans son dossier ! Il se permit même de donner de légère tape sur les joues blanches de sa patiente, pas de manière violente hein, ce n’est pas un sauvage non plus ! Le but étant de l’aider à émerger un peu plus, étape indispensable à l’administration simple de quelque chose qui compenserait momentanément les carences de son organisme.

- Vous êtes à l’infirmerie, je suis le médecin !

De plus, il fallait savoir si elle s’était fait mal en chutant, ce qui est courant dans le cas d’évanouissement, et difficile à déterminer sans les informations d’un patient conscient. Lui parler était utile pour la réveiller un peu, d'une voix ferme mais par pour autant brutale, le contenu des propos n'avait que peu d’intérêt, car il doutait qu’elle en retienne grand-chose dans un premier temps !
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MessageSujet: Re: Confrontation avec le médecin [PV]   Confrontation avec le médecin [PV] EmptyMar 18 Nov 2008 - 0:21

Le noir. Puis, pendant son inanition, Mei-Lin voyait passer devant elle des images, plutôt désagréables pour la plupart, mais totalement impossibles à identifier. C'était complètement embrouillé, si embrouillé que c'en était véritablement pénible. Elle se battait pour y échapper, mais n'y arrivait pas. Ca faisait toujours ça quand elle s'évanouissait, et elle ne pouvait lutter contre ce phénomène.

Mei-Lin n'avait pas peur de la mort, mais elle était tout de même du genre angoissé. Normal, quand on a vécu avec des parents qui veulent uniquement se débarrasser de nous, et quand on s'est fait violer par quelqu'un qui avait toute notre confiance. Comment arriver à voir le monde normalement suite à ça ? A ne pas devenir paranoïaque ? Heureusement que Mei-Lin avait eu deux vraies amies, qui lui avaient permis de réaliser que le monde entier n'était pas contre elle, et qu'il existait des gens sur qui on pouvait réellement compter.Malgré tout, elle restait anxieuse, et ça transparaissait dans ses rêves.

Puis, sans véritable raison apparente, elle se réveilla. Comme si elle avait senti qu'elle devait se réveiller, peut-être à cause de la présence du docteur. Mais elle ne le réalisait pas. Elle sortit juste de sa léthargie, ce qui la soulagea d'une certaine manière car cela mit fin à ses cauchemars. La lumière l'empêcha d'ouvrir complètement les yeux et d'ailleurs elle était encore dans une espèce d'apathie qui entravait le recouvrement complet de tous ses sens. Elle ne savait pas où elle était, elle ne se souvenait pas encore qu'elle s'était évanouie. Puis, une voix lui parvint aux oreilles.

- ...Kotori ...tendez ? ...vanouie ...cours !

Elle n'était pas seule. Ce n'était pas la voix de Ryoko ni celle de Brittany. Elle ne devait pas être dans sa chambre. Elle prit pas tout de suite conscience qu'il s'agissait d'une voix masculine.

- ...firmerie ...médecin !

Médecin ? Cette fois elle comprit que ce n'était pas naturel. Elle ouvrit brusquement les yeux, et les images de la pièce tournèrent un peu autour d'elle. Où était-elle donc ? Que s'était-il passé ? En un éclair, elle se souvint. Ou plutôt, elle se rappela ce qu'il s'était passé avant le trou noir. Le cours de maths, le message... Puis plus rien. Elle avait certainement dû s'évanouir, elle en avait l'habitude. Et si elle s'était évanouie, ça voulait dire qu'ici... c'était... l'infirmerie, et qui dit infirmerie dit... médecin. Dans son ancienne école, le médecin scolaire était une femme. A l'époque, elle se fichait bien que ce soit une femme ou un homme, mais c'était différent aujourd'hui. Enfin, pas de problème, il était évident qu'un médecin scolaire ne pouvait être qu'une femme non ? Non ? Non.

Mei-Lin écarquilla brutalement les yeux à la vue du visage masculin qui l'observait d'un air inquiet. Mais oui, ce qu'elle avait entendu, c'était bien une voix masculine, et cette voix, c'était à lui qu'elle appartenait, au médecin ! Qui était bel et bien un homme ! Un coup d'œil rapide lui permis de constater qu'elle était seule avec lui. Seule avec un homme, allongée dans un lit... Panique !

Elle voulut se lever, mais sa tête tourna brusquement. Elle n'avait toujours rien mangé, elle ne tiendrait pas longtemps en s'enfuyant en courant. Elle regarda le docteur d'un air horrifié. Pourquoi avaient-ils engagé un homme comme médecin ? Et les filles qui voulaient parler de leurs problèmes féminins alors ?

- Ne me touchez pas ! Allez-vous en ! Je vais très bien, je vais retourner en cours !

Elle parla d'un ton plus horrifié qu'autoritaire. Elle se fit violence pour sortir du lit, mais dû s'appuyer sur un montant pour ne pas flancher. Comme elle détestait être ainsi ! Comme elle aurait voulu pouvoir courir et se réfugier à l'abri ! Elle en avait les larmes aux yeux, et évitait tant que possible d'affronter le regard du médecin. Ne pas montrer sa faiblesse, c'était son mot d'ordre.
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MessageSujet: Re: Confrontation avec le médecin [PV]   Confrontation avec le médecin [PV] EmptyMar 6 Jan 2009 - 14:37

Conscient qu’il fallait du temps pour revenir complètement sur terre, Ryo ne s’inquiéta que vaguement du temps de réaction de la demoiselle en détresse. Qualificatif parfaitement ironique dans son esprit, il avait pris l’habitude d’en affubler ses « patientes ». En revanche il afficha un air médusé devant le regard angoissé de l’évanouie. Hallucination ? Crise de panique ? Pas clair quoi qu’il en soit il effaça rapidement la surprise sur ses traits, conservant tout de même un de ses fins sourcils surélevés en signe d’interrogation. Il s’était légèrement écarté pour ne pas risquer de se prendre un coup involontaire, ce qui lui été déjà arrivé, mais c’est une autre histoire.

La tentative de Melle Kotori pour se mettre sur ses pieds se solda par un échec cuisant, rien de surprenant. Un rapide regard vers le plafond en signe d’exaspération, pourquoi donc les gens qui ont un problème refusent à tout prix de l’admettre, c’est d’une ineptie désespérante ! Il esquissa un geste pour la rattraper devinant qu’un vertige été la cause de ses difficultés, mais il retint son geste en entendant sa voix.


- Ne me touchez pas ! Allez-vous en ! Je vais très bien, je vais retourner en cours !

*Et bien en voilà des manières… je peux aussi te laisser ramper sur lino si ça te chante… La sottise de ces gamines est déprimante…*

Mais quoi qu'il en soit, il faudrait un peu plus que des piaillements effarouchés pour l’intimider. D'ailleurs, il supposait qu’elle n’avait pas eu l’intention de laisser entendre qu’elle était morte de peur. Pour quelle raison, ça il n’en savait rien, il y a tellement de gens qui ne supportent pas l’environnement « hospitalier », peur des piqures, phobie des médecins, le tout étant bien sûr monté en aiguille par des esprits perturbés. Il la regarda fixement alors qu’elle tenter de s’extraire de son lit, son visage était neutre, de même que le silence qu’il avait laissait planer. En dehors du bruit qu’elle faisait, il n’y avait que le tic tac de l’horloge, et le bourdonnement discret de la machine à café.

- C’est vrai ! Maintenant que tu le dis, ça saute aux yeux que tu respires la santé ! Mais je serais toi je viserais directement le dernier cours de la journée, tu auras peut-être une chance d’y arriver à l’heure si tu ne traînes pas en route !

Pitié, gentillesse, douceur, tact, diplomatie… Parfaitement inutiles, la provocation et l’ironie portent souvent de bien meilleurs résultats. Il était évident qu’il ne comptait pas la laisser sortir ainsi, sinon il aurait des soucis. Elle semblait s’entêter à regarder ses pieds, le sol, les murs, en fait tout dans la pièce qui ne fut pas lui. Avait-elle une dent contre lui ? Fouillant rapidement sa mémoire il se demandait s’il ne l’avait pas déjà croisé, et qu’est ce qu’il aurait pu faire ou dire pour provoquer une telle réaction. Mais rien ne lui revint en mémoire, il affichait un air pensif et un éclat passa dans ses yeux en même temps qu’une idée. Il s’éloigna du lit en direction de la porte et tira le battant en le maintenant ouvert. Il tourna son regard vers la jeune fille et prit la parole avec un ton obséquieux que démentait son regard.

- Si mademoiselle veut bien se donner la peine d’atteindre la porte, je consens à la laisser partir !

Bien évidemment qu’elle n’y arriverait pas, pas dans son état, et quand bien même elle se trainerait jusque-là, elle serait alors assez fatiguée pour qu’il la remette au lit sans qu’elle fasse d’histoire. Certes cela parait relativement sadique comme idée, mais Ryoji n’allait tout de même pas la supplier de bien vouloir avoir l’amabilité de se calmer et de regagner son lit ! Elle voulait partir ! Très bien qu’elle essaye la balle était dans son camp. Dans le pire des cas elle s’écroulerait sur le sol et il faudrait qu’il la ramasse, mais peut importe, il aimait par-dessus tout jouer avec les défauts des autres. Il était aussi possible qu’elle n’entre pas dans son jeu, et regagne son lit, ce serait moins distrayant, mais dans tous les cas il était gagnant !

- Mais peut-être serait-il plus sage de retourner s'allonger...


Une porte de sortie, une invitation à un regain de raison, la question qui occupait son esprit était la suivante, jusqu'à quel point pouvait elle faire preuve de fierté mal placée?
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