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 Zakuro Fea v3.

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AuteurMessage
Zakuro Fea
▼ Université - 4ème Année - Comité des Elèves
▼ Université - 4ème Année - Comité des Elèves
Zakuro Fea


Genre : Non Binaire Lion Coq Age : 30
Adresse : 3, rue la Chance, app. 11, quartier Hiryuu, avec Lawrence E. Swanster.
Compteur 1580
Multicompte(s) : Kojiro Sekigahara

KMO
                                   :

Zakuro Fea v3. Empty
MessageSujet: Zakuro Fea v3.   Zakuro Fea v3. EmptyVen 15 Déc 2017 - 23:27



I. IDENTITÉ


• NOM : Fea.
• PRÉNOM : Zakuro
• GENRE : « Viens me sucer. »
• ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 11 août 1993, à Nara.
• GROUPE : Rebelle.

• ANNÉE D'ÉTUDES OU PROFESSION :  4ième année d’université, Comité des élèves // « Lame » au salon de Yui Valentine. // Un badge sur sa poitrine indique qu’il est aussi « Assistant » en laboratoire cosmologique de son université.
• CLUBS (2 obligatoires pour les étudiants) : Sous l’influence de ce dernier, Zakuro a rejoint le club de jardinage de manière bénévole et anonyme, et aide principalement son colocataire sur la demande de celui-ci. / A abandonné la présidence du club de combat avec armes et a rejoint le club de gymnastique masculine.
• ÉTAT CIVIL : Bordel.
• LANGUE MATERNELLE : Japonais et anglais, bien qu’il s’exprime de manière médiocre en anglais.
• AUTRES LANGUES : Anglais : maîtrise courante, mais hésitante. Français et allemand : bases solides.


• PERSONNAGE DE VOTRE AVATAR : OC / Inconnu.


II. DESCRIPTIONS.


◊ PHYSIQUE

• Anatomie, marques, expressions, allure, gestuelle : (soyez le plus précis possible! )

Dans le disque dur de Joshua se succèdent les fichiers .jpg sur lesquels s’illustrent des corps immobilisés par un instant figé. Les photos en rafale accrochent un mouvement, les clichés volés présentent des éclats de sourires choisis, des regards déviés ou directs. Parfois c’est Kojiro, parfois c’est Lawrence, parfois c’est toi. Tes cheveux défaits, la majorité du temps, sont cette tâche envahissante, qui dévore le relief de tes épaules, camoufle ta nuque ou la dévoile en fonction de ton mouvement, de ta pose, et de cette manière, les boucles noires subliment ou non ta peau qui ne cesse de pâlir. Elle s’étend au dessus de ces épaules, que Joshua a  voulu conserver nues ou habillées,  s’étirant sur les gonflements de ta poitrine, sur le gondolement de ton dos, sur les saillies de tes hanches et le creux de ton aine. En fonction de ta pose, de cet instant sur lequel Joshua a posé un non-temps, tu es allongé sur un matelas entre ses cuisses, et ton ventre mis à nu s’illustre sous la lentille de l’appareil photo, comme un étal sec et nerveux, canevas veiné par ton organisme immanquablement masculin. Au dessus de ton estomac, là où s’inscrivent une dizaine de petites cicatrices refermées par le temps, enterrées sur ta peau pour le souvenir, la peau qui glisse jusqu’à ton pubis se couvre d’une toison noire, qui glisse jusqu’au haut du pénis.

La peau, à cet endroit, devient plus solide, plus rugueuse peut-être. Sous l’aine qui s’ouvre se devine des zones violacées, assombrissement dus aux ombres, au sang contenu sous les veines en relief, et aux contrastes de couleurs. Les photos s’étalent, se diversifient. Sur certaines, c’est le détail de ses yeux sur lequel Joshua a concentré son attention. Les paupières trop plissées par la proximité, ou les pupilles dilatées, tes yeux s’éclatent sur un bleu qui irradie. Des pinceaux barbouillés par la couleur du ciel ont brossés sous tes cils des fragments de nues, et lorsque la luminosité des photos exploitent une diversité de tes regards, il y a toujours ce bleu qui se nuance, assombri par des expressions laconiques, ou illuminé par des sourires qui font resplendir l’hémisphère accrochée dans tes orbites.

Glacé, parfois, le ciel est figé lors d’un regard particulier que Joshua a su capturer lorsque tu dardais sur lui des sentiments contrariés. Rarement, on ne voit pas tes yeux. Sur ces photos-là, l’attention est placée sur les fractures d’émotions qui façonnent trop souvent ta face. Être trop impassible ou trop expressif, le contraste de tes différents visages s’opposent en fonction des clichés enregistrés. Des fragments de sourire ont creusés sur tes joues des fossettes. Bourrées par un rire enfantin, elles sont mises à découverte lorsque tu tournes la tête vers lui, lorsqu’une blague t’a fait rire, lorsque la photo était trop gênante : lorsque Joshua te forçait finalement, d’une manière ou d’une autre, à dévoiler cette combustion de ravissement.

Sur les photos où l’on ne voit pas tes yeux, on se rend peut-être pas assez compte de la puissance de ton corps. Bien sûr les muscles se dessinent en des bombements sous les tissus, sous l’objectif. Bien sûr, les courbes de ta chair sèche se voient, ou se devinent. Mais il n’y a pas le rendu exact de cette énergie que tu dégages lorsque tu marches. Il n’y a pas cette écrasante domination que tu sais imposer lorsqu’il s’agit de traverser une foule de planètes naines, lorsque tu es une Jupiter. L’émanation de ton être n’est pas rendu lorsque l’immobilisme s’appose sur une photo. Comme les particules que tu étudies, les photos n’exploitent que la surface. Joshua le sait probablement, mais il est assurément le seul en mesure de creuser vraiment sous cette surface pour y trouver un résultat satisfaisant. Joshua est le physicien de ton univers, et possède les clefs à toutes les branes qui te composent.  Pour le reste du monde, pour un spectateur qui ne te connaîtrait pas, tu es cet homme-enfant, aux paupières qui se courbent au dessus de ses prunelles trop claires lorsque tes yeux croisent ceux du photographe. Habillé trop fréquemment en noir, comme un endeuillé au sourire trop constant, tu es cette silhouette que les photographies ont saisis dans tes moments quotidiens : que ce soit devant les gradins d’un stade de course, sur les tatamis de ta pratique martiale, entre les cuisses de Kojiro ou sur la chaise que Swan a posé devant une assiette de crêpes. Les cils aiguillonnés au dessus de ton regard, comme les éventails à ton attention toujours très focalisée au dessus du reste du monde, tu es un portrait parmi des centaines d’autres, mais souvent, il y a cet intérêt de Joshua qui concentre sur toi les plus beaux clichés. Par passion, avec orgueil, tu es capable de fixer l’objectif de son appareil, et à la manière du ciel étendu au dessus de la terre, tu contemples.




◊ PSYCHOLOGIQUE

• Mentalité, attitude envers autrui, philosophie personnelle: (Soyez le plus précis possible ! )

Tes cheveux entre les doigts de Joshua, les yeux fermés et le visage renversé, tu es un arbre qui croît. Dans le silence de vos intimités, dans le vacarme d’un quotidien universitaire, à exploiter la surface du monde pour grandir et à imbiber tes poumons de l’air qui circule, tu es, Zakuro, un être mouvant. Dans ta tête, dans tes pensées, probablement plus qu’avec ton corps. Même si celui-ci est capable de changements drastiques ; de s’assécher ou de prendre de la masse. Ton esprit est la source de mouvements la plus bouillonnante qui soit. Il y a des efforts qui se sont mis en place, et des bouleversements qui se sont établis. Tu as grandis, un peu.

Progressivement, tu as commencé à dépasser ce stade de complexe, dans lequel tu te croyais redevable à l’égard de Joshua. Cela n’entache aucunement ton adoration. Cela ne modifie même pas la manière dont tu le regardes. Maintenant, seulement, tu as appris à marcher seul, sans chercher constamment le secours de sa main lorsque tu te sens dans le besoin de te justifier. Maintenant, tu apprends à marcher suffisamment droit, pour parvenir à te placer à ses côtés. Maintenant, tu es en mesure de froncer les lèvres, de hausser les sourcils lorsqu’il faut le recadrer. Maintenant, tu apprends à le corriger. À le soutenir, mais d’une manière différente. Tu apprends que tu peux envisager te mettre à gronder des syllabes en désaccord aux  siennes lorsqu’il s’agit de ses angoisses à propos des matérialités humaines. Fréquemment, tu lui accordes ses arguments, parce que sa logique t’intéresse et t’enrichit plus que celles des humains que tu côtoies, mais parfois, encouragé par un Lawrence bien intentionné, tu apprends à poser les limites de son anxiété. Tu prends dans tes bras une rage que la simple idée d’affronter t’aurait terrifié deux ans auparavant. Maintenant, tu es en mesure de l’absorber, de l’écouter, d’essayer, avec lui, d’éventuellement la rendre productive. Lorsque ce n’est pas le cas, tes émotions prennent encore le pas, et tes yeux se plissent sur un trop plein de mots qui ne pansent pas assez. Mais tu essaies, tu progresses et l’effort te forge cette personnalité que tu explores dans le reflet qu’il te renvoie de toi.

Kojiro t’exploite dans la résolution des problèmes mathématiques que deviennent les interactions sociales auxquelles il se confronte. Accroché au bras de Joshua, présenté au reste du monde comme son boyfriend, ton ancien meilleur ami, désormais meilleur allié, devient un reflet à ta réalité, une appréhension en relief de tout ce que tu peux explorer avec le cadre humain. Tu diriges, pilote camouflé, aux commandes d’un engin sentimental, et Kojiro apprend à embrasser, apprend à orgasmer, copiant sur toi ses réactions intimes, apprenant à arracher de ta personne sa propre essence. L’hirondelle nage complètement dans le ciel, et votre harmonie qui se construit est un solide argument à jeter à la face des détracteurs humains. Ses cheveux longs, tes regards en biais, et vos sourires qui s’accordent sur la même personne sont des jeux vrais, forts et sincères, que vous établissez avec intimité, avec communion. Kojiro n’est plus un rival. Kojiro est le meilleur outil que tu as à ta disposition pour apprendre à devenir un meilleur individu que toi-même. Il couche avec Joshua, pendant que tu défends leur couple, et vous êtes un duo que le monde ne semble pas comprendre.

Les cheveux tressés, explorant les couloirs bondés de ton département de physique, tu franchis ton parcours scolaire sans vraiment démontrer d’intérêt, mais tes notes figurent sur un top élevé. Tu ne le sais peut-être pas, mais certains premiers de classe ont commencés à te détester, à cause de ta popularité. Tu es ce beau garçon, sportif, et apprécié, qui parvient à maîtriser les équations de Fermat ou Chapman-Kolmogorov en théorie des probabilités, à lire en français Hubert Reeves, et à t’afficher sans complexe aux bras d’un individu que la plupart des gens identifient du même genre que le tien.  On t’admire, on te déteste, tu représente un peu l’antithèse de ce que les gens sont, et l’apogée de ce qu’ils voudraient être. Ils haïssent assurément ta confidence, ils sont stimulés par ton calme contrasté à l’égard de celui de Joshua. Tu as dans le dos des regards qui te poignardent, et par le devant des mots doucereux, des gens qui s’écartent sur ton passage, en te souriant. La popularité de 2013 s’est dissipée, probablement sans jamais disparaître. Méfiant, cependant, plus que jamais, tu n’accordes plus autant d’intérêt aux relations sociales, et tu n’es plus dans cette dynamique d’essayer de te faire des amis. Ton groupe de proches est suffisamment garni, et tu n’essaies maintenant plus de creuser, de tisser. Kojiro, Lawrence et Joshua te suffisent comme intimes. Yui et Naoko sont des réguliers à qui tu souris, dont tu profites de la présence en appréciant simplement la bonne relation ; calme et tranquille, avec laquelle tu ne te prends pas la tête. Senta n’est plus aussi présent qu’auparavant, et vous êtes en considération tacite de cet éloignement qui se creuse. Tu ne t’en inquiètes pas particulièrement, au final. Il est humain. Tu préfères encore la compagnie des êtres comme William, qui dans l’ombre, se suffisent à eux-même.

Progressivement, tu as appris à devenir plus préventif dans ta relations aux êtres humains. Tu continues à aimer jouer avec eux, à casser l’ennui en favorisant des expériences qui pourraient leur être dangereuses, mais tu continues à explorer le champs des possibles. Tu t’entraînes à devenir meilleur, à savoir comment réagir, mais tes intérêts pour eux s’amoindrissent quand ils ne savent pas t’exciter.

Eventuellement, tu as conscience des modifications de ton quotidien. Joshua change, progressivement, et en le bordant des yeux, tu essaies d’être là quand il pourrait avoir besoin de toi. Kojiro s’inquiète, Lawrence soupçonne, et toi tu veilles.  



• Signes particuliers, manies, obsessions, phobies (etc.) :

Ces geste qui reviennent :

- Tu es toujours ce regard trop clair, ce sourire vraiment ravi ; et tes fossettes qui se creusent deux cent fois par jour tracent les heurts que tu oppose au reste du monde.
- Tu t’attaches les cheveux, souvent, presque autant de fois que Joshua fait éclater tes élastiques.
-Tu pinces les lèvres, plisses les yeux et froncent les sourcils. Tes expressions embarrassées et frustrées se confondent entre elles, et quelqu’un qui ne serait pas habitué ne pourrait pas vraiment distinguer ton irritation de ta gêne.
- Tes sourires en coin. Adressés particulièrement à Joshua, quelque fois à Kojiro, quand il parvient à te surprendre.
- Tu aimes les chats, un peu plus que les chiens. Avec des rires aiguës.
- Tu souris toujours aussi fort.

Ces marques sur ton corps :

- Des petites griffures, des coupures, des brûlures. Ton corps est loin d’être un canevas vierge. Tu as des marques à peu près partout. Pas de tatouages, seulement des piercings aux oreilles, qui crissent contre ton cartilage quand tes cheveux s’y emmêlent.


III. MÉMOIRES.




• Histoire : (Soyez le plus précis possible ! )

Tu as changé. En t’en apercevant seulement du coin des yeux, tu as commencé à abandonner derrière toi la poussière de tes croyances. Tu n’es plus un enfant, désormais. Voici le principal changement.

Narcisse, Tsu, Wunjo et tous ces noms du passé sont des souvenirs auxquels tu ne penses même plus. Mei est une pierre dans la structure de ton être, que tu n’ignores pas, mais qui ne t’obsède plus. Kojiro est plus lié à ton âme, à ton être que jamais. La jalousie s’est étouffée, remplacée par de la productivité.

Tu ne pratiques plus. Tu travailles. Consciencieux, concentré, les doigts effleurant les ondes et l’esprit traitant sur les particules, tu attends et tu construits des existences sur le bout de tes papiers, sur le coin de tes idées. Des personnages, des appréhensions, qu’un jour, tu aimerais bien voir apparaître en 3D, fomentés sous tes doigts. Des bulles, peut-être, dans lesquelles tu imagines éclore des existences que tu pourrais contempler.

Joshua mène ses projets de son côté. Vous n’en parlez qu’à demi-mot, à peine. Des regards se croisent, s’accrochent, et vous savez, sans avoir besoin d’argumenter très intensément.
Tu commences à établir des contacts avec l’Europe, pour des supervisions de stage, des échanges scientifiques. Un laboratoire montréalais est possiblement intéressé, tu as commencé à écrire des articles. Sur le coin de ton bureau, des projets relatifs aux multivers s’entassent. Joshua, parfois, y glisse ses yeux. Toi, parfois, tu t’enquiers des odeurs électriques qui flottent encore dans son salon lorsqu’il l’a quitté précipitamment, et que Kojiro, désemparé, apprend à dealer avec.

-  

Les grosses lignes :

-Zakuro a changé de filière. Il a abandonné l’Histoire pour rentrer dans une branche scientifique : la physique cosmologique.
- William est désormais devenu le coloc de Lawrence et de Zakuro.
- Zakuro a progressivement arrêté de s’investir dans ses clubs scolaires. Récemment, cependant, il a accepté de venir en aide à Lawrence dans le club de jardinage, et au final, s’amuse plutôt à apprendre à planter des fleurs.
- A perdu de vue beaucoup de ses anciennes connaissances.
- Se passionne très intensément pour le domaine de recherche de la physique quantique. En particulier dans le domaine des ondes, et s’intéresse aussi aux multivers.
- Abandonne progressivement son humanité, en se persuadant, au même titre que Joshua, qu’il n’est pas humain.
- Sa relation de jalousie intensive à l’égard du lien Kojiro-Joshua s’est transformée. Considérant que Kojiro habite désormais avec Joshua et que celui-ci le présente comme son petit ami au reste du monde, Zakuro s’est habitué à ce schéma, et voit désormais Kojiro comme une partie intégrante de son existence. D’une manière ou d’une autre, il s’est mis à l’aimer beaucoup plus.
- Fait des expériences sur les humains. Les pend dans le vide, les teste, leur fait du mal. Il n’a pas le même rapport à l’humanité que Joshua. Pour lui, tuer peut être une option envisageable. Seulement, Zakuro a suffisamment conscience des droits pénaux, et n’est pas dans une dynamique meurtrière.
- Continue à alterner entre prise de masse musculaire et pertes de poids drastiques. Ses humeurs varient de manière fluctuantes.
- A pris une chambre étudiante en vue d’un besoin de solitude nécessaire à son implication universitaire lors des examens. Veut obtenir son diplôme.
- A des projets en lien avec les multivers.



• Relations proches et familiales : (qui vous a élevé / avec qui vous vivez, etc.):

- Joshua. Cheveux clairs, yeux sombres. Il y a toujours cette absence de mots quand Zakuro veut essayer d’expliquer ce qu’il ressent à l’égard de l’autre. Kojiro et Lawrence sont probablement les meilleurs pour comprendre de quoi il s’agit, vu qu’ils vivent désormais à la manière d’une équipe, de partenaires soudés. Zakuro aime Joshua. Ses dynamiques sont viscérales, et il est prêt à beaucoup trop de choses pour Joshua.

- Lawrence. Cheveux clairs, yeux clairs. Il est quelque chose qui irradie assez pour que tu ne perdes pas de vue tes objectifs. Il est un repère à sa manière, quelque chose qui permet de ne pas oublier le chemin, de ne pas tomber dans le noir et dépasser la route que tu t’es donné. Il est chaud, chaleureux, et son pragmatisme à l’humanité est un ressort dont tu as parfois, souvent, besoin d’user. Lawrence est un

- Kojiro. Cheveux sombres, yeux sombres. Il est assurément devenu important. Ce n’est plus seulement ton meilleur ami, c’est aussi ce quelque chose de perspicace et nécessaire dans ta vie, qui te permet d’appréhender tout ce que tu n’es pas, tout ce que tu ne seras peut-être plus.

- Parents. Tu ne les vois plus vraiment. C’est à peine si tu prends le temps de répondre au téléphone lorsqu’ils appellent. Tu es là, empathique et compatissant pour écouter ce qu’ils ont à plaindre, mais tu ne partages plus vraiment autant de détails, tu ne balances plus autant de mots. Ils sont là pour toi, ils te l’assurent fréquemment, et Nami a même éventuellement commencé à s’habituer à l’idée que tu donnes des fellations, mais ce n’est plus vraiment le problème. Tu n’as plus vraiment besoin d’eux, au final. (100 mots souhaités)


IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

TON PSEUDO ?
QUEL ÂGE ?
COMMENT NOUS AS-TU DECOUVERT ?
TES IMPRESSIONS ?
SOUHAITES-TU ÊTRE ACCOMPAGNÉ ? (cf. parrainage)
QUELLE HEURE EST-IL CHEZ TOI ?



FICHE PAR FALLEN SWALLOW

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