₪ Académie Keimoo ₪

In a decade, will you be there ?
 
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 Yuuta Fukuro [Mei]

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2 participants
AuteurMessage
Yuuta Fukuro
♣ Université - 4ème année
Yuuta Fukuro


Genre : Masculin Poissons Singe Age : 32
Adresse : 01, allées Aki, Appartement D04
Compteur 79

KMO
                                   :

Yuuta Fukuro [Mei] Empty
MessageSujet: Yuuta Fukuro [Mei]   Yuuta Fukuro [Mei] EmptyLun 4 Déc 2017 - 13:28



I. IDENTITÉ


• NOM : Fukuro
• PRÉNOM : Yuuta
• GENRE :
• ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 25 ans, 29 Février 1992, Seattle, USA
• GROUPE : Artistes

• ANNÉE D'ÉTUDES OU PROFESSION : 4ème année Université.
• CLUBS (2 obligatoires pour les étudiants) : Musique et Photographie
• ÉTAT CIVIL (pour les citoyens et collaborateurs) : Célibataire
• LANGUE MATERNELLE : Anglais
• AUTRES LANGUES :(précisez le niveau)
- Japonais (Scolaire - Lycée)
- Espagnole (Scolaire - Collège)
- Allemand (Scolaire - Collège)

• PERSONNAGE DE VOTRE AVATAR (la réservation se fera automatiquement si pas encore effectuée): Frey de Fisheye Placebo


II. DESCRIPTIONS.


◊ PHYSIQUE

• Anatomie, marques, expressions, allure, gestuelle : (soyez le plus précis possible! )

Cassandra Fukuro posa le combiné du téléphone dans un clic satisfaisant ; ce n’est pas que sa belle-mère pouvait drainer toutes son énergie en un appel, mais c’était tout comme ! Jetant un coup d’œil depuis sa cuisine, elle regarda son fils lire un magazine, paisiblement assis sur un tabouret.
Elle ne comprenait pas les inquiétudes de sa belle-famille : oui, l’aéroport de Tokyo était grand mais son fils l’était aussi, comment arriveraient-ils à ne pas le retrouver ? 1m87, c’est grand, non ? Et c’est qu’il est visible, en plus : ce n’était pas comme si ses cheveux courts gris platine allaient passer inaperçu sur sol nippon.

Par contre, pour ça, il ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même : Aya, sa coiffeuse de sœur, l’a très vite soudoyé à devenir sa poupée personnelle et ceci depuis le jour où il avait eu le malheur de jouer à la dinette avec elle. Yuuta était un vrai ‘Yes Man’ quand il s’agissait de sa sœur.
Rouge, bleu, orange néon ou récemment blanc platine, ses cheveux sont passés par toutes les couleurs et longueurs qu’elle a désirée tester : il les avait encore longueur mi-ventre et décoloré il y a deux semaines.

Cassandra s’approcha alors vers son fils, pinçant gentiment son épaule pour le sortir de sa lecture. Lorsqu’il leva son visage pour lui sourire, elle sentie un pincement au cœur ; devait-il vraiment partir ? Il avait déjà quitté le domicile familial il y a six ans, devait-il vraiment aussi quitter le pays ?

Face à son silence, les yeux bleus clairs de son fils la questionnèrent du regard, de légères marques d’inquiétudes commençant à tacheter ses traits. Elle passa alors une main dans ses cheveux ébouriffés puis la fit glissée sur une de ses joues. Fermant ses yeux pour profiter de l’instant, son fils laissa reposer sa tête dans sa paume avec tendresse, sa main parsemée de longs doigts fins venant soutenir celle de sa mère.

Elle profita de ce petit moment de douceur pour détailler ce visage d’enfant qui ne semblait jamais cesser de grandir avec le temps. Et de s’embellir ! C’était sûrement son avis biaisé de maman, mais elle trouvait qu’elle avait fait du bon travail avec Shibi, son mari.

Le visage légèrement en diamant et les longs cils noirs de sa mère, les lèvres fines et le teint pâle de son père. Il avait la douceur des Powell dans ses yeux et l’intensité des Fukuro dans son regard.

Mais sa rêverie fut de courte durée : sa fille était entrée comme une tornade dans la cuisine, un sac ouvert à la main.

tl;dr:


• Tenue vestimentaire, accessoires, tatouages,  etc.

« T’es sérieux, Yuuyu ? Tu vas partir qu’avec ça ? »

Aya déposa alors le sac de voyage de son frère sur la table en face de lui. Visiblement, elle interrompait un moment de paix entre sa mère et son frère, cependant, ce n’était pas une excuse pour l‘horreur qu’elle avait découverte.

« Sœurette, éclaire ma lanterne : qu’est-ce qu’il y a, encore ? »

Une petite moue s’afficha en un éclair sur le visage de la fille. Le problème ? Il ne le voyait donc pas même avec un sac béant devant lui ?

« Ça ! » Comme pour appuyer ses dires, elle pointa les vêtements visibles à travers l’ouverture du sac. « Tu vas pas m’dire que tu pars qu’avec ça ? C’est une blague ?! »

C’est vrai qu’elle ne le croisait plus souvent depuis qu’il habitait seul, mais elle n’imaginait pas que ce qu’elle prenait comme une simple négligence vestimentaire lors de ses visites était en fait la garde-robe de son frère.

Celui-ci, pour seule réponse, arqua un sourcil en signe de questionnement.

« Shorts, Jeans, Pulls et T-shirts… » Elle cita le contenu du sac pour finir par aussi arquer un sourcil en retour à son frère. « …Et au moins trois casques de couleurs différentes. »

« Et alors ? » Yuuta haussa simplement des épaules d’un air nonchalant, visiblement ce n’était pas un problème pour lui. « C’est pas prise de tête, simple et passe-partout. Puis faut bien accorder mon accessoire principal avec mes t-shirts. »

Si c’était possible, les yeux d’Aya seraient sortis de leur orbite à tel point ils étaient écarquiller. Était-ce bien-là son grand-frère qu’elle aimait tant coiffé, maquillé et habillé ? Le grand-frère qui l’écoutait pendant des heures parler de ses cours ? Où était le sens de la beauté qu’elle avait tentée de lui inculquer durant toutes ces années ?

« Accordé ?! Explique-moi comment tu accordes quoi que ce soit avec ça !» Elle sortit alors du sac un de ses derniers achats : un t-shirt avec le motif d’un chat, assis sur un synthétiseur, dans l’espace. « Yuuyu ! Tu vas au Japon ! La mode là-bas c’est super important, tu vas te taper la honte ! »

Pour seule réponse, son frère se leva, replaçant le t-shirt dans son sac et fermant celui-ci avant de le passer sur son dos. Il la regarda avec cette douceur si caractéristique, ses fines lèvres se courbant en un sourire attendrissant, puis se pencha alors pour l’embrasser sur le front.

« Ça fera l’affaire, ne t’inquiète pas. » Elle se vit alors enveloppée par les longs bras de son frère, la faisant disparaître dans son étreinte. « Et au pire, quand tu viendras me rendre visite, on ira se faire une journée shopping, ok ? »

Aya, ne put s’empêcher de se relaxer un peu, sourire aux lèvres et serrant fort son frère dans ses bras.

« Deux, même ! »

« Je ne voudrais pas interrompre quelque-chose d’important, mais je ne pense pas que empêtré-dans-des-aurevoirs-et-accolades soit une bonne excuse pour retarder un avion. »

Aya sortir alors sa tête du cocon que les bras de son frère avaient créé afin de regarder leur père, Shibi, qui attendait sur le palier de la porte, clé de voiture en main. Déçue, elle laissa son grand-frère quitter ses bras, prendre son sac et suivre son père jusqu’à la voiture parquée dehors.

tl;dr:


◊ PSYCHOLOGIQUE

• Mentalité, attitude envers autrui, philosophie personnelle: (Soyez le plus précis possible ! )

Les deux portières de la voiture claquèrent rapidement, le froid de cette fin novembre s’infiltrant une dernière fois dans l’habitacle. Démarrant la voiture, Shibi Fukuro passa son bras derrière le siège de son fils puis débuta son créneau arrière afin de sortir de la cour de leur maison, remarquant par la même occasion l’unique sac de voyage trônant sur la banquette arrière.

« Qu’un seul sac ? Pour un minimum d’une année à l’étranger ? »

Pour réponse, Yuuta souria, haussant simplement les épaules.

« Juste de quoi m’habiller, me laver et travailler. » Il attacha alors sa ceinture, faisant signe à sa mère et sœur qui lui disait au revoir depuis le palier de la maison. « Pour le reste j’ai trouvé un travail sur place, ça devrait me permettre d’acheter ce qui manquerait. »

C’était bien là son fils : tout en simplicité, rien de plus ni de moins que l’essentiel. Il prenait les choses et les gens tels qu’ils venaient, sans fioritures, désirant ne pas compliquer encore plus ce qui l’était déjà.

« Un travail ? Si tôt ? » Shibi freina légèrement, embranchant sur la route principale direction le centre-ville. « Oba-san va être déçue de ne pas t’avoir pour elle dès ton arrivée. »

« C’est parce-qu’Akira m’a dit qu’elle faisait des claquettes depuis qu’elle savait pour mon voyage que j’ai décidé de chercher un travail. » Yuuta laissa échapper alors un petit rire. « Pas sûre que toute cette excitation soit bonne pour sa complexion, ni pour son cœur. »

Étonné, Shibi profita que la voiture entrait sur la bretelle d’autoroute les menant à l’aéroport pour jeter un regard en coin à son fils : il était au courant pour les problèmes de santé si tabou de sa grand-mère ? Comment ? Il savait sa mère plus que têtue et muette sur ce sujet…

Après un instant à faire des allers-retours entre la route et son fils, Shibi eut un petit sourire : à quoi s’attendait-il ? On parlait de Yuuta après tout, avec son aptitude à faire tomber les masques, à faire que de simples discussions deviennent personnelles et que les gens s’ouvrent à lui.

Sa sœur disait que ça lui venait de sa taille rassurante d’ours en peluche géant, ses amis de cette attention si intense qu’il avait pour son interlocuteur et sa mère de la douceur dans son regard.
Après tout, pourquoi garder son masque lorsqu’on était accepté avec ou sans ? Pourquoi avoir peur d’oser le laisser de côté lorsque vous pouviez disparaître dans la sécurité de ces grands bras ?

Pourquoi refuser une aide pareille lorsqu’elle vous était volontiers offerte ?

Revenant de ses rêveries, Shibi grimaça légèrement tout en ouvrant le pare-soleil au-dessus de lui pour y sortir une enveloppe.

« Je sais que cela outrepasse notre accord sur notre implication financière dans ton voyage… » Il tendit alors la lettre à son fils qui la prit l’ouvrit, y découvrant une carte de la taille d’une carte de crédit et une lettre. « …Mais tu connais ta mère ; si je ne t’en parle pas, j’en entendrais parler jusqu’à notre première visite en Janvier. »

Son fils regarda attentivement la carte et lâcha un petit grognement tout en lisant le contenu de la lettre : c’était une puce de téléphone avec les détails de l’abonnement qu’ils avaient souscris au Japon pour lui.

Shibi savait que Yuuta n’appréciait pas l’aide externe à ses projets ; il ne comptait plus le nombre de fois où son fils avait creusé son propre trou sans même avoir crié à l’aide, tournant en rond face à un problème qu’il pensait trop épineux pour être partagé.

Il savait que cela lui venait de sa période scolaire où, étant la tête qui dépassait du lot, il avait été souvent la cible des autres enfants qui avaient un surplus de frustration à évacuer. De ce fait, Yuuta avait une estime de soi peu élevée, le poussant à toujours vouloir améliorer ce qu’il faisait de ses propres mains.

Pour quelqu’un qui faisait preuve de tant de simplicité pour ce qui l’entourait, il allait souvent dans les extrêmes pour ce qui était de sa personne et de ses projets : exigeant, perfectionniste, il ne savait pas quand s’arrêter sauf si le temps impartis ou son corps le stoppait. Ne cessant jamais de modifier, réviser ou encore recommencer entièrement, il faisait plus que l’extra mile : il en faisait au moins dix, dont neuf qui ne servaient à rien.

À nouveau, les yeux de Shibi dansèrent entre la route et son fils, essayant de jauger la réaction de celui-ci, resté silencieux à lire le contenu du contrat. Comment allait-il réagir à cette "aide" forcée dans ses plans ?

« Et j’en entendrais parler dès votre arrivée en Janvier... » Yuuta laissa alors s’échapper un soupir ennuyé. « Ok, j’accepte cette aide, merci pour l’attention. »

Shibi ne put s’empêcher de laisser s’échapper la respiration qu’il n’avait pas remarqué retenir, soulagé : l’aéroport était en vue, il avait donné la lettre à son fils à temps et celui-ci avait accepté son contenu. Ce départ ne semblait pas aussi mal se passer qu’il l’avait imaginé.

« Par contre, je changerai directement de numéro une fois sur place. Maman devra attendre votre visite pour l’avoir. »

Il semblait maintenant à Shibi que le retour à la maison allait être plus stressant que ce qu’il aurait voulu.

Lançant un regard à son fils, il reprit une grande inspiration ; perdu pour perdu, autant
aller jusqu’au bout. Alors que l’aéroport grandissait peu à peu dans l’horizon, Shibi ralentissa un peu la vitesse de la voiture, s’éclaircissant la gorge.

« Et en ce qui concerne notre… petit secret ? »

Yuuta se raidit alors soudainement et regarda son père qui grimaça intérieurement : c’était bien ce qu’il pensait, il avait eu ce réflexe d’un enfant qui venait d’être attrapé en train de fauter, il continuait à embrumer son esprit.

« Maman sait ? » Son fils brisa le silence qui s’était installé, continuant son questionnement après que son père ait secoué la tête pour répondre par la négative. « Aya ? »

À nouveau, Shibi secoua la tête en signe de négation, ce qui pouvait aussi être pris pour son avis sur le sujet.

Après la légalisation du cannabis en 2012 pour la ville de Seattle, Shibi avait découvert alors la tendance à la fumette de son fils. Depuis combien de temps le cachait-il ? Il ne le sait toujours pas. Cependant, il aurait continué à le faire – et le fait encore pour sa sœur et mère – si son père ne l’avait pas surpris à la sortie d’un Shop.

« Tu sais que sur sol japonais la fu… » Mais il ne put avoir le temps de continuer son explication que son fils l’interrompu net. « …mette n’est pas du tout acceptée comme chez nous, oui, je sais. Tu me l’as assez répété. »

Oui, il le lui avait répété et pourtant il n’avait rien fait en retour pour le rassurer. Allait-il retomber dans cette paranoïa des premiers jours ? Avec cette habitude à toujours sniffer ses vêtements car il pensait sentir cette odeur si caractéristique ? Avec cette habitude à s’enfermer chez lui pendant des heures juste pour se "relaxer", se coupant du monde ? Ce qu’il n’utilisait pas en achat de nourriture allait-il à nouveau être utilisé en verdure ?

Shibi regarda alors son fils, une pointe de colère mélangée à de la tristesse naissant dans son cœur ; ne voyait-il donc pas les changements lorsqu’il consommait ? Ne remarquait-il pas qu’il passait de ce garçon si vivace et radieux - une quasi copie de sa mère - à un garçon calme, absent et renfermé ?

Le pire, c’est qu’il ne pouvait l’en empêcher : il était majeur, la vente et consommation était légale et, en soit, s’il désirait le cacher à nouveau, Shibi était sûr que son fils était assez intelligent pour le faire à merveille. C’est pourquoi il en avait fait leurs petit secret, afin de pouvoir garder un œil sur ce problème et jouer un rôle de garde-fou le cas échéant.

« Bien… Promets-moi juste de faire attention, d’accords ? »

Yuuta garda le silence un instant puis, regardant son père avec résolution.

« Je promets même d’utiliser ce voyage pour tenter d’arrêter complètement ! »

Surpris dans un premier temps, Shibi Fukuro ne put s’empêcher de se demander s’il y
arriverait : il savait que son fils en avait les capacités, mais en avait-il la volonté ?



tl;dr:


• Signes particuliers, manies, obsessions, phobies (etc.) :

Ça y était, il était parti : la voiture avait disparu depuis un moment et ne semblait pas revenir.

Au revoir câlins, au revoir siestes sur son ventre, au revoir sessions de jeu à apprendre de nouveaux mots, au revoir copieux casse-croûte à tout moment de la journée.

Pourquoi son humain devait-il partir si loin ? N’était-il pas suffisant à son bonheur ?

C’est qu’en plus il allait lui manquer ! Comment Yuuta allait-il se débrouiller sans lui ? Il était la colonne de soutien principal de sa maison, la pièce centrale de sa vie !

A qui son grand bout d’humain allait-il parler de ses journées ?
Qui écoutera les innombrables versions de ses musiques ?
Qui viendra dormir sur son ventre lorsqu’il se relaxera, même après qu’il ait fumé une de ces cigarettes roulées qui laissaient une drôle d’odeur ?
Qui allait écouter ses tergiversations sur la musique et le spirituel ?
Qui allait rester paisiblement à ses côtés quand il sera plongé corps et âmes dans sa musique ?
Qui lui rappellera l’heure de manger par quelques miaulements et griffures bien placées ?

Non, son humain n’allait pas s’en tirer, il le savait ! Il devait faire quelque-chose pour le rejoindre, mais il savait aussi que les autres humains de cette maison ne comptaient pas l’aider avant qu’une certaine "année" passe.

Il n’aimait vraiment pas ça, pourquoi devait-il attendre avant de rejoindre son humain ?

Pire encore, quelque-chose commençait aussi gentiment à se faire une place dans la tête de Windows, quelque-chose d’encore plus apeurant que de louper les casse-croûte de 10h et 16h : son humain voulait-il le remplacer par un autre chat ?

Non… Il n’oserait pas !

tl;dr:


III. MÉMOIRES.




• Histoire : (Soyez le plus précis possible ! )

L’avion volait en douceur à plusieurs kilomètres au-dessus du sol, la canopée de nuage duveteux remplissant l’horizon d’un océan de blanc aveuglant. Les turbines vrombissaient en tandem, aucun enfant ne pleurait et Yuuta n’avait aucun voisin sur sa rangée.

Et pourtant, cela ne lui plaisait pas le moins du monde.

Il essayait tant bien que mal de combattre le sommeil qui le gagnait petit à petit, désireux de ne pas devoir se battre avec le décalage horaire une fois arrivé au Japon. Mais il n’y avait rien pour distraire son esprit : pas de cris, pas de coups dans le siège, pas de voisin bruyant ou malodorant et – bien sûr – pas de téléphone qu’il avait oublié de retirer de son bagage et qui trônait parmi ses affaires dans la soute.

En allait-il être réduit à s’occuper l’esprit en se racontant des histoires ennuyeuses ?
C’est ce qui lui semblait.

Il pourrait commencer par le récit de sa naissance, ensuite son enfance, bifurquer par les ennuyeuses aventures scolaires, dévier quelques peux sur ses premières expérimentations avec la musique… Ou alors il pourrait commencer par la fin, la raison de son voyage et pourquoi il quittait le confort de Seattle pour celui de Keimoo.

La réponse ? Un chat.
Oui, un chat et plus particulièrement son système auditif.

Dis comme ça, c’est sûr qu’il y avait de quoi arquer un sourcil questionneur : Était-il un boucher sauvage qui désirait disséquer un chat ? Non. Était-il un amoureux des chats qui voyageait de par le monde pour récolter un spécimen de chaque pays ? Non plus. Était-il alors un élève écrivant une thèse sur le système auditif félin et ses applications pratiques dans le cadre d’un Master en Composition et Théorie Musicale ? Oui.

Sous ce terme barbare se cachait en fait une question "simple" : un chat a-t-il plus de facilité à comprendre une certaine gamme de sons, selon le langage parlé autour de lui ?

Oui, étrange, et pourtant pas autant que cela si on considère que les professeurs chargés de s’occuper de sa thèse avaient été enjoués par cette idée, faisant des pieds et des mains afin qu’il décroche une bourse pour terminer sa thèse à l’étranger.

Placez plusieurs fous ensemble et ils s’entendront à merveille…

Cependant, on pouvait aussi se poser la question de pourquoi un tel intérêt pour le système auditif et principalement les sons que celui-ci capte ? Après tout, son Master était aussi en composition musicale, pourquoi ne pas choisir d’écrire un opéra pour thèse comme tant d’autre l’on fait ?

C’est que Yuuta avait une relation spéciale avec le son.

Le 29 Février 1992, à l’hôpital Central de Seattle et après être passé 16 heures en salle d’accouchement, Shibi et Cassandra Fukuro n’étaient pas encore au bout de leur peine : après tout ce labeur pour sortir leur fils, ils durent encore se coltiner ses pleurs incessant lors de leurs retours chez eux.

Ce qui au début passait pour un simple enfant-énergique-qui-aimait-faire-savoir-qu’il-était-là s’est ensuite révélé être un simple enfant-énergique-qui-avait-une-acuité-auditive-un-peu-trop-élevée.
En gros, Yuuta entendait un bourdonnement constant en arrière fond, parfois avec un petit mix d’acouphène pour "embellir" le tout.

Il ne criait pas pour se faire entendre mais parce qu’il désirait arrêter d’entendre.

Autant dire que son habitude d’avoir quelque-chose sur les oreilles vient des premières années de sa vie : pommades, produits ou tampon antibruit étaient placés pour faire bouchon au surplus de sons l’agressant. Fort heureusement, l’entrée à l’école Primaire à ses 6 ans marqua aussi la fin des soins pour ses oreilles qui fonctionnaient maintenant correctement.

Comble de l’ironie : au moment où Yuuta put enfin vivre normalement sans surplus d’agression sonore, il se découvrit un rapide amour pour la musique.

C’est ainsi qu’à 9 ans il fut conseillé à ses parents de le diriger vers un instrument de musique, son professeur de musique soulignant l’engouement du jeune garçon à tous les jouer et, par la même, à détruire l’acuité auditive de tous ceux dans sa classe. Autant dire que le même professeur fit une drôle de tête lorsque Yuuta lui annonça, après plusieurs essais infructueux, qu’il avait enfin trouvé l’instrument de ses rêves : la batterie.

Heureusement pour l’homme, Yuuta découvrit sa passion à l’âge de 11 ans, peu après son entrée au collège. Ses oreilles étaient sauvées.

Le collège fut une époque moins joviale en ce qui concernait les activités sociales du jeune garçon : dépassant déjà d’une tête la plupart de ses camarades, il était la cible de ceux qui avaient un surplus de frustration à évacuer. Il en ressortira avec une estime de soi très pauvre, la seule chose qu’il semblait bien faire étant de frapper sur les tomes de sa batterie.

C’est qu’ils avaient bien joués leurs coups : Yuuta ne s’était jamais retrouvé soudainement
entouré de douze gamins, forcé dans un coin et tabassé plus que de raison. Non, la subtilité était de mise : chaques mots une flèche touchant au but, chaques coups un petit rappel qu’il n’était pas dans le groupe, hors norme.

Avec sa demi-tête en plus, il était tellement aisé d’accéder à son corps sans être vu : il ne comptait plus le nombre de fois où il avait reçu un coup dans les côtes alors qu’il se mouvait dans la foule d’élève qui sortait prendre l’air lors de la pause. Il ne comptait plus le nombre de fois où, durant les cours de sport, il "tombait" par mégarde, que la balle de football lui arrivait malencontreusement en plein visage, les poids qui tombaient sur ses pieds ou encore les doigts qui pliaient à cause d’un mauvais rebond de la balle de basket.

Il devait passer pour un sacré maladroit aux yeux de ses professeurs ; un grand garçon qui n’avait pas encore la maîtrise complète de son grand corps. Et qui pointer du doigt pour se plaindre ? Les "gens" ? Les cours de sports étaient en classe mix, les tags ou petit mots n’étaient pas signés et les yeux des rares qui l’avait rabaissé en face lui en avait dit long sur les éventuelles conséquences en cas de dénonciations.

C’était un genre d'harcèlement sur le long terme, goutte à goutte, petit à petit. Pourquoi lui ? Il ne l’a jamais su. Tout ce qu’il sut fut qu’il était soit "trop" ou "pas assez" : trop grand, pas assez beau, trop motivé, pas assez cool, trop débile, pas assez bon…

C’était à partir de cette période que Yuuta commença alors à "dealer" dans les extrêmes, cherchant à corriger son "trop" ou "pas assez", cherchant à être accepté. Mais rien n’y fit, il ne fut jamais assez bien, ses efforts n’étaient jamais assez bons et son estime de soi se
réduisait à chaque échec pour se faire accepter.


De cette époque, il en retira aussi un surnom très inspiré qu’il décidera d’utiliser comme nom d’artiste plus tard : "FUKu".

Les premiers pas de FUKu se firent à l’âge de 14 ans avec le groupe qu’il monta avec un ami : Eye2Eye. Simple duo guitare électrique-batterie, le groupe était plus une excuse pour faire du bruit et se défouler : se retrouvant après les cours, ils jouaient jusqu’à l’épuisement, les morceaux qu’ils reprenaient se déformant en quelque-chose d’inaudible dû à la fatigue.

Ce fut d’ailleurs quelque-chose qui alimentera sa phase "rebelle" lors de ses 15 ans : séchant les cours, jouant de la batterie comme un dératé pendant 8 heures et poussant son corps dans ses derniers retranchements, Yuuta pensaient qu’il n’était bon qu’à une chose : jouer de la batterie.

Cherchant toujours à aller plus loin, il commencera alors à consommer des pilules magiques afin de le faire tenir plus longtemps, d’effacer la douleur physique et de lui procurer une énergie qui lui semblait sans fin. Son corps souffrait, sa tête s’en foutait et il était heureux, spiralant gentiment sur un chemin qui n’avait pas d’Happy Ending.

La fin naturelle de Eye2Eye marqua aussi la fin des recherches de sensation forte de la part du garçon : en effet, l’entrée au lycée marqua le début des horaires surchargés, de la perte de temps libre et donc des rencontres pour jouer de son instrument favoris. Le fait qu’il devait s’intéresser à son avenir créa alors un déclic lorsqu’il comprit qu’il devait revenir dans le rang afin de poursuivre une carrière dans le monde de la musique.

D’Eye2Eye, Yuuta en ressortira avec cette habitude de toujours pousser les choses plus loin que normal, ne sachant pas s’arrêter et forçant son corps à supporter plus qu’il ne devrait en charge de travail et fatigue. Il en ressortira aussi avec une habitude à fumer de la weed pour se relaxer ou chercher l’inspiration.

Comme une punition divine pour ses erreurs, il perdra aussi tout contact avec la batterie ; il n’avait plus le temps ni l’énergie nécessaire pour se défouler comme il le désirait, son attrait pour l’instrument se tari alors gentiment. Ce n’est qu’à ses 17 ans qu’il découvrira un substitut à son premier amour : le beatmaker.

De cette rencontre naîtra alors un nouvel amour passionnel pour le jeune garçon : le Sampling.

Véritable art de dé-construire et reconstruire des morceaux de musique en un nouvel ensemble. Yuuta y trouvera comme une allégorie de la vie : l’humain était capable de reprendre les moments les plus tristes de sa vie et de les transformer en un chant d’espoir.

Reprenant son nom de "FUKu", il publiera ses premiers essais sur internet en même temps qu’il entrera à l’université en 2010. Il devra attendre une année pour enfin percer dans le milieu alors qu’il avait 19 ans. Malheureusement, débutera aussi une ère de surmenage pour le garçon qui n’arrivera pas à trouver la balance entre son Sampling et ses cours universitaires pendant plus d’un an.

Il retrouvera l’équilibre en fin 2012 et devra faire preuve d’une grande retenue par plusieurs fois pour ne pas finir en burn-out complet. Heureusement, il terminera ses cours universitaires en 2014 alors âgé de 22 ans. Cerise sur le gâteau, sa notoriété dans le milieu du Sampling et de la composition avait atteint une nouvelle étape : il travaillait en free-lance pour artistes, sociétés de publicité ou toutes personnes avec de l’argent et une idée.

Se tournant alors vers un Master en Composition et Théorie Musicale, le garçon se plongera corps et âme dans ses cours et le monde de la musique. Son obsession ne cessera de grandir, s’entremêlant avec sa vie de tous les jours et deviendra sa principale motivation dans la vie.

Tout était musique et il désirait entendre ce que personne n’avait encore entendu ; il voyait le monde comme un grand orchestre et était persuadé que chaque personne possédait une mélodie qui lui était propre, celle-ci se transformant en divers thèmes qui jonchaient la vie de tout un chacun.

Mais à nouveau, poussant trop loin son obsession et son implication dans son travail, il dû freiner son engouement qui commençait à devenir trop hétéroclite par rapport à ce qui lui était demandé lors des cours.

C’est pourquoi il décida d’étudier le système auditif des chats, adoptant Windows, il commencera à tester les réactions du chat par rapport aux sons qu’il émettait, découvrant une rangée de son qu’il comprenait mieux. Utilisant cette connaissance, il entreprit alors d’y trouver une application pratique : il réutilisera les tonalités que le félin captait mieux pour le dresser à réagir à des mots inventés qui reprenaient ces dites tonalités.

En gros, il tentait de créer un langage humain-chats et, dans son interminable recherche de la perfection, c’était posé la question si son chat qui entendait constamment de l’Américain comprenait une autre gamme de son qu’un chat qui entendrait constamment une autre langue.

C’est pourquoi il partait pour le Japon, capitale de la musique en tout genre et où se trouvait une partie de sa famille du côté de son père.

Simple, non ?

tl;dr:


• Relations proches et familiales : (qui vous a élevé / avec qui vous vivez, etc.):

USA
Famille Powell :

"Grand-mère Piano" et "Grand-père Marteau", famille du côté de sa mère Cassandra.

L’une est une ancienne professeure de musique qui avait quittée son travail pour se consacrer à son rôle de mère, l’autre un bricoleur hors-pair qui pouvait démonter et remonté tout ce qui lui tombais sous la main.

Anciens hippie, leurs philosophie est d’accueillir à bras ouvert ce que la vie plaçe sur leur chemin.

Leurs relation avec Yuuta est plus qu’amicale et il a toujours attribué son amour de la musique de ce côté-ci de la famille.

Cassandra Fukuro, mère :

Femme d’affaire au dents longues, elle fera fortune en se lançant dans un marché encore peux développer en 1980 : l’ordinateur personnel.

Malgré son côté froids lorsqu’elle parle Business, elle est décrite par son mari comme un "soleil radieux" : c’est une femme chaleureuse, aimant la musique, la danse et possédant le don d’irradier ceux qui l’entoure avec son énergie et sa bonne humeur.

Vraie mère poule, elle a tendance à encore trop vouloir couver ses enfants, ce qui a le don d’énerver Yuuta.

Shibi Fukuro, père :

Taciturne, réfléchis et spirituel, il est le côté calme du couple qui forme les parents de Yuuta.

Homme d’affaire à l’état de Keimoo dans sa jeunesse, il rencontrera sa future épouse lors qu’elle viendra proposer le nouvel OS de sa société pour le parc informatique de l’état.
Il poussera son corps jusqu’à une fatigue extrême pour décrocher un job qui lui permettrait de revoir le soleil de sa vie : Cassandra.

Il a une relation plus qu’amicale avec son fils dont il apprécie les moments de paix, surtout depuis l’arrivée de leur fille, Aya. Curieux, il est celui qui s’intéresse le plus à ce que fais son fils, parfois au grand déboire de celui-ci.

Aya Fukuro, sœur :

Sœur cadette, elle a un fort caractère et arrive toujours à ses fins. Coiffeuse, maquilleuse et esthéticienne, elle aime embellir ceux qui l’entourent pour masquer son propre manque de confiance en elle.

Elle considère Yuuta comme son meilleur ami et ce depuis le jour où il a accepté de jouer avec elle.
Il est son soutien, son confident, son ours en peluche géant et son cobaye attitré.

Cependant, elle a la fâcheuse tendance à vouloir toujours bien paraître, son obsession débordant sur la vie de son frère lorsqu’elle s’intéresse de trop près à ce qu’il porte ou qu’elle genre de fréquentation il a.

Windows, chat :

Portant le nom de l’OS qui avait permis à ses parents de se rencontrer, il a un tempérament joueur, jaloux et pacha.

Appréciant son humain, il aime sa présence et ses caresses quand il n’est pas une pile sur patte.
Yuuta lui a appris 12 mots différents de son invention lui permettant de mieux comprendre le félin. Bien sûr, le mots le plus utilisé est "Epar", manger.

Japon
Famille Fukuro :

La famille Fukuro est une famille fermière qui a survécu à toute les ères du Japon, sa force n’est pas dans l’argent mais dans sa grande longévité..

Organisée de manière matriarcale, les jeunes hommes sont envoyés dans les villes jusqu’à leur retraite où ils reviennent au domaine pour y finir leur vie avec leur épouse. Chacune d’entre elle étant intégrée à la famille pour prendre part aux décisions et organisé la vie au domaine.

C’est le côté de la famille que Yuuta a le moins côtoyé, les visitant un maximum de quatre fois par ans, il a toujours attribué son côté travailleur et réfléchis à ce côté de la famille.

D’après son père, la famille était bien plus grise et morne avant que sa rayonnante femme ne vienne les remplir de ses rayons.

"Oba-san", grand-mère :

"Mamie histoire", mère de Shibi, elle est la conteuse de la famille depuis qu’elle est retournée au domaine à la mort de son mari.

Gardienne des récits, aussi anciens et étranges soient-ils, de la famille et de ses mythes, elle sait conter une histoire comme personne et vous ferait facilement croire que chaque premier-né d’un Fukuro était un mâle à cause d’une chouette cosmique.

Folle de son petit-fils, elle fait tomber son masque de femme stoïque et stricte dès qu’elle est en sa présence. Son visage lui rappelant énormément celui de son fils et de son mari.

Akira Fukuro, cousin :

Petit cousin de Yuuta, malgré le peu qu’ils se voyaient ils formèrent un grand lien d’amitié.

Racaille espérant devenir un rapper connu, Akira voue une admiration à son petit cousin pour son côté musicale. Lui parlant constamment musique il est son fournisseur en plante verte lors de ses passages, qu’il échange contre quelques "beats de la mort" dont Yuuta avait le secret.

Hinata Fukuro, cousine :

Calme, réservée et avec des yeux bleu à couper le souffle. Yuuta n’a jamais vraiment osé l’approcher car elle était son premier béguin étant plus jeune.

Son attirance pour elle perdura jusqu'à ce qu’il fit son entrée en Primaire et que cette petite amourette ne disparaisse. Aujourd’hui, ils ont une relation amicale normale, elle est celle qui lui a trouvé son travail chez Mr. Kimoko.

Icchi Kimoko, employeur :

Homme à la retraite qui a ouvert un petit shop de musique en-dessous de chez lui pour occuper ses vieux jours. Il a débuté par la réparation d’instrument de musique pour finir par proposer la vente de ceux-ci avec un petit coin vinyle.

Il n’a pas de rêve de grandeur à son âge et désire juste passer ses vieux jours actifs à croiser du monde et être utile. Lors de l’entretien avec Yuuta, il a tout de suite apprécié l’énergie et le respect du jeune garçon. Ils ont continué de communiquer par la suite et se réjouis d’avoir un employé aussi passionné.

Nana, chat :

Raison de son déplacement au Japon, il l’a trouvé dans un chenille après avoir vérifié que les félins étaient accepté là où il logerait.

Encore timide et apeurée par le grand garçon, Yuuta avance à petit pas avec elle, ne testant pas encore ses théories pour sa thèse sur elle, la laissant s’habituer à sa présence.

Il espère aussi qu’en prenant une femelle, Windows sera plus enclin à accepter un autre chat lorsque celui-ci le rejoindra d’ici quelques temps ou qu’il retournera aux US avec Nana.



IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

TON PSEUDO ? -
QUEL ÂGE ? 26
COMMENT NOUS AS-TU DECOUVERT ? Topsite, j'ai fais un premier essai l'année dernière mais pas réussis à me décider à temps et mon compte a été delete ^^'
TES IMPRESSIONS ? Comme d'hab, vivant avec des personnages intéressant !
SOUHAITES-TU ÊTRE ACCOMPAGNÉ ? (cf. parrainage) Le RP forum c'est un peu nouveau pour moi, donc volontiers.
QUELLE HEURE EST-IL CHEZ TOI ?
Validé ! ♥


FICHE PAR FALLEN SWALLOW


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Dernière édition par Yuuta Fukuro le Lun 11 Déc 2017 - 18:37, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Yuuta Fukuro [Mei]   Yuuta Fukuro [Mei] EmptyLun 4 Déc 2017 - 22:17

Bonsoir et (re)bienvenue sur Keimoo :)

Je suis donc en charge de ta fiche !
De manière générale, elle est agréable à lire et j'aime bien la manière dont tu nous as amené la chose, il y a une ligne directrice qui rend le tout intelligent.

J'aimerais juste revoir deux, trois petites choses avec toi.

PHYSIQUE -
La couleur "cyan" pour les yeux n'existe pas à ma connaissance, tu peux néanmoins parler de yeux bleus clairs ou de lentilles si tu souhaites conserver cette couleur.

HISTOIRE -

Yuuta ne s'est pas que fait embêter par ses camarades, tu dis qu'il s'est fait bully.
Est-ce que cela se faisait à la vue de tout et si oui, comment ont réagit ses professeurs et ses parents ? A-t-il eu des marques sur le corps, un changement de comportement etc.

Toujours par rapport à ses parents, le savaient-ils qu'il fume et comment gérait-il les "à côté" ? (l'odeur, le coût).

Voilà, je te laisse tranquillement changer cela ~
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MessageSujet: Re: Yuuta Fukuro [Mei]   Yuuta Fukuro [Mei] EmptyMar 5 Déc 2017 - 17:07

Salut !
Merci de ta réponse et du temps que tu as pris pour cette fiche :)

J'ai modifié les points que tu as soulignés :

> Milles excuses pour la couleur des yeux, j'ai changé la couleur Cyan pour bleu et tenté de modifier l'avatar en conséquence.

> J'ai rajouté du texte sur le 'bullying' dont il a fait preuve dans la partie histoire. (En soit, le "bully" dans tl;dr était juste une aide mémo restée du premier draft : je n'étais pas partit sur ça à la base. Au cas où ça ne collerai toujours pas, j'enlèverai le texte ajouté et remplacerait "bully" par embêter)

> Pour la fumette, j'ai rajouté des précisions dans la partie mentalité pour aussi avoir la vision d'un parent.

En espérant que ça collera a tes attentes :)
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MessageSujet: Re: Yuuta Fukuro [Mei]   Yuuta Fukuro [Mei] EmptyJeu 7 Déc 2017 - 14:27

Tout me va !
Merci d'avoir délimité les parties que tu as rajouté A02

Juste, l'idée de "licence/master" n'existe pas on compte ici en années donc Yuuta est en 4ème année à l'université. :)

Je me propose pour être ta marraine et t'accompagner dans tes premiers pas sur le forum, si tu as d'ores et déjà des questions n'hésites pas à m'envoyer un mp. c:

Après avoir fait cette mini correction, un admin te mettra ta couleur et je t'inviterai à visiter ces petits liens

• Demande de rang (afin d'afficher ta classe au dessus de ton avatar), de classe et de logement : Clic !
• Inscriptions aux clubs : Clic !
• Réservation d'avatar : Clic !
• Livret scolaire de l'année précédente, à mettre à jour à chaque rentrée : Clic !


• Demandes de RP : Clic !
• Après trois RPs entamés, il te faudra faire une chronologie ici : Clic !
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